Mayotte le cimetière ancien de Sandavangeu
En prenant la RN 4 de l'aéroport vers Dzaoudzi, on longe le cimetière
Grilles sur un mur blanc, les tombes sont abritées par les frangipaniers dont les nombreuses fleurs jonchent le sol en un tapis blanc et jaune. Un dernier collier de fleurs pour l'au-delà
Le cimetière retrace l'histoire de la présence française à Mayotte et dans l'océan indien
Il n'est pas toujours faciles d'identifier les noms sur les tombes certaines datent des années 1800
Les tombes et les monuments sont faits de blocs de lave taillés
le carré de la légion abrite les tombes des légionnaires décédés à Mayotte
On y trouve aussi une croix à la mémoire des aviateurs britanniques alliés de la France 1942
La tombe du frère d'Honoré de Balzac
http://www.alalettre.com/balzac-bio.htm
La tombe de Celestin Fages médecin de la Marine
La vocation des unités en mer est donc de rechercher et constater les infractions aux lois, décrets et règlements. Ces unités, outre leurs prérogatives de police judiciaire en mer, de police administrative et de police militaire, jouent un rôle important dans le domaine de la police des eaux et des rades, la police de la navigation de plaisance et la police des pêches.
Dans ces domaines, la gendarmerie maritime exerce son action au profit des préfets maritimes, délégués de tous les ministres sur la mer et coordinateurs des actions de l'Etat en mer, des procureurs de la République territorialement compétents et des administrateurs des affaires maritimes. 22 mars : Le Bougainville quitte Toulon pour une dernière mission en océan Indien avant son désarmement. A son bord, le pousseur Morse et la vedette Odet (gendarmerie maritime), qui sont livrés à Mayotte le 20 avril.
Il y embarque alors le Verdon, une autre vedette de la gendarmerie, qui sera transporté à la Réunion le 27 avril. 
De là, c'est la Jonquille qui sera enradiée. Cette vedette de la gendarmerie maritime, qui sera ramenée à Toulon aux alentours du 17 juin, aura le Verdon comme remplaçant à la Réunion. Le Bougainville doit ensuite être désarmé et, selon l'hebdomadaire « Le Point », être mis en vente.
