Bonjour à tous,
Comme vous l’avez sans doute deviné, j’ai un faible pour les drames et les horribles catastrophes où des innocents sont victimes de tragédies qui les dépassent.
Nous connaissons tous le terrible naufrage du « Wilhelm Gustloff » chargé de femmes et d’enfants. Un commandant russe, Alexandre Marinesko, compagnon de la dive bouteille, décoche au malheureux navire quatre torpilles « pour la mère patrie », « pour le peuple soviétique », pour Stalingrad », et naturellement « pour Staline ». Le bâtiment coule en moins de 50 minutes faisant suivant les recherches récentes 10 050 victimes dont 4 000 enfants et adolescents.
Nos amis britanniques ne sont pas en reste et se distinguent aussi dans cette macabre comptabilité.
Pour les allemands d’alors l’imagination criminelle n’est jamais mise en défaut. Ils ont l’idée en 1945, devant l’avance des soviets, de parquer les déportés de divers camps du sud de Hambourg et de la région d’Auswitch sur des navires en baie de Lübeck. Parmi ceux-ci le Cap Arcona, un ancien paquebot de luxe. Naturellement les SS ont au préalable débarqué gilets de sauvetage et tout objet susceptible de servir de radeau. Les prisonniers sont entassés dans des conditions épouvantables à fond de cale.
A 14h30, le 3 mai 1945, les bombardiers Typhoon Mk IB du chef d’escadron Martin Scott Rumbold découvrent les bâtiments mouillés et les attaquent à la roquette. Le Cap Arcona s’incline sur le coté et prend feu. 4 600 prisonniers sont pris au piège. Quelques uns parviennent à s’extraire de ce cercueil pour plonger dans l’eau glacée de la mer Baltique.
Il y aura 316 survivants et pendant des années la mer rejettera des corps sur le rivage…
A la semaine prochaine
Donec
Comme vous l’avez sans doute deviné, j’ai un faible pour les drames et les horribles catastrophes où des innocents sont victimes de tragédies qui les dépassent.
Nous connaissons tous le terrible naufrage du « Wilhelm Gustloff » chargé de femmes et d’enfants. Un commandant russe, Alexandre Marinesko, compagnon de la dive bouteille, décoche au malheureux navire quatre torpilles « pour la mère patrie », « pour le peuple soviétique », pour Stalingrad », et naturellement « pour Staline ». Le bâtiment coule en moins de 50 minutes faisant suivant les recherches récentes 10 050 victimes dont 4 000 enfants et adolescents.
Nos amis britanniques ne sont pas en reste et se distinguent aussi dans cette macabre comptabilité.
Pour les allemands d’alors l’imagination criminelle n’est jamais mise en défaut. Ils ont l’idée en 1945, devant l’avance des soviets, de parquer les déportés de divers camps du sud de Hambourg et de la région d’Auswitch sur des navires en baie de Lübeck. Parmi ceux-ci le Cap Arcona, un ancien paquebot de luxe. Naturellement les SS ont au préalable débarqué gilets de sauvetage et tout objet susceptible de servir de radeau. Les prisonniers sont entassés dans des conditions épouvantables à fond de cale.
A 14h30, le 3 mai 1945, les bombardiers Typhoon Mk IB du chef d’escadron Martin Scott Rumbold découvrent les bâtiments mouillés et les attaquent à la roquette. Le Cap Arcona s’incline sur le coté et prend feu. 4 600 prisonniers sont pris au piège. Quelques uns parviennent à s’extraire de ce cercueil pour plonger dans l’eau glacée de la mer Baltique.
Il y aura 316 survivants et pendant des années la mer rejettera des corps sur le rivage…
A la semaine prochaine
Donec
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