12 mars 2009

GEAOM Jeanne d'Arc La Réunion



l'arrivée du PH Jeanne d'Arc à la Réunion


Le porte-hélicoptères Jeanne d’Arc a fait son entrée dans le Port de la Pointe des Galets ce matin vers 7 heures. Il restera jusqu'au 16 mars prochain. Lors de son escale réunionnaise le bateau-école sera visitable par le public le samedi 14 mars de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h, ainsi que le dimanche 15 mars de 13 h 30 à 17 h 30.




C'est la dernière fois que "La Jeanne" fait escale à la Réunion, le navire devant prochainement être désarmé.

En image sur Mer et Marine

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=109740&u=6833

11 mars 2009

La Réunion




La Réunion Jeanne d'Arc en escale

Le Port s’embrase aussi
Une odeur de bucher pour la Jeanne d'Arc?












CLICANOO.COM Publié le 11 mars 2009








Feux de poubelles, voitures calcinées, jets de galets contre tirs de lacrymogènes... la situation s’apprêtait à dégénérer, la nuit dernière, entre jeunes émeutiers et forces de l’ordre, dans plusieurs quartiers du Port.

Il fallait s’y attendre. Après le Chaudron, c’est la ville du Port qui a été le théâtre d’un embrasement général hier soir. Les premières étincelles sont apparues vers 19h, avec des feux de poubelles allumés par des bandes de jeunes dans le quartier de la SIDR cœur-saignant. Les pompiers du Port et de Saint-Paul sont dépêchés sur place.







Les policiers du Port, la BAC et les gendarmes sont déployés, servant d’escorte aux véhicules des pompiers. Très vite, les débordements et la tension se répandent à d’autres quartiers, de la Zup à Titan en passant l’avenue de la commune de Paris.







Plusieurs groupes de jeunes envahissent les rues de la ville, brûlent voitures et poubelles, déversent des déchets sur la voie publique et caillassent les forces de l’ordre. La scène se répète d’un carrefour à l’autre. La tension grimpe. Il ne fait bon pas circuler au Port.




Quelques automobilistes sont suivis de près par des jeunes à deux-roues, très excités. Dans le quartier du coeur-saignant, un véhicule est la proie des flammes. 21h30. Du côté du rond-point des danseuses, les jeunes Portois annoncent les couleurs, celle des flammes. Ils bloquent l’entrée de la ville en mettant le feu à des poubelles. Un amoncellement de divers détritus, morceaux de bois et galets complètent le barrage. Cagoulés, armés de galets, les jeunes, en bande, semblent bien décidés à en découdre avec les forces de l’ordre. La rue Raymond Vergès et le quartier Titan s’embrasent. Tout le long de ces deux axes, des poubelles et des carcasses de voitures brûlent.


Ambiance électrique


Certains ronds-points sont impraticables, parsemés de gros galets et de débris de verre. Des cris et injures viennent de toutes parts. Malgré l’ambiance électrique qui règne, les badauds se massent sur les trottoirs. Des bouteilles lancées par les jeunes se brisent au sol, des détonations résonnent.








Les nombreux officiers de police et de gendarmerie restent groupés, prêts à faire face au moindre affrontement direct avec les jeunes. 22h. Le foyer chaud se concentre autour du quartier Titan.


Près de 200 jeunes, dont beaucoup de mineurs, sont massés le long de l’avenue de la Commune de Paris. Un groupe tente de forcer les grilles de la pharmacie Titan. En vain. Soudain, un véhicule de la Bac tente une timide approche.





À peine le temps de faire quelques mètres, une horde de jeunes fonce vers les policiers, qui essuient des jets de galets. Les forces de l’ordre répliquent par des tirs de lacrymogène. Les émeutiers se dispersent momentanément. Ce jeu du chat et de la souris était parti pour se prolonger longtemps, d’une rue à l’autre. À minuit, les forces de l’ordre étaient toujours sur place. Dans un climat de plus en hostile. La nuit promettait d’être longue et chaude au Port

Marine Nationale Jeanne d'Arc La Réunion

Textes : Julien Balboni, Sebastien Gignoux, Jerome Talpin et Jean-Philippe Lutton. Photos : Frédéric Laï Yu et Ludovic Laï Yu.
La Jeanne d'Arc arrive à La Réunion dans une atmosphère tendue http://www.lequotidien.re/actualites/le-fait-du-jour/

http://www.jir.fr/index.php?id_article=204432&page=article 

Après le Score du Chaudron dans l’après-midi, c’est le Quick et une agence de Groupama du quartier qui ont été pris pour cible, dans la soirée, par plusieurs bandes de jeunes. Affolés, des commerçants ont préféré vider leur magasin des objets de valeurs. Le calme est revenu vers une heure. Ce matin, le quartier du Chaudron se réveille avec la gueule de bois mais dans le calme. Publié le 11 mars 2009 En moins d’un quart d’heure, hier soir, le quartier du Chaudron a subi une accélération des actes de violence. Vers 19 h 30, le Quick situé au niveau du rond-point Cadjee est pris à partie par plusieurs émeutiers. D’autres jeunes cagoulés, une dizaine, poussent et renversent deux voitures sur le rond-point. Une autre est retournée et incendiée à quelques mètres du giratoire. Au loin, des dizaines de personnes s’agitent sans qu’aucun acte de délinquance soit signalé. Mais le quartier est soigneusement surveillé. Seuls les habitants du Chaudron peuvent rentrer et sortir librement. Les policiers sont cantonnés à observer la scène. L’une de leur équipe, située à proximité du Score, verra son 4x4 rendu inutilisable. "J’ai vu un jeune avec un revolver"

Mais c’est avenue Leconte de Lisle que les choses s’enveniment. Une agence de Groupama, où travaille une demi-douzaine de personnes, est mise à sac : le distributeur de billets est fracassé et toutes les salles sont saccagées. Toujours sous le choc, Sylvie, témoin de la scène, raconte : "J’ai vu 70 jeunes remonter vers Groupama. Ils ont utilisé un chariot puis balancé des galets. Ce sont les plus petits, âgés de 14 ou 15 ans, qui sont rentrés dedans. J’en ai même vu un avec un revolver. Ils ont tout cassé. J’en ai vu deux repartir avec ce qui me semblait être des écrans plats. Au total, ça a duré 25 minutes avant que la Police n’arrive. Elle a chargé les délinquants qui sont partis se réfugier dans la cité Perdue, derrière. J’ai couru chez moi, des jeunes couraient aussi derrière, ils m’ont demandé de rentrer dans ma cour, mais j’ai refusé".

Une heure plus tard, des commerçants décidaient de vider leur magasin des objets de valeur. "On a été alertés par des amis. On a couru ici. Heureusement, tout est intact. On déménage tout ce qu’on peut", affirmait Mourtouza Kourdjee, du magasin Kaz à Kado alors qu’un calme apparent semblait enfin s’installer. Mais moins d’une demi-heure plus tard, un autre commerce faisait les frais de ce mouvement de colère. La pharmacie Roger Payet était prise à partie et saccagée. Quelques minutes plutôt, le port de gilet pare-balles était rendu obligatoire pour tous les policiers. Un homme armé d’un fusil à pompe venait d’être aperçu à l’angle des rues Calebassiers et Hippolyte Foucque. Ailleurs dans Saint-Denis, à Bellepierre, à la Providence et à la Trinité plusieurs feux de poubelles étaient signalés ainsi que des attroupements de jeunes. Vers 22 h, alors que la pleine lune brillait au-dessus de la ville, l’hélicoptère de la gendarmerie, équipée de puissant projecteur, survolait les différents quartiers. La surveillance à l’américaine n’était plus très loin.

Un gendarme blessé par un tir à 23h30 Peu avant minuit, la situation était toujours tendue autour du Jumbo Score. À 23h30, un gendarme mobile, qui avait pris position avec son escadron pour protéger le commerce, a été blessé au flanc par un plomb et pris en charge par les sapeurs-pompiers. Selon la police, le tir a vraisemblablement été effectué avec une carabine 22 long rifle depuis un immeuble voisin. Une opération de maintien de l’ordre a été déclenchée pour tenter de retrouver l’auteur de ce coup de feu. Un peu plus tard, un petit groupe d’une dizaine de personnes a détruit une borne de la Citalis. Le préfet appelle au calme Le préfet de la Réunion Pierre-Henry Maccioni a lancé hier soir un appel au calme après les violences qui ont suivi la manifestation du collectif contre la vie chère (Cospar). "Je lance un appel au calme (...). Je demande au Cospar de suspendre toute action qualifiée d’opération coup de poing afin que la manifestation qui est un droit démocratique et légitime soit différenciée des actes inconsidérés", déclare le préfet dans un communiqué. "Il est temps de reprendre le chemin de la négociation" afin "d’aboutir à un accord le plus tôt possible", ajoute-t-il, relevant que de "réels résultats ont été obtenus grâce aux efforts de chacun après seulement cinq jours de négociations". Il invite "tous les partenaires" à se retrouver aujourd’hui à la préfecture pour des négociations sur les prix et les salaires. Le préfet annonce "devant la radicalisation qui s’est produite" avoir "donné comme instruction aux forces de l’ordre d’assurer la sécurité et d’empêcher tout acte de pillage". Il a appelé la population à "éviter de se mêler aux délinquants afin que les forces de l’ordre puissent maintenir la sécurité publique et faire leur travail".

La Jeanne à la Réunion

La Jeanne d'Arc à la Réunion


la base navale de Port aux Galets



article de Mer et Marine


L'eau est bonne



Pour les jeunes un petit tour aux cirques


Il y a même des alambics, mais attention pas de pommes, du géranium, des orchidées, de la citronelle... le goût n'est pas le même

10 mars 2009

Beautemps-Beaupré Marine Nationale Djibouti

BEAUTEMPS-BEAUPREun moment pour jouer au ... Golfe


Avec le printemps le beau temps revient, la qualité des prairies s'améliore,

il est donc temps de parler du Beautemps-Beaupré

TAD manuel du BPI 610 Djibouti et cachet qui laisse augurer d'une mission dans le golfe persique, du côté des Emirats et du sultanat d'Oman. Peut être avec le groupe guerre des mines, ouvrir la voie à plus gros?





Au courrier aujourd'hui

une histoire encore jeune

Mis sur cale le 17 juillet 2001 à Lanester sur le site du Rohu par les chantiers Alstom Leroux Naval, le bâtiment hydrographique et océanographique (BHO) Beautemps-Beaupré a été mis à l'eau à Lorient le 26 avril 2002, et damis au service actif le 13 décembre 2003.



Affecté à Brest depuis le 17 février 2003, ce BHO est destiné à poursuivre les missions de l'Espérance et du D'Entrecasteaux. Il effectue des missions militaires ainsi que des travaux d'hydrographie générale pour le compte du Service hydrographique et océanographique de la Marine (SHOM).




Inspiré de la Thalassa d'Ifremer, construit à Dieppe en 1995, le programme a été conduit par le service des programmes navals de la DGA (Délégation générale pour l'armement) en équipe intégrée réunissant, notamment, des représentants de la Marine nationale et du SHOM, de l’Ifremer, ainsi que d’Alstom Marine, maître d’œuvre. Le coût total du navire est évalué à 76 millions d'euros. Le financement est assuré à 95 % par la Marine et à 5 % par Ifremer, à la différence de son sistership, le Pourquoi Pas ? (prévu en 2005) qui est financé à 55 % par Ifremer, le restant par la Marine. 




Si l'Ifremer ne peut disposer du Beautemps-Beaupré que 10 jours dans l'année, il pourra en revanche employer le second bâtiment 215 jours par an.
La DGA a livré le bâtiment à la Marine nationale le 11 février 2003. Parti de Lorient, le Beautemps-Beaupré a ensuite rallié Brest, son nouveau port base.

Marine Nationale Tonnerre Corymbe 96

Le BPC Tonnerre en Corymbe 96

L'américanisation du BPC Tonnerre se termine, les échanges ont été fructueux, les cuisiniers savent utiliser le ketchup à bon escient, l'équipage manger les hambourgeois sans s'en mettre partout, les officiers arbitrer un match de base-ball...


http://www.dailymotion.com/video/x84b24_carnet-de-route-du-bpc-tonnerre_news


http://www.dailymotion.com/video/x84et1_carnet-de-route-du-bpc-tonnerre_news



http://www.dailymotion.com/video/x8a3ew_carnet-de-route-du-bpc-tonnerre_news

http://www.dailymotion.com/video/x8c7vb_carnet-de-route-du-bpc-tonnerre_news


Il était temps de traverser l'Atlantique et en route vers Dakar.
Le BPC Tonnerre vient remplacer le TCD Foudre en Corymbe.





Je viens de recevoir les plis de début de Mission.


Flamme Paris tri Interarmées 00480 Armées





tient en parlant de flamme quand sortira donc la nouvelle flamme?


Bonne question n'est-ce pas?




A propos du Rhinoceros



L’aire de répartition naturelle des rhinocéros noirs incluait autrefois la majorité des savanes d’Afrique occidentale et centrale. Comme partout ailleurs en Afrique, l’espèce a subi de très lourdes pertes dues à la chasse et au braconnage, surtout au début du XX° siècle. Lorsque à partir des années 30 l’administration a mis en oeuvre des mesures énergiques de protection, les effectifs du rhinocéros noir du Nord Ouest (Diceros hicornis longipes) se sont reconstitués de manière spectaculaire. 

Les efforts de protection de la faune ont par la suite progressivement diminué et les effets s’en sont fait nettement sentir depuis les années 80 avec notamment l’éradication de la plus grande population de la sous-espèce en République Centrafricaine, la disparition de la petite population du Tchad, et l’amenuisement progressif du dernier noyau qui subsiste encore de nos jours au Cameroun.

Le Cameroun avait demandé une aide pour la protection de ses rhinocéros en 1980. Il n’a malheureusement pas été entendu, et la situation de sa faune en général, qui fut pourtant un axe essentiel de son développement antérieur, n’a cessé de se dégrader. L’effectif actuel de ses rhinocéros, les seuls représentants de la sous-espèce longipes au monde, est d’une dizaine d’individus.
Un programme de sauvetage de ces animaux devait être opérationnel en 1995 sur financement de la Coopération Française. Il a rapidement été englobé dans un vaste programme de gestion de la biodiversité en général dont les financements ne sont toujours pas débloqués après 5 ans de négociations. En conséquence, la majorité des fonds initialement réservés à la protection des rhinocéros a été redistribuée au profit d’autres activités et la sécurité des rhinocéros n’a pas été suffisamment améliorée.


Le petit nombre de rhinocéros qui subsiste se trouve confronté à des problèmes sérieux et multiples: augmentation de la population humaine, faible influence des autorités, inapplication des lois, manque de volonté politique, présence parmi les braconniers de personnages ayant par ailleurs un rôle institutionnel.
Il est très probable que le Gouvernement du Cameroun, à son plus haut niveau, est insuffisamment informé de cette situation et de ses conséquences. Il est aussi permis de penser qu’une modification radicale de la volonté politique pourrait grandement faciliter la mobilisation d’une aide financière et technique conséquente spécifiquement destinée au sauvetage de ces rhinocéros. 

C’est dans ces directions que tous les efforts doivent se focaliser si l’on ne souhaite pas que l’extinction de la sous-espèce, annoncée depuis 20 ans, devienne une réalité alors que tous les moyens pour l’enrayer sont connus et potentiellement disponibles.


http://www.rhinoresourcecenter.com/ref_files/1175856540.pdf

http://alain.debord.club.fr/otto_journal/rhino.htm#Race

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...