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21 octobre 2016

La FREMM LANGUEDOC à Montréal 2016

La FREMM LANGUEDOC à Montréal

J'ai loupé la FREMM Languedoc à peu de jours près.... Dommage.

VSPID 11215 23 sept. 2016


La dernière frégate multimission (Fremm) reçue par la Marine nationale est partie en soutien export (soutex) au Canada, où le besoin pour 12 frégates très armées s’est accéléré ces dernières semaines.

L’appel d’offres ne devrait plus tarder, permettant aux industriels, dont le français DCNS, de connaître précisément le besoin canadien. Fort de ses expériences brésilienne, singapourienne, indienne, malaisienne, égyptienne et bientôt australienne, DCNS devrait pouvoir défendre sans difficulté sa capacité en matière de savoir-faire.



Mais la principale difficulté reste que la France est peu implantée sur place : comme en Australie, c’est Thales qui est le plus solidement installé après avoir racheté des entreprises locales. Autre difficulté, les achats canadiens en France sont extrêmement modestes… comme ceux de la France au Canada.




Le Canada représente sans doute une des dernières possibilités d’exporter la Fremm, dont le bilan reste modeste : seulement deux clients exports (Égypte et Maroc) et une série française réduite de 19 à huit navires.

Selon la nature des besoins réels du Canada, DCNS pourrait aussi proposer sa future frégate de taille intermédiaire. Un dossier qui avance pour l’instant moins vite que prévu, en France

La ville deMontréal depuis le Mont Royal  photo JM Bergougniou


Je vais en profiter pour vous faire découvrir la ville de Montréal


Boïte à lettres photo JM Bergougniou

C'est l'explorateur breton Jacques Cartier, lors de son second voyage en Amérique en 1535 qui baptisa la montagne qui surplombe la ville. Dans son récit de voyage, il raconte: « Et parmi ces campagnes est située et assise la ville de Hochelaga près d'une montagne aux alentours labourés et fort fertiles et sur laquelle on voit fort loin. 



Nous nommâmes cette montagne le mont Royal. »Le choix de ce nom pourrait être attribuable à celui qui accompagnait Jacques Cartier le jour du débarquement sur cette île, Claude de Pontbriand, fils du seigneur de Montréal 





La ville de Montréal  le Mont Royal  photo JM Bergougniou
La ville occupe 74,5% des 482,8 km2 de l'île de Montréal, la plus vaste île fluviale de l'archipel d'Hochelaga, à la confluence du fleuve Saint-Laurent et de la rivière des Outaouais. 
L’île de Montréal est délimitée sur sa rive sud, d'Ouest en Est, par le lac Saint-Louis, les rapides de Lachine, le bassin de la Prairie et le fleuve Saint-Laurent proprement dit. Sur sa rive nord elle est baignée par le lac des Deux Montagnes puis par la rivière des Prairies. La ville s’étend en outre sur l'île Bizard, l'île des Sœurs, l'île Sainte-Hélène et l'île Notre-Dame.

Le Port et le Saint-Laurent  photo JM Bergougniou

Si les archéologues datent les premières présences humaines dans les basses-terres du Saint-Laurent du IVe millénaire av. J.-C., les plus anciens artefacts retrouvés sur l'île de Montréal ne datent que de quelques siècles avant l'arrivée des premiers explorateurs européens.

le portrait de Cartier au musée Ramezay   photo JM Bergougniou

Jacques Cartier est considéré comme le premier de ces explorateurs à avoir visité l'île de Montréal. Le 2 octobre 1535, selon le récit de son deuxième voyage en Amérique, il débarque sur l'île et se rend au village iroquois fortifié de Hochelaga, construit au pieds d'une colline qu'il nomme Mons realis (mont Royal en latin). Il estime la population de ce village à « plus de mille personnes ».


maquette de camp musée Ramezay   photo JM Bergougniou









Quand Samuel de Champlain explore à son tour le fleuve en 1603, près de 70 ans plus tard, il rapporte que les Iroquois n'occupent plus l'île de Montréal ni les basses-terres du Saint-Laurent. Cela serait due à l'émigration, aux épidémies de maladies européennes importées et aux guerres tribales. Hochelaga, le village décrit par Cartier, a disparu. 

Ceinture fléchée  musée Ramezay   photo JM Bergougniou


En 1611, Champlain établit un poste de traite saisonnier sur l'île de Montréal, dans un lieu qu'il nomme Place Royale à la confluence de la Petite Rivière et du fleuve Saint-Laurent (aujourd'hui Pointe-à-Callière). Il doit cependant se résoudre à l'abandonner puisqu'il ne peut la défendre contre les guerriers Mohawks.

En 1640, Jérôme Le Royer, sieur de La Dauversière obtient la possession de l'île de Montréal au nom de la société Notre-Dame de Montréal










Monument de Maisonneuve Place d'armes Montréal photo JM Bergougniou








La colonie connaît des débuts précaires. Face aux fréquentes incursions Iroquoises faisant prisonniers et tués, la cinquantaine de colons « montréalistes » sont souvent retranchés dans le fort Ville-Marie. Cette situation rend l'agriculture difficile à pratiquer. De plus, la Société Notre-Dame de Montréal n'arrive pas à convertir suffisamment d'Amérindiens pour assurer la croissance démographique. 



L'église de Bon-secours encore nommée église des marins photo JM Bergougniou



L'église de Bon-secours Sépulture de Marguerite Bourgeoys
photo JM Bergougniou


Maisonneuve est contraint de retourner en France pour recruter d'autres colons en 1653 et en 1659 ; ces efforts en amènent près de parmi lesquels sœur Marguerite Bourgeoys, la fondatrice de la Congrégation de Notre-Dame de Montréal en 1659. Ces nouveaux arrivants permettent le développement de l'agriculture, assurant la survie et le développement de Ville-Marie.


En 1663, la Nouvelle-France devient une province royale. Elle est placée sous le commandement du Conseil souverain de la Nouvelle-France qui relève de l'autorité directe de Louis XIV. La société Notre-Dame est dissoute la même année et Maisonneuve est renvoyé en France par le gouverneur Prouville de Tracy.


Maison du vieux Montréal  photo JM Bergougniou



La seigneurie de Montréal est cédée au séminaire Saint-Sulpice de Paris en 1665. 

Portrait musée Ramezay photo JM Bergougniou
Les sulpiciens influenceront de manière significative le développement de Montréal. La traite des fourrures devient, à partir de 1665, grâce à des interventions militaires françaises, une part principale de l'économie montréalaise. Les pelleteries en provenance de la rivière des Outaouais transitent à Ville-Marie qui compte plus de 600 habitants à cette époque. Les sulpiciens font borner les rues en 1672 puis la ville est fortifiée d'une palissade de pieux en 1687.














Pendant que Ville-Marie se développe, d'autres secteurs de peuplement apparaissent sur l'île. En amont des rapides du Sault-Saint-Louis sur le Saint-Laurent, un fief est concédé à l'explorateur René Robert Cavelier de La Salle, qui fonde Lachine en 1669. Au Sault-au-Récollet, au nord de l'île, sur la rivière des Prairies, une mission est fondée par les sulpiciens en 1696. Malgré quelques périodes de tranquillité, les guerres franco-iroquoises font de plus en plus de ravages dans la colonie à la fin du xviie siècle. On compte parmi les événements sanglants le massacre de Lachine du 5 août 1689.

Et puis Montréal c'est aussi la déclaration du général De Gaulle " Vive le Québec libre"


L'hôtel de ville de Montréal photo JM Bergougniou




Le général de Gaulle accompagné du Premier ministre québecois, Daniel Johnson, s'est rendu par la route de Québec à Montréal. Tout au long du trajet, il a reçu un accueil enthousiaste de la part de la population. Reçu à l'Hotel de ville par le maire de Montréal, M. Drapeau, il adresse à la foule massée sur la place une allocution improvisée dont le texte a pu être rétabli.















L'hôtel de ville de Montréal le balcon photo JM Bergougniou
En juillet 1967, le général de Gaulle effectue un voyage au Canada et, en digne représentant de la "mère-patrie", est reçu de façon triomphale au Québec. Ce triomphe se transformera en quasi-hystérie puis en quasi-incident diplomatique après son fameux discours du 24.07.1967 au balcon de l'Hôtel de Ville de Montréal et sa célèbrissime "petite phrase" : cortège officiel, foule en liesse, drapeaux français et québécois, et extrait : "Vive le Québec libre !"


Vive Montréal ! Vive le Québec !

Vive le Québec libre !

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