15 mai 2013

FREMM Aquitaine : du grand n'importe quoi

FREMM Aquitaine : cachet d'escales du grand n'importe quoi

"Depuis Adam se laissant enlever une côte jusqu'à Napoléon attendant Grouchy, toutes les grandes affaires qui ont raté étaient basées sur la confiance... Faire confiance aux honnêtes gens est le seul vrai risque des professions aventureuses. »
Eau, gaz, électricité, tout dans le même tuyau!


Carthagène, Norfolk (2fois), New-York, Cuba toutes les enveloppes à la date du 13-5-2013.... La FREMM est rentrée à BREST le le 9 mai....


« - Attention! J'ai le glaive vengeur et le bras séculier! L'aigle va fondre sur la vieille buse!... - - Un peu chouette comme métaphore non? - - C'est pas une métaphore c'est une périphrase. - - Fais pas chier!... - - Ca c'est une métaphore. »

« La vérité n'est jamais amusante sinon tout le monde la dirait. »


avec la complicité de Michel Audiard

Mission Jeanne d'Arc BPC Tonnerre FASM Georges Leygues

Mission Jeanne d'Arc  BPC Tonnerre FASM Georges Leygues


Jusqu'au 15 mai 2013 quatre bâtiments de la Marine nationale participent à l'Opération Atalante  Les BPC Tonnerre, Fasm Georges Leygues, la FS Nivôse, et la frégate Guépratte. La mission est d'accompagner les livraisons du Programme Alimentaire  Mondial, de participer à la sécurité du trafic maritime et de contribuer à la dissuasion à le prévention et à la répression des actes de piraterie au large des côtes somaliennes?







Parallèlement à son engagement dans le cadre de l’opération Atalante, la France contribue à soutenir les Seychelles dans le renforcement de leur capacité de surveillance et de protection maritime. Mise en œuvre dans le cadre de l’accord de décembre 2006 relatif à la coopération dans les zones maritimes adjacentes aux îles Éparses, à Mayotte, à la Réunion et aux îles Seychelles, cette coopération est mise en œuvre par les FAZSOI, qui organise régulièrement des formations et des exercices bilatéraux avec les forces seychelloises.









Mission BALTIC annulée Aviso Commandant L'Herminier

Mission BALTIC annulée Aviso Commandant L'Herminier

Le premier €uro gagné est le premier €uro non dépensé...

Le livre blanc est-il responsable de l'annulation de la mission BALTIC?



Jean-Yves Le Drian plaide pour «des unités de combat moins puissantes pour assurer la présence en mer» et «des unités plus légères aptes au contrôle des espaces maritimes». La marine voit d’ailleurs son rôle conforté avec la priorité donnée à la protection du domaine maritime national et de ses ressources.
http://www.elysee.fr/assets/pdf/Livre-blanc-sur-la-Defense-et-la-Securite-nationale.pdf

Les forces navales disposeront de 4 sous-marins lanceurs d’engins, de 6 sous-marins d’attaque, d’1 porte-avions, de 15 frégates de premier rang, d’une quinzaine de patrouilleurs, de 6 frégates de surveillance, de 3 bâtiments de projection et de commandement, d’avions de patrouille maritime, ainsi que d’une capacité de guerre des mines apte à la protection de nos approches et à la projection en opération extérieure.

14 mai 2013

le CMT SAGITTAIRE dans le golfe persique

Projection strarégique des chasseurs de mines Sagittaire et Pégase par navire affrété






Photo JM Bergougniou

Cette projection stratégique constitue une première pour la Marine nationale. Au-delà de l’aspect technique qui est déjà en soi une opération hors normes ; ce nouveau mode de déploiement permet de tester de nouvelles capacités innovantes de rentabilisation.




Ainsi, les deux chasseurs de mines ont été levés par grues puis posés au fond d’un navire porteur, le Jumbo Jubilee, navire affrété de 145 mètres de long, possédant deux grues d’une capacité de 900 tonnes chacune. Cette opération très technique a demandé une vraie prouesse collective: équipages, SSF, Base navale de Brest et affréteur.

Photo Bernard Hily


En appui de la fonction stratégique connaissance-anticipation, les deux CMT rallieront la zone de déploiement à bord de ce nouveau moyen de transport spécialisé dans le cadre du déploiement bisannuel d’un groupe de guerre des mines en Océan Indien. Le déploiement du groupe de guerre des mines 2013 permettra de réaliser des levés de fonds dans le golfe arabo-persique, d’assurer des missions de surveillance mais également de mener des actions de coopération avec les marines riveraines et d’approfondir l’interopérabilité avec nos alliés opérant dans la zone.

Photo Bernard Hily


Ce déploiement s’inscrit également dans la continuité de l’entrainement interarmées multinational IMCMEX 2012 (USA, Japon, Pays Bas, Grande Bretagne et France) réalisé en septembre 2012 dans le Golfe Arabo-persique. Il avait permis de déployer un officier d’état-major français sur le navire RFA Cardigan Bay (Royal Navy), et une équipe de 9 plongeurs-démineurs avec une infirmière hyperbariste à bord de l’USS Ponce (US Navy).




Photo JM Bergougniou

FS FLOREAL en escale au Cap Afrique du sud

La Frégate FLOREAL en escale au Cap Afrique du Sud





Sur Montimbramoi, TAD Rond double couronne CapeMail en date du 02-05-2013



http://www.ambafrance-rsa.org/French-surveillance-frigate


Le Floréal, frégate de surveillance française, effectuera une escale de routine au Cap du 24 au 30 avril.




A l’occasion de l’escale du Floréal au Cap, des visites destinées au public seront organisées à bord du bateau le samedi 27 avril entre 10h et 13h. Le bâtiment sera amarré au V&A Waterfront.




The French surveillance frigate “Floréal” will stop in Cape Town from 24 to 30 April as part of her mission in the waters of the French and Australian Southern and Antarctic Lands.
The frigate and her sister ships are regular visitors to South Africa - Floréal last visited Cape Town in April last year.

Having spent considerable time at sea, Floréal will use her time in Cape Town to perform maintenance and repair tasks, as well as to replenish consumables and food stocks.

Although the French Navy makes use of repair facilities in Durban and Mauritius, it is clear that Cape Town is the preferred destination.

FNS Floréal will be harboured at V&A Waterfront, Jetty 2, and will be open to the pubic on Saturday 28 April.
Commissioned in 1992, FNS Floréal (F730) is the lead ship of her class of six, all of which were built to be based in the French territories around the world, with Floréal home ported at the island of Reunion.
The frigate fulfils a large range of operational needs, patrolling overseas maritime areas under French sovereignty and in the deep sea to protect France’s interests. In this context, the Floréal carries out several tasks in the Indian Ocean, including anti-piracy missions, fishery protection, the control of illegal trafficking, maritime rescue operations and support to scientific missions in the French southern islands of Kergelen, Crozet and Saint-Paul.
In accordance with an agreement between Australia and France, Floréal performs cooperative fishing police and surveillance missions in the French and Australian Southern and Antarctic economic areas, recently having Australian fish inspectors on board.

Floréal also plays an important role in the fight against piracy in the Indian Ocean, being part of the European Union Naval Force’s Operation Atalanta, thus contributing to weaken the piracy threat in the High Risk Area off the horn of Africa.

In 1993, she took part in United Nations operations in Somalia to protect Blue Helmets and she also partook in the capture of Bob Denard in the Comoros during 1995.

La Frégate a quitté Le Cap pour Crozet où elle est arrivée le 7 mai 2013 
Dans l'attente des plis


13 mai 2013

La goélette ETOILE part en Islande

L'ETOILE en Islande

En quittant Brest, et avant de rejoindre l'Islande, le voilier fera une escale technique à Bally Castle au nord de l'Irlande. Sur le chemin du retour, il touchera les ports de Dublin et Cork. Son retour à Brest est prévue le 26 juin.



L'Etoile à Brest sous grand pavois



Double oblitération Brest Recouvrance et CTC Brest

Le Léopard reste en Gironde

Visite (enfin presque) du Léopard à sa ville marraine Libourne 


double oblitération 33 Libourne  38830A  Carbon Blanc en date du 10-5-2013

Des marins sans bateau

Depuis 14 ans, le « Léopard », bâtiment école de la marine nationale, filleul de la ville, accoste à Bordeaux à cause du viaduc du Mascaret, trop bas pour être franchi.

lundi 13 mai
léopard au chantier Piriou photo (c) JM Bergougniou
Le « Léopard », bâtiment école de la marine nationale, dont Libourne est la marraine, accoste depuis quatorze ans à Bordeaux, faute de pouvoir passer sous le viaduc du Mascaret. (photo « SO »)

Les marins ont passé deux jours sur la terre ferme de la Bastide. Des marins de la marine nationale, des vrais avec le pompon rouge si doux aux doigts des jeunes filles toujours attirées, si l’on en croit l’un d’eux, par cet artifice mythique comme une phalène par une ampoule. Des marins du navire école le « Léopard », débarqués comme chaque année le printemps venu avec leurs officiers et leurs beaux costumes blancs impeccablement repassés.Débarqués, mais d’où ? Car samedi, on avait beau scruter le quai d’Amade, aucun bateau, rien, pas même une coquille de noix flottait le long du ponton. Seraient-ils venus à la nage ces marins ? Non, en bus, depuis Bordeaux. Ah, bon ! À Bordeaux ? Mais la ville marraine du « Léopard », n’est-ce pas Libourne ? Si, si. Alors ?
Le pont trop bas

Et bien, depuis la construction par l’État du viaduc du Mascaret - qui enjambe la Dordogne pendant 540 mètres au pied du tertre de Fronsac -, le « Léopard » ne peut plus accoster à Libourne. Un gag ! « C’est dommage », regrette Michel Blaise, comme à l’époque son prédécesseur Maurice Rivat, président de l’association La Flotte. Auquel on avait promis qu’un ponton en aval du viaduc serait aménagé à Saint-Pardon ou à Fronsac. On l’attend toujours.




Le Léopard en entretien aux chantiers Piriou de Concarneau

Or donc, depuis la fin des années 1990, le pont autoroutier de l’A 89 empêche le filleul de la ville de descendre du Verdon jusqu’au confluent. Son mât à 17 mètres au-dessus de l’eau ne passe pas sous le tablier. Et son faible tirant d’eau, 3,80 mètres, ne lui permet pas d’attendre la marée basse d’une rivière envasée. C’est ainsi que les Libournais sont privés (à quelques exceptions près) de leur filleul, devenus un bâtiment fantôme pour la plupart d’entre eux. Malgré unlien familial noué depuis vingt-neuf ans. Explication : le rehaussement du viaduc à l’époque aurait entraîné un surcoût que les collectivités n’avaient pas les moyens de financer. D’où cette situation paradoxale.

Parti de Brest, son port d’attache, lundi dernier, le « Léopard », qui fêtera ses 30 ans en janvier 2014, a donc fait halte au ponton d’honneur de Bordeaux, vendredi soir. Où fut donnée une réception en présence de Michel Galand, adjoint au maire, des pompiers de Libourne, des membres de la flotte et d’élus bordelais, c’est bien normal. Petite consolation : voir une banderole à Bordeaux sur laquelle est inscrit le nom de Libourne fait encore sourire l’élu à la culture. Pour une fois que la bastide étend son hégémonie jusqu’à Bordeaux...




Une vraie ménagerie !

Ainsi donc les Libournais ne voient plus « leur » navire depuis quatorze ans. La dernière fois, c’était en avril 1999. On le voyait de loin et son arrivée était à chaque fois fêtée. Des visites étaient organisées sur ce bâtiment école qui s’adresse aux chefs de quarts de la marine et embarque 19 marins et 10 élèves. Il appartient à une flottille de huit qui répondent tous au nom d’un grand félin : « Lynx », « Jaguar », « Tigre », etc. Une vraie ménagerie !

Chaque bâtiment a sa ville marraine. « Le parrainage entre Libourne et Le “Léopard” est un des plus vieux de la marine », confie le capitaine de corvette Jacques Lecomte. « C’est une escale qui reste à chaque fois gravée dans nos mémoires. »

Samedi, pendant la cérémonie d’accueil de l’équipage à la mairie, en présence notamment de l’amiral Chaperon, le commandant a remis une table de bouche à Michel Galand. Celle-ci servait à boucher les canons. Les marins ont ensuite bourlingué du côté de Saint-Émilion avant le repas officiel à l’ancienne caserne. Puis ils ont rejoint le « Léopard » qui reprend la mer ce matin, sans avoir vu sa marraine.


Libourne · Bordeaux


Le Jaguar quant à lui était à Pauillac



TAD code ROC 39376A 33610 CESTAS


Le BE JAGUAR aux chantiers PIRIOU Concarneau


Jaguar au chantier Piriou photo (c) JM Bergougniou

Jaguar au chantier Piriou photo (c) JM Bergougniou


Jaguar au chantier Piriou photo (c) JM Bergougniou


Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...