12 novembre 2014

Route du Rhum et Gendarmerie Maritime Aber Wrac'h Gendarmerie Maritime VCSM Bretagne course au large Trieux

Route du Rhum et Gendarmerie Maritime





Cette année à la Route du Rhum, rien n'était fait pour les philatélistes…
Pas de bureau temporaire, un départ le dimanche 2 décembre ce qui impliquait une fermeture des bureaux de poste de la veille 1er décembre…

La gendarmerie était présente sur la zone de départ avec 3 bateaux 

La gendarmerie nationale de Lézardrieux avec une vedette Raidco Marine du type UFC 11.00, un modèle développé et réalisé par le chantier Ufast de Quimper.

https://www.youtube.com/watch?v=9dLaHwWZQw4

ACTAE vedette de la brigade nautique de Lézardrieux (c) JM Bergougniou
Et deux VCSM (Vedette Côtière de Surveillance Maritime) L'Aber Wrac'h et la Trieux

La Trieux se voit assignera surveillance de la zone de la Pointe du Grouin et l'Aber Wrac'h celle du cap Fréhel

Voici quelques photos de ces vedettes, peu de l"Aber Wrac'h car embarqué à bord, beaucoup de la Trieux.

Aber Wrac'h (c) JM Bergougniou

(c) JM Bergougniou

(c) JM Bergougniou

Bouée 6 sous Fréhel (c) JM Bergougniou

Une partie de l'équipage (c) JM Bergougniou

A la passerelle (c) JM Bergougniou

Sur le cap (c) JM Bergougniou

Jumelée avec Audierne (c) JM Bergougniou

(c) JM Bergougniou

(c) JM Bergougniou

Hélicoptère de la gendarmerie (c) JM Bergougniou

La cloche Aber Wrac'h (c) JM Bergougniou

SODEBO et Trieux (c) JM Bergougniou
"C’est la deuxième fois que je couvre la Route du rhum. Il y a quatre ans, c’était encore plus spectaculaire mais aussi plus dangereux : les bateaux de plaisance s’approchaient beaucoup trop près des concurrents, sans réaliser qu’un trimaran lancé à pleine vitesse va vraiment très, très vite. Cette année, les curieux étaient plus disciplinés grâce à la présence en plus grand nombre de la gendarmerie maritime..."  Damien Meyer  AFP

VCSM Trieux (c) JM Bergougniou

SODEBO (c) JM Bergougniou

SODEBO (c) JM Bergougniou

SODEBO  (c) JM Bergougniou

SODEBO (c) JM Bergougniou

VCSM TRIEUX  (c) JM Bergougniou

Banque Populaire (c) JM Bergougniou

VCSM Trieux  (c) JM Bergougniou

VCSM Trieux (c) JM Bergougniou

VCSM TRIEUX (c) JM Bergougniou

Loïck Peyron   Banque Populaire (c) JM Bergougniou

Le Soldat Inconnu

Le Soldat Inconnu


En France, une tombe du Soldat inconnu a été installée sous l'arc de Triomphe de la place de l'Étoile à Paris le 11 novembre 1920. 


Il s'agit d'un soldat non identifié (reconnu français), qui représente tous les soldats tués au cours de la Première Guerre mondiale. 

En 1923, une flamme éternelle est allumée ; elle est ravivée tous les soirs à 18h30 (cérémonie débutant vers 18h00). 


Cette sépulture est entourée de 100 poteaux symbolisant les Cents-Jours. La tombe est faite en granite de Vire.


















Dès 1916, le Président du Souvenir Français de Rennes propose qu’un soldat français tombé au champ d’honneur, dont l’identité resterait inconnue, soit inhumé au Panthéon. Déposé le 2 novembre 1920, le projet de loi ayant pour objet « d'ordonner la translation à Paris et le dépôt à l'Arc-de-Triomphe des restes d'un soldat inconnu mort pour la France au cours de la grande guerre » est approuvé le 8 novembre à l’unanimité par les députés. Ils adoptent en même temps le lieu d’inhumation : l’Arc de Triomphe.



Dès le 3 novembre, André Maginot, Ministre des Pensions, fait connaître les directives « pour faire exhumer, […], le corps d’un soldat identifié comme français, mais dont l’identité personnelle n’aura pu être établie ». L’ancien front est divisé en neuf secteurs : Flandres, Artois, Somme, Marne, Chemin des Dames, Champagne, Verdun, Lorraine et Alsace.
Le 9 novembre, les cercueils sont acheminés jusqu’à la citadelle de Verdun. L’une des casemates est aménagée en chapelle ardente. Seuls huit cercueils arrivent car un doute subsiste sur l’un des corps exhumés.
Citadelle de Verdun

Le 10 novembre, André Maginot quitte Paris pour présider la cérémonie. A 15h00, il arrive à la citadelle. En tendant un bouquet de fleurs à Auguste THIN, jeune caporal du 132ème régiment désigné la veille pour choisir le Soldat Inconnu, il prononce ces paroles : « Soldat, vous allez le déposer sur l’un des huit cercueils qui sera le Soldat Inconnu […]. C’est le suprême hommage, et qui n’est pas trop grand, lorsqu’il s’agit de celui dont le sacrifice anonyme et le courage surhumain ont sauvé la Patrie, le Droit et la Liberté ».

reconstitution du choix du soldat inconnu à Verdun

Le jeune caporal s’arrête finalement sur le 6ème cercueil. Il expliquera son choix en affirmant qu’il a voulu rendre hommage à son régiment (132ème) en additionnant tous les chiffres (1+3+2).


Le 11 novembre 1920, au matin, après une cérémonie au Panthéon, le cercueil est déposé dans une des salles de l'Arc de Triomphe aménagée en chapelle ardente. Le 28 janvier 1921, le cercueil du Soldat Inconnu est inhumé au centre de l'arche principale, face aux Champs Elysées.


http://a.c.o.ma.r.free.fr/histo_soldat-inconnu.htm
http://www.citadelle-souterraine-verdun.fr/histoire-choix-du-soldat-inconnu.php


Le blog du Poilu sur Rue89

La vie quotidienne d'Henri Flamant

"Je suis né le 24 janvier 1886 à Paris [...] Ayant 15 jours à peine, on m'embarqua dument emmailloté pour les Ardennes -- presque le pôle Arctique. Et en janvier encore (brr!!!). [...] Vers cette époque les Prussiens m'étaient assez indifférents, courir et jouer étaient mes seuls soucis. [...] Cette vie au grand air [...] m'allait tant. [...] Dans la ville lumière [...] j'entrais dans une banque où je devais rester jusqu'à mon départ pour le Régiment. Mon patron était un brave homme qui s'appelait Isaac..."

http://blogs.rue89.nouvelobs.com/matricule-0220-le-blog-du-poilu

11 novembre 2014

11 novembre 1914

Compiègne  (Oise)  5h15 
Signature de l'armistice au carrefour de Rhetondes


L’armistice de 1918, signé le 11 novembre 1918 à 5 h 15, marque la fin des combats de la Première Guerre mondiale (1914-1918), la victoire des Alliés et la défaite totale de l'Allemagne, mais il ne s'agit pas d'une capitulation au sens propre.

Le cessez-le-feu est effectif à onze heures, entraînant dans l'ensemble de la France des volées de cloches et des sonneries de clairons annonçant la fin d'une guerre qui a fait plus de 8 millions de morts, d'invalides et de mutilés. 


Les généraux allemands et alliés se réunissent dans un wagon-restaurant aménagé provenant du train d'État-Major du maréchal Foch, dans la clairière de Rethondes, en forêt de Compiègne.






l'échec des offensives allemandes en juin et juillet 1918 et le renfort des alliés américains et britanniques retirent à l'Allemagne tout espoir de victoire. Depuis août, les forces allemandes reculent en bon ordre, mais avec de lourdes pertes, sur l'ensemble du front franco-belge. En septembre, l'État-Major allemand fait savoir à l'empereur que la guerre est perdue, mais ni Guillaume II, ni les chefs militaires ne veulent assumer la responsabilité de la défaite.




À partir de septembre, une série d'offensives de l'Entente sur les fronts d'Orient et d'Italie entraînent la capitulation des alliés de l'Allemagne. Les armistices sur les fronts d'Orient créent une « énorme brèche » que l'Allemagne n'est pas en mesure de colmater.



En même temps, sur le front belge les Franco-Belges lancent une attaque vers Bruges et enfoncent le front allemand.


L'agitation grandit dans les troupes allemandes et à l'arrière. Durant le mois d'octobre, les Allemands et le président américain Wilson échangent des notes dans lesquelles ce dernier est chargé, dans la lignée de ses quatorze points proposés en janvier dans un discours retentissant, de prendre en main le rétablissement de la paix.




Le 3 octobre 1918, l'empereur Guillaume II nomme un nouveau chancelier : Max de Bade, mais cela ne suffit pas à contrôler le pays : de nombreux marins et soldats refusent d'aller au combat, en particulier à Kiel.











Le 5 novembre 1918, à 6 heures du matin, Maurice Hacot, habitant d'Auchel et caporal affecté au centre radio-télégraphique de la tour Eiffel reçoit un message morse émis de Spa en Belgique. Il s'agit de la demande d'armistice de l'état-major1 allemand. Il transmet le message au colonel Ferrié.


















Le 7 novembre 1918, Matthias Erzberger, représentant du gouvernement allemand, passe la ligne de front à Haudroy (commune de La Flamengrie, Aisne), en compagnie d’un autre civil et de quelques militaires. Ils sont dirigés vers la villa Pasques, à La Capelle pour préparer les négociations de l’armistice6. C'est le caporal Pierre Sellier, originaire de Beaucourt (Territoire de Belfort), qui, ce jour-là, fut le premier clairon à sonner le premier cessez-le-feu.

Cessez le feu 


Sous la responsabilité du commandant de Bourbon Busset, six voitures traversent la zone dévastée du Nord de la France, par Homblières et Saint-Quentin, pour se rendre au lieu de rencontre jusque-là tenu secret, une futaie de la forêt de Compiègne abritant deux petites voies ferrées parallèles, utilisées pour l’acheminement des pièces d’artillerie sur rail destinées au tir de longue portée sur lignes allemandes et où ont été acheminés deux trains, le train du maréchal Foch et un train aménagé pour la délégation allemande. 



Durant les trois jours, les Allemands n'ont que peu d'occasions de véritablement négocier. Ils doivent rapidement se plier aux conditions développées dans un texte qui leur est soumis. Ce texte avait été établi en dernier lieu par Foch, au titre de commandant suprême des forces alliées, après un mois de positions divergentes de Wilson, Clemenceau, Orlando et Lloyd George.

Le 9 novembre, le prince de Bade conseille au Kaiser l'abdication. Celui-ci part en exil aux Pays-Bas. Cet événement est un élément de pression important vis-à-vis des délégués allemands réunis dans le wagon de Rethondes. Le lendemain, le nouveau chef du gouvernement allemand, Friedrich Ebert, signe un pacte avec les dirigeants de son armée et implore son représentant à Rethondes de clore sans tarder les négociations.



Le 11 novembre, entre 5 h 12 et 5 h 20 du matin, l'armistice est signé avec une application sur le front fixée à 11 heures du matin, et ce pour une durée de 36 jours qui sera renouvelée trois fois (prolongation d'un mois dans le même wagon à Trèves le 12 décembre 1918 puis reconduction le 16 janvier 1919 et le 16 février 1919 pour une durée illimitée)



































La convention d'Armistice


http://www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr/IMG/pdf/LaConventionDarmistice.pdf




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Le Bleuet de France 11 novembre timbre premier 1er jour 2014

Le Bleuet de France



Cette fleur sauvage est choisie pour incarner le symbole national du Souvenir mais pourquoi ? Plusieurs hypothèses existent :


- Ce serait un héritage des tranchées, un souvenir de ces jeunes nouveaux soldats arrivés dans leurs uniformes bleu horizon et baptisés « bleuets » par leurs aînés Poilus,
- Une fleur des champs dans le chaos des hommes puisque le bleuet, malgré l’horreur des tranchées a continué de pousser sur les champs de bataille,
- En hommage au bleu, couleur de la Nation, première couleur du drapeau tricolore.




L’Œuvre Nationale du Bleuet de France est une œuvre caritative issue de la Première Guerre mondiale et dont l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre (ONAC-VG) assure la gestion depuis 1991.



 L’histoire de la création du Bleuet de France débute à Paris, au sein de l’Institution Nationale des Invalides où deux femmes de leur temps à l’écoute des souffrances de leurs contemporains : Charlotte Malleterre (fille du commandant de l’Hôtel National des Invalides) et Suzanne Leenhardt, infirmières au sein de l’Institution, souhaitent venir en aide aux mutilés de la Première Guerre. Elles créent alors, dès 1925, un atelier pour les pensionnaires des Invalides. 

Ils y confectionnent des fleurs de Bleuet en tissu pour les aider à reprendre goût au travail et à la vie et subviennent ainsi, en partie, à leurs besoins grâce au produit de la vente de ces fleurs. Bientôt cette belle initiative se développe et prend une dimension nationale : la Nation veut témoigner de sa reconnaissance et venir en aide à ses hommes qui ont sacrifié leur jeunesse à défendre la France. 




Le Bleuet est alors choisi pour incarner le symbole national du Souvenir, la Fleur des Morts pour la France. C’est pourquoi, il est décidé à l’occasion du 11 novembre 1934, de vendre, pour la première fois, les fleurs de bleuet fabriquées par les anciens combattants sur la voie publique à Paris : près de 128 000 fleurs seront vendues ! C’est une vraie réussite suivie d’une véritable reconnaissance car, dès 1935, l’État décide de la vente officielle du Bleuet chaque 11 novembre






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