10 janvier 2017
Marion DUFRESNE OP4 2016 TAAF Escale à Crozet
Marion DUFRESNE OP4 2016 TAAF Escale à Crozet
Le MD a touché CROZET le 7 décembre 2016Parmi les passagers, l'OPEA Vincent Kerzerho, Agathe Caous médecin du MD, Anne Recoules coordinatrice Tourisme, Marc Boukebza, directeur de la philatélie, Jacques Sais le maître d'hôtel
Hugues Fertin Botaniste, l'équipage de l'hélicoptère HELILAGON Caduc-Aboley, Louis Chazeran médecin , Hippolyte...
TAAF Kerguelen premier jour Duboys de la Vigerie 1er octobre 2016
TAAF Kerguelen premier jour Bernard Duboys de la Vigerie 1er octobre 2016
Bernard Duboys de Lavigerie est entré dans l'univers polaire en étant recruté comme ionosphériste pour l'hivernage 1960-1962 en Terre-Adélie (TA11). Il venait de Thomson où c'est Ferdinand Gallet ancien iono de S3 (AGI 1958), qui l'avait orienté vers les EPF. Sa candidature était agréé par le Groupe Ionosphère du CNET qui supervisait alors l'ionosphère civile. Courant 1961, le Groupe de Recherches Ionosphériques (GRI) était en gestation - il sera officiellement créé en décembre - et commençait à se structurer.
Un ingénieur électronicien avait été recruté mais nous avait lâché après la campagne d'été de 1962 à Kerguelen. L'hivernage de Bernard en Terre-Adélie avait révélé toutes ses qualités aussi, avec Geneviève Pillet, avons-nous proposé à André Lebeau, alors directeur du GRI, de le recruter sur le poste laissé libre par la défection de notre ingénieur. Ce fut le début d'une carrière longue et agitée.

D'abord implanté dans des annexes provisoires du Laboratoire National de Radioélectricité (LNR) à Bagneux , le Groupe Ionosphère avait échoué sur le toit du CNET à Issy-les-Moulineaux - dans la fameuse baraque 15 - mais l'expansion rapide de son successeur, le GRI, obligea à trouver un nouveau point de chute : ce fut le Parc de l'Observatoire de Saint-Maur, établissement dépendant de l'Institut de Physique du Globe de Paris qui était l'une des composantes du GRI. Fin 1963, on était cinq dans les combles de l'observatoire, Bernard Duboys et son technicien fraîchement recruté, un mécanicien Michel Deslignes, Jean-Michel Cantin de l'IPG et moi-même. Une secrétaire, Marie Langerman, devait bientôt nous rejoindre. Une construction provisoire - mais toujours opérationnelle ! -, vaste mais rapidement trop petite, était en construction sous l'œil attentif de Bernard. Elle est occupée début 1964.
L'équipe "stations" s'y installe, Bernard en dirige le laboratoire d'électronique. Et le travail ne manque pas. L'année internationale du Soleil Calme apporte des crédits : on va renouveler les stations ionosphériques de Terre-Adélie, de Kerguelen et de Garchy. On importe des Riomètres pour lesquels il faut concevoir et réaliser les antennes, on remplace les anciens sondeurs 35/16 de l'AGI par un modèle suédois 1005W qui demande pour ses antennes des pylônes de 72m. Pour Dumont-d'Urville, où toutes les installations ne peuvent être centralisées, il faut imaginer et réaliser des systèmes de télésurveillance et de télécommande et être prêts à accueillir les tirs de fusées-sondes que prépare l'équipe de Jean-Jacques Berthelier pour l'été 1966-1967. On retrouve Bernard en campagne d'été, à Kerguelen en 1964-1965 et en Terre-Adélie en 1967. Entre les deux il a supervisé la construction d'un nouveau bâtiment à Saint-Maur.
Sources :
http://www.amaepf.fr/archives/arch_necro/notice_necro/duboys_de_lavigerie_bernard.htm
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En 1976, il avait créé l'AMAPOF, amicale regroupant les anciens des TAAF qu'il avait présidé jusqu'en 1997 |

D'abord implanté dans des annexes provisoires du Laboratoire National de Radioélectricité (LNR) à Bagneux , le Groupe Ionosphère avait échoué sur le toit du CNET à Issy-les-Moulineaux - dans la fameuse baraque 15 - mais l'expansion rapide de son successeur, le GRI, obligea à trouver un nouveau point de chute : ce fut le Parc de l'Observatoire de Saint-Maur, établissement dépendant de l'Institut de Physique du Globe de Paris qui était l'une des composantes du GRI. Fin 1963, on était cinq dans les combles de l'observatoire, Bernard Duboys et son technicien fraîchement recruté, un mécanicien Michel Deslignes, Jean-Michel Cantin de l'IPG et moi-même. Une secrétaire, Marie Langerman, devait bientôt nous rejoindre. Une construction provisoire - mais toujours opérationnelle ! -, vaste mais rapidement trop petite, était en construction sous l'œil attentif de Bernard. Elle est occupée début 1964.
L'équipe "stations" s'y installe, Bernard en dirige le laboratoire d'électronique. Et le travail ne manque pas. L'année internationale du Soleil Calme apporte des crédits : on va renouveler les stations ionosphériques de Terre-Adélie, de Kerguelen et de Garchy. On importe des Riomètres pour lesquels il faut concevoir et réaliser les antennes, on remplace les anciens sondeurs 35/16 de l'AGI par un modèle suédois 1005W qui demande pour ses antennes des pylônes de 72m. Pour Dumont-d'Urville, où toutes les installations ne peuvent être centralisées, il faut imaginer et réaliser des systèmes de télésurveillance et de télécommande et être prêts à accueillir les tirs de fusées-sondes que prépare l'équipe de Jean-Jacques Berthelier pour l'été 1966-1967. On retrouve Bernard en campagne d'été, à Kerguelen en 1964-1965 et en Terre-Adélie en 1967. Entre les deux il a supervisé la construction d'un nouveau bâtiment à Saint-Maur.
Sources :
http://www.amaepf.fr/archives/arch_necro/notice_necro/duboys_de_lavigerie_bernard.htm
Brest se prend pour une station de ski et les oeufs sont parfois brouillés Finistère Bretagne Penfeld capucins téléphérique
Brest se prend pour une station de ski et les oeufs sont parfois brouillés
L’aménagement des Capucins, c’est le grand dossier de la décennie pour Brest. Ce plateau surplombant la Penfeld était auparavant réservé à la Marine.
Revendu à Brest métropole, il doit devenir à terme une extension du cœur de ville. Cette semaine marque une grande étape avec le week-end de portes ouvertes à la médiathèque, avant son ouverture au public le 10 janvier. Le téléphérique, lui, a été remis en service jeudi et devrait tourner à plein ce week-end. Ouest-France
.Le téléphérique, en panne depuis dimanche, doit rouvrir à la circulation ce midi. Hier, il était en test. Entre ceux qui se moquent et ceux qui s'inquiètent, il n'y a guère que l'exploitant et le constructeur pour se montrer résolument optimistes.© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/finistere/brest/telepherique-sans-blague-il-repart-10-01-2017-11357476.php#JJk9xXeIDGoqooCL.99
Jusqu'au 19e siècle, le passage d’une rive à l’autre s’effectuait par un passeur, sur une grande barque prévue pour recevoir des passagers. Les Brestois devaient s’acquitter d’un droit pour la traversée.
Des témoignages rapportent les dérives courantes des bateliers, souvent ivres, qui laissaient la manœuvre aux passagers. Les accidents étaient fréquents et chaque noyade remettait en question le système des « passiers ».
Ce n’est qu’en 1836 que les gouvernants acceptent enfin d’étudier des propositions de conception d’un pont, à la suite des pétitions signées par les habitants de Recouvrance. Après maints projets délibérés et refusés, le conseil général des ponts et chaussées approuve celui des ingénieurs Cadiat et Oudry : le « Grand Pont » fut inauguré le 23 juin 1861
La remise en place du pont Gueydon, pont flottant entre les deux tours pivots de l’ancien pont National, n’eut lieu qu’en avril 1946, après dégagement des ruines. Grâce au pont Gueydon, les civils pouvaient franchir à pied la Penfeld en transitant par les portes Jean-Bart et Tourville.
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le jour de l'inauguration photo CB |
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carte valable pour un passage gratuit |
La remise en place du pont Gueydon, pont flottant entre les deux tours pivots de l’ancien pont National, n’eut lieu qu’en avril 1946, après dégagement des ruines. Grâce au pont Gueydon, les civils pouvaient franchir à pied la Penfeld en transitant par les portes Jean-Bart et Tourville.
Début 1949, une autre solution provisoire fut adoptée pour la circulation des voitures de tourisme, par le remplacement des caissons de bois du pont alors en place par des pontons métalliques. Cette adaptation quelque peu fragile est réalisée par les services de la Marine et de la DCAN.
Afin d’améliorer les conditions de transit d'une rive à l’autre, on envisage alors le recours au matériel laissé par les Alliés (en particulier le matériel Bailey) qui admet la circulation de camions jusqu'à 23 tonnes. Toutefois, le Génie exprime sa préférence pour le matériel allemand entreposé à Nouâtre-Maillé. Cette solution est adoptée début 1952.
Depuis quelques semaines, le téléphérique offre une nouvelle vue saisissante. Avec quoi en contrebas ? Une base militaire parfaitement interdite aux photos et vidéos ! Évidemment, cela fait belle lurette que les gendarmes maritimes ont lâché l'affaire. « Mais un photographe régulier et insistant finirait par être interpellé », commente-t-on sobrement à la préfecture maritime de Brest. La police nationale est également habilitée à débusquer les photographes insistants.
© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/finistere/brest/telepherique-sans-blague-il-repart-10-01-2017-11357476.php#JJk9xXeIDGoqooCL.99
© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/finistere/brest/telepherique-sans-blague-il-repart-10-01-2017-11357476.php#JJk9xXeIDGoqooCL.99
merci à Claude Bélec
09 janvier 2017
08 janvier 2017
Dernière position du convoi EMS PULL L'ASTROLABE
Dernière position du convoi
EMS PULL L'ASTROLABE
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EMS PULL et L'ASTROLABE dans le canal de Kiel photo (c) Oliver Sesemann |
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photo (c) miraflores shipspotting.com |
le convoi pourrait atteindre Concarneau le 11 janvier vers 11h00 Avis aux photographes et marcophiles...
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photo (c) miraflores shipspotting.com |
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