24 novembre 2014

Journée du Sous-marin à Lorient Keroman 27 novembre 2014

Journée du Sous-marin à Lorient
Kermorvan 27 novembre 2014


photos © JM Bergougniou


Il est bien évident que la Marcophilie navale sera présente à Lorient pour la Journée du sous-marin


photos © JM Bergougniou


Un stand sera tenu par la section de Brest où vous pourrez acheter les souvenirs.


photos © JM Bergougniou


N'hésitez pas à vous déplacer.



photos © JM Bergougniou



La base sous-marine de Lorient, ou encore base de sous-marins de Keroman, est un complexe de bunkers de la Seconde Guerre mondiale, situé à Lorient (Bretagne, France). Elle occupe l'extrémité de la presqu'île de Keroman, dans la rade de Lorient et donne sur le golfe de Gascogne. Elle prend le nom de base de sous-marins ingénieur général Stosskopf en 1946.






Construite entre 1941 et 1944 par l'Allemagne nazie pendant l'Occupation, elle est alors destinée à abriter les 2e et 10e flottilles de U-boote de la Kriegsmarine, tout en s'inscrivant dans le dispositif du mur de l'Atlantique. Sa présence est la cause de la destruction de la ville de Lorient par les aviations britannique et américaine en janvieret février 1943, puis de la reddition tardive de la poche de Lorient le 10 mai 1945.

photos © JM Bergougniou



La base sous-marine est récupérée par la Marine nationale après le conflit et sera utilisée jusqu'en 1997 comme base de sous-marins. Géré par la Marine dans le cadre du développement du programme de SNLE français, et pour la création de constructions navales à base de matériaux composites, le site est consacré depuis lors à des activités civiles dont le pôle d'activité est centré sur le domaine maritime.

photos © JM Bergougniou

Depuis la fin des années 1990, le site est reconverti en un pôle nautique spécialisé dans la plaisance et la course au large. Il accueille par ailleurs un centre d'affaires tourné vers le monde maritime, un musée aménagé dans le sous-marin Flore, ainsi que la Cité de la voile Éric Tabarly.


photos © JM Bergougniou


Le complexe est composé de trois bunkers, Keroman I, II et III, de deux Dom-Bunkers situés dans l'espace du port de pêche de Keroman, ainsi que d'un bunker situé àLanester, sur les rives du Scorff.

photos © JM Bergougniou


 Le tout a nécessité le travail de 15 000 personnes et le coulage de près d'un million de mètres cubes de béton. Les trois bunkers de Keroman comptent entre cinq et sept alvéoles destinés à accueillir des U-boote, couverts par des toits d'une dizaine de mètres d'épaisseur.


photos © JM Bergougniou




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photos © JM Bergougniou

Construite entre 1941 et 1944 par l'Allemagne nazie pendant l'Occupation, elle est alors destinée à abriter les 2e et 10e flottilles de U-boote de la Kriegsmarine, tout en s'inscrivant dans le dispositif du mur de l'Atlantique. Sa présence est la cause de la destruction de la ville de Lorient par les aviations britannique et américaine en janvieret février 1943, puis de la reddition tardive de la poche de Lorient le 10 mai 1945.


photos © JM Bergougniou


La base sous-marine est récupérée par la Marine nationale après le conflit et sera utilisée jusqu'en 1997 comme base de sous-marins. Géré par la Marine dans le cadre du développement du programme de SNLE français, et pour la création de constructions navales à base de matériaux composites, le site est consacré depuis lors à des activités civiles dont le pôle d'activité est centré sur le domaine maritime.


photos © JM Bergougniou



Depuis la fin des années 1990, le site est reconverti en un pôle nautique spécialisé dans la plaisance et la course au large. Il accueille par ailleurs un centre d'affaires tourné vers le monde maritime, un musée aménagé dans le sous-marin Flore, ainsi que la Cité de la voile Éric Tabarly.


photos © JM Bergougniou


Le complexe est composé de trois bunkers, Keroman I, II et III, de deux Dom-Bunkers situés dans l'espace du port de pêche de Keroman, ainsi que d'un bunker situé àLanester, sur les rives du Scorff. Le tout a nécessité le travail de 15 000 personnes et le coulage de près d'un million de mètres cubes de béton. Les trois bunkers de Keroman comptent entre cinq et sept alvéoles destinés à accueillir des U-boote, couverts par des toits d'une dizaine de mètres d'épaisseur.



23 novembre 2014

Cherbourg lancement du SNA Perle 22 septembre 1990

Cherbourg lancement du SNA Perle 22 septembre 1990

La semaine prochaine se tiendra à Lorient la Journée du sous-marin. 




La journée nationale du sous-marin se déroulera le 27 novembre 2014 à Lorient sur le site de la base des sous-marins de Keroman, un lieu symbolique pour les Forces sous-marines françaises. A Lorient sont nés et ont été développés la plupart des enseignements techniques et stratégiques qui ont permis à la France de se doter d’une force sous-marine moderne.








Programme

9h30 : Messe solennelle du souvenir en l’église Saint Louis de Lorient

11h15 : Cérémonie militaire au monument aux morts, place Glotin

13h30 - 17h30 : Conférences

René Estienne. Kéroman, histoire du site comprenant l'édification de la BSM par les allemands

Camille Sellier : Sous-marins d'attaque français. L'escadrille des sous-marins de l'Atlantique, de la fin de la guerre à 1994

Thierry d'Arbonneau : La dissuasion française

Intervenant SDNCS : SNA Barracuda et les sous-marins du futur

15h : Aubade du Bagad de Lann-Bihoué



Inauguration du musée sous-marin Flore 30-4-2010 Lorient quai des Indes


Toute la journée, expositions sur les forces sous-marines (thèmes : "des sous-marins classiques aux sous-marinss nucléaires" "De Kéroman à nos jours"), stands exposants (DCNS réalité virtuelle, marcophilie, "Salon du livre" sur le thème des forces sous-marines, présentation des forces et métiers de la Marine nationale foyer et cercle, atelier "oreilles d'or". Visite du sous-marin Flore et du musée du sous-marin, visites guidées de K3.
Et bien entendu la Marcophilie navale y tiendra un stand toute la journée avec vente de souvenirs.



Profitons en pour parler du SNA PERLE.


Mis sur cale le 22 mars 1990, la Perle est le 91e sous-marin construit au chantier de la DCN Cherbourg, et le dernier lancé de manière traditionnelle (22 septembre 1990), c'est à dire en le faisant « glisser dans l'eau » sur une pente inclinée à 7%, ce qui obligeait à assembler le sous-marin en pente !



Admis au service actif le 7 juillet 1993, il se distinguait, à sa naissance, de ses prédécesseurs par une évolution du traitement des informations tactiques et d'aide au commandement (TITAC), qui avait été monté expérimentalement sur le Rubis.





D'août 2008 à janvier 2010, la Perle a effectué sondeuxième arrêt technique majeur à Toulon. Au cours de cette période, outre un changement du cœur du réacteur et des opérations de modernisation du système de combat, ses moyens de détection sous-marine ont été améliorés par l'installation d'antennes de flanc.


Deux équipages (bleu et rouge) se relaient tous les trois mois environ pour armer le bâtiment.




La Perle a effectué quelques belles missions au cours de sa carrière :

  • En 2000 dans le Grand Nord avec le De Grasse, où les bâtiments ont relâché à Tromsoe (nord de la Norvège).
  • De janvier à juin 2001, pour un long périple en océan Indien avec le Dupleix, qui a conduit le sous-marin notamment à Bombay (Inde) et Singapour.




  • Enfin en 2005, pour une mission Enduring Freedom de lutte anti-terroristes en océan Indien. C'est au cours de cette dernière mission, en octobre 2005, que l'équipage s'est fait une belle frayeur, en touchant un fond de vase lors du franchissement du canal de Suez, sans toutefois faire de dégâts.


Le coeur du réacteur fournit de la chaleur. Celle-ci est produite par l'envoi de neutrons sur des noyaux d'uranium (le combustible nucléaire) qui se cassent en libérant de la chaleur, et de nouveaux neutrons. Ces derniers vont à leur tour percuter un autre noyau d'uranium entraînant une réaction en chaîne.Un circuit d'eau primaire transmet la chaleur libérée, après passage dans un échangeur, à un circuit d'eau secondaire. Dans un souci de discrétion acoustique, le circuit de vapeur primaire est en circulation naturelle.L'eau du circuit secondaire se transforme en vapeur, libére son énergie dans les turbo-alternateurs qui produisent de l'électricité, puis passe dans un condenseur où elle est refroidie (revenant ainsi à l'état liquide) avant d'être réinjectée dans l'échangeur et vaporisée à nouveau. L'eau du circuit secondaire n'est jamais en contact avec les produits radioactifs.L'électricité alimente les équipements de l'ensemble du bâtiment et les moteurs électriques de propulsion qui font tourner l'hélice.

A consulter le Blog de Nathalie Guibert, journaliste au Monde 


Ce blog éphémère abrite dans ses étroites coursives mon journal de bord, tel que je l’ai tenu au fil des jours passés avec les 75 membres de l’équipage du sous-marin nucléaire d’attaque Perle. Il évoque la vie quotidienne partagée sous l’eau et en escale. Il parle des hommes, du bateau, de la marine et (un petit peu) de la guerre.

http://unmoissouslesmers.blog.lemonde.fr


sources : 

22 novembre 2014

La lettre du Père Noël 2014

La lettre du Père Noël 2014

Le secrétariat du Père Noël vient tout juste d'ouvrir ! Dépêchez-vous d'envoyer votre lettre au Père Noël, car le secrétariat fermera ses portes le 23 décembre. La démarche est simple : la Poste s'occupe de tout !


Cette année encore, La Poste ouvre le secrétariat du Père Noël ! De quoi ravir les bambins désireux d'envoyer leur liste de cadeaux à Santa Claus. Par mail ou par courrier, l'écriture et l'envoi du message sont très bien expliqués sur le site de La Poste, spécialement dédié au secrétariat du Père Noël. Il suffira à votre enfant d'écrire son petit mot, de bien indiquer son adresse pour recevoir une réponse et d'adresser le courrier au « Père Noël » ou au « Secrétariat du Père Noël ».

 





Ce service gratuit est proposé par La Poste depuis 1962. Cette année, le secrétariat du Père Noël est installé à Libourne, près de Bordeaux, bien loin du Pôle Nord où les 60 secrétaires auraient bien trop froid pour travailler... En 2013, 140 pays différents avaient expédié 1,2 millions de lettres au Père Noël ! 

Marion Dufresne SYSMO 199

Marion Dufresne SYSMO 199


La base CAMPAGNES OCEANOGRAPHIQUES recense toutes les campagnes qui se sont déroulées sur les navires français ou en coopération sur des navires étrangers. Cette base contient actuellement plus de 6700 campagnes et s'enrichit chaque année de plus de 100 nouveaux résumés de campagnes qui sont publiés dans le Recueil Annuel et sur le Web. Les organismes français présentement impliqués dans la gestion des navires français (maîtres d'œuvre) sont l'IFREMER, l'IRD, le CNRS/INSU, l'IPEV.
SISMO SMOOTHDu 25/09/2014 au 29/10/2014ZONE DE LA DORSALE SUD OUEST INDIENNE

Référence Sismer FI352014003300
Campagne : SISMO SMOOTH

Navire : Marion Dufresne


Du : 25/09/2014 Port Départ :Saint-Denis (Réunion)
Au : 29/10/2014 Port Arrivée:Saint-Denis (Réunion)

Mer/Océan :
Océan Indien - (zone de la dorsale Sud Ouest Indienne)

Limites :
Nord : S 27 36 Sud : S 28 24 Ouest : E 064 12 Est : E 065 24


Objectif :
Caractéristiques géophysiques d'une dorsale océanique ultra-lente (imagerie et vitesses sismiques).

Organisme Maitre d'Ouvrage:
INSTITUT DES SCIENCES DE LA TERRE DE PARIS - UMR 7193 ISTEP
Tour 46, 2e etage
4, Place Jussieu
75252 PARIS CEDEX 05
tél : +33 (0)1 44 27 52 73 fax : +33 (0)1 44.27.49.50 email : direction-istep@listes.upmc.fr
Organisme Maitre d'Oeuvre: IPEV

Chef(s) de mission :
LEROY Sylvie (email : sylvie.leroy@upmc.fr)
CANNAT Mathilde (email : cannat@ipgp.fr)Organisme(s) Participant(s)
IPGS, Dalhousie University

Discipline(s) :
GEOSCIENCES
OCEANOGRAPHIE PHYSIQUE
Code Libellé Nb. Responsable
G26 Sismique refraction
56 déploiements - 53 récupérations 56 LEROY Sylvie
G28 Mesures de magnetisme
. LEROY Sylvie
G74 Echo sondages multifaisceaux
+ M Cannat . LEROY Sylvie
G76 Sismique reflexion multitrace
. LEROY Sylvie
G90 Autres mesures de geosciences
+ M Cannat . LEROY Sylvie
H13 Bathythermographe
+ M Cannat 1 LEROY Sylvie


Travaux effectués :
-Acquisition de sismique multitrace sur une zone de 50x50 km (tirs 20s).
-Boite 2,5D MCS (tirs tous les 20s).
-OBS et tirs sur un réseau 3D (tir ts les 90s) 36 OBS.
-2 profils de réfraction (tir tous les 120s et 60s) et réflexion coïncidents (OBS ts les 3 à 10 km).
Plan de position :

Positionnement :


Données mesurées en continu :
Données mesurées en station :
Series temporelles :
NomLatitudeLongitudeDate débutDurée
(Jour)Instruments

Bibliographie :
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Mission Corymbe 127

Mission Corymbe 127

AVISO EV Jacoubet




Lors de l’escale de l’aviso Enseigne de vaisseau Jacoubet effectuée à Abidjan en novembre 2014, des périodes d’instruction opérationnelle (PIO) ont été effectuées dans trois domaines intéressant la marine ivoirienne : la sécurité, la visite et la mise en œuvre des armes. La réalisation d’exercices communs en mer a été le point d’orgue de cette coopération.





Il s’agit bien d’une des actions essentielles de la mission Corymbe, au sein de laquelle est engagé le Jacoubet : exercer les marines partenaires de l’Afrique de l’Ouest pour améliorer leurs savoir-faire en matière de surveillance maritime.




Durant ces PIO, l’aviso Enseigne de vaisseau Jacoubet a donc procédé à un « assistanex », exercice qui consiste à porter assistance, depuis la mer, à un navire confronté à un incendie. Réalisé sur le patrouilleur ivoirien Emergence,cet exercice a permis un entraînement efficace à la gestion des fumées, la mise en place de manches incendie et l’organisation des équipe sécurité.

Sous l’œil attentif de l’équipage français, les fusiliers marins ivoiriens ont pu également s’entraîner à la visite d’un bâtiment à la mer réalisée à partir de l’Emergence. Cet exercice permet d’appréhender les obligations légales et les difficultés de sécurité de la visite d’un navire par des militaires qui peut être effectuée par exemple pour la lutte contre le terrorisme, la piraterie ou le narcotrafic.

Une formation à la mise en œuvre de l’armement de 12,7 mm et de 20 mm a enfin conclu cette période d’instruction.


En place depuis 1990, la mission Corymbe est un déploiement naval quasi-permanent, en mesure de soutenir les forces armées françaises dans le golfe de Guinée, zone d’intérêt stratégique pour la France. Le dispositif est armé par un bâtiment de la Marine nationale, ponctuellement renforcé par des moyens terrestres et aéromobiles embarqués, et peut soutenir à tout moment tout type d’opérations dans la région. De plus, cette présence quasi-permanente permet de coopérer avec les marines régionales amies, et ainsi de participer à leur montée en puissance et au développement de capacités africaines autonomes.


Sources : État-major des armées
Droits : Ministère de la Défense

21 novembre 2014

De Sidi Ferruch au bâtiment base MEDOC

De Sidi Ferruch au 
bâtiment base MEDOC


Comme le Beaujolais nouveau vient d'arriver, c'est une bonne raison pour vous parler du Médoc… 
Et puis ayant effectué mon service militaire à Castelsarrasin, j'ai eu l'occasion d'y voir la stèle ramenée de Sidi-Ferruch, une deuxième raison de vous parler du Médoc… avec modération!



Sidi-Fredj, anciennement Sidi-Ferruch (en arabe pour ceux qui le lise couramment dans le texte سيدي فرج), et aussi Sidi-Ferrudj, Sidi-Ferej, est une presqu'île située à 30 kilomètres de la capitale algérienne Alger. Elle fait partie de la commune de Staoueli.

C'est le lieu historique du débarquement des Français commencé le 14 juin 1830, qui a permis à l'armée française la Prise d'Alger survenue le 5 juillet. 



Première opération qui a conduit à la destruction du pouvoir des Deys et de la Régence d'Alger, dépendance au moins nominale de l'Empire ottoman, ce débarquement est aussi considéré comme le premier acte de laConquête de l'Algérie par la France.




Le paquebot mixte "Sidi Ferruch" construit aux Ateliers et Chantiers de Bretagne à Nantes, est lancé le 14 mai 1949. 



Il a deux sisters-ships, l' "Azemmour" et l' "Azrou", en plus du "Djebel Dira" très voisin . Equipé de 4 cales, il peut transporter 6000 moutons (sic transit) et 128 passagers. Le "Sidi Ferruch" est armé par la Société Générale de Transports maritimes à Marseille.



Rebaptisé "Médoc", il est transformé à Brest en 1964 (logement pour 250 personnes, teugue prolongée). 




La France se lance dans l'expérience atomique. Les premiers essais seront algérien mais l'indépendance met fin aux essais sur ce pays. La Flotte qui desservait les deux rives de la Méditerranée devient inutile…

Pour continuer le développement de la bombe A, le choix du gouvernement français se porte sur la Polynésie. Face à la pénurie de logements et à la nécessité de se déplacer sur les lieux d'expérimentation, le gouvernement choisi  d'utiliser des paquebots qu'elle réaménagera en hôtels flottants.



Le Sidi Ferruch est alors acheté par la marine nationale pour devenir un bateau Hôtel servant à loger ingénieurs et techniciens du CEA (centre énergie Atomique) basé dans le Pacifique.




Débaptisé et nommé le " Médoc "… 





Il est armé en avril 1965, et quitte Brest le 5 juin 1965 pour le Pacifique.
Il est à Bordeaux du 6 juillet 1967 au 8 janvier 1968 pour carénage aux Chantiers France-Gironde, puis rejoint Papeete le 24 février 1968.










Basé successivement à Fangataufa et à Mururoa, il fait toutes les campagnes de tirs atomiques, avant d'être désarmé en 1972.




Devenu Q 509, il est coulé comme cible le 7 septembre 1972.













BB Médoc (A 612)
Déplacement: 4600 t (5300 t, à pleine charge)

Dimensions: 113,60 m (105 mpp) x 15 m x 7 m

Propulsion: 2 turbines à engrenages Rateau
2 hélices
2 chaudières
4600 CV
15 noeuds

Equipage: 8 officiers et 115 hommes

250 passagers



Sources :

Daniel Allançon


http://www.alabordache.fr

PHM Commandant Blaison TANGER MED25 Maroc EUNAVFORMED IRINI

TANGER MED25 PHM Cdt Blaison  Le 23 avril 2025, le patrouilleur de haute mer (PHM) Commandant Blaison a appareillé de Brest dans le cadre de...