30 mai 2016

Mission Jeanne d'Arc 2016 BPC TONNERRE escale à Cochin

Mission Jeanne d'Arc 2016 BPC TONNERRE escale à Cochin




Le 12 avril 2016, à l’accostage des deux bâtiments de la mission Jeanne d’Arc à Cochin, les équipages et officiers-élèves, au poste de bande, ont répondu, en musique, à l’accueil des Indiens. 




Monsieur Christian Testot, ministre conseiller à l’ambassade de France en Inde, a ainsi souligné l’importance du dialogue stratégique entre les marines indienne et française. « Votre présence ici en atteste! »».



Cette relâche opérationnelle à Cochin fut l’occasion pour les deux marines de conduire des manœuvres avec le patrouilleur indien Sunayna. «Ces exercices nous ont permis de renforcer un savoir-faire commun et de développer nos capacités d’interactions avec des marines non-OTAN» relève l’enseigne de vaisseau Paul C., chef de quart passerelle lors des manœuvres.

Une série de manœuvres de navigation, entre les bâtiments, et aviation, entre les aéronefs des bâtiments des deux nationalités, ainsi qu’un transfert de personnel, a permis un ensemble d’échange de bonnes pratiques et le développement de la connaissance mutuelle. Les marins indiens ont été «particulièrement accueillants!» confie le lieutenant de vaisseau Maxime P., à bord du Sunayna. 



D’autres visites et rencontres organisées furent autant de moments de découverte et d’apprentissage mutuel, notamment pour les officiers-élèves. Leurs nombreux échanges avec les cadets indiens participent pleinement à leur formation, en leur faisant découvrir la marine et la culture indienne.

Tromelin Iles Eparses TAAF 29 avril 2016

Tromelin Iles Eparses TAAF 29 avril 2016



Parti de Bayonne le 17 novembre 1760, l’Utile, une flûte de la Compagnie française des Indes orientales, s’échoue le 31 juillet 1761 sur l’île de Sable (aujourd’hui Tromelin), un îlot désert de 1 km².



 Elle transporte des esclaves malgaches, achetés en fraude, et destinés à être vendus à l’île de France (l’actuelle île Maurice). L’équipage regagne Madagascar sur une embarcation de fortune, abandonnant quatre-vingt esclaves sur l’île avec trois mois de vivres et la promesse de venir les rechercher. 

Cette promesse ne fut pas tenue et ce n’est que le 29 novembre 1776, que l’enseigne de vaisseau de Tromelin, commandant la corvette La Dauphine, sauve les survivants : sept femmes et un bébé de huit mois.

Les trois premières missions (2006, 2008, 2010) ont permis d’étudier l’épave de l’Utile, de mettre en évidence l’ampleur des habitats construits par les naufragés, de mieux cerner leur organisation et leurs facultés d’adaptation à la condition de naufragé, dans un milieu aux ressources limitées, mais mises à profit avec ingéniosité.


Des idées de lecture ? 






merci à JEF pour son pli

sources : 

TAAF  http://www.taaf.fr/Les-esclaves-oublies-de-Tromelin

http://www.france24.com/fr/20151017-exposition-chateau-nantes-esclaves-traite-negriere-oublies-ile-tromelin-madagascar

29 mai 2016

Juan de Nova 15 mars 2016 Les mains dans le cambouis TAAF Eparses Pétrole

Juan de Nova 15 mars 2016

les mains dans le cambouis? 

Les enveloppes en date du 15 mars 2016 sont arrivées tachées. 
Problèmes lors du transit aller? lors du traitement sur l'île? lors du retour vers la métropole?. Le principal est qu'elles soient revenues.


Deux compagnies pétrolières nigériane et américaine viennent de se voir délivrer par le ministère français de l'Energie et de l'Ecologie des permis d'exploitation pétrolière et gazière au large de l'ilot de Juan de Nova, situé dans le canal du Mozambique.
Au grand dam des Malgaches qui revendiquent la propriété des iles Eparses françaises, qui faisaient partie de la Grande ile et qui en ont été détachées juste avant son indépendance.
Des sources sérieuses comparent le Canal du Mozambique à la Mer du Nord en matière de réserves pétrolières.






Juan de Nova est certainement l’une des îles Éparses la plus marquée par l’occupation humaine. Sa découverte en 1501 est attribuée à un noble galicien prénommé Juan de Nova et amiral au service du roi Manuel Ier du Portugal. 

Celui-ci l’aurait nommé Galega ou Agalega (la Galicienne) en référence à sa nationalité. Il l’aurait découverte lors d’un voyage sur la route des Indes. Cependant, en raison de l’exiguïté de son territoire, cette île ne suscita pas tout de suite l’intérêt des puissances coloniales et hébergea probablement des pirates durant plusieurs années.



Le nom de cette île a différé au cours de l’histoire. D’après R. Decary, elle est appelée Johan de Nova sur la carte de Pilestrima en 1519. Puis Joa de Nova (Mercator en 1569), San-Christophoro (Ortelius en 1570), Saint-Christophe (Lislet Geoffroy). Finalement, en 1825, le navigateur anglais Owen la nomme Juan de Nova de façon définitive.





D’un point de vue administratif, tout comme pour Europa et Bassas da India, l’acte du 31 octobre 1897 (en exécution de la loi du 6 août 1896), déclare Juan de Nova dépendance française. L’île est successivement rattachée à la province de Tananarive (1921), puis à la province de Morombe (1930), et enfin au district de Nosy Be (1932).

TAAF District de Saint-Paul Amsterdam 1er janvier 2016

TAAF District de Saint-Paul Amsterdam 1er janvier 2016

Amsterdam, le mat des couleurs  photo JM Bergougniou


Parmi le courrier, deux plis en provenance du district de Saint-Paul Amsterdam et portant le cachet du chef de district et de l'agent postal



Amsterdam la résidence du chef de district, Mariane et l'écharpe  photo JM Bergougniou



Ile Saint-Paul photo JM Bergougniou


DZ à Martin de Viviès photo JM Bergougniou

Langoustes photo JM Bergougniou


Le BATRAL LA GRANDIERE quitte la Réunion pour gagner Brest où il sera désarmé

Le BATRAL LA GRANDIERE quitte la Réunion pour Brest où il sera désarmé

TAD code Roc 24599 Le Port La Réunion en date du 13-5-2016

Après le patrouilleur austral Albatros l'an dernier, c'est le bâtiment de transport léger La Grandière qui a fait ses adieux à La Réunion, où il a passé l’essentiel de sa carrière. Le Batral français a quitté la base de Port des Galets le jeudi 19 mai pour mettre le cap sur Brest, en vue de son retrait du service.



Le Batral (bâtiment de transport léger) La Grandière a quitté jeudi son port d’affectation au sein des Forces armées dans la zone sud de l’océan Indien (FAZSOI) pour rejoindre Brest, où il sera désarmé après 30 ans de bons et loyaux services.

Ce bâtiment amphibie, conçu pour le transport et le débarquement de troupes et de matériels, a été particulièrement sollicité pour effectuer le ravitaillement des îles Eparses et de Mayotte au profit des militaires et scientifiques français des TAAF. Dans le cadre de ses missions dans la zone maritime, il aura également eu l’occasion de participer à des opérations de secours en mer, œuvré à la préservation des ressources naturelles dans la zone des îles Eparses, notamment dans le cadre de ses missions de surveillance des pêches et apporté son soutien à des opérations humanitaires dans divers pays de la zone.



Parmi les nombreuses actions menées par le La Grandière, certaines ont marqué son histoire : en novembre 1987, il effectue des recherches en mer dans la zone de crash du BOEING 747 de la SAA présumé abîmé en mer à l’est de Maurice, repêchant 9 cadavres sur 13 retrouvés et près d’une tonne de débris divers. Une autre fois, en avril 2000, il intervient en soutien aux populations à Madagascar après le passage du cyclone Hudah. Enfin, en Juillet 2002, au large des Seychelles, il recueillera 21 enfants et 2 adultes après le naufrage de leur vedette.

Le Batral La Grandière devrait rejoindre Brest le 11 juillet prochain en contournant l’Afrique par le Cap de Bonne-Espérance. Au total, ce sont 54 jours de traversée dont 43 jours en mer, en parcourant une distance de 8825 nautiques, soit environ 16343 km.



sources :

http://www.clicanoo.re/523808-le-batral-la-grandiere-quitte-la-reunion.html

28 mai 2016

Centenaire de l'Ecole de navigation sous-marine

Centenaire de l'Ecole de navigation sous-marine




Un article de VAR MATIN concernant l'inauguration des locaux des simulateurs des futurs SNA du programme Barracuda et le centenaire de l'ENSM.

Les premières photos sont de Francis Jacquot de l'AGASM et les autres sont de moi, nous avons eu la visite du chef d'état-major au stand de la Marco, nous ne faisions pas le poids face au stand de la base sous-marine qui proposait une cuvée spéciale entre autre badges, autocollants, tee-shirts, etc... Et pourquoi ne pas s'en inspirer: un bon rosé "spécial congrès" pourrait faire venir des amateurs ???

Paul Roy




















Marine ton patrimoine fout le camp Toulon ferme son cercle naval

Marine ton patrimoine fout le camp   Toulon ferme son cercle naval






Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...