25 avril 2013

Musée de l'Aéronautique navale de Rochefort


Les Ailes de l'Espoir


Reçu de notre ami R.Pauliat qui désertant les Terres Australes retrouve les aéronefs.
"La ville de ROCHEFORT nous dit-il rend enfin hommage au musée de l'aéro que j'ai encore visité hier, super et toujours des bénévoles passionnés." 




L'association nationale des amis du musée de l'aéronautique navale (A.N.A.M.A.N) est une association de type "loi 1901".
Elle a pour but d'entretenir, de restaurer et de développer les collections d'aéronefs, de moteurs et d'équipements, mises à sa disposition par la Marine nationale et le musée de l'Air et de l'Espace .





Contruit en 1929, le hangar Dodin renferme l'essentiel de la collection.

Aéronefs, moteurs, équipements, tenues de vol y sont présentés.


MS 760 Paris33

Br 1050 Alizé 4

Jaguar M 05

CM 175 Zéphyr16

CM 175 Zéphyr16


PA 31 Navajo 925

MD 312  Flamant M294

North American Harvard 820

C 47D Dakota716

Alouette II54


CM 175 Zéphyr16

A.N.A.M.A.N
Rond - point A. Bignon
B.P 90179
17309 Rochefort-Cedex




Pour des raisons de sécurité, l'accueil et la visite du site ne sont organisés que sur rendez-vous, le lundi et le mardi.

Les visites guidées et commentées, sont assurées par des bénévoles, membres actifs de l'association :

accueil : un quart d'heure avant le début de la visite
départ des visites : 9 h 00 ou 14 h 00
durée : environ 3 h 00

Contacts :

Tél : 06 72 64 86 84 et 05 46 83 37 00 





Photos : Jean-Michel Bergougniou




24 avril 2013

Le Georges Leygues en Mer Rouge


Frégate Georges Leygues Escales en Jordanie et à Djibouti



Le 30 mars, les deux bâtiments ont accosté à Aqaba en Jordanie, pour une escale de quatre jours. Les officiers-élèves de Marine Partage ont alors débarqué deux palettes de livres, provenant respectivement d'Amopa pour le lycée français d'Amman, et d'ADIFLOR pour la médiathèque de l'institut français à Amman.

Date du vaguemestre 02 avril 2013  date SPID Roissy 23-04-13



Conduit à l’occasion de l’escale du groupe amphibie Jeanne d’Arc à Aqaba du 30 mars au 4 avril, Mercy a mis en œuvre l’ensemble du groupement tactique de l’armée de terre embarqué (GTE) à bord du bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre, soit près de deux cents légionnaires et leur cinquantaine de véhicules, ainsi que les deux hélicoptères Gazelle et un Puma de l’aviation légère de l’armée de terre (Alat). Côté jordanien était déployée une section de forces spéciales du 61ème bataillon des Royal Jordanian Forces et ses véhicules blindés Humvees.





Cet exercice de contrôle de zone mené conjointement par les forces françaises et jordaniennes s’est déroulé en trois phases : progression tactique, sécurisation du village de combat, prise d’un point-clé situé en hauteur. La particularité de l’exercice est d’avoir permis de tirer avec toutes les armes en dotation au GTE.





Ainsi, l’exercice a débuté par le tir d’un missile Hot par une Gazelle armée d’un missile Hot sur une cible sitée en contrebas du village de combat et ouvrant la voie à l’intervention au sol. Quatre chars AMX10-RC ont ensuite appliqué des tirs au canon de 105 mm sur le périmètre ciblé, permettant à deux sections de véhicules de l’avant blindés (VAB) de se déployer à une centaine de mètres du village, en appui d’une troisième section chargée de sécuriser le périmètre. Une fois la zone tenue par les Français, la section de forces spéciales jordaniennes est entrée en action pour une manœuvre coup de poing sur le col situé au dessus du village. Appuyés par les tirs de mitrailleuses appliqués depuis le Puma, les éléments jordaniens ont ainsi pu saisir le point haut en quelques minutes. Peu de temps après, les Jordaniens se désengageaient, suivis par les Français en couverture. En quarante-cinq minutes, la manœuvre coordonnée avait été conduite avec succès et réalisme.





Cet exercice avait été précédé d’une journée de tir technique, lors de laquelle Français et Jordaniens avaient échangé leurs savoir-faire ; les militaires ayant à cette occasion réalisé des tirs avec l’armement individuel de l’autre nation. Au total, plusieurs centaines de munitions ont été tirées par les légionnaires, les forces spéciales jordaniennes et les hélicoptères de l’Alat : des obus de 105 mm, un missile Hot, des roquettes ainsi que des munitions de calibre 7,62 mm et 5,56 mm.







Mercy s’est déroulé sous l’œil attentif de Madame Caroline Dumas, ambassadrice de France en Jordanie, ainsi que de nombreuses autorités militaires jordaniennes, à la tête desquelles le brigadier général Qasem Fadeel Nahar Tamashat, commandant de la Marine Royale jordanienne. A l’issue, les légionnaires ont présenté le système de combat FELIN (fantassin à équipements et liaisons intégrés), le VAB Ultima, dernière génération améliorée du véhicule de l’avant blindé, ainsi que du matériel du Génie
Mercy intervient dans le cadre de la coopération militaire régulière franco-jordanienne, particulièrement dynamique. « En essor permanent depuis les années 1980, a rappelé Madame l’ambassadrice, cette coopération s’appuie sur des liens étroits et une volonté commune de contribuer à la stabilité régionale ».
Le 4 avril, le groupe amphibie, articulé autour du BPC Tonnerre et de la frégate anti-sous-marine Georges Leygues, a repris la mer en direction de Djibouti, où il participera à un autre exercice amphibie de grande ampleur.



Le BPC Tonnrere et la FASM Georges Leygues ont quitté la Jordanie le 4 avril, et s’apprêtent à rallier Djibouti, prochaine étape de la mission Jeanne d’Arc 2013. La mission Jeanne d’Arc est un déploiement à plusieurs dimensions d’une durée de cinq mois, débuté le 6 mars 2013. Aux missions opérationnelles ordonnées aux unités de combat vient s’ajouter une mission de formation des officiers-élèves de l’Ecole navale.

Date du vaguemestre 14 avril 2013  date SPID Roissy 23-04-13



Du 12 au 16 avril, le groupe amphibie français déployé pour la mission Jeanne d’Arc 2013 et articulé autour du BPC Tonnerre et de la FASM Georges Leygues a fait escale à Djibouti.

Ces quelques jours sur le territoire djiboutien ont été l’occasion de mettre en valeur et de réaffirmer le dynamisme de la coopération de défense entre la France et Djibouti, partenaires privilégiés depuis le traité de coopération signé en 1977 et réaffirmé en 2001. La présence des Forces Françaises pré-positionnées renforce encore cette coopération bilatérale dans le domaine de l’opérationnel.

Le 9 avril, le capitaine de vaisseau Jean-François Quérat, commandant le BPC Tonnerre accueillait à bord, près des côtes djiboutiennes, les principaux ambassadeurs de Djibouti, les attachés de défense ainsi que des représentants des Forces Françaises à Djibouti.


23 avril 2013

L'ABEILLE LIBERTE et la MARINE NATIONALE

L'ABEILLE LIBERTE à CHERBOURG


préfecture maritime
préfecture maritime
Le rail vu dela passerelle du PSP Pluvier


Enveloppe Abeille Liberté  Ecole des Fourriers  14-15 février 2008


MOYENS MIS A LA DISPOSITION DU PREFET MARITIME


Le préfet maritime ne dispose pas de moyens propres d'intervention en mer.

Pour mener à bien les missions dont il a la charge, le préfet maritime bénéficie du concours de tous les moyens nautiques et aériens des administrations civiles et des armées ; il coordonne la mise en œuvre de ces moyens et assure la direction des opérations.

Il en est de même en cas d'urgence.

Cas particuliers :

Secours en mer

Pour remplir cette mission spécifique, le préfet maritime dispose des CROSS (centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage) implantés à Jobourg (Manche) et à Gris-Nez (Pas-de-Calais), organismes de l'administration des Affaires maritimes, chargés en outre de la surveillance de la navigation, des pêches et de la prévention des pollutions marines.

Les CROSS reçoivent les alertes et dirigent les opérations en coordonnant les moyens nautiques et aériens de recherche et de sauvetage
en mer et la chaîne des 14 sémaphores de la Marine nationale qui assurent une veille visuelle tout le long de la façade Manche-mer du Nord.

Lutte contre les menaces de pollution

Pour protéger le littoral maritime contre toute pollution, principalement par hydrocarbures ou chimique, le préfet maritime dispose en permanence
de deux remorqueurs d'intervention de haute mer positionnés dans le Cotentin et devant le Pas-de-Calais.
Ces deux remorqueurs sont parés en tout temps à porter assistance à tout navire qui risque de porter atteinte aux intérêts des régions côtières
de la Manche-mer du Nord.

Organismes intervenant en mer :

Administration des affaires maritimes :



2 vedettes basées à Boulogne-sur-Mer et Ouistreham
1 patrouilleur basé à Cherbourg

Administration des douanes : 


3 vedettes basées à Dunkerque,Cherbourg et Granville, 2 avions équipés de moyens de détection de nappes
d'hydrocarbures, déployés depuis l'Atlantique ou la Méditerranée. 3 hélicoptères basés au Havre


Vedette des douanes à Dunkerque Photo JM bergougniou

Gendarmerie maritime :

2 patrouilleurs basés à Cherbourg
4 vedettes basées à Dunkerque, Boulogne, Dieppe et Le Havre

Gendarmerie maritime devant Fécamp Photo JM bergougniou

Gendarmerie départementale :
9 vedettes basées à Granville, Diélette, Saint-Vaast-La-Hougue, Ouistreham, Fécamp, Saint-Valéry-sur-Somme, Rue et Calais

Marine nationale :
3 patrouilleurs et 2 bâtiments de faible tonnage basés à Cherbourg, 

PSP Pluvier photo JM Bergougniou


2 remorqueurs d'intervention affrétés basés à Cherbourg et Douvres (bien dans les moyens de la Marine nationale)

Abeille Liberté photo JM Bergougniou

(en coopération avec la Grande-Bretagne), 2 hélicoptères de service public basés au Touquet et à Cherbourg


Dauphin  Marine nationale  Maupertus Photo JM bergougniou


Sécurité civile : 

3 hélicoptères basés à Lille, Le Havre et Granville
Société nationale de sauvetage en mer (SNSM) :
46 stations équipées de canots

L’Abeille Liberté est un remorqueur de sauvetage français, sister-ship de l’Abeille Bourbon, qui a remplacé l’Abeille Languedoc à Cherbourg.

Il a été construit aux chantiers Myklebust au nord-ouest d'Oslo, livré à Abeilles International en octobre 2005 et inauguré le 17 novembre 2005.

Il est mené par deux équipages dont celui du commandant Pascal Potrel, lui-même ancien commandant de l’Abeille Languedoc




Remorqueurs d'intervention pour l'assistance et le sauvetage (RIAS)

Présentation
Appartiennent à l'armement LAI (Les Abeilles Internationales).
Affrétés pour une durée de 8 ans (renouvelable pour 2 périodes de 3 ans).
Les coques ont été construites à Gdansk en Pologne.
Peints en bleu marine (coque) et blanc (superstuctures).
Portent la marque distinctive des bâtimets affectés à l'action de l'État en mer (bandes obliques bleue, blanche et rouge sur la coque).


Bâtiment Chantier Lancement En service Port base
Abeille Bourbon Norvège septembre 2004 13 avril 2005 Brest
Abeille Liberté Norvège février 2005 17 novembre 2005 Cherbourg


Caractéristiques


Longueur : 80 mètres
Largeur : 16,50 mètres
Tirant d'eau : 6,50 mètres
Tirant d'air : 27,50 mètres
Déplacement : 3.200 tonnes et 4.000 tonnes en pleine charge
Vitesse : 19,5 nœuds
Autonomie : 45 jours
2 équipages
Traction au point fort : 200 tonnes
Énergie et propulsion
4 moteurs diesels MaK 8 M 32 C
2 hélices en tuyères Kort - 21.760 ch (16.000 kW)
Puissance électrique : 6.465 kW
2 propulseurs d'étrave de 1.200 ch
2 propulseurs arrière de 700 ch
Équipements électroniques
Système de positionnement dynamique
Système de stabilisation passif
Système de transmission par satellite Inmarsat
Équipements
Remorque de 1.600 mètres
3 canons à eau
1 canon à mousse
2 grues (dont 1 de 23 tonnes à l'arrière)
Sont également gréés pour la lutte antipollution
Équipage
5 officiers
7 hommes


(+ 13 passagers)

Sources : © Marine nationale 

22 avril 2013

Râmine et la Belle Poule une aventure américaine

Râmine  
et la Belle-Poule


Voyage aux USA sur la Goélette



Les goélettes, vénérables vieilles demoiselles, n'ont découvert les terres américaines qu'en 2009.




Ayant pris goût à l'eau de l'Atlantique, elles partaient célébrer en 2012 les 450 années de présence de la France en Floride, un tour de Tall ships Challenge, un peu de guerre d'Indépendance... 




Râmine enchanté d'avoir mis les bouteilles à la mer avec les élèves du Port du Ponant  décide de poursuivre l'aventure et embarque de Savannah à New-York...



Des vielles cartes, des pubs, de l'encre, de l'acrylique... 






le projet prenait forme et pour présenter ses Ephémérides Atlantiques,



Râmine quittait Brest, passait au ras de Sein, oubliait la Vieille




rassemblait les Moutons, passait le Cochon pour mettre pied à terre à La Croix.

la drague McFarland en baie de Chesapeake

Un livre pour les passionnés de phare, de mer et de vieilles marines. Les couleurs chantent et dansent. Impossible de s'ennuyer!




http://www.ramine.com

Victorin à Tromelin


Victorin LUREL à Tromelin
Ministre des Outre-mer


En déplacement sur l'îlot de Tromelin, à l'est de Madagascar, le ministre des Outre-mer a tenté d'apaiser les esprits après qu'on ait accusé le gouvernement de vouloir brader ce bout de France en partageant sa gestion avec l'île Maurice.




Le ministre des Outre-mer Victorin Lurel en visite sur l'îlot de Tromelin le 17 avril © RICHARD BOUHET / AFP

"A Tromelin , on est chez nous", a affirmé Victorin Lurel à son arrivée à Tromelin après un voyage de 21 heures au départ de la Réunion à bord du Marion Dufresne.
Un chez nous bien modeste, puisque le confetti désertique est inhabité, à l'exception de trois employés des TAAFS et de Météo France.

"L'accord de gestion ne remet nullement en cause la souveraineté de la France sur Tromelin ni sur les autres îles Eparses. Ma présence le prouve", a répété mardi tout au long de son voyage Victorin Lurel. Il s'est dit même ravi qu'un débat soit organisé sur ce point à l'Assemblée nationale.
Le ministre a également rendu hommage au 80 esclaves oubliés en 1761 par 

un bateau négrier de la Compagnie des Indes. Apreès que la navire, qui se rendait à Maurice a échoué à Tromelin, les quelques survivants membres de l'équipage ont repris la mer avec une embarcation de fortune, laissant sur place 80 esclaves. Ceux-ci sont restés 15 ans sur l'îlot avant d'être secourus par le chevalier de Tromelin. Il ne restait alors que sept femmes et un bébé sur l'îlot.

sources : 





519e GTM Groupe transit Maritime Toulon La Rochelle Marseille

519 e Groupe Transit Maritime



le BPC représenté est le Dixmude 
Le 519e groupe de transit maritime est créé le 1er juillet 2011. Organisme à vocation interarmées Terre (OVIA-T) il est l’unité d’appui à la projection et de soutien aux ravitaillements par voie maritime des armées.
Créé en 1946 à Saïgon, le 519e groupe de transport (composé de diverses unités dont un peloton amphibie et une unité de légion étrangère) se distingue en Indochine puis en Afrique du Nord jusqu’en 1962. Il est ensuite dissous et rapatrié à Sissonne pour se constituer à nouveau à La Rochelle en 1977 (519e groupe autonome de transit maritime). Il prend l’appellation du 519e régiment du train en 1981 et reçoit son étendard en 1982. Il s’installe enfin à l’été 2011 sur le site de Toulon (conservant un détachement à La Rochelle et un à Marseille) et devient ainsi le 519e GTM. Formation unique, son emploi est décidé par le centre multimodal des transports (CMT) de Villacoublay et relève organiquement de l’armée de Terre. À ce titre le 519e GTM est rattaché à la 1re brigade logistique.












20 avril 2013

La FREMM AQUITAINE à New-York

La FREMM AQUITAINE à New-York


La FREMM en escale à New York

En DLD en Atlantique, la FREMM AQUITAINE, a testé son inter-opérabilité avec l'US Navy dans la région de Norfolk Hampton Roads









La frégate européenne multi-mission Aquitaine a fait escale du 4 au 8 avril dans la plus grande base navale et aéronavale de la côte est des Etats-Unis, Norfolk.

Lors de son allocution devant officiers de l’US Navy et de la Marine nationale, l’ambassadeur de France à Washington, Monsieur François Dellatre, a insisté sur l’importance et les enjeux de la coopération franco-américaine et sur les combats communs qui ont forgé les liens entre les Etats-Unis et la France.

L’US Navy a remis à la Marine nationale la maquette du Bonhomme Richard,vaisseau d’origine française confié par le roi Louis XVI à la Marine américaine lors de la guerre d’indépendance des États-Unis. Le vaisseau fut placé sous le commandement du fameux capitaine américain John Paul Jones qui mena une campagne contre les forces navales anglaises. En septembre 1779, suite à la bataille de Flamborough Head, le Bonhomme Richard coula au large des côtes du Yorkshire.


Jusque là présentée à l’académie navale américaine Annapolis, la maquette de la frégate a pris place à bord de l’Aquitaine, direction Brest. Elle sera ensuite exposée au sein de l’école navale basée à Lanvéo
c-Poulmic.

L'Aquitaine a fait escale à New-York.


La FREMM en escale à New York


L’Aquitaine et son équipage ont repris la mer, cap sur la côte Est et New-York. Le 10 avril, la FREMM accostait à Brooklyn, face à la spectaculaire Skyline de Manhattan. Lors de cette escale, de nombreux membres de la communauté française de New York, précédés par le consul général de France à New York, Monsieur Bertrand Lorthlary, ont découverts le bâtiment. L’équipage de l’Aquitaine a présenté aux expatriés français la FREMM, ses missions et ses spécificités.


Au matin du lundi 15 avril, l’Aquitaine appareillait à nouveau pour poursuivre son déploiement de longue durée et remonter progressivement les eaux plus froides de l’océan Atlantique Nord.







Cachet à date quasiment illisible de l'escale de New-York 15 april
Personnage des dessins animés de Walt Disney La Petite Sirène, Blanche Neige Mickey et sur l'enveloppe de Norfolk Alice au pays des merveilles


Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...