13 mars 2017

FREMM PROVENCE CHYPRE MEDOR 2017 Méditerranée orientale

FREMM PROVENCE CHYPRE MEDOR

La république de Chypre actuelle obtient son indépendance du Royaume-Uni le 16 août 1960, celle-ci est garantie par un traité qui réunit la Turquie, la Grèce et le Royaume-Uni. Ce dernier conserve deux bases souveraines dans le Sud et l'Est de l'île où sont stationnés près de 4 200 soldats britanniques.


timbre réfugié 1974  0,02€ et timbre saut en hauteur à,64€

Pour les milieux nationalistes grecs, la réunion de l'île à la Grèce (Enosis) est la dernière étape de la « libération » des pays de culture grecque, mais la minorité turque (18 % de la population) ne l'entend pas ainsi et les affrontements se multiplient pendant la décennie de 1960, surtout en 1964 et 1967, et plusieurs dizaines de personnes trouvent la mort, tant côté turc que grec. Le gouvernement du président Makarios, où les deux communautés sont représentées, peine à maintenir un équilibre. Lorsque la dictature des colonels se met en place en Grèce, de nombreux opposants Grecs se réfugient à Chypre.

Depuis 1974, la partie nord de l’île, située au-delà de la ligne verte contrôlée par les troupes de l'ONU, est sous occupation militaire turque et en 1983, ce territoire s'est proclamé République turque de Chypre du Nord sans que celui-ci soit reconnu par la communauté internationale, en dehors de la Turquie.

12 mars 2017

B2M D'Entrecasteaux Bleu Nouvelle Calédonie

B2M D'Entrecasteaux bleu




Le 20 juillet 2016, le général de division Philippe Léonard, commandant supérieur des forces armées de la Nouvelle-Calédonie (FANC), a fait reconnaitre le lieutenant de vaisseau (LV) Matthieu Ruf comme premier commandant de l’équipage B du Bâtiment multi-mission (B2M) d’Entrecasteaux.

La cérémonie s’est tenue sur la place d’armes de la Base Navale de Nouméa, au sein de laquelle l’équipage « soutien » du B2M a investi les locaux aménagés spécialement à cet effet.

Alors que le B2M d’Entrecasteaux effectuait les derniers jours de mer avant son arrivée dans son port d’attache calédonien ce vendredi 29 juillet, l’équipage B débutait ainsi sa montée en puissance. Cette dernière sera notamment ponctuée par la prise en charge du bâtiment fin septembre puis par un stage de mise en condition opérationnelle lors de la première quinzaine d’octobre 2016, avant d’entamer les premières missions opérationnelles et exercices interalliés.



Défense, Défense d'en rire ni même d'en sourire
Dans le cadre de l’opération UATIO, les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC) arraisonnent régulièrement des embarcations vietnamiennes qui viennent pêcher en toute illégalité dans les eaux néo-calédoniennes. Seulement, les moyens de la Marine nationale y sont parfois limités, ce qui a donné lieu, par exemple, à un épisode rocambolesque en janvier dernier.En effet, deux des trois « blue boats » vietnamiens interceptés plus tôt et conduits à Nouméa par le patrouilleur P400 « La Moqueuse » et le Bâtiment multimissions (B2M) « D’Entrecasteaux », réussirent à se faire la malle… Et il fut impossible de les rattraper : les deux navires de la Marine nationale étant théoriquement en mesure de le faire (c’est à dire qui n’étaient pas en arrêt technique) ayant été immobilisés à cause d’avaries. Mais l’on assura à l’époque que la Royal Australian Navy (RAN) se chargerait de traquer les embarcations en question.


Seulement, quinze jours plus tard, lors d’un vol de l’avion de surveillance maritime Guardian, l’une d’elles fut à nouveau repérée parmi une flottille de trois « blue boats », pêchant illégalement dans le secteur des îles Chesterfield, situées à plus de 350 nautiques au nord-ouest de Nouméa.


Réparé, le B2M « D’Entrecasteaux » fut donc dépêché dans ce secteur, grâce au concours d’un avion de transport Casa CN-235 de l’armée de l’Air. Mais sur les trois « blue boats », deux réussirent à s’échapper, dont celui qui avait prit la tangente à Nouméa…Devant le refus d’obtempérer de l’équipage de l’embarcation qu’il devait contrôler en envoyant son équipe de fusiliers-marins, le D’Entrecasteaux a été contraint de faire des tirs de semonce avec l’une de ses deux mitrailleuses de 12,7 mm. Visiblement, cet armement, aussi léger qu’il puisse paraître, aura été suffisant pour rendre le capitaine du blue boat à la raison.


Finalement, la fouille de l’embarcation permit de saisir 19 fûts d’holothuries [concombre de mer, ndlr] et 94 fûts de gasoil. Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Leur blue boat étant tombé en panne moteur alors que la mer était agitée, les 17 membres de l’équipage vietnamien furent transférés à bord du D’Entrecasteaux. Et leur ancien navire sombra le lendemain matin. De quoi leur enlever tout espoir de faire un coup similaire à celui réussi par leurs homologues…Désormais, le capitaine du bateau de pêche vietnamien doit comparaître devant le tribunal de Nouméa le 1er mars prochain. Quant aux membres de l’équipage, ils ont été pris en charge par la police aux frontières, avant d’être renvoyés au Vietnam.

Rennes Fête du timbre à la Chapelle Saint-Sauveur Valse danse Degas

Rennes Fête du timbre à la Chapelle Saint-Sauveur





La  danse est depuis 4 ans le thème choisi par La Poste. Après le Charleston, la Salsa, le Tango et le Java, voici la Valse.

Danse de salon, image d'une société aristocratique et bourgeoise, la Valse est liée pour la jeunesse à un autre monde.
Pas de quoi les attirer...

Pour moi, bien que je ne danse pas, je préfère et de loin les danses bretonnes et leur ambiance. Danses d'un monde rural, elles ont failli disparaître et ont ressurgi. Mais elles ne sont pas prêtes d"avoir un timbre. Danses des mariages, des pardons et des foires, elles sont inscrites au Patrimoine de l'UNESCO.



"Le Fest-Noz figure désormais parmi des dizaines d'autres pratiques culturelles reconnues dans le monde telles le Fado portugais, le Jultagi coréen (marche sur une corde raide), les Mariachis du Mexique ou encore le théâtre d'ombres chinoises.
Le fest-noz est un rassemblement festif basé sur la pratique collective des danses traditionnelles de Bretagne, accompagnées de chants ou musiques instrumentales. Le fort mouvement culturel breton a préservé cette expression d’une pratique vivante et en perpétuel renouvellement de répertoires de danse hérités avec plusieurs centaines de variantes et des milliers d’airs. 



le fest-noz 

Environ un millier de fest-noz ont lieu tous les ans avec des fréquentations qui varient d’une centaine à plusieurs milliers de personnes, des milliers de musiciens et de chanteurs, et des dizaines de milliers de danseurs réguliers. Au-delà de la pratique de la danse, le fest-noz se caractérise par une intense convivialité entre chanteurs, musiciens et danseurs, une importante mixité sociale et intergénérationnelle et une ouverture aux autres. 




Traditionnellement, la transmission s’opère par immersion, observation et imitation, bien que des centaines de passionnés aient œuvré avec les détenteurs de traditions à recueillir les répertoires et jeter les bases de nouveaux modes de transmission. Aujourd’hui, le fest-noz est au centre d’un intense bouillonnement d’expériences musicales et a généré une véritable économie culturelle. De nombreuses rencontres ont lieu entre chanteurs, musiciens et danseurs de Bretagne et de diverses cultures. En outre, beaucoup de nouveaux habitants de villages bretons utilisent le fest-noz comme un moyen d’intégration, d’autant qu’il participe fortement au sentiment d’identité et de continuité des Bretons.




La Valse



Ce timbre gravé en taille- douce par Elsa CATELIN a été dessiné par Stéphane LEVALLOIS d’après une photo de Jean Daniel SUDRES.

Stéphane Levallois qui avait déjà créé le très beau bloc des Capitales Européennes « Vienne » en 2014 a été naturellement choisi pour réaliser ce timbre. Il a aussi conçu une très belle illustration pour le document philatélique.

La valse vient de l'allemand « Walzer » qui signifie « tourner en cercle ». C’est une danse tourbillonnante, souvent écrite sur une mesure à trois temps. La valse viennoise, apparue dans la seconde moitié du XVIIIe siècle dans les pays germaniques, a détrôné les danses de Cour (comme le menuet ou la gavotte) au moment de la Révolution française.


L’Étoile Edgar Degas


« Peintre des danseuses » : ainsi Manet définit-il Degas dans une lettre adressée à Fantin- Latour en 1868
Ce tableau - Pastel 58x42 cm 1876-77 - est conservé au Musée d’Orsay, Paris.






Désolé Madame Perchat, mais votre carte est d'un style un peu dépassé, même ringard...


Un entier postal est remis à tout acheteur (8€) de souvenirs de la FFAP...
Il faut faire marcher le commerce!





 

11 mars 2017

Mayotte Mamoudzou Kaweni Marine nationale 24F F50M 8aéronautique navale aéronavale Lann Bihoué

Mayotte Marine nationale 

Flottille 24F F50M 8

bureau de Mamoudzou Kaweni 6-3-2017


La Flottille 24F dispose de quatre Falcon 50M (dont un affecté à l'année aux Antilles), qui réalisent des missions de service public (SAR, anti-drogue, anti-immigration , contrôle des pêches, anti pollution, soutien aux zones aérospatiales de Guyane), et quatre Xingu déployés en Manche, Atlantique et Méditerranée, dans le cadre de diverses missions de service public. 


Mayotte kwassa Kwassa photo (c) JM Bergougniou




Recherche et sauvetage, surveillance des approches, police des pêches, lutte contre les pollutions, les trafics illicites et l’immigration clandestine : les missions de la flottille 24F sont nombreuses et variées. Composée de 120 marins, civils et militaires, elle a atteint son format final de huit Falcon 50M en mars dernier. 





le tampon manque d'encre pour annoncer les 20000 heures de vol







Les équipages et avions partent régulièrement de la base d’aéronautique navale (BAN) de Lann-Bihoué pour assurer leurs missions au profit des commandements supérieurs (COMSUP) d’outre-mer, souvent confrontés à des problèmes d’immigration clandestine et de pêche illégale dans les zones économiques exclusives (ZEE) françaises. C’est dans ce cadre qu’un équipage de Falcon 50M (5 personnels navigants et 2 techniciens) est déployé sur l’île de Mayotte.


Ilots Choazil photo (c) JM Bergougniou


Chronologie d’une journée type de l’équipage xénon hotel

  • 06:00Charlie : Départ des deux techniciens de l’équipage vers l’avion pour effectuer une visite journalière (VJ) et le préparer pour le vol. Le décollage est prévu dans 2 heures.
  • 06:30C : Le pilote termine de télécharger les derniers éléments météorologiques. Il retrouve les quatre autres membres d’équipage pour se rendre à l’avion.
les iles du lagon photo (c) JM Bergougniou


  • 06:45C : Arrivé à l’avion, le pilote débute sa visite avant-vol (VAV) et chacun se prépare pour le briefing qui aura lieu dans l’avion. 
  • 07:05C : Début du briefing, le pilote présente les NOTAM (Notice To Airmen, messages aux navigants aériens) et la météo, élément impactant en cette saison des pluies (présence de nombreux cumulonimbus sur le trajet nécessitant des changements de route). Le radariste et le commandant d’aéronef (CDA) déterminent alors les trajectoires idéales en fonction des zones d’immigration et celles de pêche, du temps imparti et de la météo.


le balisage  du côté de Longoni photo (c) JM Bergougniou
  • 07:25C : Check-lists, mise en route de la turbine de puissance auxiliaire puis des trois moteurs, les routes et zones sont entrées dans l’ordinateur de bord (FMS), les paramètres de décollage déterminés. « Ready for taxi ».
le Conseil général photo (c) JM Bergougniou

  • 08:00C : L’avion aligné décolle. Une fois stabilisé, le travail de surveillance débute. Vue, radar et FLIR (Imagerie infrarouge) constituent les moyens de recherche à bord. L’équipage est concentré sur la recherche de « kwassa- kwassa », ces barques locales qui arrivent des îles voisines des Comores, chargées de clandestins. À l’issue de cette première phase de travail, départ vers les zones de pêche à surveiller. En l’occurrence ce jour, c’est la ZEE d’une des îles Éparses françaises, Europa.
  • 10:00C : Sur zone, l’équipage du Falcon 50M scrute les alentours de l’île. Les bateaux recherchés sont de petite taille en règle générale, souvent d’origine malgache, parfois asiatique.

le nord de Mayotte photo (c) JM Bergougniou

  • 10:47C : Se rapprochant progressivement de l’île, l’équipage perçoit la présence de plusieurs barques en situation de pêche. Passe photo et compte-rendu vers le contrôleur opérationnel, le
  • COMSUP de La Réunion. Une intervention ultérieure du patrouilleur Le Malin permettra d’appréhender les contrevenants.
  • 11:20C : Cap vers Mayotte, la tranche arrière commence à préparer les messages de compte-rendu.
photo (c) JM Bergougniou

  • 12:20C : Nouveau créneau de surveillance migratoire à proximité du lagon mahorais. Les cinématiques sont analysées en détails, de nombreuses barques de pêche nécessitent un passage pour les discriminer visuellement des « kwassa-kwassa ». 
  • 13:00C : L’avion se pose sur l’aéroport de Dzaoudzi. Moteurs éteints, les techniciens prennent le relais et configurent l’avion pour le lendemain.
  • 14:00C : Repas pris, l’équipage se rend au PC « action de l’État en mer » de la base navale de Dzaoudzi pour y envoyer les messages afférents au vol à peine terminé.
  • 15:00C : Mission accomplie. Déjà la préparation de la mission du lendemain débute !


le mont Choungui au fond et la passe en S photo (c) JM Bergougniou
VCSM L'ODET photo (c) JM Bergougniou



10 mars 2017

RHM MALABAR désarmement 7 mars 2017 Brest Marine nationale remorqueur Haute mer

RHM MALABAR désarmement Brest Recouvrance 7 mars 2017





RHM Malabar à Saint-Malo photo (c) JM BERGOUGNIOU



Construits aux chantiers Oelkers à Hambourg (Allemagne), les remorqueurs de haute mer (R.H.M.) Malabar et Tenace débutent leur carrière dans la Marine nationale respectivement le 3 février 1976 et le 15 novembre 1973.


Les RHM Malabar et Tenace sont des bâtiments fiables et économiques, leur étrave renforcée en fait un brise-glace de deuxième catégorie, des bateaux durs mais qui tiennent bien la mer, comme le décrivent les marins qui ont navigué à leur bord.
Bien plus qu’un simple remorqueur, les RHM sont des bâtiment atypiques aux missions variées.

La Marine a entériné le 14 novembre 2016, le retrait du service actif du remorqueur de haute mer Malabar au cours de l’année 2017. Ce remorqueur, basé à Brest et aujourd’hui âgé de 40 ans, devait initialement être désarmé en 2018. Cette décision d’avancer son retrait du service actif fait suite à une expertise détaillée du bâtiment réalisée au cours d’un arrêt technique programmé. Celle-ci a mis en évidence un vieillissement de la coque qui aurait nécessité des travaux trop importants au regard du potentiel restant du bâtiment.


RHM Malabar à Saint-Malo photo (c) JM BERGOUGNIOU

Le processus de désarmement de ce remorqueur de 50 mètres qui est armé par une trentaine de marins, doit débuter prochainement et se finaliser courant 2017. Le Malabar est un remorqueur de haute-mer, capable d’effectuer des missions de remorquage, de surveillance du trafic maritime, ou encore de police des pêches et de lutte contre la pollution maritime. Sa rusticité et sa robustesse lui ont permis, au cours de ses 40 années de missions, de naviguer en Atlantique et en Méditerranée. Il a notamment effectué des missions d’assistance aux navires de pêche au large de St Pierre et Miquelon, et plus récemment, une mission de connaissance du Grand Nord (2015) et de surveillance de la pêche au thon rouge en Méditerranée (2016).

RHM Malabar à Saint-Malo photo (c) JM BERGOUGNIOU


Le remorqueur de haute mer Tenace continuera d’assurer les missions afférentes à ce type de bateau sur la façade Atlantique : remorquage de bâtiments de combat et auxiliaires, sécurité et sauvetage de vies humaines au large, lutte anti-pollution, police des pêches, surveillance du trafic commercial.





RHM Malabar à Saint-Malo photo (c) JM BERGOUGNIOU



Longueur : 51 mètres

Largeur : 11,50 mètres
Tirant d'eau : 6 mètres
Tirant d'air : 24 mètres
Déplacement : 925 tonnes et 1500 tonnes en pleine charge
Vitesse : 14 nœuds
Distance franchissable : 9.500 nautiques à 13 nœuds
Autonomie : 40 jours et 32.000 milles nautiques à 12 nœuds sur deux moteurs
Traction au point fixe : 60 tonnes


RHM Malabar à Saint-Malo photo (c) JM BERGOUGNIOU
RHM Malabar la manille photo (c) JM BERGOUGNIOU


RHM Malabar la remorque photo (c) JM BERGOUGNIOU


RHM Malabar la remorque photo (c) JM BERGOUGNIOU


RHM Malabar les pavillons photo (c) JM BERGOUGNIOU


RHM Malabar table à cartes photo (c) JM BERGOUGNIOU


RHM Malabar lPorte-voix  photo (c) JM BERGOUGNIOU


RHM Malabar plage avant  photo (c) JM BERGOUGNIOU


RHM Malabar plage arrière  photo (c) JM BERGOUGNIOU


RHM Malabar la Neige à Saint-Malo photo (c) JM BERGOUGNIOU


RHM Malabar lNeige à Saint-Malo photo (c) JM BERGOUGNIOU



A noter l'erreur de destination, le pli a été livré à l'URSSAF Bretagne le 9 mars 2017 et l'a réintroduit le circuit postal. Le pli est arrivé le 10 mars.




Sources :

Marine nationale

Humour dans le carré par Donec Un aristocrate Général Biron

Armand-Louis de Gontaut Biron 
un Aristocrate 


Bonjour à tous,

Armand-Louis de Gontaut Biron, comte de Biron à sa naissance, marquis de Gontaut puis duc de Lauzun a eu la mauvaise idée de naitre en 1747 ce qui ne manqua pas de le mettre en fâcheuse position en 1793.
Il mena une vie tumultueuse et fut du dernier bien avec Marie Antoinette.
En 1780 sous les ordres de Rochambeau il devient colonel-propriétaire des volontaires étrangers de Lauzun. Il joue un rôle décisif dans la guerre d’indépendance notamment au siège de Yorktown.



En 1789, il est élu député aux états généraux par la noblesse du Quercy, se rallie à la Révolution et se fait appeler Général BIRON.
En 1793, général d’armée, il prend le commandement de l’armée de l’ouest contre les Vendéens. En désaccord avec la convention sur la façon de mener la guerre, il démissionne. Cette décision n’a pas l’heur de plaire aux autorités. Il est traduit devant le tribunal révolutionnaire où Fouquier Tinville lui règle son compte pour avoir passé sa vie au sein d’une cours corrompue et avoir rampé servilement sous un maître.



Il est condamné à mort. A l’arrivée du bourreau, il le prie de lui laisser terminer ses huitres et lui offre à boire.

« Vous devez avoir besoin de force au métier que vous faites ! »

Un aristocrate je vous dis !

A la semaine prochaine


Donec

09 mars 2017

La Gazette de l'Aéro n° 135 mars 2017

Gazette N° 135 Section Aéronautique Navale de Mars 2017

la Cathédrale de Lima photo (c) JM Bergougniou

Chères Amies Chers Amis,

Après un mois passé chez mon fils à Lima au PEROU, le retour est très difficile. Le changement est trop brusque, passer de 30° à 10° et surtout de passer d’un ciel bleu à un temps nuageux, venteux et très pluvieux. Enfin c’est ainsi.

Parlons de choses plus sérieuses

Je reste à la tête de la Section Aéronautique Navale


Pour un temps indéterminé.

A – Votre stock d’enveloppes en dépôt pour les nouveautés

Pensez à alimenter vos stocks d'enveloppes
Attention si vous avez moins de 10 enveloppes

B – Les prévisions

Je vous avais parlé de la Flottille 25 F dont le siège est en Polynésie Française « Papeete ». Un premier tampon a été réalisé pour le siège de la Flottille. Les enveloppes étant affranchies avec des timbres polynésiens, j’ai reçu les enveloppes certains membres chez moi.

Elles vous seront expédiées fin Avril, début mai

POURQUOI ?


J’ai expédié au Commandant en Second de la Flottille des enveloppes imprimées qui mémoriseront les 60 000 h des GARDIAN. La manifestation est prévue la semaine du 17 au 22 avril.

Je vous avais également indiqué que je souhaitais faire un tampon pour le détachement de Nouméa « Tontouta ». J’ai reçu le dessin le tampon doit me parvenir en fin de semaine.

Le jeu d’enveloppes avec (tampon du détachement, timbres de la Nouvelle Calédonie et oblitération de Nouméa) devraient me revenir, mais quand ? ? ?

J’aurai ainsi trois enveloppes à vous faire parvenir. Donc PATIENCE
Vous avez ci-dessous l’enveloppe de la 25 F




Je suis toujours en attente de recevoir les dessins des écoles de l’Aéronautique Navale

Bien amicalement

O. LAUDRIN

JE CHERCHE TOUJOURS UN REMPLACANT

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...