15 avril 2016

Gazette N° 125 Section Aéronautique Navale du 15 Avril 2016 Marcophilie navale

Gazette N° 125 Section Aéronautique Navale 
 du 15 Avril 2016 




Décès de notre trésorier Louis POURCHIER

photo (c) JM Bergougniou
Notre ami, Louis POURCHIER nous a quitté, pour moi c’est très triste, j’avais beaucoup de relations avec lui, les comptes de la Section Aéronautique Navale étant gérés par le trésorier de l’Association. C’est un bon ami qui est parti, en plus c’est un élément important dans notre Association et vous le savez comme moi que notre Président National veille précieusement sur le suivi du budget de La Marcophilie Navale.


Dès que notre Président m’a informé du décès de Louis j’ai réfléchi et informé l’Amiral ARATA que je repiquais pour un an, ce qui allait permettre de préparer sereinement l’avenir de la Section A.N.



Les affaires en cours

En juin remplacement à Cherbourg de la 32 F par la 33 F 


photo (c) JM Bergougniou


En juin la 32 F sera dissoute

En mai manifestation à Landivisiau au sujet du Super-Etendard


photo (c) JM Bergougniou



photo (c) JM Bergougniou


Le 13 mai arrivée d’un Falcon nouvelle génération à la 24 F de Lann Bihoué

Etude d’un timbre pour la Base de Lann-Bihoué



La Section Marine Ecole d’ISTRES





Un ami Brestois de la Section A.N. l’avait donné une enveloppe concernant le C.E.P.A. d’ISTRES. Le haut de l’enveloppe a été imprimé par mon ami et dessous l’on a le tampon administratif du service Marine établi à ISTRES


Vous avez tous reçu le tampon ici à gauche, vous vous êtes certainement demandé d’où il venait. Vous avez maintenant la réponse, le C.E.P.A. est installé sur la base d’Istres. J’avais rendez-vous lundi après midi sur la Base de Lann-Bihoué avec l’Officier chargé ce Communication Je lui ai posé la question sur la définition de C.E.P.A. pas de réponse. Vous aurez certainement la réponse si vous êtes sage.












J’ai pris contact avec deux autres Section Marine Ecole de Cognac et de Dax, réponse dans une prochaine Gazette


Bien amicalement

Humour dans le carré par Donec Avril 2016: il y a 70 ans la loi Marthe Richard

il y a 70 ans la loi Marthe Richard



Bonjour à tous,

Nous avons un faible dans notre aimable pays pour les commémorations diverses et variées. Il en est une ces jours ci qui me tient à cœur. Le 13 avril 1946 est promulguée la loi dite « Marthe Richard » qui signe la mort des maisons closes et autres lieux de plaisir. Il s’agit là d’un drame dont nous n’avons pas à être fiers. Je ne reviendrai pas sur la belle Marthe (un peu décatie en 1946) personnage éminemment Balzacien pour vous lire un petit poème signé Bernard Dimey qui résume bien la situation.

LE REGRET DES BORDELS

La conn’rie qu’on a faite en verrouillant les claques,

En balançant du coup tout’s les souris dehors !

Ca méritait d’autor un’ volée d’pair’s de claques ;

Mais, comm’ disait papa tous les cons sont pas morts,

Voilà des pauv’s gamines qui vivaient en famille,

Qui r’cevaient vaill’ que vaille un peu d’éducation

Et qui sont désormais sans soutien, les pauv’s filles

La conn’rie qu’on à faite en fermant les boxons !

Mon père il s’en payait de la lanterne rouge,

Il y cassait sa s’maine et tous les sam’dis soir

Ma pauv’mère le cherchait tout’ la nuit dans les bouges ;

Lui ronflait au bordel, toujours complèt’ment noir.

Les putains le bordaient, lui faisait des papouilles,

Soit des trucs inédits, soit des spécialités,

Moi j’osais pas y aller, j’avais bien trop la trouille

Et quand l’courage m’est v’nu, ils étaient supprimés



La conn’rie qu’on a faite en fermant les bordels,

En obligeant l’brav’ monde à baiser n’importe où !

Ma tante en avait un, je n’parle pas pour elle,

Vu qu’la vache en claquant m’a rien laissé du tout,

Mais vraiment, quand je pense au destin d’mes frangines

Qui douées comme ell’s étaient s’raient sous maîtresses maint’nant

Je m’dis qu’la république est bien dans la débine

Et qu’on a mis l’bordel rien qu’en les supprimant.


A la semaine prochaine



Donec

FLF GUEPRATTE en escale à Mascate Mission Jeanne d'Arc 2016 match rugby

FLF GUEPRATTE en escale à Mascate Mission Jeanne d'Arc 2016

JEANNE D’ARC FACE AUX « PIRATES DE 

MAsCATE » !







Mascate (en arabe مسقط Masqaṭ), ou Muscat, est la capitale du sultanat d'Oman. Le très ancien petit port a grandi. La petite ville (la vieille ville de Mascate ne contient que 25 000 habitants) est à l'origine de la plus grande agglomération du pays, avec une population dans l'aire métropolitaine de 1 090 797 habitants en 2008.

Cohésion et combativité étaient au rendez-vous ce mercredi soir 6 avril au Muscat Football Rugby Club de la capitale du Sultanat d’Oman.



A l’occasion de l’escale du BPC « Tonnerre » et de la frégate légère furtive « Guépratte » à Mascate, l’équipe du Groupe amphibie a joué un match contre les « Pirates de Mascate », l’équipe d’amateurs de rugby vivant en Oman. Ces derniers ont pour habitude de jouer régulièrement avec les marines étrangères de passage dans le port de Mascate.



Les pirates omanais l’ont remporté à 5 contre 3, à l’issue d’un match joué dans une ambiance festive et cordiale. « Ce match restera un bon souvenir de notre passage en Oman !» s’exclame un des joueurs de l’équipe du Groupe Jeanne d’Arc.





A l’issue du match, les joueurs des deux équipes ont échangés maillots omanais ou patch des bâtiments, souvenirs de ce moment sportif.


« Nous ne sommes pas nombreux à être jeunes expatriés en Oman, nous sommes donc enthousiastes de pouvoir organiser ce genre d’évènement avec la marine française et de partager un bon moment de fraternité sportive avec les marins ! » confie Gauthier P., jeune expatrié français, joueur dans l’équipe de Mascate, ayant œuvré à l’organisation de cette rencontre.

ASP L. RD / Crédits photos : FOSIT – Marine nationale







https://www.facebook.com/MuscatRFC


14 avril 2016

BPC TONNERRE en escale au sultanat d'Oman Mascate mission Jeanne d'Arc formation Marine nationale 2016

BPC TONNERRE en escale au sultanat d'Oman Mascate


Un mois après le départ de Toulon le groupe amphibie Jeanne d’Arc navigue dans le golfe d’Aden. L’École d’application des officiers de marine (EAOM) est intégrée aux deux bâtiments du groupe en déploiement opérationnel. Pour les officiers-élèves, cela marque la fin de la première période de la mission de formation, tournée vers la pratique et l’intégration dans l’équipage.




 À bord, les journées sont découpées en périodes que l’on appelle des « quarts ». Nous commençons donc par une période d’apprentissage des fondamentaux pour être capables de « faire du quart », c’est-à-dire participer aux tours de services sur les navires qui nous accueillent : le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre et son escorteur la frégate type La Fayette (FLF) Guépratte.
Après une formation majoritairement théorique à l’École Navale, nous étions très impatients d’embarquer sur des bâtiments de combat et de découvrir de nouveaux horizons. Et nous sommes servis ! A peine sortis des passes de Toulon, nous étions déjà intégrés aux centres névralgiques des bâtiments : en passerelle « navigation », pour la conduite du navire, passerelle « aviation », pour les manœuvres sur le pont d’envol, au central opérations (CO), pour la conduite des opérations, ou encore au poste de commandement « Propulsion » (PC), pour surveiller le fonctionnement « mécanique » du bâtiment….

Le rythme du départ ne s’est jamais relâché. Chaque jour a apporté son lot d’exercices et d’opérations, autant d’opportunités de pratiquer notre métier in situ. Une fois accoutumés au rythme opérationnel de la mission, notre vision académique du métier est devenue plus pragmatique et concrète, notamment grâce aux conseils bienveillants de l’équipage. C’est bien là l’esprit de la « Jeanne d’Arc » !
Cette première période de mission nous a permis de réaliser à quel point il est complexe de conduire plusieurs manœuvres simultanément et combien le quotidien d’un jeune officier est exigeant. Nous mesurons maintenant pleinement les attentes de nos instructeurs. Nous avons la chance d’être acteurs de chaque opération du groupe : appontage et décollage d’hélicoptère, ravitaillement à la mer, débarquement amphibie, tirs d’artillerie …. Notre promotion a à cœur de relever les défis qui se présentent à elle !


Au départ de Djibouti, une nouvelle période pédagogique commence. L’escouade qui a fait la première traversée sur l’escorteur embarque sur le Tonnerre, tandis qu’un autre groupe la remplace à bord. Pour les équipages, ce sont de nouveaux visages, de nouveaux élèves à former. Il s’agit de nous adapter rapidement à un nouvel environnement de vie et de travail. Un beau défi professionnel et humain qui nous prépare très efficacement à notre métier d’officier de marine ! »


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sources : 

http://jdb.colsbleus.fr/fan/articles/10626

http://jdb.colsbleus.fr/fan/articles/10611

http://jdb.colsbleus.fr/fan/articles/10636

13 avril 2016

Patrouilleur hauturier L'ADROIT en escale à Rio

Patrouilleur hauturier L'ADROIT en escale à Rio  04 février 2016


Cliquez sur l'image ci-dessous




la  chanson originelle est une chanson triste... Le petit village de Madureira évoqué par Dario Moreno est un quartier populaire de Rio situé au nord de la ville.  Mais Madureira pleure... Les auteurs Carvalhinho et Julio Monteiro pleure la mort de l'actrice et propriétaire du théâtre Madureira Star : Zaquia Jorge.  Au Brésil le rythme de la samba accompagne le deuil, le carnaval et le football.


Si tu vas à Rio
N'oublie pas de monter là-haut
Dans un petit village
Caché sous les fleurs sauvages
Sur le versant d'un coteau
C'est à Madureira
Tu verras les Cariocas
Sortir des maisonnettes
Pour s'en aller à la fête
A la fête des sambas.


Mission 2016 Janvier mai 2016

Machine à affranchir ROISSY SPID 07-04-16 affranchit à 000,78€

pli posté par le patrouilleur L'Adroit

cachet V SPID 11116 04 FEV. 2016



12 avril 2016

UNC La Baussaine Randonnée pédestre canal d'Ille et Rance Tinténiac 17 avril 2016

UNC La Baussaine  Randonnée pédestre canal d'Ille et Rance Tinténiac 17 avril 2016


http://www.dailymotion.com/video/xikw8t_les-godillots_music

L’Union Nationale des Combattants
Opex Soldats de France de la Baussaine
Vous invite à la rejoindre sur la commune de Tinténiac pour
une Balade familiale exécutée chacun à son rythme, sur un
terrain plat, sans aucune difficulté notoire ayant pour
objectifs.

a-La Santé
Se référant aux conseils avisés des hommes de Science. Il
arrive un âge où pour éviter les ratés de moteur et
l’encrassage des durites, il devient nécessaire de remuer.

b-Le cadre de l’Union des Combattants
Le but, échanger, resserrer les liens entre les Anciens et
les Jeunes.
Apprendre à nous connaître et passer un bon moment en toute
convivialité.
Ce n’est pas une course, il ni a pas de classement.


Plusieurs parcours sont proposés, avec des départs horaires
échelonnés, de façon à se retrouver à l’arrivée

pratiquement dans le même temps pour le verre de l’Amitié.







Les boucles des balades sont les suivantes :

Départ 08h00 pour les pros : Environ 20 Km 600

Départ 09h00 pour les sportifs : Environ 12 k 400

Départ 09h45 pour les habitués : Environ 8 km 800

Départ 10h00 : pour une balade : Environ 3 km 400

En ce qui concerne les inscriptions :

Président Raoul LE GUERHIER : Tél : 06 61 94 43 06


Secrétaire Jacques PERROQUIN : Tél : 06 67 90 77 16


Participation 3€ par adulte

Gratuite pour les enfants accompagnés.



La date à été fixée au dimanche matin
17 AVRIL 2016 sur le quai d’Ille et Rance à Tinténiac 35



10 avril 2016

1816 - 2016 200 ans que Saint-Pierre et Miquelon sont en France

1816 - 2016 200 ans que Saint-Pierre et Miquelon sont en France






Les îles Saint-Pierre et Miquelon sont occupées depuis très longtemps puisque, lors de son passage en juin 1536, Jacques Cartier y trouva des navires de France et de Bretagne. D'abord base de pêche saisonnière pour les pêcheurs de morue qui arrivaient au printemps puis repartaient à l'automne, l'archipel accueillit bientôt des habitants permanents. Un recensement, ordonné en 1687 par le Gouverneur de Plaisance, fit état, à saint-Pierre de trois hommes, trois femmes et soixante-six engagés (à la pêche), une église et quatre maisons. En 1693 il y avait dix habitations à Saint-Pierre qui employaient deux cents personnes.



Malheureusement, l'animosité et les guerres entre la France et l'Angleterre soumirent cette jeune population à des raids, expulsions et pillages aussi douloureux que fréquents : 1690, 1713, 1778, 1793 sont quelques-unes des années noires que vécut la population des îles.

En 1814, suite au Traité de Paris et à la fin des guerres napoléoniennes, la France reprit possession des Îles Saint-Pierre et Miquelon. Le retour s'effectua au printemps 1816, lorsque le navire du commandant Bourrilhon arriva en rade de Saint-Pierre. Le 22 juin 1816, l'Angleterre cédait officiellement l'archipel à la France. Les nouveaux arrivés l'ignoraient mais, cette fois, ils étaient là pour rester.



Le retour des habitants à Saint-Pierre et à Miquelon, en 1816, marqua le début d'une nouvelle ère pour l'archipel. Il fallut, dans des conditions particulièrement difficiles, reconstruire ce que le temps, les incendies et les pillages avaient détruit. Maisons, établissements, quais, jardins et rues tout était à refaire. Nos ancêtres y mirent un tel zèle qu'en 1820 Miquelon avait son église et terminait la construction de sa première goélette et que Saint-Pierre disposait d'une cale, d'une église et d'un hôpital.

En marquant le bicentenaire de la rétrocession de l'archipel à la France, la population de l'archipel tient à célébrer son histoire, à manifester son attachement à la France et à préparer le terrain pour ceux et celles qui, en 2066, voudront à leur tour célébrer cet anniversaire.


Le 22 juin 1816, L'Angleterre cédait officiellement Saint-Pierre-et-Miquelon à la France. Depuis, l'archipel est l'unique terre de France en Amérique du Nord, à quelques miles nautiques seulement des imposants voisins que sont le Canada et les États-Unis. Le tricolore y flotte fièrement, les gendarmes assurent la sécurité des habitants et c'est l'euro qui y a cours. Si ce coin de France est un tout petit territoire, l'attachement à la patrie y est grand. Les institutions de l'archipel sont françaises et des élus locaux représentent les intérêts de Saint-Pierre et Miquelon à l'Assemblée Nationale et au Sénat, entre autres.




En 1964, le premier magazine d'information de l'histoire de la télévision, "Cinq colonnes à la une" consacrait un reportage à l'archipel en s'intéressant aux distractions des jeunes, aux ressources de la pêche à la morue, à la vie touristique,... L'équipe de reportage avait alors rencontré le maire, le secrétaire de la marie de Saint-Pierre et l'unique gendarme de Miquelon. Regardez :

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 Souvenirs Marcophilie navale  Suite au meeting aérien de la BAN Hyères et au congrès de la Marcophilie navale de Toulon, il nous reste des ...