04 juillet 2018

Goélette ETOILE Tall ships race 2018 Stavanger pétrole musée plate-forme

Goélette ETOILE Tall Ships Race 


La goélette ETOILE quitte Fécamp pour rejoindre le départ de 2018 de la tall Ships Race à Sunderland. Le courrier certainement déposé à Fécamp est passé par le centre de traitement du courrier de Saint-Etienne du Rouvray


Code ROC: 25316A Rouen Madrillet Ctc Centre de traitement du courrier
Rue Isaac Newton  76800 SAINT ETIENNE DU ROUVRAY 02-07-2018


Les Tall Ships Races ont lieu pendant les mois d'été. Jusqu'à deux régates peuvent être organisées chaque année - en général en fin d' été, parfois au printemps. 

Cette année sera l'occasion pour l'Etoile de découvrir le Royaume-Uni, le Danemark, la Norvège et les Pays-Bas.




Je vais vous parler aujourd'hui de Norvège, de Stavanger et de l'exploitation du pétrole car l'Etoile pour rejoindre STAVANGER, devra passer au milieu des champs pétroliers off-shore. 

La Norvège est connue pour ses fjords photo (c) JM Bergougniou 

STAVANGER

La ville est liée à l'activité pétrolière et possède un magnifique musée retraçant l'histoire du pétrole et de son exploitation.

photo (c) JM Bergougniou 


La région de Stavanger possède de nombreux sites pittoresques, parmi eux le Lysefjord, la plage Sola et le célèbre Preikestolen (rocher de la Chaire). Preikestolen est situé 604 mètres d'altitude et c'est l'attraction la plus visitée du comté de Rogaland



le Musée norvégien du pétrole 

Dans le port de Stavanger une grande plate-forme de forage semble attendre d'être remorquée en mer.  Elle restera à quai... c'est le musée norvégien du pétrole..

photo (c) JM Bergougniou 
Le musée retrace l'histoire du pétrole du norvégien et une rapide présentation de son exploitation en Mer du Nord. Il faut remonter 500 millions d'années pour comprendre son histoire... En route pour le plateau continental.


les produits à base de pétrole photo (c) JM Bergougniou 
Le pétrole a modifié l'économie norvégienne. Le pétrole est présent partout, dans tous les secteurs de l'économie. La Norvège a fait des choix dans sa gestion de la ressource.


les déchets à base de pétrole photo (c) JM Bergougniou 
Mais le pétrole est aussi présent dans tous les déchets et les détritus 


Combien de temps encore pourrons-nous abreuver nos voitures aux pompes à essence?


Pompe à essence photo (c) JM Bergougniou 

De la terre à la mer

les nombreuses maquettes présentées expliquent l'évolution de l'exploitation, les techniques employées



maquette de plate-forme photo (c) JM Bergougniou 
Comment forer la roche? comment atteindre les nappes? Les moyens de forage y sont présentés avec entre autres des trépans.


Trépans photo (c) JM Bergougniou 
Les maquettes se succèdent de Troll A à Statfjord B.


exploitation et base vie photo (c) JM Bergougniou 
Avec seulement 4,9 millions d’habitants répartis sur un vaste territoire tout en longueur, la Norvège a su développer un modèle énergétique unique en Europe.
Le pays a su compter sur la disponibilité d’une énergie hydraulique fournissant la quasi-totalité de son électricité à bas coût. La découverte dans la seconde moitié du XXe siècle d’importants gisements de pétrole et de gaz en mer du Nord assure à la Norvège une indépendance énergétique telle que le pays devient le troisième exportateur d’énergie dans le monde, après la Russie et l’Arabie Saoudite.


les bateaux spécifiques photo (c) JM Bergougniou 
Le développement pétrolier de la Norvège commence réellement en 1969 avec la découverte par la compagnie Phillips Petroleum du gigantesque gisement Ekofisk, à 320 km au sud-ouest de Stavanger. 
Il demeure aujourd’hui le gisement le plus important en mer du Nord. La compagnie norvégienne Statoil est créée en 1972.


Plate-forme photo (c) JM Bergougniou 
La prospérité du pays est devenue largement dépendante des revenus de l’industrie du pétrole. Malgré un niveau de vie comptant parmi les plus élevés du monde, la Norvège s’inquiète du moment où les réserves de gaz naturel et de pétrole commenceront à s’épuiser. C’est pourquoi le gouvernement crée en 1990 un fonds souverain pétrolier, géré par la banque centrale norvégienne, qui reçoit l’ensemble des rentrées d’argent liées au pétrole. Il est le premier fonds souverain au monde.


plate-forme photo (c) JM Bergougniou

Ekofisk Le gisement possède des réserves ultimes de 3,3 Gbbl de pétrole et 180 Gm3 de gaz naturel, dont les deux tiers sont déjà extraits. La mise en place d'une exploitation par injection d'eau exceptionnellement réussie prolongea la durée de vie du gisement.


plate-forme photo (c) JM Bergougniou 


A vendre en 2011

"Plate-forme en bon état à vendre : vingt chambres, vue panoramique sur la mer, espace généreux pour hélicoptère" : la plateforme pétrolière Huldra, en plein cœur de la mer du Nord, cherche preneur.
Pour se défaire de l'encombrante installation bientôt rendue superflue par l'épuisement du gisement qu'elle exploite, le groupe pétrolier norvégien Statoil a mis en vente Huldra mardi 18 octobre en parodiant une annonce immobilière.
https://www.lemonde.fr/economie/article/2011/10/18/un-groupe-petrolier-norvegien-met-en-vente-une-plateforme-en-mer-du-nord_1589882_3234.html


Stril Vaut  Supply ships photo (c) JM Bergougniou 


Dans la brochure illustrée postée sur son site, Statoil précise avec humour que la plate-forme ne dispose pas de place de parking. "Pour s'y rendre : prendre le bateau, à l'ouest de Bergen, direction la haute mer", peut-on y lire.
La mise à prix est de 1 couronne symbolique (13 centimes d'euro) mais il reviendra au futur propriétaire de couvrir les coûts de déplacement. De conception assez récente puisqu'elle est entrée en exploitation en 2001, Huldra pourrait intéresser d'autres compagnies pétrolières, selon Statoil, qui n'a toutefois pas exclu d'autres usages.
Le démantèlement des immenses plates-formes offshore est un casse-tête pour l'industrie pétrolière, notamment en raison des contraintes environnementales entourant ces opérations.
bras articulé pour travaux sous-marins photo (c) JM Bergougniou 


Le choix d'un type de plates-formes se fait en fonction de son rôle et de l'environnement (profondeur d'eau et de forage, conditions marines...).

Une plate-forme est généralement composée de deux parties distinctes :
les « topsides » (partie utile en surface), constituée de modules préfabriqués ;
la structure porteuse : partie servant à maintenir la partie utile au-dessus de l'eau, réalisée en treillis tubulaire métallique, (jacket) ou constituée de colonnes en béton.



supply-ship photo (c) JM Bergougniou 
Pour en savoir plus sur les plates-formes

Musée norvégien du pétrole Stavanger


CIN Querqueville Marine nationale centre instruction navale caserne Dixmude rade Cherbourg fort

CIN Querqueville 

La rade de Cherbourg est la seconde plus grande rade artificielle du monde après celle de Ras Laffan (Qatar), avec une superficie d'environ 1 500 hectares.
Elle a été commencée en 1783 ; la digue centrale a été achevée en 1853, et elle est pourvue de trois forts en 1860. La digue de l'Est a été commencée en 1890 et achevée en 1895. Elle est construite à 4 km de la côte, la digue du large mesure 3 640 m, avec une largeur moyenne de 100 m à sa base et 12 m à son sommet, et une hauteur de 27 m. L'ensemble des trois digues fait plus de 6 kilomètres.
L'ouverture de la passe de l'Est est de 700 mètres, celle de la passe de l'Ouest de 1,1 km. Sa profondeur maximale est de 13 mètres à marée basse.



Elle est bordée au Nord par la mer, à l'Est par le fort de Querqueville et la rade de Cherbourg, au Sud par le village de Querqueville et à l'Ouest par des terrains herbeux.



Situé au couchant du musoir Ouest de la digue, sa construction est décidée en 1786 et il est commencé en 1787. On peut évaluer à 3 000 000 francs la dépense totale que cet ouvrage aura occasionnée. Élément important du système défensif de la rade, il devait défendre la passe Ouest, point de passage principal des navires.À l'origine, il devait avoir trois étages de feux, comme l'Ile-Pelée, mais tout s'est borné à une batterie circulaire voûtée et casematée, pouvant recevoir 50 canons. Cette batterie est surmontée d'une batterie à ciel ouvert, destinée surtout à recevoir des mortiers de gros calibre.Seul l'hémicycle à 53 casemates fut achevé en 1795 selon les plans d'origine. Chaque emplacement devait recevoir un canon tirant à boulets rouges des projectiles de 48 livres (environ 22,5 kg). Un four à boulets était initialement prévu, mais il semble n'avoir jamais été construit. Le fort n'a pas été achevé car il s'est avéré qu'à la suite de la découverte tardive de hauts fonds jusqu'à environ 1 km du rivage, les navires étaient obligés de passer à distance du fort hors de portée des canons de l'époque. 
Ultime vestige de l'armement du fort, une tourelle de char Renault R35 fut installée en 1940 par les Allemands à l'extrémité de l'aile Ouest du fort pour battre l'anse de Nacqueville. C'est l'une des rares encore en place sur le grand nombre dont était doté le Mur de l'Atlantique. Le site du fort est vendu en septembre 2013 à des investisseurs privés pour la somme de 50 000 €, la commune de Querqueville n'ayant pas les moyens pour exercer son droit de préemption. Un montant de 20 000 000 € est annoncé pour la réhabilitation et la transformation du site.

La caserne Dixmude 

est une ancienne caserne de Querqueville à proximité du fort.

Elle est d'abord connue comme la « caserne du Polygone de Querqueville ».




Sa construction commence en 1895, sur ordre du ministère de la Guerre, pour accueillir les troupes coloniales.

Elle est composée d'une trentaine de petits bâtiments formant un rectangle autour d'une cour centrale.



Pendant la Première Guerre mondiale, elle sert d'hôpital complémentaire.

En 1920, elle est cédée à la Marine nationale afin de recevoir les recrues du Premier dépôt et prend le nom de « Caserne Dixmude ».



En 1940, elle est un des derniers bastions à résister à l'avancée des troupes allemandes.

En 1943, la caserne est utilisée comme « camp d'israélites » pour des prisonniers en attente de transfert vers Aurigny. 

Le 12 août, 300 juifs y séjournent, dont l'avocat Moro de Giafferi et un membre de la famille Rothschild. Le camp cesse d'exister en octobre 1943.




À partir de fin 1945, elle abrite l'École des marins-électriciens et de sécurité de Cherbourg.


Elle s'étend sur environ 40 hectares.

Le Centre d'Instruction Naval Querqueville

La décision de la créer est prise en Conseil des ministres en 1970.



Les travaux commencent en 1973. La première pierre est posée le 5 mai.




Le Centre accueille ses premiers élèves le 1er septembre 1975.





L'inauguration officielle n'a lieu que le 27 avril 1976 par le général Marcel Bigeard, secrétaire d'État à la Défense.





Ce centre regroupe alors, outre le Centre de formation maritime (CFM), l’École des électrotechniciens et l’École de sécurité (anciennement École des marins-électriciens et de sécurité), ainsi que le Centre de formation du personnel féminin de la Marine (CFPFM).





Le CIN ferme définitivement ses portes le 1er septembre 2002. L’École des fourriers prend sa place et ouvre le lendemain.






















03 juillet 2018

Goélette Etoile Fécamp 40 ans de parrainage

Goélette Etoile : Fécamp 40 ans de parrainage 



La goélette Étoile retrouve ce matin sa ville natale Fécamp. Elle accostera, vers 11 h, quai Bérigny ! Le navire école revient pour y être célébré, et pour le 40e anniversaire de l’Acte de parrainage la liant à Fécamp, acte signé le 11 juin 1978

Flambant neuve, la goélette vient de passer dans les mains expertes des charpentiers de marine. Dans l’ancienne base sous-marine de Brest, l’Étoile, bâtiment de la Marine Nationale, a été en arrêt technique de novembre 2017 à mai dernier, pour un chantier d’une ampleur jamais vue depuis 1975. Le remplacement de différentes pièces de charpente du voilier (dont ses préceintes et bordés renforcés composant la ceinture extérieure de la coque longue de 37,50 m, et large de 7,40m), a constitué le plus gros du travail.

Petit rappel. 


L’Étoile et son sister-ship la Belle Pouleont été construites à Fécamp en 1932, aux chantiers navals de Normandie, deux unités identiques sur la base des goélettes du type « paimpolaise » pratiquant la pêche à la morue sur les bancs de Terre-Neuve jusqu’en 1935. 

Quinzième bâtiment ce nom l’Étoile (A 649) a été lancée peu après la Belle Poule (A 650), 4e du nom. Basées à Brest, les deux goélettes participent à la formation et à l’entraînement des officiers et officiers mariniers chefs du quart, des élèves des différentes écoles d’équipage de la Marine Nationale. À ce titre, elles sont aussi au rendez-vous des différentes manifestations nautiques, en France ou à l’étranger. Surtout, elles sont la fierté de Fécamp, port qui les a vues naître !



Arrivée vendredi dernier dans le port qui l’a vu naître, Fécamp, pour y célébrer les quarante années de son parrainage par la Ville. La goélette Étoile et son équipage, commandé par le lieutenant de vaisseau Levrel, ont été fêtés par la cité des Terre-Neuvas. C’était aussi l’occasion pour Patrick Pollet, président de l’Afage (Association Fécampoise des Amis des Goélettes Éole), de souffler les dix bougies de l’association. L’Afage, qui œuvre au maintien des amitiés entre la Marine nationale et la Ville de Fécamp ! Le navire école repart cet après-midi à 15 h, prenant la mer en direction de Boulogne-sur-Mer avec à son bord cinq élèves, invités, du lycée maritime Anita-Conti.


Hier midi, militaires, élus, représentants d’associations maritimes, et amis de L’Étoile, et Belle Poule, son sistership, se sont retrouvés à l’hôtel de ville pour le traditionnel échange de cadeaux, précédé de quelques mots de chacun des protagonistes. Marie-Agnès Poussier-Winsback, maire de Fécamp, et Dimitri Levrel, commandant de L’Étoile, ont clos cette réunion en apposant leur signature sur une charte marquant le 40e anniversaire du parrainage.

sources :


30 juin 2018

HAO Pacifique CEP Tuamotu atoll Polynésie

HAO Direction du port Polynésie 

Vue aérienne de l’atoll de Hao et des installations du CEP.
Été 1966, photographe Antoine, copyright ECPAD

Hao, encore appelée « île de l’Arc » ou « île de la Harpe » est un atoll situé au centre-est de l'archipel des Tuamotu en Polynésie française. Il constitue le quatrième plus grand atoll de Polynésie, après Rangiroa, Fakarava et Makemo et son lagon couvre une surface de 720 km2.

se doter de l’arme atomique afin de dissuader les ennemis d’une attaque éventuelle,


Au cœur de cette course, la France lance de nombreux travaux de recherche afin de maîtriser au plus vite l’énergie atomique dans les domaines militaire et civil. En 1954 débutent les travaux du premier centre de recherche établi en Algérie, alors territoire français, et plus particulièrement dans le Sahara, sur les sites de Reggane (le premier tir, « Gerboise bleue » est lancé le 13 février 1960) et d’In Ecker (premier essai souterrain en novembre 1961). Dès 1958, une alternative au site d’expérimentation du Sahara est recherchée et, en 1961, trois possibilités s’offrent aux ministères concernés : la Polynésie, la Réunion et la Nouvelle-Calédonie. Le début de l’année 1962 sonnant la fin du conflit de décolonisation et de l’Algérie française, il devient urgent de choisir un site d’expérimentation et en juillet 1962, le conseil de défense décide de l’établir en Polynésie française.


La réalisation du projet débute en mai 1963, par le débarquement du premier détachement du génie à Mururoa (ou Moruroa), suivi trois mois plus tard des légionnaires du 5e GMP (groupement mixte de Polynésie). En trois ans, ces militaires participent à l’érection d’un gigantesque centre d’expérimentation, permettant d’abriter des centres de recherche et des laboratoires de pointe, mais aussi capable d’accueillir toute une nouvelle population de travailleurs civils et militaires. Ces travaux colossaux sont soutenus par la contribution essentielle de la Marine nationale qui envoie cent bâtiments assurer la logistique et l’intendance dans les différents sites. La création en mai 1966 du GOEN, le groupement opérationnel des essais nucléaires, marque officiellement la mise en service du CEP (Centre d’expérimentation du Pacifique). Parallèlement, les essais de poursuivent dans la région saharienne du Hoggar jusqu’en 1966, suite à une clause secrète prévue dans les accords d’Evian instaurant l’indépendance de l’Algérie (1962).

 Hoa Base avancée 


À 900 km à l’est de Tahiti se trouve l’atoll de Hao, appelé également « l’île de l’Arc » en raison de sa forme : une couronne de 130 km de long pour une largeur allant de 10 à 140 mètres. Au cœur de cet arc, un lagon, accessible par une passe. L’atoll a été choisi par la DirCEN pour servir de base avancée aux sites de lancement de Mururoa et Fangataufa.





Les travaux sur cet atoll débutent en septembre 1964 par l’infrastructure aéronautique, c'est- à-dire les quais de débarquement et la piste d’aviation de 3 420 mètres, puis quelques pavillons de la base vie pour accueillir les personnels. Des lieux d’habitation sont construits pour 2 500 personnes, civiles et militaires, sur une bande de 17 km recouverte de cocotiers. Enfin, de nombreux laboratoires, des ateliers et également un hôpital sont installés.



L’unique village de Hao, Otepa, est alors habité par 194 Polynésiens. Ils seront rejoints par 2 500 employés du CEP sur cette base.



La base avancée d’Hao constitue le lien entre Tahiti et les sites de tir et permet également d’assurer plus de sécurité à Papeete en évitant le transfert et les manipulations de matériels et d’engins nucléaires.





Pour assurer la construction du CEP, la participation de la Marine nationale fut essentielle. Plus de cent bâtiments sont mobilisés en Polynésie dans la première moitié des années soixante pour de nombreuses réalisations d’infrastructures : le quartier général de Papeete, la base aérienne 185 avancée de Hao et les chantiers sur les atolls de Mururoa et Fangataufa. Le bâtiment emblématique du CEP demeure le croiseur anti-aérien De Grasse. Des travaux d’aménagement sont effectués sur le bâtiment afin d’en réduire l’armement et d’en augmenter la capacité d’accueil : cent-vingt logements y sont réalisés pour l’état-major du GOEN (groupement opérationnel des expérimentations nucléaires).







sources :

http://archives.ecpad.fr/wp-content/uploads/2013/08/2013_CEP_Dossier.pdf


https://la1ere.francetvinfo.fr/polynesie/hao-derniers-militaires-sont-partis-411091.html

BULLETIN N°25 en date du 25 juin 2018 union des officiers de réserve de l'Océan Indien

UNION DES OFFICIERS DE RESERVE DE L’OCÉAN INDIEN pout tout savoir et rien payer...

BULLETIN N°25 en date du 25 juin 2018

je viens de découvrir ce site vraiment interessant et traitant les informations inter-armes. Vous pouvez en avoir pour la soirée...

https://www.anocr73.org/images/Site/Documents/2018-26/Bulletin_n25_2018.pdf



Mayotte Pamanzi brigade nautique photo JM Bergougniou



Bougainvilliers photo JM Bergougniou

Déba Mayotte  photo JM Bergougniou

Cimetière Saint-Denis La Réunion photo JM Bergougniou

Mayotte Pamanzi base navale photo JM Bergougniou

Mahé de la Bourdonnais Saint-Denis La Réunion  photo JM Bergougniou

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...