Corymbe 127 BPC Tonnerre
TOULON / Samedi 15 novembre, le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre quitte Toulon, son port d’attache, pour participer à la mission Corymbe.
Il rejoint le patrouilleur de haute-mer. Enseigne de vaisseau Jacoubet, déjà déployé au large de l’Afrique occidentale. Mission des forces armées françaises dans le golfe de Guinée depuis 1990, Corymbe complète le dispositif français pré-positionné en permanence en Afrique occidentale. La marine nationale y
contribue en déployant dans la zone, de manière quasi permanente, un ou deux navires. Ces unités participent régulièrement à des missions de coopération bilatérale avec les pays de la région. Elles peuvent apporter un soutien rapide en cas d’opération de sécurisation, d’évacuation de ressortissants ou de mission humanitaire.
Lors de sa mission, le BPC Tonnerre transportera le matériel logistique nécessaire au déploiement d’un centre de traitement et de transit des soignants (CTTS). Ce matériel sera déchargé à Conakry (Guinée).
Ce transport maritime et opérationnel vers la Guinée complète les actions déjà menées par la France et les armées dans la lutte contre la propagation du virus Ebola.
8/11/2014 Sources : État-major des armées
http://www.defense.gouv.fr/marine/a-la-une/corymbe-127-le-bpc-tonnerre-prend-le-commandement-tactique-du-task-group-451.01
Depuis le 19 octobre, l’aviso Enseigne de vaisseau Jacoubet patrouille dans la zone du Golfe de Guinée dans le cadre de la mission Corymbe. Il a été rejoint le 21 novembre au large des côtes africaines par le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre qui a pris le commandement tactique des deux bâtiments pour former le Task Group 451.01.
Parti de Toulon le 15 novembre dernier avec du fret humanitaire et du matériel destiné à la mise en place d’un Centre de traitement pour soignant (CTS) en Guinée, le BPC Tonnerre a franchi Gibraltar puis transité au large de l’Afrique de l’Ouest où il rejoint le Jacoubet le 21 novembre dernier.
Dans la journée du 23 novembre, les deux bâtiments ont effectué un exercice d’entrainement commun et ont navigué de conserve pour accoster à Dakar le 24 novembre, le Jacoubet escortant le Tonnerre.
Cette escale technique a été l’occasion pour le Tonnerre de charger un surplus de matériel destiné au CTS de Guinée Conakry.
Les 26 et 27 novembre, le « Tonnerre » a fait une courte escale à Conakry, en Guinée, où, dans le cadre du plan de lutte interministériel contre la propagation du virus Ebola, il a déchargé le matériel nécessaire à la mise en place d’un CTS.
Le patrouilleur de haute mer LV Lavallée a appareillé le 1er décembre 2014 de Brest pour rejoindre l’opération Corymbe.
La mission pour les 95 membres de l’équipage, pendant les trois mois de déploiement, visera à lutter activement contre des actes de piraterie survenant régulièrement dans le golfe de Guinée, zone d’intérêt prioritaire définie par le nouveau Livre blanc. Les actions mises en place par le bâtiment se dérouleront ainsi dans une logique de coopération militaire avec les forces armées des pays riverains afin de faire face à des crises inopinées.
TOULON / Samedi 15 novembre, le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre quitte Toulon, son port d’attache, pour participer à la mission Corymbe.
Il rejoint le patrouilleur de haute-mer. Enseigne de vaisseau Jacoubet, déjà déployé au large de l’Afrique occidentale. Mission des forces armées françaises dans le golfe de Guinée depuis 1990, Corymbe complète le dispositif français pré-positionné en permanence en Afrique occidentale. La marine nationale y
contribue en déployant dans la zone, de manière quasi permanente, un ou deux navires. Ces unités participent régulièrement à des missions de coopération bilatérale avec les pays de la région. Elles peuvent apporter un soutien rapide en cas d’opération de sécurisation, d’évacuation de ressortissants ou de mission humanitaire.
Lors de sa mission, le BPC Tonnerre transportera le matériel logistique nécessaire au déploiement d’un centre de traitement et de transit des soignants (CTTS). Ce matériel sera déchargé à Conakry (Guinée).
Ce transport maritime et opérationnel vers la Guinée complète les actions déjà menées par la France et les armées dans la lutte contre la propagation du virus Ebola.
8/11/2014 Sources : État-major des armées
http://www.defense.gouv.fr/marine/a-la-une/corymbe-127-le-bpc-tonnerre-prend-le-commandement-tactique-du-task-group-451.01
Depuis le 19 octobre, l’aviso Enseigne de vaisseau Jacoubet patrouille dans la zone du Golfe de Guinée dans le cadre de la mission Corymbe. Il a été rejoint le 21 novembre au large des côtes africaines par le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre qui a pris le commandement tactique des deux bâtiments pour former le Task Group 451.01.
Parti de Toulon le 15 novembre dernier avec du fret humanitaire et du matériel destiné à la mise en place d’un Centre de traitement pour soignant (CTS) en Guinée, le BPC Tonnerre a franchi Gibraltar puis transité au large de l’Afrique de l’Ouest où il rejoint le Jacoubet le 21 novembre dernier.
Dans la journée du 23 novembre, les deux bâtiments ont effectué un exercice d’entrainement commun et ont navigué de conserve pour accoster à Dakar le 24 novembre, le Jacoubet escortant le Tonnerre.
Cette escale technique a été l’occasion pour le Tonnerre de charger un surplus de matériel destiné au CTS de Guinée Conakry.
Les 26 et 27 novembre, le « Tonnerre » a fait une courte escale à Conakry, en Guinée, où, dans le cadre du plan de lutte interministériel contre la propagation du virus Ebola, il a déchargé le matériel nécessaire à la mise en place d’un CTS.
http://www.ambafrance-gn.org/
Une épidémie de fièvre hémorragique virale Ebola sévit actuellement en Guinée Conakry, au Libéria et en Sierra Leone.
Pour mémoire le virus Ebola se transmet à l’homme, dans un premier temps, à partir des animaux sauvages : les réservoirs habituels de ce virus sont les chauves-souris ou les singes. La manipulation de la viande de ces animaux infectés ou sa consommation (en particulier en cas de cuisson insuffisante) permet la transmission du virus Ebola à l’homme.
La transmission interhumaine est également possible en particulier auprès de personnes malades par des contacts directs avec du sang, des sécrétions, ou des liquides biologiques. Ce sont donc les contacts rapprochés avec des personnes malades ou des personnes décédées lors des rites mortuaires qui permettent la diffusion du virus (notamment au sein du cercle familial ou parmi les personnels soignants). De même, un cadavre animal peut transmettre la maladie.
Les premiers symptômes peuvent apparaître entre 2 et 21 jours (moyenne de 8 jours) après la contamination et l’essentiel de la contagiosité est réelle après déclaration des symptômes (état grippal avec des fièvres, douleurs musculaires, diarrhées et vomissements).
En cas de déplacement pour raison impérative, il convient de :Suivre l’évolution de l’épidémie en consultant régulièrement le site du ministère des Affaires étrangères et du Développement international et celui de l’Organisation Mondiale de la Santé,Vous inscrire sur le portail Ariane du ministère des Affaires étrangères et du Développement international.
Pendant votre présence sur place, il convient de :Suivre les recommandations du Ministère de la santé,Ne pas se déplacer dans les zones de transmission active du virus ( consulter les fiches Conseils aux voyageurs de ces pays),Ne pas consommer ni manipuler de viande de brousse,Se laver les mains fréquemment au savon ou avec les solutions de lavage des mains hydro-alcoolique,Eviter les contacts directs avec les secrétions des malades ayant une forte fièvre, ou des troubles digestifs, ou des hémorragies extériorisées par la bouche, le nez, ou les selles.
Après votre retour en France il convient de :
Prendre contact avec le SAMU - Centre 15 (numéro de téléphone : 15) en cas de fièvre ou de symptômes compatibles avec la maladie en mentionnant le séjour en Afrique de l’Ouest.
Le patrouilleur de haute mer LV Lavallée a appareillé le 1er décembre 2014 de Brest pour rejoindre l’opération Corymbe.
La mission pour les 95 membres de l’équipage, pendant les trois mois de déploiement, visera à lutter activement contre des actes de piraterie survenant régulièrement dans le golfe de Guinée, zone d’intérêt prioritaire définie par le nouveau Livre blanc. Les actions mises en place par le bâtiment se dérouleront ainsi dans une logique de coopération militaire avec les forces armées des pays riverains afin de faire face à des crises inopinées.
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