19 octobre 2018

DLD FREMM BRETAGNE Détachement 33F 2018

DLD FREMM  BRETAGNE Détachement 33F New-York


la FREMM BRETAGNE continue son déploiement de longue durée avec début octobre 2018 une escale à New-York.




Un détachement de la 33F est embarqué sur la FREMM. TàD VSPID en date du 12 septembre 2018. La Flottille recrée le 8 décembre 2011 à l'arrivée des caïmans marine arme notamment les FREMM.



TàD VSPID 11287 en date du 12 septembre 2018



André Malraux DRASSM Ministère de la Culture recherches archéologiques subaquatiques sous-marines

André Malraux 


 Ce navire, doté des dernières technologies et respectueux de l'environnement, est destiné à servir de support de plongée humaine et robotisée pour des campagnes de protection des biens culturels maritimes français et de recherches en archéologie sous-marine (prospections, expertises, fouilles).

Le navire contribuera à la recherche scientifique et à "l'action de l'État en mer". 

Le navire contribuera à la recherche scientifique et à "l'action de l'État en mer".




Dans le cadre de l'application du code du Patrimoine, le DRASSM est chargé de mettre en œuvre, en métropole comme en outre-mer, la législation relative aux bien culturels maritimes (BCM) en liaison avec les administrations participant à l'action de l'État en mer (Préfectures maritimes, Direction des affaires maritimes, Douanes...). À ce titre, il inventorie, étudie, protège, conserve et met en valeur le patrimoine archéologique immergé de l'ensemble des eaux marines sous juridiction française.


Il assure une mission de conseil et de contrôle scientifique et technique sur les chantiers archéologiques sous-marins.Il contribue à la formation des archéologues plongeurs à la conduite de fouilles archéologiques : accueil sur les chantiers, ressources du pôle documentaire, co-suivi de masters...


Il gère les collections d'objets archéologiques issus du domaine public maritime et organise leur mise en dépôt auprès des musées.
Le domaine d'intervention du DRASSM est particulièrement vaste puisqu'il recouvre plus de 10 000 km de côtes, dont 5 533 pour la métropole et qu'il s'étend de plein droit depuis la ligne du rivage dite ligne de base, jusqu'à 24 milles des côtes, soit un peu plus de 44 km au large. 



L’application en droit interne des principes juridiques établis par la Convention UNESCO de 2001 sur la protection du patrimoine culturel subaquatique - convention ratifiée le 7 février 2013 par la France - va en outre étendre le champ de compétence du DRASSM à l'intégralité de la zone économique exclusive française, soit plus de 11 millions de km² d'espace maritime 






















sources :


DLD BSAH RHÔNE San Francisco USA Octobre 2018

DLD BSAH RHÔNE San Francisco

Le BASH Rhône continue sa DLD et sa descente vers le sud. Il a quitté Vancouver et la base d'Esquimaux en Colombie Brittanique pour rejoindre San Francisco 




Flamme SAN FRANCISCO CA en date du 09 octobre 2018

Golden Bridge et baie de San Francisco photo Louis Flaux 


Flamme SAN FRANCISCO CA en date du 09 octobre 2018

L'île d'Alcatraz baie de San Francisco photo Louis Flaux 

Merci à P'tit Louis


15 octobre 2018

La Marine à Toulouse

La Marine à Toulouse



Quatre mois après la manifestation, je découvre la présence de la Marine nationale du vendredi 1er juin au dimanche 3 juin 2018. 

L'événement s'affiche en ville depuis plusieurs jours déjà : la marine nationale est en escale à Toulouse.
La ville rose a beau être un peu éloignée des côtes françaises, elle accueillera quand même des marins pendant trois jours à compter de ce vendredi 1er juin.

De nombreuses démonstrations sont prévues au bord de la Garonne au port Viguerie.
Le public pourra notamment découvrir les techniques de combat rapproché des fusiliers marins, le travail des équipes cynophiles de la gendarmerie maritime ou encore les gestes qui sauvent avec le bataillon des marins-pompiers de Marseille.

Pas de timbre à date cette année mais j'ai retrouvé celui de 1992




Lors d'une précédente visite de la marine nationale à Toulouse, en 2017, plus de 250 personnes avaient déposé un dossier de candidature permettant de recruter 125 marins originaires de Toulouse

et puis cette carte postale publicitaire plus ancienne de l'établissement Thierry Sigrand de Toulouse.





Les frères Thiery ouvrent en 1841 leur premier magasin de draps à Saint-Ghislain, sous l'enseigne Thiery frères. Le fils d'un des frères, nommé Eugène développe ensuite l'entreprise familiale en ouvrant de nombreux points de vente en France.

C'est le petit-fils des créateurs, Armand, qui donne son nom à l'enseigne en 1963. En 1968, la société s'associe avec les magasins Sigrand, et l'année suivante, l'enseigne devient Armand Thiery et Sigrand.

La crise du secteur textile dans les années 1970 pousse Armand et son fils Nicolas à céder leur entreprise en 1991 au groupe PPR, qui la revend en 1995 à Biderman qui la recède à la famille Deveaux
.

14 octobre 2018

Escales à l'Ile de Pâques

Escales à l'île de Pâques 


Un adhérent recherche la liste des bateaux de la Marine nationale ayant fait escale à l'Ile de Pâques.... depuis les temps les plus anciens.

contacter louis.haie@wanadoo.fr 

merci


12 octobre 2018

humour dans le carré par DONEC

grandeur et décadence d'une vedette de sauvetage


Salut la compagnie,

Vous connaissez tous le beau magazine que fut « Cols Bleus » qui traînait partout dans les postes ou dans les chambres et que nous feuilletions distraitement. Aujourd’hui les anciens numéros prennent une valeur exceptionnelle car ils racontent notre histoire.







Un ami m’ayant fait cadeau d’une collection des années 80 je les redécouvre avec délectation.



Dans le numéro 1678 du 3 octobre 1981, il y a tout juste 37 ans, un article que vous trouverez en pièce jointe s’intitule « une vedette de sauvetage pour le musée naval de Balaguier ». Il s’agissait de l’ancienne vedette de sauvetage en mer de Cannes « Notre Dame du Bon Port II » destinée à couler des jours heureux dans ce petit coin de paradis.



Malheureusement il n’en fut rien. La négligence coupable des responsables du musée et la ruine de la ville de La Seyne allaient précipiter la dégradation de cette belle machine. Voilà le résultat 30 ans plus tard (photo « Notre Dame du Bon Port »).



La ville de la Seyne, jadis florissante était tombée dans la débine après la fermeture des chantiers navals. Elle n’a pas su ou pu préserver son patrimoine.



Tout cela montre clairement qu’une économie vacillante et en déclin entraîne le malheur de tous. Ce ne sont pas les cris, les vociférations, les manifestations drapeaux en tête et les slogans comminatoires qui peuvent mettre fin à la chute.

Ce sont les sacrifices et les manches retroussées. Bref du sang, de la sueur et des larmes comme dirait le Vieux Lion.

Voilà ce que m’a inspiré cette pauvre embarcation aujourd’hui disparue.

A la semaine prochaine

Donec

RAPPEL : vous avez bien noté que samedi 13 (et non pas vendredi 12 comme annoncé précédemment ) nous nous retrouvons à la salle Neptune sur le port de Saint Jean Cap Ferrat à 17 :00 pour le vernissage de l’exposition "Trait d’Humour "notre rendez -vous avec les dessinateurs de presse. Mais sachez que tout le week-end vous pourrez nous rendre visite.

09 octobre 2018

Ban Quimper-Guengat Plogonnec Finistère Bretagne

BAN Quimper-Guengat 

La base aéronavale de Quimper-Guengat est une ancienne emprise de l'aéronautique navale située sur le territoire de Guengat, au nord-ouest de Quimper, en Bretagne. Elle se situait à proximité de la gare de Guengat, sur la ligne Quimper - Douarnenez, et disposait d'un embranchement particulier.


Créée le 1er juillet 1968, l'EPAN est devenu BAN Quimper le 1er janvier 1974 puis BAN Quimper-Guengat le 21 janvier 1976 et enfin BAN Quimper-Guengat et Entrepôt principal de l'AN en 19871.

En 1998, l'EPAN est transféré sur la BAN Lann-Bihoué et la BAN Quimper-Guengat est dissoute. 



Les bâtiments sont acquis par Quimper Communauté en 19992 qui transforme la BAN en zone d'activité (ZA de la Base). Les premières entreprises à s'y implanter, en 2000, sont les sociétés Imbretex [archive] (importation et la distribution de vêtements promotionnels et professionnels) et Sofidial [archive] (marquage sur vêtements — sérigraphie — broderie).






L'Entrepot principal (EPAN) a été créé le 1er Juillet 1968 par l'OPE Emile Le Bris, 1er commandant jusqu'en 10/11/ 1970. Devenue BAN Quimper le 1er Janvier 1974, la base est commandée par l'OPE Ferrec, jusqu'au 1er Aôut 1975. Elle prend le nom deBAN Quimper-Guengat le 21 Janvier 1976 (OCE Raoul Golfier), puis et enfin, BAN Quimper-Guengat et Entrepot principal de l'AN en 1987 (OCE Bichat puis CF(S) Mabic). Le commandant est alors placé sous une double tutelle: D'une part; l'Aéro régionale, autorité organique et le Saman, autorité fonctionnelle et opérationnelle. Le CF(S) Jean Kermonnach, (comme ses successeurs) exerce son autorité et ses responsablités sur les 2 entités, BAN et EPAN du 7/9/89 au 13/9/91. Il est nommé par arêté ministériel; il a les pouvoirs de Chef de Corps.

Durant cette période, le CV Bernaudin commande l'aéronautique navale en région martime atlantique tandis que le SAMAN est commandé par le CV André puis le CV Abautret, alors que le CA Deramond commande le Service Central Aéro et que l'ITAN(inspecteur technique de l'AN) est le CA André-déjà cité plus haut-.








Les hommes fixés sur leur avenir Il y a un an, le personnel civil de la base aéronavale de Quimper-Guengat se mettait en grève. Un mouvement né de l'inquiétude face au déménagement de la BAN à Lann-Bihoué. Le 1er janvier 1999, la base sera définitivement libérée par l'armée. Aujourd'hui, le personnel connaît sa future affectation. La base en revanche se cherche un repreneur. La restructuration de l'armée et la nécessaire modernisation de l'entrepôt, où est stocké du matériel militaire pour 10 bases, 45 navires et les porte-avions, a conduit au déménagement de la BAN de Guengat. Un nouvel entrepôt entre en construction à Lann Bihoué. La base compte 200 personnes, dont 46 civils et une quarantaine d'appelés. La suppression du service militaire la touche donc aussi. Fin des incertitudes pour les civils Néanmoins, le commandant de la base a atteint son premier objectif : tout le personnel est fixé sur son avenir. Neuf civils ont déjà quitté la base : départ en retraite, mutation dans d'autres établissements militaires de la région (Lanvéoc, école navale). D'autres suivront la structure à Lorient, dont 19 des 28 employés de l'entrepôt. Pour remplacer les appelés, neuf personnes ont été recrutées : parmi le personnel de la construction navale de Brest, Lorient, Cherbourg, de l'hôpital des armées de Brest... 



Ce nouveau personnel sera en formation jusqu'à l'été 1998. Le personnel militaire connaîtra lui sa future affectation d'ici la fin de semaine. Le site libéré fin octobre 1998 Le calendrier du déménagement est bouclé. Dans l'entrepôt, le stockage se rationnalise pour que le système automatique de gestion soit immédiatement opérationnel à Lorient. « Toute pièce doit pouvoir être immédiatement disponible. Au cours du déménagement, seul un délai de 24 h pourra être toléré » explique le commandant de la base, le capitaine de frégate Le Texier. La première tranche du nouvel entrepôt de 11.000 m2 sera livrée en juillet 1998. Une partie du personnel déménagera en avril pour préparer le terrain à Lorient. Le 30 octobre 1998, le ministère de la Défense ne sera plus propriétaire de la base de Guengat. Pendant les deux derniers mois de 1998, le site sera « nettoyé » : le pylône radio démonté, la chaufferie dégazée, la station d'épuration neutralisée... sauf si un repreneur est intéressé par ces installations. La MRAI (Mission pour la Réalisation des Actifs Immobiliers) a en charge la vente du site de Guengat. 12 hectares, un entrepôt de 12.000 m2, des ateliers, trois villas, des bâtiments de restauration, casernement... Le tout estimé à 19 MF, mais cessible par lots. « Une quinzaine de visites ont déjà été organisées pour des entreprises et des institutions » explique le capitaine de frégate Le Texier. Il ne voudrait pas laisser une base vide. L'impact du départ de la base n'est pas énorme pour la petite commune de Guengat. Même si elle perdra une partie de ses dotations financières, proportionnelles au nombre d'habitants. Cependant, la perspective de 12 hectares à l'abandon inquiète aussi Yves Dagorn, le maire de Guengat. Le capitaine de frégate Le Texier, commandant de la base aéronavale de Quimper-Guengat, a déjà accueilli une quinzaine de visites pour la reprise du site.

sources  : Anciens Cols bleus 

https://www.letelegramme.fr/ar/viewarticle1024.php?aaaammjj=19970909&article=2566086&type=ar
http://www.anciens-cols-bleus.net/t11992p20-divers-b-a-n-ban-quimper-guengat-ou-gwengat#600218

http://envelopmer.blogspot.com/2013/12/base-aeronautique-navale-de-quimper.html

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...