
14 mars 2009
13 mars 2009
CORYMBE 96 BPC Tonnerre

Le BPC Tonnerre relève le TCD Foudre déployé depuis plus de quatre mois dans le golf de Guinée. Les deux bâtiments amphibies ont pu profiter de leur escale commune à Dakar afin d’échanger et partager l’expérience acquise par la Foudre.
Le 3 mars, le détachement de la Flottille Amphibie de Toulon était à la manœuvre. Des liaisons par CTM ont permis de charger à bord du BPC Tonnerre le matériel, provenant de la Foudre, nécessaire pour continuer la mission .

Une sortie de cohésion sur le « thème » du footing a été organisée sur l’île de Gorée, permettant à l’équipage de profiter des petites ruelles et du charme de l’île tout en maintenant son esprit de l’effort partagé ! L’appel de l’équipage s’est déroulé sur le quai, en tenue de sport, le transfert sur l’île de Gorée a été assuré ensuite par une rotation d’un CTM de la Flophib de Toulon.
Le Rugby-Football Club Tonnerre :
Le 5 mars, dans la continuité du maintien d’un solide esprit d’équipage, les équipes de rugby et de football du BPC Tonnerre ont disputé des rencontres sur le terrain de la base aérienne 160. Si tous les automatismes n’étaient pas forcément au rendez-vous, les deux équipes s’en tireront avec les honneurs, et le mérite de faire bonne figure face à des adversaires de bon niveau.
Partage de compétences : la brigade de protection.
La coopération avec les armées des pays africains avec lesquels la France entretient des relations est l’une des actions conduites lors d’une mission Corymbe.
Ce 8 mars, l’équipe de visite de l’un des bâtiments de la marine sénégalaise profite donc de la présence du Tonnerre pour mener à bien un exercice de contrôle à bord d’un bâtiment suspect. La brigade de protection du Tonnerre aura eu à cœur de leur présenter ses méthodes d’intervention et ses procédures.
http://jdb.marine.defense.gouv.fr/post/2009/03/10/Corymbe-96.-BPC-Tonerre-%C3%A0-Dakar-du-2-au-8-mars.
12 mars 2009
Brest Gendarmerie Maritime Aber Wrac'h
et l'Aber Wrac'h

Christophe nous propose cette photo de la vedette de la gendarmerie maritime utilisée comme carte de voeux.
la vedette se trouve en arrière plan du kiosque d'un SNLE (bateau noir)
la question de la semaine : Identifiez-le.
Pour "ceusses" qui ne le sauraient pas, l'Aber Wrac'h n'est pas un mot grossier breton mais le nom d'une rivière , voir les définitions de mots croisés Aber ou Ria...

La longueur de son cours d'eau est de 33,6 km.

La plus grande partie de l'Aber-Wrac'h est une ria ou aber, une sorte de fjord qui se jette dans la Mer Celtique.
L'Aber-Wrac'h naît à Trémaouézan, il arrose Ploudaniel, le Folgoët, Lannilis et Plouguerneau et se termine en estuaire entre la presqu'île Sainte Marguerite et le phare de l'Île Vierge où l'on trouve quelques îles.
Merci Christophe pour cet envoi
GEAOM Jeanne d'Arc La Réunion


En image sur Mer et Marine
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=109740&u=6833
11 mars 2009
La Réunion Jeanne d'Arc en escale
Une odeur de bucher pour la Jeanne d'Arc?


CLICANOO.COM Publié le 11 mars 2009

Feux de poubelles, voitures calcinées, jets de galets contre tirs de lacrymogènes... la situation s’apprêtait à dégénérer, la nuit dernière, entre jeunes émeutiers et forces de l’ordre, dans plusieurs quartiers du Port.
Il fallait s’y attendre. Après le Chaudron, c’est la ville du Port qui a été le théâtre d’un embrasement général hier soir. Les premières étincelles sont apparues vers 19h, avec des feux de poubelles allumés par des bandes de jeunes dans le quartier de la SIDR cœur-saignant. Les pompiers du Port et de Saint-Paul sont dépêchés sur place.

Les policiers du Port, la BAC et les gendarmes sont déployés, servant d’escorte aux véhicules des pompiers. Très vite, les débordements et la tension se répandent à d’autres quartiers, de la Zup à Titan en passant l’avenue de la commune de Paris.

Plusieurs groupes de jeunes envahissent les rues de la ville, brûlent voitures et poubelles, déversent des déchets sur la voie publique et caillassent les forces de l’ordre. La scène se répète d’un carrefour à l’autre. La tension grimpe. Il ne fait bon pas circuler au Port.

Quelques automobilistes sont suivis de près par des jeunes à deux-roues, très excités. Dans le quartier du coeur-saignant, un véhicule est la proie des flammes. 21h30. Du côté du rond-point des danseuses, les jeunes Portois annoncent les couleurs, celle des flammes. Ils bloquent l’entrée de la ville en mettant le feu à des poubelles. Un amoncellement de divers détritus, morceaux de bois et galets complètent le barrage. Cagoulés, armés de galets, les jeunes, en bande, semblent bien décidés à en découdre avec les forces de l’ordre. La rue Raymond Vergès et le quartier Titan s’embrasent. Tout le long de ces deux axes, des poubelles et des carcasses de voitures brûlent.
Ambiance électrique
Certains ronds-points sont impraticables, parsemés de gros galets et de débris de verre. Des cris et injures viennent de toutes parts. Malgré l’ambiance électrique qui règne, les badauds se massent sur les trottoirs. Des bouteilles lancées par les jeunes se brisent au sol, des détonations résonnent.

Les nombreux officiers de police et de gendarmerie restent groupés, prêts à faire face au moindre affrontement direct avec les jeunes. 22h. Le foyer chaud se concentre autour du quartier Titan.
Près de 200 jeunes, dont beaucoup de mineurs, sont massés le long de l’avenue de la Commune de Paris. Un groupe tente de forcer les grilles de la pharmacie Titan. En vain. Soudain, un véhicule de la Bac tente une timide approche.

À peine le temps de faire quelques mètres, une horde de jeunes fonce vers les policiers, qui essuient des jets de galets. Les forces de l’ordre répliquent par des tirs de lacrymogène. Les émeutiers se dispersent momentanément. Ce jeu du chat et de la souris était parti pour se prolonger longtemps, d’une rue à l’autre. À minuit, les forces de l’ordre étaient toujours sur place. Dans un climat de plus en hostile. La nuit promettait d’être longue et chaude au Port
Marine Nationale Jeanne d'Arc La Réunion

http://www.jir.fr/index.php?id_article=204432&page=article
Après le Score du Chaudron dans l’après-midi, c’est le Quick et une agence de Groupama du quartier qui ont été pris pour cible, dans la soirée, par plusieurs bandes de jeunes. Affolés, des commerçants ont préféré vider leur magasin des objets de valeurs. Le calme est revenu vers une heure. Ce matin, le quartier du Chaudron se réveille avec la gueule de bois mais dans le calme. Publié le 11 mars 2009 En moins d’un quart d’heure, hier soir, le quartier du Chaudron a subi une accélération des actes de violence. Vers 19 h 30, le Quick situé au niveau du rond-point Cadjee est pris à partie par plusieurs émeutiers. D’autres jeunes cagoulés, une dizaine, poussent et renversent deux voitures sur le rond-point. Une autre est retournée et incendiée à quelques mètres du giratoire. Au loin, des dizaines de personnes s’agitent sans qu’aucun acte de délinquance soit signalé. Mais le quartier est soigneusement surveillé. Seuls les habitants du Chaudron peuvent rentrer et sortir librement. Les policiers sont cantonnés à observer la scène. L’une de leur équipe, située à proximité du Score, verra son 4x4 rendu inutilisable. "J’ai vu un jeune avec un revolver"
Mais c’est avenue Leconte de Lisle que les choses s’enveniment. Une agence de Groupama, où travaille une demi-douzaine de personnes, est mise à sac : le distributeur de billets est fracassé et toutes les salles sont saccagées. Toujours sous le choc, Sylvie, témoin de la scène, raconte : "J’ai vu 70 jeunes remonter vers Groupama. Ils ont utilisé un chariot puis balancé des galets. Ce sont les plus petits, âgés de 14 ou 15 ans, qui sont rentrés dedans. J’en ai même vu un avec un revolver. Ils ont tout cassé. J’en ai vu deux repartir avec ce qui me semblait être des écrans plats. Au total, ça a duré 25 minutes avant que la Police n’arrive. Elle a chargé les délinquants qui sont partis se réfugier dans la cité Perdue, derrière. J’ai couru chez moi, des jeunes couraient aussi derrière, ils m’ont demandé de rentrer dans ma cour, mais j’ai refusé".
Une heure plus tard, des commerçants décidaient de vider leur magasin des objets de valeur. "On a été alertés par des amis. On a couru ici. Heureusement, tout est intact. On déménage tout ce qu’on peut", affirmait Mourtouza Kourdjee, du magasin Kaz à Kado alors qu’un calme apparent semblait enfin s’installer. Mais moins d’une demi-heure plus tard, un autre commerce faisait les frais de ce mouvement de colère. La pharmacie Roger Payet était prise à partie et saccagée. Quelques minutes plutôt, le port de gilet pare-balles était rendu obligatoire pour tous les policiers. Un homme armé d’un fusil à pompe venait d’être aperçu à l’angle des rues Calebassiers et Hippolyte Foucque. Ailleurs dans Saint-Denis, à Bellepierre, à la Providence et à la Trinité plusieurs feux de poubelles étaient signalés ainsi que des attroupements de jeunes. Vers 22 h, alors que la pleine lune brillait au-dessus de la ville, l’hélicoptère de la gendarmerie, équipée de puissant projecteur, survolait les différents quartiers. La surveillance à l’américaine n’était plus très loin.
Un gendarme blessé par un tir à 23h30 Peu avant minuit, la situation était toujours tendue autour du Jumbo Score. À 23h30, un gendarme mobile, qui avait pris position avec son escadron pour protéger le commerce, a été blessé au flanc par un plomb et pris en charge par les sapeurs-pompiers. Selon la police, le tir a vraisemblablement été effectué avec une carabine 22 long rifle depuis un immeuble voisin. Une opération de maintien de l’ordre a été déclenchée pour tenter de retrouver l’auteur de ce coup de feu. Un peu plus tard, un petit groupe d’une dizaine de personnes a détruit une borne de la Citalis. Le préfet appelle au calme Le préfet de la Réunion Pierre-Henry Maccioni a lancé hier soir un appel au calme après les violences qui ont suivi la manifestation du collectif contre la vie chère (Cospar). "Je lance un appel au calme (...). Je demande au Cospar de suspendre toute action qualifiée d’opération coup de poing afin que la manifestation qui est un droit démocratique et légitime soit différenciée des actes inconsidérés", déclare le préfet dans un communiqué. "Il est temps de reprendre le chemin de la négociation" afin "d’aboutir à un accord le plus tôt possible", ajoute-t-il, relevant que de "réels résultats ont été obtenus grâce aux efforts de chacun après seulement cinq jours de négociations". Il invite "tous les partenaires" à se retrouver aujourd’hui à la préfecture pour des négociations sur les prix et les salaires. Le préfet annonce "devant la radicalisation qui s’est produite" avoir "donné comme instruction aux forces de l’ordre d’assurer la sécurité et d’empêcher tout acte de pillage". Il a appelé la population à "éviter de se mêler aux délinquants afin que les forces de l’ordre puissent maintenir la sécurité publique et faire leur travail".
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