24 février 2014

Le Marion Dufresne de retour à la Réunion MD 197 MYCTO

Le Marion Dufresne retour à la Réunion MD 197 MYCTO



Les myctophidés constituent la principale ressource mondiale de poissons mésopélagiques. Ils jouent un rôle trophique pivot reliant le zooplancton aux prédateurs supérieurs, mais leur biologie reste encore peu connue. Ce paradoxe, lié à une exploitation future très probable, souligne l’urgence de collecter des informations sur leur distribution spatiale en relation avec les conditions océanographiques.


TAD manuel du 20-02-2014 Code ROC 24599 A - LE PORT - LA REUNION CC-T1
La campagne MYCTO va permettre d’évaluer dans l’Océan Indien Austral par acoustique et en validant par chalutage la distribution spatiale du micronecton pour caractériser ses habitats d’un point de vue physique et biologique.

Lors de la campagne MD 197/MYCTO plusieurs programmes seront réalisés :



VT 135/OHA-SIS-BIO-6 : Biologie Marine - Géosciences. Observation Hydroacoustique sismicité et biodiversité. Responsable : Jean-Yves ROYER (IUEM)
VT 136/OISO-23 : Biologie Marine - Chimie océanique - Océanographie physique. Variations du cycle du CO2 océanique, échanges air-mer associés, C02 anthropique dans l'océan. Responsables : Nicolas METZ (LOCEAN) / Claire LO MONACO (LOCEAN)
VT 137/MDCPR : Biologie Marine. Biogéographie du plancton de l'océan Austral. Responsable : Philippe KOUBBI (LOV)
VT 138/MAKER : Océanographie physique. Suivi des variations du courant Circumpolaire Antarctique (CCA). Responsable : Young-Hyang PARK (MNHN) / Isabelle DURAND (MNHN)
Relève des îles

23 février 2014

Mission Atalante TCD SIROCO

Mission Atalante TCD SIROCO
Evacuation sanitaire

Pli pris en charge par le vaguemestre le 21 janvier 2014 et TAD du SPID Roissy le 20 février 2014



Le 13 février 2014, dans le cadre de l’opération européenne de contre-piraterie Atalante, le transport de chaland de débarquement (TCD) Siroco, navire amiral de l’opération, en patrouille le long des côtes somaliennes a réalisé une évacuation médicale délicate d’un pêcheur dont le pronostic vital était engagé.


Un appel de détresse en provenance d’un chalutier coréen concernant un accident de pêche jugé très sérieux a été retransmis au TCD Siroco par le navire de guerre coréen Gang Gam Chang présent dans la zone. Le Siroco, alors à 18 nautiques du chalutier, a immédiatement fait route vers le navire pour conduire une intervention médicale.




Une fois à bord de l’embarcation, l’équipe médicale a confirmé la gravité de la blessure et l’urgence de la situation.

Elle a ensuite conditionné le blessé pour procéder depuis la plage avant du chalutier, à son hélitreuillage par l’hélicoptère Alouette III du Siroco

S’engage alors une course contre la montre, coordonnée par l’état-major de la force, afin de transférer le blessé le plus rapidement vers le frégate allemande Hessen située à 110 nautiques plus au nord.

La frégate allemande Hessen, également déployée dans le cadre de l’opération Atalante est renforcée à son bord d’une équipe chirurgicale. Elle constitue le moyen médical le plus proche permettant de tenter de sauver le pêcheur.




Après avoir été héliporté vers le Siroco, le blessé est stabilisé et préparé pour son transit vers le Hessen à bord de son hélicoptère Lynx. A peine posé et ravitaillé en carburant, l’hélicoptère allemand embarque le blessé et redécolle pour une heure de vol afin de rejoindre au plus vite le Hessen. A bord de la frégate allemande, le personnel médical est déjà prêt à intervenir.

Dans la soirée, le premier bilan post-opératoire est délivré par l’équipe du Hessen Il est rassurant. Le pronostic vital du pêcheur ne semble plus engagé mais la gravité de son état, qui a nécessité plusieurs heures de chirurgie, demande un suivi médical en milieu hospitalier adapté.

La frégate Hessen a rallié les côtes omanaises pour effectuer le transfert du blessé le 14 février dans l’après-midi vers un hôpital de Salalah.

La force navale Atalante a par cette action sauvé la vie d’un marin, grande satisfaction pour l’ensemble des hommes et des femmes engagés dans l’opération.

Le Transport de chalands de débarquement Siroco est engagé depuis le 6 décembre 2013 dans l’opération européenne de lutte contre la piraterie au large de l’océan Indien et accueille également à son bord l’état-major de la force Atalante sous commandement français. L’opération Atalante contribue à la dissuasion, à la prévention et à la répression des actes de piraterie au large des côtes somaliennes.

Merci à Jef pour l'envoi du pli.

21 février 2014

Humour dans le carré par Donec

Eloge du Pissalat 



Bonjour à tous,

Le père d’Eugène GONIDEC était embarqué en 1942 sur la corvette LOBELIA et le 30 mai 1942, il débarquait à Mourmansk. Permissionnaire il dirigea ses pas vers une trattoria soviétique dans l’espoir de déguster un bon « pan bagnat ». Quelle ne fut pas sa surprise devant le plat qui lui fut présenté, très différent en tout point de ce qu’il avait dégusté rue Barla. 




Il se fit la réflexion qu’à Riquier ou même à Magnan les tomates avaient une saveur très différente. Un fait est patent, le pan bagnat, fleuron de la gastronomie niçoise, exporté dans le monde entier, se trouve interprété avec une extrême originalité à Norfolk, Shangaï ou Adélaïde. Un seul plat des bords du Paillon échappe à cette fatalité : la pissaladière. La raison en est très simple, seule une mère niçoise titulaire du brevet de vingt ans d’ancienneté dans la réalisation de ce plat est en droit de nommer ainsi cette friandise au pissalat.*





Cela dit cambusard et pluie sont au menu du weekend.

Le ciel vous tienne en joie et à la semaine prochaine

Donec



*Pissalat : du niçois peis salat (poisson salé) est une sauce niçoise indispensable à la confection de la pissaladière

Le Havre Opération Pacha

Le Havre Opération Pacha


Le porte-avions Charles de Gaulle vient de rentrer d'une mission de trois mois dans le golfe persique.


La presse fait régulièrement écho de la préparation du 70ème anniversaire du débarquement en Normandie. On sait déjà que sa gracieuse Majesté, la reine Elizabeth II y sera présente ainsi que le Président Obama.

Il y a dix ans, le porte-avions Charles de Gaulle était en Manche pour le 60ème anniversaire.




22 chefs d'Etat et de gouvernement se sont réunis pour les cérémonies commémoratives du débarquement de Normandie.Ce nombre n'a jamais été aussi élevé. Parmi eux, George BUSH mais aussi Tony BLAIR, ELISABETH II, les Premiers ministres australien, canadien, néo-zélandais, néerlandais, les présidents grec, polonais, tchèque et d'autres têtes couronnées en provenance de Belgique, de Norvège ou encore du Luxembourg. Inédit : le président russe, Vladimir POUTINE, a assisté à l'événement bien que l'allié russe n'ait pas participé à l'opération Overlord. Mais la présence la plus remarquable reste celle de l'ennemi d'hier en la personne du chancelier allemand, Gerhard SCHRÖDER.



" Aucun parti politique allemand ne s'est opposé à sa participation, explique-t-on à l'ambassade d'Outre-Rhin de Paris. Les Allemands souhaitent aussi célébrer leur libération d'une idéologie horrible ". Gerhard SCHRÖDER a dévoilé en compagnie de Jacques CHIRAC une plaque marquant cette étape nouvelle de l'amitié franco-allemande, dans le Mémorial pour la paix de Caen. " Nous témoignons de l'exemplarité de la réconciliation franco-allemande. Pour que tous comprennent qu'il n'y a pas d'avenir dans la haine… Depuis plusieurs décennies déjà, les ennemis irréductibles du passé construisent en commun leur présent. Ils regardent ensemble l'avenir. Dans le respect de l'Histoire, des combattants, des souffrances et du sang versé, nous célébrons ensemble la victoire de la paix et de la démocratie ", a déclaré le Chef de l'Etat.Environ 20 000 vétérans ont fait le déplacement, aidés par 2 000 soldats américains et 600 britanniques afin de se souvenir que, au soir du jour J, le 6 juin 1944, plus de 150 000 alliés avaient pris pied sur le sol français et que 9 500 d'entre eux étaient déjà morts, blessés ou disparus.





L'association opération pacha a pour activité principale de  l'accueil du porte-avions Charles-de-Gaulle au Havre au mois de juin 2004 et l'organisation des visites à bord lors de cette escale. 




L’opération Pacha est lancée. Quatre jours à quai et 5 000 visiteurs attendus : le porte-avions à propulsion nucléaire Charles de Gaulle est pour la première fois accessible au grand public, lors d’une escale dans le port du Havre du 14 au 17 juin. ’ Un grand et bel événement ’, s’est réjoui le préfet de région Jean Aribaud. ’ Un projet difficile et ambitieux ’, a reconnu le maire du Havre Antoine Rufenacht, qui a rappelé les origines militaires du port et les liens entre le général de Gaulle et la ville, où il a effectué deux visites officielles, en 1944 et 1960.


Pour le président de l’association Pacha (Porte-Avions Charles de Gaulle au Havre), le député Jean-Yves Besselat, ’ c’est déjà un grand succès populaire, ce bateau a une magie, il attire ’. Enfin, l’amiral Hubert Pinon, préfet maritime la manche/Mer du Nord, assure que cette rencontre est ’ une reconnaissance pour les marins, une belle fête pour eux ’. En 1999, lors de l’Armada, le préfet maritime l’avait promis au maire : le porte-avions nucléaire ferait un jour escale au Havre.

Parole tenue, même si l’événement a été plusieurs fois reporté. L’association Pacha a travaillé plus d’un an avec la marine nationale pour répondre aux conditions maximales de l’étude de sécurité nucléaire portant sur l’escale du bâtiment. Différents paramètres terrestres, nautiques et aériens ont été intégrés.




Ainsi, pour exemples, l’éloignement du navire des usines d’une zone Seveso, l’évacuation des trois hangars du quai Roger Meunier, où accoste le porte-avions, la fermeture du sas Quinette de Rochemont -seuls les ferries pourront manœuvrer, et au-delà d’un périmètre de sécurité de 100 mètres autour du navire-, le dragage des fonds par le port autonome pour atteindre le niveau exigé de douze mètres, l’interdiction de survol aérien, la présence permanente de quatre remorqueurs en alerte et d’un remorqueur spécial venu de Cherbourg, la surveillance du chasseur de mines Andromède, la mobilité du porte-avions… Le tout a été validé par les experts de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) et le 1er mars dernier, l’autorisation de l’escale a été signée par le premier ministre Jean-Pierre Rafarin.
27 000 demandes

L’association Pacha a reçu 27 000 demandes de visites, via les bulletins parus dans la presse municipale et régionale. La sélection s’est voulue ’ démocratique ’, affirme Jean-Yves Besselat, par le procédé du tirage au sort de 4 500 places. 500 places ont été réservées aux associations d’anciens combattants et marins à la retraite, et la passerelle aménagée pour les handicapés. Les visites de 3⁄4 d’heure par groupe de 20 personnes encadrées de deux marins se dérouleront du 15 au 17 juin.

le 18 juin, il était devant l'île de Sein pour rendre hommage aux marins partis en Angleterre rejoindre le Général De Gaulle 


Retour à Brest le 21 juin 2004

20 février 2014

La Marine en Algérie LA CALLE Commando TREPEL Constantine Marine nationale

La Marine en Algérie LA CALLE

Souvent les collectionneurs des plis marcophiles de la Marine nationale s'en tiennent aux seules agences ou bureaux postaux. Bien des unités étaient éloignées de ceux-ci et utilisaient les services de La Poste civile.

Ce fut le cas du Commando TREPEL qui fut basé à La Calle.


TAD La Calle Constantine 29-11-1956









La Calle se situe à proximité de la frontière tunisienne. Avant l'indépendance de l'Algérie, elle était située dans le département de Constantine.




La ville nous est connue depuis l'antiquité romaine sous le nom de "Tunizia". Les pêcheurs locaux exploitaient le corail et la ville prendra le nom de Port des Breloques puis de Bastion de France.





En périodes de trouble le commerce était interdit avec la Barbarie et en général avec les pays avec qui le Royaume était en guerre. Les armateurs de Saint-Malo armant à la traite des noirs emportaient des marchandises de traite diverses dont du corail pour l'Afrique et les Indes et passaient outre ces interdictions en faisant escale dans des ports neutres. Ils pouvaient ainsi commercer avec tout le monde. 





Ce fut le cas pour l'achat du corail qui servait de troc en Afrique et aux Indes 
Ne pouvant traiter directement avec les pêcheurs, ils utilisaient des intermédiaires à Livourne et Marseille. La marchandise ensuite par Cadix où elle était chargée sur les bateaux venant de Saint-Malo et partant vers le golfe de Guinée ou l'océan indien échappant ainsi aux interdictions de commercer avec les ennemis barbaresques ou anglais.








En dehors des temps de conflit La Calle servait de havre aux navires, grâce à sa presqu'Île allongée, parallèle au rivage, qui en faisait un abri naturel, que la providence semblait avoir pour les navigateurs, sur cette côte inhospitalière.



La « Cie marseillaise des Concessions d'Afrique » s'installe en 1450 sur la cote Barbaresque entre Bône et Tunis et installe le « Bastion de France » à la Calle. Les Français y pêchent le corail et font le commerce du cuir de la laine de la cire, etc.... Des familles corses prirent le monopole, l'île dépendait alors du Royaume de Gênes.












Par son découpage administratif en trois départements, l’Algérie est en 1954 un prolongement du territoire métropolitain. 



La Marine est organisée en deux Commandements (COMAR), respectivement établis à ALGER et ORAN. Au Comar Oran, le contre-amiral GELI assume aussi les fonctions de commandant de la Marine en Algérie. Les principales bases sont MERS el- KEBIR près d’Oran, et ALGER ; des points d’appui existent néanmoins à BÔNE, DJIDJELLI, PHILIPEVILLE, BOUGIE, TENES et NEMOURS.


L’ALGERIE est une pièce maîtresse du système de contrôle stratégique de la méditerranée occidentale par l’Alliance atlantique. La base de Mers el-Kebir et son annexe de Lartigue sont en cours de modernisation grâce à des capitaux, notamment américains (plus de 10 milliards de francs de 1953 au titre du plan d’assistance mutuelle). A terme, avec Bizerte et Toulon, Mers el-Kebir doit détenir l’un des trois pôles stratégiques navals de l’Otan en méditerranée


Barrage électrifié le long de la frontière tunisienne SCA - ECPA-D


L’indépendance du Maroc et de la Tunisie a fait de ces deux pays des bases arrière de la rébellion et rendu l’effort « d’encagement » du territoire algérien plus pressant. De ce constat est née l’idée de créer des barrages frontaliers où la technologie suppléerait l’insuffisance des effectifs. Plusieurs réseaux de barbelés, des zones minées, l’électrification d’une partie de plus en plus importante du réseaux de barbelés avec un courant mortel permettent aussi de signaler la tentative de franchissement de la frontière et de retarder les « hors-la-loi » le temps nécessaire à l’intervention des troupes de couverture qui jouent le rôles d’une « herse mobile ». Le succès de cette stratégie sur la frontière tunisienne décide l’état major à procéder à l’électrification complète de la frontière marocaine. Dans ce partit pris technologique, s’insère le recours au radar : l’Unité de détection au sol de la marine, équipée de radars anti-mortiers efficaces jusqu’à 25km contre un piéton, intervient en coordination avec des pièces de 105mm. Le secteur affecté aux 200 hommes de l’Unité de détection au sol de la marine s’étend sur 15km environ de part et d’autre des postes de Soukies et de Ben Moussa. Les missions consistent à assurer une veille optique permanente de jour et une veille radar nocturne, à prendre à partie les échos suspects, à alerter les postes de la « herse mobile » et à guider sur zone les troupes d’intervention. En mai 1960, l’Unité de détection au sol de la marine est transférée dans l’Ouest de l’Algérie, peu de temps avant un violent harcèlement des postes frontières à coups de mortiers de 120 mm.

La calle la plage et le cantonnement 
Le mois d'avril 1957 fut marqué par deux engagements notables. Le 23, participant à une opération de bouclage ratissage montée sur renseignements dans la banlieue de Bône pour tenter de mettre hors de combat une bande responsable de plusieurs attentats, une section renforcée de la compagni­e accrocha un groupe de sept ou huit rebelles et en abattit trois, dont identifiés comme responsables d'assassinats recherchés par la police. ,une corvée de quatre hommes, commandée par un quartier-maître qui avait quitté le phare du cap Rosa pour aller chercher de l'eau à l'oued voisin se heurta, vers 16 heures, à un groupe d'une dizaine de rebelles. Au de l'échange de coups de feu qui s'ensuivit, un matelot fut tué d'une rafale et son arme enlevée tandis que le reste de la troupe se repliait sur le qui donna l'alerte. Une section de chasseurs alpins transportée depuis la Calle par les lamparos de la 45e SPL et un détachement de la CPA 2 embarqué sur le Coutelas rallièrent le cap Rosa avant la tombée de la nuit, il était trop tard pour pouvoir espérer rattraper les fellaghas. Les renforts ­restèrent néanmoins en protection du phare pour la nuit.


Le barrage électrifié le long de la frontière tunisienne

En février 1958, la CPA 2, débarquée et soutenue par la Dague, fut enga­gée dans une opération de ratissage entre La Calle et la frontière tunisien­ne, aux environs du cap Roux et de la plage de la Messida, et entre La Vieille Calle et l'embouchure du lac Mellah. Au cours des mois suivants, elle particip­a à plusieurs fouilles de terrain et contrôles de population. En décembre, une de ses sections prit part à une opération au cours de laquelle les rebelles perdirent huit tués, dix prisonniers et sept armes de guerre, puis elle fut envoyée, du 26 au 30, en protection de la mine de Aïn Barbar, située à proximité de la côte, entre Bône et Herbillon. Au cours de cette mission, la sec­tion effectua plusieurs ouvertures de routes et des contrôles de population, tendit quelques embuscades et arrêta sept suspects.

La Gendarmerie maritime fait peau neuve à Saint-Malo


20/02/2014

crédits : FRANCOIS DIDIERJEAN



La brigade de Gendarmerie maritime de Saint-Malo a retrouvé récemment les 
anciens locaux de la marine, totalement réhabilités. Situés dans l’ancien arsenal, ils ont été inaugurés en présence des autorités civiles mais aussi du préfet maritime de l’Atlantique, le vice-amiral d’escadre Pierre Labonne, du général de la Gendarmerie maritime, Isabelle Guion de Meritens, ainsi que du général de division Hervé Renaud.


© : JM Bergougniou

Sous Saint Servan et à gauche du marégraphe © : JM Bergougniou

Sous le commandement de l’adjudant-chef Alain Wiemann, les huit sous-officiers de la brigade malouine arment notamment la vedette côtière de surveillance maritime Trieux.

A/C Alain Wiemann commandant la vedette Trieux © : JM Bergougniou


 Leur circonscription s’étend sur 110 milles de côtes et comprend 21 ports situés entre la baie du Mont Saint Michel et la limite du Finistère.

L'amiral Labonne et les généraux Guion de Meritens et Renaud (© : F. DIDIERJEAN)








Gendarmerie maritime saint-Malo VCSM TRIEUX  P 616 © : JM Bergougniou


© : JM Bergougniou

Police des pêches, surveillance maritime, répression du braconnage, enquêtes judiciaires, coopération et coordination avec toutes les autres administrations participantes à l'action de l'Etat en mer rythment le quotidien de l'unité depuis juin 1993. 


© : JM Bergougniou

© : JM Bergougniou

© : Ouest-France


Cette diversité reflète sa parfaite aptitude à servir dans un milieu d'emploi particulier les intérêts de la défense, de la justice, et à oeuvrer pour la sécurité et la tranquillité des usagers du monde de la mer et la pérennité de celui-ci.


Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...