26 juillet 2011

AGASM Section Minerve Brest



Salle du patrimoine sous-marin Fort de Bertheaume Plougonvelin








Du haut de ses 37 mètres, cette sentinelle du bout du monde, offre une vue imprenable sur l'entrée de la rade de Brest. Accessible par une passerelle au-dessus des flots, l'île fortifiée livre ses secrets : le jour, on y découvre son histoire, son architecture, ses accès difficiles. La nuit tombée, le fort s'illumine et raconte ses aventures et ses légendes.

sources AGASM

http://aomr29n.e-monsite.com/rubrique,agasm,850320.html


 L'AGASM regroupe les anciens de tous âges ou grades et de tous types de « bateaux noirs ». Elle a pour but de faire mieux connaître le monde des sous-marins et de contribuer, à son niveau, au rayonnement de la Marine Nationale.





Brest et l’Ile Longue, berceau de la force de dissuasion, méritaient d’être mieux connus du public et, depuis quelques années, nous cherchions un cadre pour présenter les forces sous-marines, exposer des éléments de leur patrimoine, intéresser un public de tous âges.
La mairie de Plougonvelin et l’Office deTourisme nous offrent le cadre du Fort de Bertheaume où, pour la deuxième année, nous pouvons vous y rencontrer.


Lors de cette visite, un corridor vous permet de parcourir l’histoire du sous-marin, de 1800 à nos jours, puis vous pénétrez « à bord d’un SNLE » : le prélèvement de matériels sur des bâtiments en fin de vie a permis de reconstituer quelques uns des postes importants de la conduite de ces sous-marins.


Ainsi découvrez-vous les postes de quart dédiés au pilotage et à la sécurité-plongée du sous-marin, à la conduite de la chaufferie nucléaire et de la propulsion, à la connaissance de l’environnement tactique, à la mise en œuvre de systèmes d’armes très compliqués.
Forts de leur expérience et au travers de commentaires vivants, d’anciens sous-mariniers (du matelot à l’Amiral, selon les jours), vous éveilleront à ce monde peu connu, vous feront partager la vie à bord, tenteront de rendre sensible l’esprit d’équipage qui anime ces SNLE et qui, encore et toujours, reste le moteur de vos guides d’aujourd’hui.
Tout le matériel qui vous sera présenté est confié à notre garde par la Marine Nationale, avec la coopération sans faille de l’Escadrille des SNLE de Brest dont le soutien technique et humain est irremplaçable : celui-ci permet, en effet, de garder vos guides au contact des équipages des sous-marins d’aujourd’hui. 
























25 juillet 2011

Patrouilleur Austral ALBATROS

Patrouilleur Austral Albatros Retour de mission 19 juillet 2011
dernière Patrouille du correspondant TAAF le SM Gisellu



Un grand merci pour le temps passé à traiter nos courriers à bord et aux escales dans les TAAF
Bon vent dans votre nouvelle affectation

Kerguelen  l'arche

Kerguelen Port Couvreux

photos JM Bergougniou

USS SCRANTON

SNA américain en ESCALE à TOULON USS Scranton


USS Scranton (SSN 756)


Le sous-marin USS SCRANTON est le 45eme sous-marin de la classe Los Angeles. C'est le 1çème de la série construit à Newport News en Virginie



commandé le 26 novembre 1984, la quille est posée le 29 août 1986, il est lancé le 3 juillet 1989 et rentre en service actif le 26 janvier 1991


Propulsion system: one nuclear reactor
Propellers: one
Length: 360 feet (109.73 meters)
Beam: 33 feet (10 meters)
Draft: 32,15 feet (9.8 meters)
Displacement: Surfaced: approx. 6,300 tons     Submerged: approx. 7,100 tons
Speed: Surfaced: approx. 15 knots     Submerged: approx. 32 knots
Armament: Tomahawk missiles from 12 VLS-tubes, four 533 mm torpedo Tubes for Mk-48 torpedoes, Harpoon missiles, ability to lay mines
Cost: approx. $900 million
Homeport: Norfolk, Va.
Crew: 13 Officers, 116 Enlisted


 le 19 mars 2011 dans le cadre de l'opération Odyssey Dawn, le sous-marin a tiré des missiles de croisière Tomahawk contre des défenses aériennes lybiennes

 photos JM Bergougniou


http://en.wikipedia.org/wiki/Los_Angeles_class_submarine 

http://navysite.de/ssn/ssn756.htm


http://en.wikipedia.org/wiki/USS_Scranton_(SSN-756)

24 juillet 2011

TOULON sur Mer Var PACA Provence marché rade Marine nationale

Une visite à Toulon





BPC TONNERRE  opération Harmattan 20-07-2011  flamme Toulon CTC sur timbre Toulon (envoi JEF)


Quand on parle de Provence, on pense directement à l'huile d'olive, et publicité aidant à Puget...

http://www.puget.fr/



Puget n'a pas donné son nom qu'à l'huile...  un sculpteur renommé à Marseille et Toulon a porté ce nom


Pierre Puget est né le 16 octobre 1620 à Marseille dans une maison construite par son père située à l'actuel N° 20 de la rue du Puits du denier à l’angle de la rue du Petit Puits dans le quartier populaire du Panier, à proximité de la Vieille Charité. Son père Simon Puget, fils d'un agriculteur aisé Paul Puget dit Paulet, établi sur un vaste domaine agricole situé à l'Estaque près de la vallée de Riaux, quitte l'agriculture et s’installe à Marseille vers 1600 pour y exercer la profession de maître maçon. Simon Puget épouse Marguerite Cauvin qui lui donnera neuf enfants quatre garçons et cinq filles : Jean, l'aîné, puis Gaspard, Anne, Virginie, Jeanne, Marguerite, Constance, Pierre et César. Trois d'entre eux, uniquement des garçons atteindront l'âge adulte : l’aîné Jean né en 1611, Gaspard né en 1605 et enfin Pierre.




photo (c) JM Bergougniou

En 1645, probablement après le décès de sa mère, Pierre rejoint à Toulon son frère Gaspard qui de tailleur de pierres deviendra sculpteur puis architecte. L'amiral Jean Armand de Maillé lui demande de travailler pour l'atelier du maître-sculpture sur boisNicolas Levray chef de l'atelier de décoration à l’arsenal de Toulon : il décore le navire « Le Magnifique » qui après la mort de l'amiral est rebaptisé « La Reine ».




photo (c) JM Bergougniou
Puget rentre en France en 1668 afin d’assurer la direction de l'atelier de sculpture de l'arsenal de Toulon en remplacement de Nicolas Levray. Il n'accepte ce poste qu'après une longue période de négociation. Il indique dans une lettre du 18 janvier 1667 ses exigences qui ne seront acceptées par Colbert qu'en avril 1668.

Il poursuit pour Marseille et Toulon ses projets d'urbanisme. Il entreprend des sculptures destinées au parc de Versailles : statue de Milon de Crotone, bas relief d’Alexandre et Diogène, et statue de Persée délivrant Andromède.

L'indépendance de Puget et ses projets coûteux finissent par exaspérer Colbert qui le licencie en 1679 de l'atelier de l’arsenal de Toulon.

photo (c) JM Bergougniou
Puget apprend la sculpture à Gênes avec Pierre de Cortone et connaît rapidement un immense succès. Sous Louis XIV il sera le seul à pouvoir maintenir la comparaison avec Michel-Ange et Le Bernin. Il réalise son premier chef d’œuvre en 1656 avec le célèbre portail soutenu par deux atlantes réalisé pour l’ancien hôtel de ville de Toulon. Les deux atlantes symbolisent la force et la fatigue : leur geste est celui des portefaix qui débarquent les navires de sacs de céréales et que Puget a pu voir au travail dans le port de Toulon. Il crée une œuvre admirable. « Il tord les muscles et exagère l’effort ; c’est en quoi il est baroque. Inutile d’ajouter qu’il a un métier prodigieux. Ses oeuvres restées à Gênes sont aussi vivantes mais peut être moins puissante de ton. C’est tout de même de la sculpture monumentale de grand style.» Ces atlantes ont été restaurés en 1827 par le sculpteur Hubac. Ils ont été démontés en 1944 et déposés à l'abbaye du Thoronet, puis ont réintégré le quartier du port de Toulon dans le bâtiment reconstruit après la guerre qui abrita le Musée de la Marine de 1962 à 1981 et qui est depuis reconverti en Mairie d'Honneur.

Depuis la Tour Royale le BPC DIXMUDE photo (c) JM Bergougniou


En 1660 il achève l'Hercule terrassant l'hydre de Lerne qui se trouve actuellement au musée de Rouen. Cette statue est également appelée Hercule de Vaudreuil car elle a été sculptée pour le château qui s'y trouve. Elle a été brisée à la Révolution ; les morceaux ont été retrouvés dans un champ en 1884, ce qui a permis sa reconstitution. Cet hercule est représenté portant un coup fatal à l'hydre convulsé.


Monument aux sous-mariniers photo (c) JM Bergougniou
la flotte photo (c) JM Bergougniou
Bathyscaphe photo (c) JM Bergougniou

Dès le début du XVIe siècle, les habitants de Toulon se préoccupèrent vivement de mettre leur ville à l'abri d'une attaque par mer. Et si avec son enceinte fortifiée datant du XIVe siècle, Toulon pouvait se considérer comme à l'abri d'une soudaine attaque venant de la terre, sa rade restait entièrement ouverte aux flottes ennemies. Sur les instances de la province, alarmée par le conseil de ville, le roi Louis XII ordonna, en 1513, la construction à l'entrée du port, d'une fortification en forme de tour pour en défendre l'accès. Appelée primitivement tour Royale, cette fortification fut immédiatement dénommée Grande tour ou Grosse tour par la population, étonnée de ses dimensions.

La Tour Royale photo (c) JM Bergougniou


Par délibération municipale du 16 juillet 1513, le conseil de ville décida que cette tour serait élevée au cap dit de la Manègue, à l'entrée du port, comme le désirait le roi. L'exécution des travaux fut mise sous la direction d'un ingénieur italien de grand mérite, Jean-Antoine de la Porta, qui arriva au port dans les premiers jours de mai 1514. Les travaux furent inaugurés le 14 mai, date des premiers terrassements, par des réjouissances publiques, et se poursuivirent, souvent arrêtés par des difficultés financières, durant dix ans. La Grosse tour fut complètement achevée et armée en mai 1524.



photo (c) JM Bergougniou


Le commandement en était alors confié au triste sire que fut le capitaine Jehan du Mottet, connu pour la lâcheté avec laquelle il la livra aux Impériaux, sans combat, contre 500 écus d'or, lorsque ceux-ci envahirent la Provence en 1524.



photo (c) JM Bergougniou

À partir de 1770, date à laquelle le fort Lamalgue fut terminé, la Grosse tour ne joua plus un grand rôle dans la défense de la rade. La Révolution la transforma en geôle ; de nombreuses victimes furent enfermées et y périrent. Il en fut de même durant la contre-révolution de 1793. 



photo (c) JM Bergougniou
Le 19 mai 1798, Joséphine, se rendit à la Tour pour saluer Bonaparte à son départ pour l'expédition d'Égypte. Si elle fut une agréable prison en 1809 pour l'équipage de la frégate anglaise la Proserpine, capturée sous Sicié le 27 février, c'est plus rudement qu'elle hébergea, pendant la durée du Premier Empire, de nombreux réfractaires qui attendaient leur jugement ou leur départ pour les compagnies de pionniers. En 1825, la chapelle fut supprimée et le petit cimetière désaffecté. Vingt et un canons armaient la Tour en 1844.

photo (c) JM Bergougniou
Durant la guerre franco-allemande de 1870-1871, elle abrita dans ses souterrains l'or de la Banque de France. On abandonna en 1900 le projet d'y installer une batterie de deux canons de 370 mm. Dès lors, la Grosse tour servit de magasin aux constructions navales, au service des torpilles, etc. Vint la guerre de 1914-1918 ; des prisonniers de guerre allemands y furent internés.


photo (c) JM Bergougniou


L'arsenal et la ville de Toulon photo (c) JM Bergougniou
photo (c) JM Bergougniou


photo (c) JM Bergougniou


photo (c) JM Bergougniou

Ce gracieux monument accosté à la digue est un "bâtiment" qui permettait de réaliser des lancements réels de torpilles permettant de tester les lancements dans la rade



photo (c) JM Bergougniou


ancienne BAN Saint-Mandrier photo (c) JM Bergougniou
photo (c) JM Bergougniou

La préfecture maritime photo (c) JM Bergougniou
Yachts au port photo (c) JM Bergougniou

Du côté de l'arsenal photo (c) JM Bergougniou


Le cap Brun photo (c) JM Bergougniou
la batterie basse photo (c) JM Bergougniou
couple de sonneurs  le biniou à une forme légèrement différente photo (c) JM Bergougniou
l'art de préparer l'aïoli (ne pas essayer avec un oignon au pageot!) 
photo (c) JM Bergougniou
l'eau du pastis photo (c) JM Bergougniou
Billig Cherchez l'erreur photo (c) JM Bergougniou
l'heure sacrée de la ré-hydratation avec modération photo (c) JM Bergougniou
souvenir de la libération photo (c) JM Bergougniou
 sources :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Puget

ARAGO en route vers TAHITI

L'ARAGO quitte Toulon et part pour TAHITI



Quatrième de la série des bâtiment hydrographique de deuxième classe (BH2) du type Lapérouse, l'Arago est basé à Papeete jusqu'à l'été 2002.
Il travaille alors au profit de la mission océanographique du Pacifique (MOP). Revenu en métropole, il est basé à Toulon depuis le 1er juillet 2002.

Après transformation, il reçoit la nouvelle appellation de patrouilleur de service public (PSP) à compter du 1er octobre 2002.
Arago Milhaud
photo Marine nationale



Samedi 2 juillet 2011 en milieu d’après-midi, les derniers préparatifs battent leurs pleins au poste 110 autour du « PSP Arago ». En effet, après deux mois d’arrêt technique, qui ont permis des visites des moteurs et de diesels alternateurs, ou encore la mise en place de nouvelles capacités de transmissions, « l’Arago » a retrouvé tous ses moyens pour affronter la traversée de deux océans.

sources :  

http://jdb.marine.defense.gouv.fr/batiment/arg







Goélette Etoile à Monaco

Mariage de SAS Albert II à Monaco


Le Prince Albert II de Monaco a embarqué en tant qu'officier éléve à bord du PH Jeanne d'Arc. La Goélette Etoile représente la Marine Nationale. La plaque de cuivre portant son nom ainsi que tous les noms des officiers élèves de son poste lui a été remise en cadeau à la sortie de l'église Sainte Dévote



Septembre 1981 - avril 1982 : S.A.S. le Prince Albert II effectue un stage à bord du porte-hélicoptères "Jeanne d'Arc" de la Marine Nationale française avec le grade d'Enseigne de vaisseau 2e classe. Son Altesse obtient le grade de Capitaine de corvette de réserve.






Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...