02 août 2016

Aviso Colonial RIGAULT de GENOUILLY Pierre Le Conte imagier de Marine

Aviso Colonial RIGAULT de GENOUILLY par Pierre Le Conte "imagier de Marine" 


Le Rigault de Genouilly à Saigon Catinat Photo collection JM Bergougniou


Le Rigault de Genouilly est un aviso colonial de la classe Bougainville
Le PG-80 est mis sur cale aux Forges et Chantiers de la Gironde à Bordeaux le 7 juillet 1931, lancé le 18 septembre 1932 et admis au service actif le 14 mars 1934. 

Il reçoit le nom de l'amiral Rigault de Genouilly.





Aux ordres du CF Féraud il rejoindra l'escadre d'Extrême Orient en Mars 1934
Premier commandant de l'aviso colonial" Rigault de Genouilly". Il a conduit ce navire en Chine après un voyage de 8 mois, via les canaux de Patagonie. Une mission ethnologique se rendant à l'île de Pâques avait pris passage à bord. Un petit film a été réalisé par Pathé-Nathan lors de l'appareillage de Lorient le 2 mars 1934. (reportage réalisé par Pathé-journal intitulé « sur le Rigault de Genouilly, tour du monde du PJ 73, référence du sujet PJ 1934 226 8 du 7 mars 1934 », durée 2 minutes 24 secondes, sonore en noir et blanc. Aujourd'hui, c'est Gaumont qui conserve ces reportages).
Spécialité d’aéronautique, rallie le 1er juillet 1933, en provenance du Ministère de l’air, désigné pour suivre les travaux d’achèvement du RdG, à Bordeaux. (n° 24 du jeudi 15 juin 1933).

A l’issue de ses permissions de fin de campagne, le CF FERAUD prendra le commandement de l’aéronautique maritime de la 2ème région à Brest (décret du 26 et 28 novembre 1935). De plus, il est inscrit au tableau d’avancement 1936 pour le grade de Capitaine de Vaisseau. (n° 49 du 5 décembre 1935). (Parcours d'officier de la Royale)

Il avait en outre une catapulte et un seul appareil de reconnaissance et d'éclairage, hydravion à flotteurs Gourdou Leseurre GL-810.

L'hydravion du RdG sur une barge  collection JM Bergougniou

Le Gourdou-Leseurre GL-810 est un hydravion à flotteurs triplace d'observation embarqué. Il effectue son premier vol le 23 septembre 1930. 24 exemplaires seront construits pour l'Aéronautique navale française.

L'hydravion du RdG porté par la grue du bord collection JM Bergougniou

L'hydravion du RdG  collection JM Bergougniou

En mars 1934, après sa mise en service, il effectue une mission scientifique à l'île de Pâques où il arrive le 24 juillet 1934 pour débarquer une mission scientifique du Muséum national d'histoire naturelle.

Une partie de l'équipage en Afrique   collection JM Bergougniou

En mars 1938, un petit groupe de marins entame un voyage de Marseille à bord du cargo mixte Ville d'Amiens, vers Nouméa ou le Rigault de Genouilly prend en charge ce renfort de personnel, le dimanche 13 mars 1938. 

Le navire appareille pour Port-Vila et effectue un exercice avec le croiseur léger Jeanne d'Arc . Il poursuit sa croisière et arrivera à Papeete le 15 juin 1938. 



Il restera sur zone et appareillera pour Sydney. Le bâtiment sera repeint en gris. Le 20 février 1939 commence une campagne en extrême orient avec l'appareillage pour Saïgon. 

Marin à cheval lors de l'escale à l'île de Pâques collection JM Bergougniou


Il sera relevé par le Savorgnan de Brazza. Puis, après un voyage vers la Chine (Shanghai), il entame une campagne dans l'océan Indien le 10 octobre 1939. Une relève du personnel interviendra le 6 mars 1941 à Diego Suarez.



Le 3 juillet 1940, alors que se déroule la bataille de Mers el-Kébir, l'aviso se trouve stationné à Oran. Il sort rapidement du port pour tenter de rejoindre l'escorte du cuirassé Strasbourg, mais sa vitesse ne lui permet pas. Il fait alors demi-tour, et tombe alors face à l'escadre anglaise. Dans un bref échange de coups de canons, le Rigault de Genouilly est endommagé par le croiseur Enterprise, le navire français retournant 19 coups de 138 mm, sans succès. L'aviso ne faisant pas partie des objectifs des anglais, l'engagement est interrompu. 

Il est coulé le lendemain devant Alger, au large du Cap Matifou, par le sous-marin anglais HMS Pandora. Le sous-marin britannique l'avait en effet pris pour un croiseur. Le naufrage fait 12 morts. À la suite de cette dramatique erreur, l'amirauté britannique présentera ses excuses à l'ambassade de France.



















Sources :


Liste de l'équipage sur le site ALAMER

http://alamer.fr/index.php?NIUpage=35&Param1=66

01 août 2016

Saint-Nazaire Naval 1939

Saint-Nazaire Naval 1939

Saint-Nazaire Entrée des bassins photo (c) JM bergougniou


Saint-Nazaire n'est pas et n'a jamais été un arsenal militaire, mais l'État français et la marine militaire ont souvent commandé des bateaux de guerre aux chantiers navals de Saint-Nazaire, comme plusieurs sous-marins 1 500 tonnes dont le Casablanca.

Les bureaux navals côtiers ont été installés dans des ports importants de France et d'Afrique du nord. Ils ont commencés de fonctionner à partir du 2 septembre 1939


Au milieu des années 1930, la marine commande un cuirassé, le Jean Bart. Sa construction est encore en cours quand la guerre éclate. Sa sortie des chantiers et son départ pour le Maroc est réalisée de nuit avec les Allemands aux portes de la ville. Pendant l'occupation, les Allemands se sont servis des outils industriels pour l'effort de guerre et la réparation de leur arsenal militaire (construction de la base sous-marine).

Saint-Nazaire la base sous-marine photo (c) JM Bergougniou





Saint-Nazaire Entrée de la forme Joubert photo (c) JM Bergougniou
Le bureau deviendra le bureau n° 13  de la Poste navale anonyme.

Dragueur Algol Cherbourg Arsenal Marine

Dragueur Algol Cherbourg Arsenal Marine


Nous avons déjà eu l'occasion de parler de ces dragueurs de la classe Sirius 
Algol était propulsé par deux générateurs à pistons libres Sigma-Pescara
Algol (BBêta de Persée en français, en abrégé β Per) est une étoile variable à éclipses de la constellation de Persée, de magnitude 2, qui varie périodiquement tous les 2 jours et 21 heures environ. Algol a un compagnon sombre qui l'occulte et est responsable de sa baisse de luminosité, il s'agit donc d'une binaire à éclipses 


http://envelopmer.blogspot.fr/2012/12/dragueur-cotier-classe-sirius-phenix.html



Algol était basé à Cherbourg avant de rejoindre La Pallice.

TAD CHERBOURG-ARSENAL MARINE-MANCHE 17-3-1969



Les dragueurs de type D étaient équipés de dragues mécaniques, magnétiques, acoustiques et d'une drague explosive :
  • Drague mécanique : De type Oropesa (OD1), elle était capable de sectionner les orins des mines à contact. Les brins de drague étaient armés de cisailles, statiques ou explosives. Il était possible de faire du dragage attelé à deux ou plusieurs dragueurs.
  • Drague magnétique : au début de leur carrière, les bâtiments étaient équipés de dragues à boucles symétriques MB1, MB3 et MB4. À partir de 1960, le dragage acoustique se faisant à la traîne, ils ont reçu des dragues MB5 dissymétriques dont la boucle était déployée sur tribord. L'alimentation de la drague magnétique était assurée par un groupe électrogène de 550 ch.
  • Drague acoustique : d'abord équipés de dragues à l'aplomb (AM1, AO1, AP1). Ce type de dragage étant trop dangereux car la mine pouvait exploser sous la coque, ils ont été équipés de dragues à la traîne AM1 et AP1 modifiées, filées sur bâbord. Le touret du câble d'alimentation avait été installé sur le rouf de drague, derrière la cheminée, à la place du canon de 20 mm.
  • Drague explosive : la drague AE1 était destinée à influencer les mines acoustiques.

À partir de 1960 un touret a été installé sur le rouf de drague à la place du canon de 20mm. Le câble électrique, enroulé sur ce touret, servait à alimenter une drague acoustique filée à la traîne et non plus immergée à l'aplomb de la coque, améliorant ainsi l'autoprotection du bâtiment.

31 juillet 2016

EUROPA 30 mars 2016

EUROPA 30 mars 2016


Quelques plis reçu d'Europa il y a quelques jours et un texte sympa (2009) repris des TAAF sur la collection des timbres TAAF 

Un paradis pour “timbrés” 


Comme toutes les terres inaccessibles, les Éparses ont leurs petits souvenirs uniques : les timbres et coups de tampons qui vont avec sont une véritable institution et font le bonheur des passionnés. C’est le rituel avant chaque arrivée sur île. Réunis autour du commandant de bord et du vaguemestre, les touristes s’installent pour la traditionnelle séance de “tamponnage”. On sait que l’envoi de courrier depuis un navire apporte son lot de tampons pittoresques qui ne feront certes pas arri- ver le courrier plus vite, mais lui donneront tout le “cachet” des missives lointaines. Tampon du bateau, du commandant, du responsable des opérations, des scientifiques à bord, et même des journalistes présents... tout juste s’il reste encore de la place pour écrire une adresse !

Déjà 600 timbres émis par les Taaf

Le temps de l’escale, le courrier est débarqué sur l’île dans sa malle postale pour oblitération par le gendarme de l’étape, qui porte la casquette de gérant postal sur les Éparses. Le courrier dûment tamponné une nouvelle fois “in situ” remontera à bord et fera le trajet jusqu’à la Réunion, où il sera remis au centre de tri avant de reprendre la voie postale “normale.” Les Taaf et la philatélie, c’est une longue histoire. Pas moins de 600 timbres ont été émis, essentiellement pour les îles sub- antarctiques, depuis 1955. 


À endroits rares, timbres rares, et les collection- neurs l’ont bien compris. Les Taaf aussi, puisque cette marotte leur permet de récolter chaque année 1,5 million d’eu- ros, soit 6 % de leurs recettes annuel- les ! Aussi mettent-elles un soin tout particulier à la confection des timbres et tampons oblitérateurs.

Roger Venturini, Lorrain retraité de l’éducation nationale, fait partie de ces fondus de “marcophilie” (le fait de collectionner les coups de tampons sur les timbres et enveloppes) prêts à faire le voyage pour s’envoyer, et envoyer aux copains, quelques cartes postales mémorables. “En fait, je suis plus “taafiste” que “philatéliste”. Pour moi, c’est avant tout un moyen de faire durer le voyage”, explique ce grand connaisseur. “J’aimais le côté unique de la faune, de la flore, de ces îles. J’ai découvert les îles australes il y a 30 ans et depuis, je collectionne ce qui me permet d’en savoir plus.” Pour Roger, l’intérêt de ces “coups de tampons” est justement de pouvoir retracer tout le déroulement d’un voyage. “Grâce aux tampons, on sait qui était à bord, du cuisinier au scientifique, quel était le calendrier du bateau, ses escales. En regardant un tampon, on se demande de qui il s’agît, qu’est-ce qu’il faisait à bord... Ça m’a permis ainsi de me faire des notions d’astronomie, d’océanologie, grâce à de tampons de scientifiques repérés sur du courrier.”

Pour Roger, secrétaire d’une association de philatélistes spécialistes des pôles, l’UFPP-SATA, qui compte 450 membres en France, “la philatélie est surtout un prétexte pour vivre ma passion pour ces îles inaccessibles par avion de ligne. Paul-Émile Victor, que j’ai eu la chance de rencontrer, avait compris très vite l’intérêt que les îles australes pouvaient trouver dans la philatélie, et ce dès l’époque où seuls les hivernants demandaient l’envoi de courrier.” Si des pièces historiques peuvent atteindre 3 000 à 4 000 euros aux enchères, ce n’est en tout cas pas pour une prétendue valeur marchande que la plupart de ces “timbrés” s’intéressent à cet art. Car on parle bien d’art lorsque les Taaf

Pour Roger, grand collectionneur de timbres et tampons des Taaf, cette passion est avant tout “un moyen de faire durer le voyage.”

privilégient pour la réalisation des tim- bres la “taille-douce” au “offset”, ou font travailler des graveurs réputés comme l’illustrateur Claude Andréotto. Trois, quatre semaines après leur retour, nos voyageurs retrouveront ces petits bouts “d’ailleurs” en ouvrant leur boîte aux lettres. Une sensation qui vaut tout l’or du monde.  S.G.



Juan de Nova Radioamateurs mars avril 2016 prêt à poster PAP TAAF DX

Juan de Nova Radioamateurs 
mars avril 2016 prêt à poster


"Nous voici de nouveau « sur les ondes radios » depuis une des îles Eparses. C’est une équipe de 10 radioamateurs qui, après plus d’une année de préparation, a débarqué ce mardi 29 mars sur Juan de Nova.
Sous une chaleur accablante, et de nombreuses heures durant, nous avons assemblé nos équipements sur la plage nord de l’île, théâtre de notre opération pour les 2 semaines à venir. Une à une, chaque pièce du puzzle a pris sa place : tentes, antennes, réseau informatique et bien entendu les émetteurs/récepteurs.


Toutes les précautions sont prises afin que cette mission se déroule en parfaite harmonie avec la nature préservée de Juan de Nova.
Nos premiers signaux ont été émis le mercredi 30 mars en milieu d’après-midi. Les radioamateurs du monde entier qui avaient suivi attentivement nos préparatifs depuis le lancement du projet, nous attendaient impatiemment. Au moment où j’écris ces lignes, après seulement 48h, nous avons déjà réalisé environ 20 000 liaisons avec de nombreux pays. Ce rythme est conforme à nos espérances ; à nous de le conserver jusqu’au terme de la mission."







De manière quotidienne, nous étudions les conditions de propagation afin d’optimiser notre planning et profiter ainsi des conditions les plus favorables en fonction des heures et des destinations ciblées.
Sur place, la vie est organisée de façon à maintenir les stations actives tout au long de la journée et de la nuit. Le bâtiment météo/TAAF est utilisé pour cuisiner et se reposer. 20 mn de marche sont nécessaires pour rallier les deux sites. Les conditions de vie restent tout de même extrêmes. La chaleur rend chaque action très rapidement fatigante, d’autant plus en l’absence du moindre souffle de vent. Au coucher du soleil, nous rencontrons une autre contrainte avec les nuées de moustiques.



Priorité maintenant à la préservation des opérateurs radios afin de ménager l’équipe physiquement tout au long de la mission. Il en va de même pour le matériel qui demande une attention particulière avec ces températures élevées.






.../...Dès l’aube, les installations ont repris après un solide petit déjeuner. La chaleur était déjà intense alors que le soleil était tout juste au-dessus de la ligne d’horizon. Nous avons terminé le câblage électrique et l’aménagement de la zone dédiée au groupe électrogène. Une zone a été légèrement décaissée puis tapissée de bâches pour former un bac de protection au centre duquel nous avons placé les trois groupes électrogènes. Ce dispositif nous a permis de nous assurer qu’aucun fluide ne pourrait venir souiller le sol. Après une vérification technique, la mise en place de l’extincteur et le remplissage des différents fluides, nous avons lancé les trois groupes qui ont démarré sans le moindre problème. Le rodage et la première vidange avaient été effectués en métropole. Durant deux semaines ils ont donc fonctionné sans interruption, pas même pour effectuer le remplissage des réservoirs.


La pause du midi avec l’ensemble de l’équipe fut l’occasion d’effectuer un rappel sur l’ensemble des sujets. Malgré l’ampleur de la tâche et dans des conditions plus que délicates, la motivation et la rigueur des 10 membres de l’équipe n’a pas failli. Le monde entier nous attendait ! « Appel radio de FT4JA, expédition radioamateur depuis l’ile de Juan de Nova » ; Les émissions radio ont débuté en début d’après-midi le mercredi 30 mars. Instantanément des milliers de personnes ont tenté d’établir la liaison avec nous. Voilà 15 ans que tous attendaient ce moment...




Vous pourrez lire le compte rendu de la mission sur le site des TAAF d'où son tirés ces extraits et sur  le site des radioamateurs d'où sont extraites les photos


http://www.taaf.fr/Journal-de-l-expedition-de-radioamateurs-a-Juan-de-Nova

http://www.juandenovadx.com


Merci à l'UFPP-SATA pour le pli

30 juillet 2016

Le Monge en escale à Saint-Pierre et Miquelon

Le BEM Monge en escale à 
Saint-Pierre et Miquelon

Déployé durant plus de deux mois dans le cadre d'une mission de tir balistique, le bâtiment d'essais et de mesures Monge a retrouvé Brest le 20 juillet 2016


Flamme pour le bicentenaire de la rétrocession de Saint-Pierre et Miquelon à la France 



voir l'article ci-dessous pour le bicentenaire de la rétrocession :

http://envelopmer.blogspot.fr/2016/06/bicentenaire-de-la-retrocession-de_26.html


le Monge au mouillage au Petit Saint-Pierre
Le BEM Monge dans les bouchons
Le 23 juillet 2016, l’équipage a remis 600 kilogrammes de bouchons en plastique à l’association «Les Bouchons d’Amour » parrainée par M. Jean-Marie Bigard, qui récupère des bouchons en plastique usagés pour les recycler et acheter des fauteuils roulants à des personnes handicapées.
Ces bouchons sont issus de la collecte conduite pendant deux ans (2014 – 2016) par les habitants de l’archipel de St Pierre-et-Miquelon. Ils avaient été regroupés en 47 sacs postaux sous l’égide de l’équipage du patrouilleur Fulmar.
Lors de son bref passage à St Pierre le 13 juillet 2016, le Monge avait embarqué ces sacs afin de les acheminer jusqu’à Brest.





portion de la flamme de SPM... moitié du bicentenaire et quelques vagues


Le MONGE dans l'Atlantique nord



Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, exprime sa grande satisfaction après le succès du lancement d’un missile balistique stratégique M51 par le sous-marin nucléaire lanceur d’engins (SNLE) Le Triomphant, le vendredi 1er juillet 2016 à 9h18, depuis la baie d’Audierne (Finistère).




Il adresse ses très vives félicitations à l'ensemble des femmes et des hommes du ministère de la Défense, du Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) et des entreprises qui ont œuvré à sa réussite.

Le missile a été suivi tout au long de sa phase de vol par les moyens du centre d’essais de la Direction générale de l’armement (DGA), et le bâtiment d’essais et de mesures Monge. La zone de retombées se situe en Atlantique Nord à plusieurs centaines de kilomètres de toute côte. Comme toujours, cet essai a été effectué sans charge nucléaire et dans le strict respect des engagements internationaux de la France. Ce tir valide la capacité opérationnelle du système d’armes global du SNLE Le Triomphant et démontre à nouveau l’excellence de la haute technologie que les industries françaises mettent en œuvre dans ce 

domaine.



Autre portion de la flamme de SPM avec des vagues...


Le missile M51 équipe aujourd’hui trois des quatre sous-marins nucléaires lanceurs d’engins de nouvelle génération (SNLE-NG). Le passage de l’ensemble de la force océanique stratégique à cet armement est prévu d’ici la fin de la décennie.



toujours une portion de la flamme de SPM... avec le timbre à date



Sources :
http://www.colsbleus.fr/articles/8703


http://www.colsbleus.fr/articles/8613

http://la1ere.francetvinfo.fr/saintpierremiquelon/escale-du-monge-379599.html




Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...