22 octobre 2016

Arromanches 3 Porte-avions Charles de Gaulle Chammal USS Ross GAN lutte contre terrorisme

Arromanches 3 Chammal

Porte-avions Charles de Gaulle



SPID ROISSY 20-10-2016


Actuellement déployé en Méditerranée orientale, le GAN intègre parmi ses escorteurs, depuis le début de sa mission Arromanches 3, le destroyer USS Ross. La présence d’un bâtiment américain dans le GAN est un signe fort de la coopération des deux marines déployées ensemble pour lutter contre le terrorisme au Levant : « les deux nations partagent une même vision des enjeux stratégiques du théâtre méditerranéen. Nos marines atteignent, à la mer, un très haut niveau d’interopérabilité », a souligné le VAE du Ché...




Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération Chammal est le volet français de l’opération OIR et mobilise aujourd’hui près de 4 000 militaires. A la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, l’opération Chammal repose sur deux piliers complémentaires : un pilier « formation» au profit d’unités de sécurité nationales irakiennes et un pilier « appui » consistant à soutenir l’action des forces locales engagées au sol contre Daech et à frapper les capacités militaires de Daech. 

USS ROSS

A ce jour, le dispositif complet de l’opération Chammal est structuré autour de trente-six Rafale (douze de l’armée de l’Air et vingt-quatre de la Marine nationale), d’un détachement d’artillerie CAESAR (Camion équipé d’un système d’artillerie), des bâtiments du groupe aéronaval, d’un avion de détection et de contrôle aéroportés E3F, d’un avion de ravitaillement C-135 FR, de deux avions E-2C Hawkeye et d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2. Il comprend également une centaine de militaires projetés à Bagdad et Erbil pour la formation et le conseil des états-majors et unités irakiennes.

21 octobre 2016

La FREMM LANGUEDOC à Montréal 2016

La FREMM LANGUEDOC à Montréal

J'ai loupé la FREMM Languedoc à peu de jours près.... Dommage.

VSPID 11215 23 sept. 2016


La dernière frégate multimission (Fremm) reçue par la Marine nationale est partie en soutien export (soutex) au Canada, où le besoin pour 12 frégates très armées s’est accéléré ces dernières semaines.

L’appel d’offres ne devrait plus tarder, permettant aux industriels, dont le français DCNS, de connaître précisément le besoin canadien. Fort de ses expériences brésilienne, singapourienne, indienne, malaisienne, égyptienne et bientôt australienne, DCNS devrait pouvoir défendre sans difficulté sa capacité en matière de savoir-faire.



Mais la principale difficulté reste que la France est peu implantée sur place : comme en Australie, c’est Thales qui est le plus solidement installé après avoir racheté des entreprises locales. Autre difficulté, les achats canadiens en France sont extrêmement modestes… comme ceux de la France au Canada.




Le Canada représente sans doute une des dernières possibilités d’exporter la Fremm, dont le bilan reste modeste : seulement deux clients exports (Égypte et Maroc) et une série française réduite de 19 à huit navires.

Selon la nature des besoins réels du Canada, DCNS pourrait aussi proposer sa future frégate de taille intermédiaire. Un dossier qui avance pour l’instant moins vite que prévu, en France

La ville deMontréal depuis le Mont Royal  photo JM Bergougniou


Je vais en profiter pour vous faire découvrir la ville de Montréal


Boïte à lettres photo JM Bergougniou

C'est l'explorateur breton Jacques Cartier, lors de son second voyage en Amérique en 1535 qui baptisa la montagne qui surplombe la ville. Dans son récit de voyage, il raconte: « Et parmi ces campagnes est située et assise la ville de Hochelaga près d'une montagne aux alentours labourés et fort fertiles et sur laquelle on voit fort loin. 



Nous nommâmes cette montagne le mont Royal. »Le choix de ce nom pourrait être attribuable à celui qui accompagnait Jacques Cartier le jour du débarquement sur cette île, Claude de Pontbriand, fils du seigneur de Montréal 





La ville de Montréal  le Mont Royal  photo JM Bergougniou
La ville occupe 74,5% des 482,8 km2 de l'île de Montréal, la plus vaste île fluviale de l'archipel d'Hochelaga, à la confluence du fleuve Saint-Laurent et de la rivière des Outaouais. 
L’île de Montréal est délimitée sur sa rive sud, d'Ouest en Est, par le lac Saint-Louis, les rapides de Lachine, le bassin de la Prairie et le fleuve Saint-Laurent proprement dit. Sur sa rive nord elle est baignée par le lac des Deux Montagnes puis par la rivière des Prairies. La ville s’étend en outre sur l'île Bizard, l'île des Sœurs, l'île Sainte-Hélène et l'île Notre-Dame.

Le Port et le Saint-Laurent  photo JM Bergougniou

Si les archéologues datent les premières présences humaines dans les basses-terres du Saint-Laurent du IVe millénaire av. J.-C., les plus anciens artefacts retrouvés sur l'île de Montréal ne datent que de quelques siècles avant l'arrivée des premiers explorateurs européens.

le portrait de Cartier au musée Ramezay   photo JM Bergougniou

Jacques Cartier est considéré comme le premier de ces explorateurs à avoir visité l'île de Montréal. Le 2 octobre 1535, selon le récit de son deuxième voyage en Amérique, il débarque sur l'île et se rend au village iroquois fortifié de Hochelaga, construit au pieds d'une colline qu'il nomme Mons realis (mont Royal en latin). Il estime la population de ce village à « plus de mille personnes ».


maquette de camp musée Ramezay   photo JM Bergougniou









Quand Samuel de Champlain explore à son tour le fleuve en 1603, près de 70 ans plus tard, il rapporte que les Iroquois n'occupent plus l'île de Montréal ni les basses-terres du Saint-Laurent. Cela serait due à l'émigration, aux épidémies de maladies européennes importées et aux guerres tribales. Hochelaga, le village décrit par Cartier, a disparu. 

Ceinture fléchée  musée Ramezay   photo JM Bergougniou


En 1611, Champlain établit un poste de traite saisonnier sur l'île de Montréal, dans un lieu qu'il nomme Place Royale à la confluence de la Petite Rivière et du fleuve Saint-Laurent (aujourd'hui Pointe-à-Callière). Il doit cependant se résoudre à l'abandonner puisqu'il ne peut la défendre contre les guerriers Mohawks.

En 1640, Jérôme Le Royer, sieur de La Dauversière obtient la possession de l'île de Montréal au nom de la société Notre-Dame de Montréal










Monument de Maisonneuve Place d'armes Montréal photo JM Bergougniou








La colonie connaît des débuts précaires. Face aux fréquentes incursions Iroquoises faisant prisonniers et tués, la cinquantaine de colons « montréalistes » sont souvent retranchés dans le fort Ville-Marie. Cette situation rend l'agriculture difficile à pratiquer. De plus, la Société Notre-Dame de Montréal n'arrive pas à convertir suffisamment d'Amérindiens pour assurer la croissance démographique. 



L'église de Bon-secours encore nommée église des marins photo JM Bergougniou



L'église de Bon-secours Sépulture de Marguerite Bourgeoys
photo JM Bergougniou


Maisonneuve est contraint de retourner en France pour recruter d'autres colons en 1653 et en 1659 ; ces efforts en amènent près de parmi lesquels sœur Marguerite Bourgeoys, la fondatrice de la Congrégation de Notre-Dame de Montréal en 1659. Ces nouveaux arrivants permettent le développement de l'agriculture, assurant la survie et le développement de Ville-Marie.


En 1663, la Nouvelle-France devient une province royale. Elle est placée sous le commandement du Conseil souverain de la Nouvelle-France qui relève de l'autorité directe de Louis XIV. La société Notre-Dame est dissoute la même année et Maisonneuve est renvoyé en France par le gouverneur Prouville de Tracy.


Maison du vieux Montréal  photo JM Bergougniou



La seigneurie de Montréal est cédée au séminaire Saint-Sulpice de Paris en 1665. 

Portrait musée Ramezay photo JM Bergougniou
Les sulpiciens influenceront de manière significative le développement de Montréal. La traite des fourrures devient, à partir de 1665, grâce à des interventions militaires françaises, une part principale de l'économie montréalaise. Les pelleteries en provenance de la rivière des Outaouais transitent à Ville-Marie qui compte plus de 600 habitants à cette époque. Les sulpiciens font borner les rues en 1672 puis la ville est fortifiée d'une palissade de pieux en 1687.














Pendant que Ville-Marie se développe, d'autres secteurs de peuplement apparaissent sur l'île. En amont des rapides du Sault-Saint-Louis sur le Saint-Laurent, un fief est concédé à l'explorateur René Robert Cavelier de La Salle, qui fonde Lachine en 1669. Au Sault-au-Récollet, au nord de l'île, sur la rivière des Prairies, une mission est fondée par les sulpiciens en 1696. Malgré quelques périodes de tranquillité, les guerres franco-iroquoises font de plus en plus de ravages dans la colonie à la fin du xviie siècle. On compte parmi les événements sanglants le massacre de Lachine du 5 août 1689.

Et puis Montréal c'est aussi la déclaration du général De Gaulle " Vive le Québec libre"


L'hôtel de ville de Montréal photo JM Bergougniou




Le général de Gaulle accompagné du Premier ministre québecois, Daniel Johnson, s'est rendu par la route de Québec à Montréal. Tout au long du trajet, il a reçu un accueil enthousiaste de la part de la population. Reçu à l'Hotel de ville par le maire de Montréal, M. Drapeau, il adresse à la foule massée sur la place une allocution improvisée dont le texte a pu être rétabli.















L'hôtel de ville de Montréal le balcon photo JM Bergougniou
En juillet 1967, le général de Gaulle effectue un voyage au Canada et, en digne représentant de la "mère-patrie", est reçu de façon triomphale au Québec. Ce triomphe se transformera en quasi-hystérie puis en quasi-incident diplomatique après son fameux discours du 24.07.1967 au balcon de l'Hôtel de Ville de Montréal et sa célèbrissime "petite phrase" : cortège officiel, foule en liesse, drapeaux français et québécois, et extrait : "Vive le Québec libre !"


Vive Montréal ! Vive le Québec !

Vive le Québec libre !

Humour dans le carré par Donec.... Lève rames!

Humour dans le carré par Donec.... Lève rames!


Bonjour à tous,


Parlons du cipal-fusco* (déjà vu mais on ne s’en lasse jamais)

La masse musculaire du cipal-fusco est supérieure à son poids total.

Si la lumière va plus vite que le cipal-fusco c’est qu’elle a peur de lui.

Quand le cipal-fusco dit qu’il va « jeter un œil », il ne parle pas du sien.

Un jour le père Noël a frappé à la porte du cipal-fusco, depuis il passe par la cheminée.



Le cipal-fusco ne ment pas, c’est la vérité qui se trompe.

Le cipal-fusco n’essaie pas. Il réussit.

Le berger allemand du cipal-fusco a mis une pancarte devant sa maison : « attention cipal-fusco »

Quand le cipal-fusco embarque la mer s’apaise.

Quand le cipal-fusco passe les livres et les annuaires se ferment.

Quand le cipal-fusco fixe le compas le nord passe au sud.

Quand le cipal-fusco dit « hein ? » personne ne dit deux.

Quand le cipal-fusco entre au carré, le maître d’hôtel laisse un pourboire.

Quand le cipal-fusco s’est mis au judo, David Douillet s’est mis aux pièces jaunes



Le cipal-fusco est le seul à avoir une bible dédicacée.

Le cipal-fusco n’a pas reçu son brevet supérieur, il l’a pris

Si le cipal fusco pisse face au vent, le vent tourne.

Le cipal fusco peut claquer une porte étanche fermée.

Le cipal-fusco compte jusqu’à l’infini plus un.

Certains portent une panoplie de Superman. Superman porte l’uniforme du cipal-fusco

Le cipal-fusco n’a pas besoin de montre, il décide de l’heure.

Dieu a dit « que la lumière doit », le cipal-fusco ajoute « on dit s’il vous plait ! »

La seule chose qui arrive à la cheville du cipal-fusco ce sont ses chaussettes et il n’en porte pas

Un jour au carré OMS le cipal fusco a commandé un steak et le steak a obéi.

Dieu voulait créer l’univers en 10 jours le cipal-fusco lui en a donné 7.

Malheureusement il est seul, les femmes se détournent de lui, seuls quelques éphèbes à la démarche chaloupée le suivent des yeux…

A la semaine prochaine

Donec

*Cipal fusco : maître principal fusilier marin commando. Il exerce souvent à bord des unités de la Marine la Police à bord. Il est alors surnommé « bidel »

20 octobre 2016

Mission Arromanches 3

Mission Arromanches 3

Qu’elle soit déployée en temps de paix, de crise ou de conflit, la force aéromaritime française de réaction rapide (FRMARFOR) est organisée et équipée pour s’engager dans une mission nationale, ou au sein de l’Otan, de l’Union européenne ou d’une coalition. FRMARFOR fait ainsi partie des structures qualifiées pour opérer au sein de la force de réaction rapide de l’Otan (Nato Response Force, ou NRF).



« Le groupe aéronaval avec le porte-avions Charles de Gaulle sera de nouveau déployé au sein de l’opération Chammal à l’automne car nous devons frapper et détruire ceux qui nous ont agressés, ici, en janvier et en novembre 2015 »
François Hollande, le 13 juillet 2016






« La France est l’un des principaux contributeurs de la coalition, notamment grâce aux chasseurs de l’armée de l’air déployés depuis deux ans en Jordanie et dans le Golfe arabo-persique. Le déploiement d’une batterie d’artillerie et du groupe aéronaval, composé exclusivement de Rafale pour la première fois, renforce de manière significative nos capacités d’actions d’appuyer les forces au sol dans la reprise de Mossoul. »
Jean-Yves Le Drian

Pour la troisième fois en deux ans, le Président de la République a décidé de déployer le GAN pour intensi er le combat contre Daech et accélérer sa chute en Irak et en Syrie. 





Le déploiement du porte-avions Charles de Gaulle permettra de renforcer le dispositif militaire français opérant déjà sur zone, à terre et dans les airs. 






















Cette mission du GAN est baptisée Arromanches 3. C’est la troisième à prendre le nom du port artificiel allié établi en Normandie en 1944 mais également du porte-avions français loué par la Royal Navy en 1946.




Véritable « ligne de vie» entre la terre et la mer pour le groupe aéronaval, la Marne garantit son autonomie en combustibles, vivres, munitions, médicaments et matériels de rechange.

Le groupe aéronaval français : des moyens complémentaires 

Le porte-avions Charles de Gaulle


L’état-major embarqué : 

force aéromaritime de réaction rapide (FRMARFOR)


Moyens aéronautiques :

- Avion Rafale Marine
- Avion E-2C Hawkeye
- Avion de patrouille maritime Atlantique 2 - Hélicoptère Dauphin Pedro
- Hélicoptère Alouette III
- Hélicoptère Caïman Marine


Moyens de surface
- FDA Chevalier Paul
- FAA Cassard
- FASM Jean de Vienne
- BCR Marne
- Frégate allemande FGS Augsburg - Frégate américaine USS Ross


Moyen sous-marin :
- Sous-Marin Nucléaire d’Attaque (SNA)





La FASM constitue un outil militaire puissant, capable d’intervenir seul ou au sein d’une force interarmées nationale ou multinationale, en tout point des mers où la France a décidé d’agir. La FASM Jean de Vienne embarque deux hélicoptères lynx, dont la vocation principale est la lutte anti-sous- marine.




http://www.acoram.fr/wp-content/uploads/2016/10/20161005_NP_SIRPAM_Arromanches-3.pdf

19 octobre 2016

CORYMBE 134 BPC DIXMUDE Lomé Togo Union africaine

CORYMBE 134 BPC DIXMUDE 
Lomé Union Africaine


Cachet V SPID 10270 en date du 05 sep. 2016


Lomé le port de pêche et le port pétrolier
Depuis lundi dernier, Lomé est l’attraction pour l’occasion du Sommet de l’UA (Union Africaine) sur la Sécurité et la Sûreté maritime, dont l’épilogue sera la signature le 15 Octobre prochain d’une charte dite de Lomé et dont les représentants permanents des pays membres de l’Union Africaine y travaillent depuis hier mardi. 

Lomé le bâtiment du rassemblement du peuple togolais (RPT) 
Pour ce sommet, on peut constater la Marine française a décidé de jouer un rôle capital aux côtés du Togo. C’est donc à cet effet que dans le cadre de l’opération Corymbe 134, deux navires de la Marine française sont dans les eaux togolaises, au moment où, se tient à Lomé les activités parallèles au sommet sur la sûreté, la sécurité et le développement en Afrique. Il s’agit du bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude et l’Aviso Commandant Ducuing.
Pour info, l’opération Corymbe 134 assure depuis 1990 de façon ininterrompue, la sécurité d’une zone d’opération qui couvre le Sénégal jusqu’au nord des côtes angolaises. Elle est exécutée par une force aéromobile et amphibie composée, en tenant compte des cas et mais aussi des circonstances, d’un ou plusieurs bâtiments de la Marine française renforcés ponctuellement par des moyens terrestres embarqués.





On peut noter que cette assistance sécuritaire au Sommet de Lomé, vient encourager le Togo dans son objectif de renforcer, de maîtriser et d’anticiper les risques liés à l’insécurité maritime. Aussi renforce-t-elle la coopération entre la France et le Togo à travers leurs Marines respectives.

Fin de cette assistance de l’opération Corymbe 134, le 15 Octobre prochain, soit le jour de la fin du Sommet de Lomé.

DLD FREMM LANGUEDOC

DLD FREMM LANGUEDOC 

Le déploiement de longue durée est une étape décisive de la vérification des capacités militaires du bâtiment, avant son admission au service actif. Il s’agit d’une période à la mer effectuée loin, longtemps et en équipage, afin de mettre à l’épreuve le bâtiment et ses systèmes et de permettre sa totale appropriation par les marins.


L’équipage, renforcé de quelques marins du Groupe de Transformation et de Renfort (GTR) Toulon, éprouvera dans la durée et dans des conditions environnementales nouvelles son bâtiment. Le but : vérifier et valider ses capacités et son fonctionnement en mer avant son admission au service actif. Ses radars, ses sonars, ses capteurs, sa propulsion ou encore son système de combat sont autant de technologies qu’il faudra tester. Ce déploiement permettra également de poursuivre les entrainements du duo FREMM-CAIMAN, notamment dans le domaine de lutte anti-sous-marine.

Le Languedoc fait escale à Halifax, en Nouvelle-Écosse, principale base navale canadienne en Atlantique pour participe à l’exercice «Cutlass Fury 2016», du 9 au 23 septembre 2016.

À dominante anti-sous-marine, cet entraînement opérationnel multinational rassemble près de 3.000 marins et 18 unités des marines canadienne, américaine, britannique, espagnole et française : avions de chasse, avions de patrouille maritime, frégates, pétroliers-ravitailleurs, sous-marins nucléaires d’attaque.

Une escale originellement prévue à Norfolk a été annulée



La Marcophilie navale Bulletin n° 120

La Marcophilie navale 
Bulletin n° 120

Le bulletin de la Marcophilie navale N° 120 d'Octobre 2016 est paru



A l'intérieur outre l'éditorial du président Claude Arata vous pourrez lire plusieurs articles concernant : 


  • URAGA la Marine nationale et un marcophile japonais par Muneo Hagino
  • Base navale de Malte le transport atelier Tourville par Henri Aguilera
  • Le Mousquet par Roseline Giletto
  • Marie-Ange Glâtre second maître à bord du Vinh-Long par Jean-Michel Bergougniou





et bien entendu la vie des sections

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Et pour finir le rappel du Trésorier invitant à régler la cotisation annuelle qui reste à 20€


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Le Kallisté/D
267 Bd Charles Barnier
83000 Toulon










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Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...