07 avril 2018

B2M CHAMPLAIN à EUROPA Iles Eparses TAAF 20 février 2018

B2M CHAMPLAIN à EUROPA Iles Eparses TAAF 20 février 2018



Le 17 février 2018, le bâtiment multi-missions (B2M) Champlain a entrepris une nouvelle tournée de ravitaillement des îles Éparses (TRDI). Ces îles, dispersées dans le Canal du Mozambique à l’Ouest de Madagascar, représentent un enjeu économique et politique important pour la France.


cachet V SPID 10990 au 20FEV. 2018  TàD EUROPA ILES EPARSES TAAF 20-2-2018

L’acheminement de fret par voie maritime est indispensable pour ces îles difficilement accessibles par voie aérienne et uniquement habitées par des détachements de militaires du 2ème Régiment de parachutistes d’infanterie de marine (RPIMa) et de la Légion étrangère.

D’Europa aux Glorieuses en passant par Juan de Nova, l’acheminement des vivres et autres équipements vers les iles est souvent ardu en cas de conditions climatiques défavorables. Ainsi, le Champlain a dû composer avec le passage de deux cyclones successifs à proximité de la zone. Pour cette mission, dix marins de L’Astrolabe ont étés accueillis à bord du Champlain pour apporter un renfort de personnel nécessaire lors du déchargement du fret.



Le bâtiment dispose de différents moyens pour effectuer ce type de mission, notamment d’une embarcation de servitude ayant la capacité de transporter du fret et de « beacher » sur les plages des îles Éparses. Une plage arrière spacieuse permet d’acheminer plusieurs containers. Une grue pour charger et décharger le bâtiment est également utile. Ces équipements ont permis aux marins embarqués pour cette TRDI de délivrer plus de 50 tonnes de matériel.



cachet V SPID 10990 au 20FEV. 2018  TàD EUROPA ILES EPARSES TAAF 20-2-2018

Les unités de la marine nationale déployées outre-mer répondent à des défis diversifiés : pêche illégale en Guyane et dans les terres australes et antarctiques françaises, flux migratoires importants à Mayotte, catastrophes naturelles, piraterie dans l’océan Indien ou narcotrafic aux Antilles. Près de 2 300 marins veillent en permanence aux intérêts de la France dans ces espaces ultra-marins pour garantir notre souveraineté.

Une vingtaine de bâtiments et une dizaine d’aéronefs, avions et hélicoptères, sont affectés outre-mer et dédiés à la sauvegarde maritime, la veille opérationnelle et stratégique et la coopération maritime régionale.

Le programme « bâtiments de surveillance et d’intervention maritime », BATSIMAR, prévoit le renouvellement et le remplacement de certains de ces moyens vieillissants.


Sources : Marine nationale
Rights : Ministère de la Défense

06 avril 2018

Le Rhône arrive à Brest Finistère Bretagne Marine nationale armement Chantier Piriou Kership

Le BSAH Rhône arrive à Brest

Notre collègue Bernard Hily nous transmet les photos du BSAH Rhône entrant dans le goulet de Brest. Il est accompagné du RP Nividic et du RHM Tenace. 
Les photos sont prises du Mengant.


BSAH Rhône  RP Nividic Photo Bernard Hily
Le fort du Mengant ou fort du Léon est situé sur la commune de Plouzané et fait partie du dispositif de défense du goulet de Brest.
Ce fort comprend une batterie haute (58 m au-dessus du niveau de la mer) où se trouvait une tour d'artillerie aujourd'hui détruite, et une batterie basse en demi-cercle en bas de falaise où subsistent deux petites poudrières.



La partie basse est gérée par le club nautique de la Marine à Brest. La partie haute est utilisée pour des essais de radars. Une imposante rampe reliant le port à la partie haute du fort a été construite dans les années 1960 pour permettre d'y acheminer par mer les plus gros dispositifs à tester



BSAH Rhône Photo Bernard Hily
Le bâtiment de soutien et d’assistance hauturier (BSAH) LOIRE, premier de la série de quatre navires conçus et réalisés par KERSHIP, commandé en 2015, vient d’être réceptionné officiellement par la Direction générale de l’Armement (DGA) le 22 mars 2018.

La livraison de la deuxième unité, le BSAH RHÔNE, dont la 1ère prise de commandement s’est tenue à Concarneau le 23 mars est prévue à l’été 2018 et celle des 3ème et 4ème unités, SEINE et GARONNE début 2019.

La réussite de ce programme pour la Marine nationale est le fruit d’une ambition partagée par PIRIOU et Naval Group de créer un leader mondial dans les navires aux standards civils essentiellement destinés à l’action de l’Etat en mer (garde-côtes, police, gendarmerie, douanes…) en faisant jouer leurs complémentarités industrielles.


KERSHIP est ainsi devenu en quelques années le premier fournisseur de la Marine nationale pour les navires destinés à l’action de l’Etat en mer.




BSAH Rhône Photo Bernard Hily

BSAH Rhône  RP Nividic Photo Bernard Hily

RHM Tenace RP Nividic Photo photo Bernard Hily

RHM Tenace, RP Nividic BSAH   Rhône photo Bernard Hily





Merci Bernard et Daniel 


photos Bernard Hily


Amers et azimut Situation des principaux bâtiments déployés au 3 avril 2018

Amers et azimut
Situation des principaux bâtiments déployés au 3 avril 2018


37 bâtiments 6 aéronefs 3 080 marins


Opération Chammal

FREMM Aquitaine (mer Méditerranée) + Caïman Marine

Opération Barkhane
Atlantique 2

Opération Corymbe
PHM PM L'Her (océan Atlantique)

Opération Sophia
PHM Cdt Ducuing (mer Méditerranée)

TF 150
FLF La Fayette (mer Rouge) + Panther
FASM Jean de Vienne (océan Indien) + Lynx

TF 53
BCR Var (océan Indien)

Mission Jeanne d'Arc
BPC Dixmude (océan Indien) + Alouette III
FLF Surcouf (océan Indien)


Surveillance maritime

Patrouilleur L'Adroit (mer Méditerranée)

B2M Champlain (océan Indien)

B2M D'Entrecasteaux (océan Pacifique)

B2M Bougainville (océan Pacifique)

CMT Lyre (mer Méditerranée)

BSR Gazelle (océan Indien)


Préparation opérationnelle

FREMM Auvergne (mer Méditerranée)

PHM LV Lavallée (océan Atlantique)

PHM EV Jacoubet (mer Méditerranée)

PHM Cdt Birot (mer Méditerranée)


Déploiement Asie

FS Vendémiaire (océan Pacifique) + Alouette III


Défense maritime du territoire
PSP Cormoran (océan Atlantique)
PSP Flamant (océan Atlantique)


Mission hydrographique
BH Borda (océan Atlantique)

Opérations de police des pêches
PLG La Confiance (océan Atlantique)


365 jours par an, 24H sur 24, sur tous les océans et mers du globe, ce sont en moyenne 35 navires à la mer, 5 aéronefs en vol, des fusiliers marins et commandos déployés, soit près de 5 000 marins sur, sous et au-dessus de la mer pour préserver les intérêts de la France et garantir la sécurité des français.

COLS BLEUS L'Hebdomadaire N° 14 du 6 avril 2018 - Rédaction : 60, boulevard du général Martial Valin 75015 Paris - Directeur de publication : CV Bertrand Dumoulin, directeur de la communication de la Marine nationale - Rédacteur en chef : LV François Séchet - Rédactrice en chef adjointe : Laurence Ollino-Deloof - Crédits photos : Marine nationale - Pour vous désinscrire cliquez ici

Fin de carrière pour la FASM Jean de Vienne

Fin de carrière pour la FASM 

Jean de Vienne



Patrouillant au large d’Oman, la frégate de lutte anti-sous-marine Jean de Vienne a joué à l’Intrepid Sentinel. C’est le nom donné à l’exercice multinational qui, du 7 au 9 mars 2018, a rassemblé aux côtés de la frégate française, les frégates australienne HMAS Warramunga et américaine USS Halsey.

Rompues à ce genre d’exercice, supervisé par la 5ème Flotte américaine et l’amiral commandant la zone maritime océan Indien (Alindien), les trois frégates ont sans difficulté conduit les activités de tir, de lutte anti-aérienne ou contre menace asymétrique.

L’exercice avait pour objectif majeur de vérifier la capacité de la France et ses alliés, tous membres du Maritime Collaborative Groupe-Central (MCGC), à réaliser conjointement un pistage d’opportunité de sous-marin si la situation l’exigeait.

Le volet de lutte anti-sous-marine a ainsi tenu la place la plus importante de ces 72 heures avec un CASEX (combined anti-submarine exercice) avancé et un pistage coordonné d’un sous-marin sur une durée de 24 heures. Les participants ont constaté que l’interopérabilité acquise par la collaboration régulière de nos marines permettait d’atteindre une bonne coordination dans des délais contraints.

Après cette intégration réussie, l’exercice a pris fin avec un échange de person
nels entre le Jean de Vienne et le Halsey, permettant de sceller la confiance entre nos pays. Chacun est ensuite retourné à sa mission principale, les marins du Jean de Vienne poursuivant activement leur patrouille pour lutter contre les trafics qui alimentent le terrorisme international.
http://www.colsbleus.fr/articles/10477


La frégate anti-sous-marine Jean de Vienne a saisi le 25 mars plus d’une demi--tonne d’héroïne. Sous contrôle opérationnel du commandant de la zone maritime océan Indien, l’Amiral Piaton, le bâtiment était alors en soutien direct de la Task Force 150, force opérationnelle navale luttant contre les réseaux terroristes en océan Indien.






C’est notamment la qualité du renseignement fourni par la Task Force 150 qui a permis de guider la frégate Jean de Vienne vers l’embarcation suspecte. La frégate anti-sous-marine, qui terminait tout juste l’exercice franco-indien Varuna, a rallié à grande vitesse la position présumée du boutre (embarcation locale), repositionné précisément par son hélicoptère Lynx. L’équipe de visite a alors procédé à une enquête méthodique, qui a conclu à l’absence de pavillon pour le boutre concerné. Le commandant a alors ordonné après accord du contrôleur opérationnel une fouille complète qui a permis de découvrir la drogue, cachée dans une double cloison.

Il faisait déjà nuit lorsque le Jean de Vienne est reparti avec sa prise d’une valeur marchande estimée à environ 125 millions d’euros. Ordonné par Alindien en sa qualité de délégué du gouvernement pour l’action de l’Etat en mer et en application du procédé judiciaire de dissociation, l’équipage de la frégate a été chargé de la destruction de cette saisie, sous la responsabilité du commandant.

La frégate anti-sous-marine avait déjà rencontré un succès similaire trois semaines auparavant avec la prise de quatre tonnes de résine de cannabis. A travers cette opération, les marins du Jean de Vienne ont une nouvelle fois contribué à lutter contre le fléau de la drogue, mais aussi à réduire les sources de financement des réseaux mafieux ou terroristes.

i Ce calcul est basé sur la rapport de l’Australian criminal intelligence commission illicitdrug data report de 2015 – p216 : $235 000 USD par kilogramme

Sources : État-major des armées
Droits : Ministère de la Défense




A noter qu'un des plis est à la date du 26 sep 2016....


Marion Dufresne OP1 2018

Marion Dufresne OP1 2018


En date du 30 mars 2018 portant le TàD LA POSTE 24599A (LE PORT CC-T1 bureau de distribution 1rue de la Poste LE PORT) un pli annonçant le départ du Marion Dufresne pour l'OP1-2018. Placé sous le patronage de la langouste le bateau prévoit un passage à Tromelin puis Crozet, Kerguelen et Amsterdam.







le siège des tAAF Photo JM Bergougniou

le Barachois photo JM Bergougniou

le MarDuf photo JM Bergougniou

Les cirques dans les nuages  JM Bergougniou

Adieu la Réunion photo JM Bergougniou

La terre s'éloigne photo JM Bergougniou

05 avril 2018

Retour à La Réunion du patrouilleur polaire « L’Astrolabe » de sa 1ère mission en Antarctique

Retour à La Réunion du patrouilleur polaire « L’Astrolabe » de sa 1ère mission en Antarctique

Le patrouilleur polaire L’Astrolabe, construit dans le cadre d’un partenariat entre, d’une part, lacollectivité des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) et l’Institut polaire français (IPEV), et, d’autre part, la Marine nationale, a rempli ses premières missions. Bateau armé en permanence par des équipages de la Marine nationale, son activité est répartie entre des missions militaires et des missions de logistique et de ravitaillement au profit de l’IPEV et des TAAF. C’est ce dernier type de mission qu’il vient d’achever.

Etiquette de collier de sac entre L'Astrolabe et le SPID Roissy
Dépêche du 31-01-2018 à DDU
VOL EMIRATES EK 405  Melbourne vers Singapour puis Dubai
VOL EMIRATES  EK 75 Dubai vers CDG
Cachet arrivée SPID 12-2-2018

Débutée en novembre dernier, sa première mission de soutien à la logistique antarctique (MSLA) a pris fin ces jours derniers. Les MSLA sont des missions de transport de fret et de passagers entrel’Australie et la base scientifique française en Terre Adélie, au profit de l’IPEV et des TAAF. Le bateauest arrivé le 28 mars à La Réunion au terme de cinq mois et demi de mission qui ne peuvent sedérouler que durant l’été austral.
19595A-01  Saint-Pierre Messageries CTC 29-03-18Sur timbre TAAF Léopard de mer 

Verso de l'étiquette 

Etiquette agrafée sur l'étiquette 

Au total, pas moins de cinq rotations entre Hobart, en Tasmanie, et la base française Dumont d'Urville (DDU, distante de 2700 km) auront été nécessaires pour assurer la livraison en partenariat avec l’Institut polaire français de plus 1 000 tonnes de fret et d’environ 1 600 m3 de gazole « Special Antarctic Blend ». Composées entre autres de vivres, de matériels divers et de véhicules, les moyens logistiques déposés sont garants de la survie de bases exposées aux conditions météorologiques extrêmes des hivers austraux.




Saint-Pierre, le 28 mars 2018

Ils sont à la fois destinés au fonctionnement de la base Dumont d’Urville mais également au « raid » entre celle-ci et la base franco-italienne Concordia, située à 1 200 km à l’intérieur du continent deglace, l’une des trois seules bases opérant au cœur du continent sur les hauts plateaux glacés.

L’Astrolabe, sorti il y a à peine un an des chantiers Piriou à Concarneau, aura également transporté environ 200 personnes, des scientifiques et des techniciens, qui soulignent dans leur ensemblel’accueil et le confort à bord malgré des mers souvent difficiles.


Etiquette d'un autre sac à une date différente.


Lors des deux premières rotations, L’Astrolabe a pu se rapprocher à 40 km et 20 km de la stationDumont d’Urville pour venir au contact de la glace de mer infranchissable en début de saison. Le matériel a dû être acheminé jusqu’à la base sur la banquise (grâce à un raid spécialement étudié parl’IPEV) et par hélicoptère tandis que les conditions météorologiques plutôt favorables et lefranchissement des glaces ont permis un accostage à Dumont d’Urville lors de deux rotations suivantes.

La cinquième et dernière rotation a rappelé les conditions d’environnement particulièrement difficiles de la zone. En effet, les caractéristiques de glace rencontrées ont été très différentes de celles des rotations précédentes, ce qui est principalement dû à la baisse des températuresmoyennes de 10°C environ en fin d’été autour du continent Antarctique. L'accumulation de plaques de banquise pluriannuelle devant la base scientifique Dumont d'Urville sur une dizaine de nautiques (milles marins) de large, et la consolidation des interstices de glace par le gel de l'eau de mer, n’ontpas permis d'atteindre la côte, malgré de nombreux vols de reconnaissance. Par conséquent, toutes les opérations logistiques ont été menées par hélicoptère pour délivrer les dernières 60 tonnes de fret, et embarquer 41 passagers, principalement des expéditionnaires saisonniers en fin de mission.



L’objectif ambitieux de ravitaillement en gasoil, matériel et vivres ainsi que la dépose de personnels a été atteint lors de ce tout premier déploiement d’un navire neuf et les trois partenaires se félicitent de la réussite de cette première campagne Antarctique.

Cette aventure marque le retour de la Marine nationale en Antarctique, 67 ans après la dernièreexpédition de l’aviso « Commandant Charcot » en Terre Adélie, et lui offre l’opportunité d’acquérir l’expertise de la navigation dans les glaces tout en concourant par son appui logistique à la recherche scientifique française. Elle aura été, pour les marins des deux équipages, une formidable aventurehumaine et l’occasion de découvrir une faune et des paysages uniques qu’ils auront plaisir à retrouver dès le début de la prochaine saison estivale.

Avant la prochaine campagne qui débutera en fin d’année, « L’Astrolabe » effectuera une période de maintenance à la base navale de La Réunion et sera employé pour des missions de souveraineté, de police des pêches, de lutte contre les trafics illicites en océan Indien et dans les eaux australes françaises.


Sources :
SPID 

IPEV Communiqué de presse 

BSAH RHÔNE quitte Concarneau pour Brest Chantier Piriou Kership Bretagne

BSAH RHÔNE quitte Concarneau pour Brest 


Le programme de bâtiments de soutien et d’assistance hauturiers (BSAH) vise à renouveler des moyens nécessaires à la Marine nationale afin d’assurer trois types de missions:
- le soutien des forces (remorquage de bâtiments de fort tonnage, accompagnement de bâtiments de surface et de sous-marins, entraînement des forces…),
- la sauvegarde maritime (sauvetage en mer, assistance à navires en détresse, lutte contre les pollutions maritimes…)
- le soutien de région (travaux maritimes, support pour investigations maritimes, transports et ravitaillements).


Il permettra de renouveler les bâtiments de soutien de région (BSR), remorqueurs de haute mer (RHM) et remorqueurs ravitailleurs (RR). Répartis sur chaque façade, ils permettront notamment de garantir le soutien des opérations de protection pouvant nécessiter un remorquage.



Utilisant des technologies civiles éprouvées dans les activités offshore, les BSAH sont longs de 70 mètres, larges de 16 mètres et déplacent à pleine charge 2960 tonnes avec une puissance de propulsion de 5 200 kilowatts. Ils embarquent un équipage de 17 marins et 12 personnels supplémentaires. Ils sont capables de mettre en œuvre des engins sous-marins téléopérés.




La Direction générale de l’armement (DGA) a notifié le marché BSAH en août 2015 à la SAS Kership, groupement de Kership, de Chantiers Piriou et de Naval-Group. Le premier des quatre BSAH, la Loire, a été réceptionné le 22 mars 2018 par la DGA. Le deuxième BSAH, le Rhône, est prévu être réceptionné à l’été. Les deux derniers exemplaires de la série, la Seineet la Garonne, seront livrés en 2019. La Loire est affectée au port de Toulon, ainsi que la Seine. Le Rhône et la Garonne auront Brest comme port base.






Sources : DGA

13/11/2017



Dans le cadre de la réalisation du programme de quatre unités par la Direction Générale de l'Armement, le second Bâtiment de Soutien et d'Assistance Hauturier (BSAH) 'RHONE' a été mis à l'eau à Concarneau ce jour en présence de son équipage.

Quant au premier BSAH, la 'LOIRE', il fait actuellement route vers Toulon, son port d'attache


Bâtiments de 70 mètres de long pour un déplacement de 2 600 tonnes, ils embarquent un équipage de 17 marins et peuvent accueillir 12 personnels supplémentaires. 



Prévus pour être opérés par la Marine nationale, ils assureront des missions de soutien des forces, soutien des régions et de sauvegarde maritime.

Source :

Piriou
Kership
Naval Group

Merci à Pierrot et Patrick

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...