29 juillet 2016

La Cancalaise Bisquine de Cancale CAN87 Bretagne Ille et Vilaine Bateau

La Cancalaise Bisquine de Cancale 
CAN87

Au XIXe siècle, les bisquines étaient des bateaux de travail typiques de la baie du Mont Saint Michel. Après les années 1940, victimes de la motorisation, les bisquines disparaissent du paysage, elles ne restent présentes que dans la mémoire des anciens. 

photo (c) JM Bergougniou

En 1984, le renouveau de la recherche sur les bateaux de travail incite une poignée de passionnés à créer une association pour construire et faire naviguer une bisquine. Grâce à Jean Le Bot qui en avait relevé les plans, « La Cancalaise » est construite sur le port de la Houle par des charpentiers de marine de la région et lancée « à l’ancienne » le 18 avril, 1987.

photo (c) JM Bergougniou


PAP Cancale représentant La Cancalaise et un Doris TAD illustré Fériales Littorales  20 21 juin 2009



Réplique bisquine La Perle, plans relevés sur épave par Jean Le Bot

photo (c) JM Bergougniou



photo (c) JM Bergougniou





Le gréement est typique des bisquines : gréement de lougre avec 3 étages de voiles totalisant 500 m² de toile en régates. La voûte est très importante pour des raisons d’économie. Les prix de construction étaient calculés sur la longueur de la quille. Une voûte importante permettait d’avoir une surface de pont maximum pour les lignes et cela pour un moindre coût. 

La reconstruction du bateau a été possible grâce à Jean Le Bot qui avait relevé les plans de l’épave d’une bisquine « La Perle », bisquine de Cancale de 1905. Il a fait don de ces plans à l’Association Bisquine Cancalaise. L’étude qu’il avait réalisée sur les techniques utilisées, le fonctionnement des bisquines, et l’environnement dans lequel les bateaux évoluaient a servi de référence pour la construction, l’équipement et aussi la navigation.

La Cancalaise à Bréhat photo (c) JM Bergougniou


Maître d'oeuvre : Raymond Labbé Chantiers; constructeurs : Chantiers Labbé « « Leclerc « « Fresneau








Année de construction  : 1987


Coque : type de construction, matériaux, formes particulières... :
Construction bois classique sur membrures, Carlingue tout chêne, Quille étambot et étrave en bois rouge, Pavois et pont en sapin, Mâts en pin d'orégon lamellé collé.



à la manoeuvre photo (c) JM Bergougniou




Pont et superstructures : description, matériaux :
Pont en sapin 3 capots en chêne, Banc de barre et barre franche en chêne.



Gréement : type, mâture, gréement courant, dormant, matériaux :
Type au tiers 3 mâts : grand mat, misaine tape cul. Bout dehors et queue de malet; Pin d'orégon lamellé collé

tout dessus photo (c) JM Bergougniou








Voilure : description, surfaces, matériaux :

Voiles avant : Grand foc – Petit foc – Jeanne d'Arc – Tourmentin – Bonnette -Misaine - 
Petit hunier – Petit Perroquet (3 étages de voiles) Grand voile – Grand hunier – Grand Perroquet (3 étages de voiles Tape cul – Hunier de tape cul 

En gréement de régates (avec perroquets et bonnette) la surface totale des voiles est d'environ 500 m². 
la table à cartes photo (c) JM Bergougniou


le beaupré poulies photo (c) JM Bergougniou

Jeu de voiles en Duradon pour la navigation quotidienne.

Voiles photo (c) JM Bergougniou






Emménagements : description, matériaux :
Cabine avant : gazinière inox – évier – toilettes – lavabo – table centrale - 12 couchettes Carré navigation – table à cartes – instruments de navigation – 3 couchettes Compartiment moteur Pic avant pour rangement voiles – cordages - défenses

à la manoeuvre photo (c) JM Bergougniou




Poulies photo (c) JM Bergougniou



Moteur(s) : type, puissance, année :
Moteur 180 CV – type Détroit Diesel – 1987 2 temps – injecteur pompe – 4 cylindres Le moteur est en bon état, mais l’entretien est chaque année plus exigeant et plus coûteux.




photo (c) JM Bergougniou
Quelques jours par an, la drague des huîtres était autorisée dans la baie. Jusqu’à 200 bateaux se rassemblaient en caravane dans la baie et mouillaient leurs dragues en même temps. Les bisquines étaient également des bateaux de régates très puissants. Les premières régates de Cancale remontent à 1845. La lutte était acharnée entre les bateaux. Pour les équipages, les prix remportés représentaient des gains substantiels.








Les bisquines étaient parfaitement adaptées aux pêches traditionnelles pratiquées dans la baie du Mont Saint Michel, le chalut, la drague et les cordes (lignes de fond). Au début du XXe siècle, 200 à 300 bisquines pratiquaient la pêche. 




Bastaque photo (c) JM Bergougniou


écoutes photo (c) JM Bergougniou



Flamme illustrée GRANVILLE représentant la Bisquine La Granvillaise


Les apôtres  allonges qui consolident le beaupré photo (c) JM Bergougniou





Paré à hisser? photo (c) JM Bergougniou



La Cancalaise à Morlaix entre Terre et Mer photo (c) JM Bergougniou







Toujours au taquet photo (c) JM Bergougniou







Epave à Bréhat photo (c) JM Bergougniou



Sémaphore de la pointe du Grouin



tarot photo (c) JM Bergougniou







Merci à Denis pour ses CPA 


Sources 

ABC


Patrimoine maritime


http://www.ouest-france.fr/bretagne/saint-malo-35400/le-deces-de-jean-le-bot-pionnier-du-patrimoine-maritime-579179


http://lacancalaise.org/media/documents/3779_Le_Grand_Perroquet_Octobre_2013.pdf

http://www.lacancalaise.org/fichiers/


Humour dans le Carré par Donec 29 juillet 2016 Paul Reynaud Georges Bidault

Un peu d'humour

Bonjour à tous,



Paul Reynaud fut un homme politique de premier plan. Avocat brillant et orateur talentueux. Indépendant en politique, il n’hésita jamais à nager à contre courant. Il dénonce en 1935 la dérive de nos forces armées et introduit Charles de Gaulle dans la boucle. En 1940 il est chef du gouvernement. Il ne put ou ne sut se débarrasser de personnages qui lui coupaient les ailes. L’histoire le balaya. Il nous reste de lui quelques déclarations maladroites et claironnantes : « La route du fer est coupée ! », « Nous gagnerons parce que nous sommes les meilleurs ! ».



Georges Bidault est l’homme remarquable qui succéda à Jean Moulin comme chef de la résistance. En 1925 il était sorti premier de l’agrégation d’histoire devant Pierre Brossolette et Louis Joxe, excusez du peu. Le 26 aout 1944 il descend les champs Elysée aux cotés du Général de Gaulle. Sa carrière politique sera ensuite quelque peu controversée. Il est un compagnon de la « dive bouteille ».

Ils se rencontrent un jour à la buvette de l’assemblée, Georges Bidault apostrophe Paul Raynaud : « Alors monsieur le président, la route du fer est-elle encore coupée ? »

Raynaud répond alors finement « Je n’en sais rien, mais je constate que celle du zinc reste ouverte ».


A la semaine prochaine

Donec

Donec a un blog et c’est pas une blague : http://donec.eu

27 juillet 2016

BREST 2016 LA CANCALAISE

BREST 2016 LA CANCALAISE


photo (c) JM BERGOUGNIOU

Lancée le 18 Avril 1987, "LA CANCALAISE" est la réplique de "LA PERLE", bisquine cancalaise de 1905, dont les plans avaient été relevés par Monsieur Jean LE BOT , auteur d’un ouvrage exhaustif sur les bisquines de Cancale et Granville.


photo (c) JM BERGOUGNIOU


photo (c) JM BERGOUGNIOU



Puissantes et manoeuvrantes, elles pratiquaient trois types de pêche :

  • le chalut
  • les grandes lignes
  • le draguage des huitres
photo (c) JM BERGOUGNIOU




Leur gréement au tiers leur permettait de porter jusqu’ à 450 m² de voilure. Elles s’affrontaient chaque année lors de régates acharnées. Elles sont apparues vers 1810 dans la baie du Mont Saint Michel.
photo (c) JM BERGOUGNIOU


A Cancale, la construction a véritablement démarré en 1843. Au début du XX ème siécle, 200 à 300 bisquines naviguaient dans la baie. Dans les années 1940, la pêche a connu un certain marasme et les patrons ont peu à peu abandonné les bateaux à voiles.


photo (c) JM BERGOUGNIOU

photo (c) JM BERGOUGNIOU



  • Longueur de coque : 18,10m
  • Longueur hors tout : 30m
  • Surface de voile : jusqu'à 450m2
La coque blanche c'est La Granvilaise photo (c) JM BERGOUGNIOU
Les bisquines avaient totalement disparu, mais des passionnés ont entrepris de les faire revivre à Cancale et à Granville. Ce projet de construction a commencé au chantier naval de Cancale dès 1985. La Cancalaise a été mise à l'eau le 18 avril 1987. Elle porte le gréement le plus important de tous les bateaux traditionnels.

photo (c) JM BERGOUGNIOU



Les bisquines portent sept à huit voiles au tiers plus un foc sur trois mâts.

Ces mâts, sans étais, sont simplement maintenus par deux "bastaques", une sur chaque bord, et le grand mât est fortement inclinés sur l’arrière.

Neuf voiles, donc. 

Foc, 
misaine, 
taillevent et 
tape-cul occupent le premier étage. 


photo (c) JM BERGOUGNIOU

Le petit et le grand huniers, 
ainsi que le hunier de tape-cul, sont hissés au second. 
Enfin, petit et grand perroquets à Cancale coiffent l'ensemble : 

ils culminent à 20 mètres au-dessus du pont, et ne servent qu'en régate, comme la bonnette. 

"Des voiles délicates à régler, mais primordiales, expliquent les anciens. Le perroquet c'est la plume qui fait voler l'oiseau...". 

Et la bonnette, c'est ce qui le fait planer : on établit cette voile au portant ... 

Pas étonnant qu'aujourd'hui encore, cette impressionnante envergure fasse s'envoler l'imaginaire et les rêves...



photo (c) JM BERGOUGNIOU

Si vous passez par Cancale vous pouvez embarquer en contactant l'association Bisquine Cancalaise



Mission Corymbe 133 Aviso LV Lavallée 08 juin 2016

Mission Corymbe 133 Aviso LV Lavallée 
08 juin 2016





Le 9 juin 2016, le Patrouilleur de haute mer (PHM) Lieutenant de vaisseauLavallée et le bâtiment de transport léger (BATRAL) La Grandière ont accosté en République Démocratique du Congo, dans le cadre de la mission Corymbe. A cette occasion, les deux bâtiments se sont mesurés au fleuve Congo, le plus puissant fleuve d’Afrique, surmontant les obstacles à la navigation, affrontant le courant et utilisant des cartes parfois anciennes. Ils ont rejoint l
e mouillage de Banana pour l’un et, plus en amont, la ville de Boma pour l’autre.




Aux côtés des marins congolais, les deux équipages ont entrepris de nombreuses actions de coopération. Le PHM Lieutenant de vaisseauLavallée a mené un exercice commun avec le patrouilleur congolais Moliro et son équipe de visite, avant de dispenser à terre expertises et formations dans des domaines aussi variés que la détection, les transmissions ou la mécanique. Le bâtiment La Grandière a quant à lui fait la démonstration de ses capacités amphibies devant les forces armées congolaises.

Partout, l’accueil réservé a été d’une grande qualité.

La sécurité maritime est un enjeu majeur pour la RDC. Le fleuve Congo est une artère vitale pour le pays. Il constitue un poumon économique avec le port de Boma. Il est aussi une frontière avec l’Angola et entre les deux Congo dont les capitales Brazzaville et Kinshasa se font face. Ses approches maritimes concentrent une forte activité offshore.

Avec le soutien de la France, l’inauguration en mars 2016 d’un nouveau centre opérationnel de la Marine à Banana permet un meilleur contrôle du trafic maritime et contribue à la protection des installations pétrolières, au contrôle des frontières maritimes, à la lutte contre la pêche illicite et l’immigration.

A travers la mission Corymbe, la Marine nationale est présente depuis plus de 25 ans dans le golfe de Guinée. Ses bâtiments contribuent à la protection des intérêts français dans cette zone stratégique. Ils soutiennent les initiatives régionales des pays riverains pour la sécurité maritime, à l’image de celle de la République Démocratique du Congo pour renforcer ses capacités de surveillance maritime.

le B2M D'Entrecasteaux à Tahiti

Le B2M D'Entrecasteaux à Tahiti


Le 28 juin au soir, suite à des renseignements photographiques parvenus par la Flottille 25F sur une susceptible pêche illégale de requins, le Bâtiment multi-missions (B2M) D’Entrecasteaux a été dérouté vers la zone où se trouvait le bateau suspect pour l’appréhender.


TAD Manuel PAPEETE Ile TAHITI

Selon une anecdote apocryphe à l'authenticité invérifiable, Louis XVI, passionné par la marine et l'exploration des mers, peu avant de passer sur l’échafaud, en1793, aurait demandé :

« A-t-on des nouvelles de Monsieur de La Pérouse ? »


Louis XVI désire rivaliser sur mer avec l'Angleterre. Les narrations des voyages de James COOK le font rêver... Il commandite une expédition de découverte et d'exploration de l'océan Pacifique à compter de 1785. Il confie les bâtiments La Boussole et L'Astrolabe à Lapérouse. Dans la mesure du possible, les bateaux doivent effectuer une circumnavigation.

Les navires de l'expédition, La Boussole et L'Astrolabe, s'échouent à Vanikoro ce qui mit un terme à l'expédition en 1788.


Bruni d'Entrecasteaux (BnF)


. Entre 1791 et 1794, une expédition à la recherche de Monsieur de Lapérouse est confiée au contre-amiral Antoine Bruny d'Entrecasteaux




Carte montrant l'itinéraire de Bruni de d'Entrecasteaux en Océan Indien  (BnF)




En 1825, Dumont d'Urville, alors capitaine de frégate, en est vivement frappé par le sort de cette expédition. Il prend la tête d'une nouvelle entreprise de circumnavigation qui part de Toulon le 25 avril. Il faut attendre 1826-1827 pour que le capitaine marchand Peter Dillon découvre les restes du naufrage à Vanikoro, Îles Santa Cruz (Îles Salomon), au nord du Vanuatu.


source : Tahiti-infos

Quels sont les atouts de ce bateau ? 
source : Tahiti-infos
Il faut voir le bâtiment comme un bâtiment multi-missions. Il est capable de faire toutes les missions de souveraineté dans les espaces ultramarins : des missions de service public, de remorquage, de police des pêches, tout le panel des missions de projection de forces... On peut déployer quelques militaires, quelques gendarmes un peu partout dans les îles. On peut assurer des missions de transport et de logistique. On a de grosses capacités de transport (200 tonnes de solide et 200 tonnes de liquide). Cela représente plus de six conteneurs.
C'est le bâtiment à tout faire des grands espaces économiques exclusifs. C'est un bâtiment qui sera très présent en mer. Il sera plus de 200 jours par an à la mer, ce qui lui donne une grosse capacité d'emploi.
Ce bateau est issu de la dernière génération des bâtiments militaires, qu'a-t-il de plus ?
Ce qu'il a en plus, c'est sa capacité à rester à la mer et sa polyvalence. Avant les bâtiments de la marine étaient plutôt spécialisés. Les patrouilleurs faisaient essentiellement des missions de police. Les remorqueurs faisaient du remorquage… C'est un bâtiment très polyvalent qui a besoin de moins d'entretien, ce qui lui permet d'être beaucoup plus fréquemment à la mer.

Sources :

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8494902q/f1.item.r=d'entrecasteaux.zoom

http://www.tahiti-infos.com/A-bord-du-navire-D-Entrecasteaux_a150843.html

http://www.defense.gouv.fr/ema/forces-prepositionnees/polynesie-francaise/actualites/fapf-le-b2m-d-entrecasteaux-mene-une-operation-de-police-des-peches-dans-l-ocean-pacifique

Merci à Daniel Allançon


source : Tahiti-infos

BREST 2016 Montimbramoi

BREST 2016 Collector Timbres







À l’occasion de la 7e édition des Fêtes Maritimes Internationales de Brest, du 13 au 19 juillet 2016, La Poste a décidé de promouvoir, par les timbres, ce grand événement maritime français.

En attendant la mi-juillet, c’est donc à travers une série de 10 timbres, que La Poste invite chacun à patienter et se préparer à embarquer pour cette formidable communion maritime.





Les différents visuels des timbres de ce collector ont été retenus pour illustrer un moment inoubliable de la précédente édition.

Que ce soit sur terre avec les villages, les parades nocturnes, les feux d’artifice ou sur mer avec la grande parade Brest-Douarnenez, ce collector revient sur différents temps forts de cet événement breton qui rayonne à l’international.





Édité à 10 000 exemplaires et disponible dans l’ensemble des bureaux de poste du Finistère et du Morbihan depuis le lundi 18 janvier 2016, ce collector de dix timbres permettra de faire découvrir ou redécouvrir les Fêtes Maritimes Internationales de Brest aux quatre coins de la France.





Le collector des « Fêtes Maritimes Internationales de Brest » contient 10 timbres autocollants à validité permanente prévus pour un envoi jusqu’à 20 g à destination de la France et acheminé en lettre verte.
Prix de vente : 9,50 €.





BREST 2016 JOEL LEMAINE LISA étiquette machine à affranchir TAD

BREST 2016 JOEL LEMAINE




L’Echo de la timbrologie de février consacrait quatre pages au peintre Joël Lemaine, né à Saint-Pierre et Miquelon en 1954, peintre hyperréaliste dont le talent mis au service des timbres-poste de l’archipel fait merveille, auteur en particulier du bloc-feuillet dédié à L’Hermione et à La Fayette.






Joël Lemaine, qui vit dans la région de Rennes aujourd’hui, a eu plusieurs vies avant d’en arriver là ! CAP de menuiserie en poche, il reprend l’entreprise familiale, puis se perfectionne en architecture à Metz, crée son bureau d’études à Vannes avant de devenir architecte d’intérieur.

Sans jamais avoir cessé de dessiner, puis de peindre ces dernières années. Il privilégie l’aquarelle, et a adopté un style hyperréaliste, privilégiant les thèmes maritimes, « avec la minutie d’un scientifique ». Son premier timbre prend place dans la série des « Vieux gréements », une Poulie trois nœuds étonnante, paru en 2013. Il a donc enchaîne et aussi dessiné des timbres à date pour le Carré d’Encre. Deux nouveaux timbres sont programmé par Saint-Pierre et Miquelon en 2016.
  • 65e Grands Prix de l'Art Philatélique - Catégorie DOM-TOM - 2015.
  • Sélectionné au 17e et 18e célèbre salon de Montgermont (35) 2012 et 2013.
  • Médaille d'or au 12e salon international GANFA Nantes - 2012.

Il réalise l'étiquette LISA des fêtes maritimes de Brest 2016 et le timbre à date représentant le château



Du fait de la vente de la LISA dans tous les bureaux de Poste de brest, ce sont cinq versions qui étaient disponibles, 

  • IER LISA 2 , 
  • IER Nabucco 1 (très rare) 
  • IER Nabucco 2 , 
  • Wincor Nixdorf et 
  • IER Nabanco.
La présentation de l’écran et l’ergonomie du NABANCO sont très différentes des automates Lisa 2, Nabucco IER et Wincor Nixdorf, déjà en service.



Sources :


http://joel-lemaine.e-monsite.com/album/

http://mondephilatelique.blog.lemonde.fr/2016/02/08/il-dessine-des-timbres-pour-saint-pierre-et-miquelon-joel-lemaine-dans-lecho-de-la-timbrologie/

http://blog.philapostel.net/?cat=26

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...