TAAF Les gendarmes aux TAAF
Timbre TAAF hors-programme 2014 - Collaboration entre les TAAF et la Gendarmerie Nationale portant sur la réalisation de timbres TAAF mettant en exergue la présence de gendarmes sur Kerguelen et dans les îles Eparses - Disponible à partir du 17 octobre 2014, à l’occasion du festival Grand Bivouac à Albertville -
Sollicitée par les responsables de la philatélie des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF), la gendarmerie a participé à la création d'une série de timbres relatant la présence et le rôle des gendarmes dans les TAAF, à l'instar de ce qui s'est fait l'an passé avec l'armée de Terre.
La mini-planche réalisée par l'adjudant-chef Laurent Sentucq du Service de diffusion de la gendarmerie, comporte 3 timbres :
- à gauche, un timbre relatif à la gendarmerie dans les îles Éparses,
- au milieu, un visuel gendarmerie
- à droite, un timbre rappelant la présence de la gendarmerie autrefois sur les îles Kerguelen.
Il est le représentant de l’État et de la loi, la sentinelle et l’écogarde, le gérant postal et le garde frontière. À Glorieuses, comme sur Europa ou Juan de Nova, le gendarme est le fonctionnaire multicarte par qui les Éparses restent en lien avec l’administration française.
5 h 30 sur la plage du Cap Vert à grande Glorieuse.
Comme chaque matin au point du jour depuis huit semaines, le gendarme Franck Julien commence sa patrouille. Un tour de l’île sur huit kilomètres de plage qui fait désormais partie de sa “routine” quotidienne depuis qu’il a pris son poste dans l’archipel des Glorieuses. Un moment très important dans sa journée. “C’est ma première mission, la surveillance de l’île. En faisant le tour, je vérifie qu’il ne s’est rien passé d’inhabituel dans la nuit”, explique ce pensionnaire de la brigade territoriale du Tampon.
Mais comme pour ses collègues en détachement sur Europa ou Juan de Nova, le travail sur Glorieuses ne se limite pas à une simple tâche de garde-barrière pour empêcher les éventuelles quoique rarissimes incursions sur ce confetti de sol français. Le gendarme se fait aussi écogarde, en ramassant les détritus ramenés sur les plages par la marée ou, surtout, en procédant au comptage quotidien des traces de tortues, qui viennent nombreuses pondre sur les plages de l’île.
http://www.taaf.fr/IMG/pdf/32_journal_de_l_ile_la_vie_de_gendarme_au_bout_du_monde_dans_les_eparses_16_aout_2009.pdfPour un gendarme agent postal, rien de plus normal qu'être affecté au TAMPON… |
Mais comme pour ses collègues en détachement sur Europa ou Juan de Nova, le travail sur Glorieuses ne se limite pas à une simple tâche de garde-barrière pour empêcher les éventuelles quoique rarissimes incursions sur ce confetti de sol français. Le gendarme se fait aussi écogarde, en ramassant les détritus ramenés sur les plages par la marée ou, surtout, en procédant au comptage quotidien des traces de tortues, qui viennent nombreuses pondre sur les plages de l’île.
Document réalisé par l'UFPP-SATA |
merci Maryvonne et à René Pauliat
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