27 septembre 2013
humour dans le carré par Donec
Et si nous faisions du mauvais esprit
Bonjour à tous,
Aujourd’hui l’anglais de cuisine remplace le Français comme langue diplomatique. A l’époque de Saint Augustin c’était le latin qui tenait ce rôle. Il en reste quelques aimables proverbes.
Le ciel vous tienne en joie et à la semaine prochaine.
Donec
Guetteur Sémaphoriste Sémaphore de SOCOA
Guetteur Sémaphoriste
Sémaphore de SOCOA
Le sémaphore de Socoa est situé au début de la corniche basque et surplombe la baie de Saint-Jean-de-Luz/Ciboure.
Le réseau des sémaphores est de la responsabilité de la Marine Nationale qui les arment en personnels spécialisés : les guetteurs sémaphoriques. Ils observent le golfe d’Aquitaine. Le sémaphore possède un espace de veille équipé de longues baies vitrées, de puissantes jumelles, d’un radar et des moyens de radiocommunications.
Les sémaphores assurent des missions de service public :
Secours et sauvetage :
la veille sur la fréquence de détresse : naufrage imminent (signal mayday), demande d'assistance, panne grave, signalisation d'un objet flottant dangereux…
les sémaphores sont en liaison aux CROSS chargés d'organiser si nécessaire les secours.
Information :
notamment la météo ex : les avis de tempête
Régulation du trafic maritime et de l'activité de pêche :
Régulation du trafic des principaux ports de commerce.
Surveillance des infractions à la réglementation relative à la navigation, notamment respect des rails de navigation.
Application de la réglementation pour la pêche (zones de pêche)
Surveillance des pollutions maritimes accidentelles
26 septembre 2013
Patrouilleur Austral ALBATROS Trente ans au service de la Marine nationale
Patrouilleur Austral ALBATROS Trente ans au service de la Marine nationale

Après une fin de mission mouvementée dans les TAAF (Terres Australes et Antarctiques Française) marquée par une avarie, l’ « ALBATROS » rejoint Port des Galets à la mi-avril. Une fois à quai, anticipant l’arrêt technique prévu pour la fin d’année, les réparations des divers équipements défectueux commencent.
Ainsi, pendant plusieurs semaines, c’est au son des marteaux à piquer et des ponceuses que l’équipage de l’« ALBATROS » redonne au bâtiment le potentiel indispensable aux activités opérationnelles prévues en fin d’année. Pour ce faire, les équipes des différents partenaires industriels travaillent en collaboration étroite avec le bord et le service de soutien à terre afin de tenir le planning très serré des réparations.
L’AT s’est poursuivit pendant tout le mois de juin. Ainsi, des dizaines d’interventions en tous genres sont effectuées, redonnant toute sa vigueur au doyen de la Marine.
Après une fin de mission mouvementée dans les TAAF (Terres Australes et Antarctiques Française) marquée par une avarie, l’ « ALBATROS » rejoint Port des Galets à la mi-avril. Une fois à quai, anticipant l’arrêt technique prévu pour la fin d’année, les réparations des divers équipements défectueux commencent.
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Merci à R. P. pour le scan de son pli |
La principale intervention concerne le remplacement du vilebrequin du GEP endommagé. C’est une opération majeure qui nécessite le démontage et le retournement du moteur.
D’autres interventions moins lourdes sont également programmées. Elles permettront de redonner ses pleines capacités au bâtiment. Parmi celles-ci, on trouve la réfection de la cuisine et des hygiènes, la réparation d’équipements électroniques et le démontage d’un des DA (Diesel Alternateur). C’est également l’occasion d’une remise en état de la coque et du pont, malmenés par notre navigation australe.
Ainsi, pendant plusieurs semaines, c’est au son des marteaux à piquer et des ponceuses que l’équipage de l’« ALBATROS » redonne au bâtiment le potentiel indispensable aux activités opérationnelles prévues en fin d’année. Pour ce faire, les équipes des différents partenaires industriels travaillent en collaboration étroite avec le bord et le service de soutien à terre afin de tenir le planning très serré des réparations.
L’AT s’est poursuivit pendant tout le mois de juin. Ainsi, des dizaines d’interventions en tous genres sont effectuées, redonnant toute sa vigueur au doyen de la Marine.
ça va rouler, ça va rouler |
Les essais de validation en mer se déroulent de manière optimale, la disponibilité du bâtiment est alors prononcée. Ces essais ont, en outre, permis de réaliser un entraînement aéronautique avec un hélicoptère EC145 de la gendarmerie. Cette ultime étape menée à bien c’est avec sérénité que l’ « ALBATROS » aborde le second semestre qui comportera un stage de mise en condition opérationnel (MECO) et une mission dans les TAAF.
Par Patrouilleur Austral Albatros le lundi, 22 juillet 2013,
Par Patrouilleur Austral Albatros le lundi, 22 juillet 2013,
Groupe tactique école Campagne GTC 97/98
GTC 1997/1998 En panne de crédits, la Jeanne reste à quai.
Mars 1997 de retour à Brest à l'issue de la 33ème campagne d'application on apprend assez rapidement que pour la première fois depuis sa mise en service en 1964, le Jeanne d'Arc fera sa campagne d'application à quai !
En cet été 1997 la presse annonce que le porte-hélicoptères Jeanne d'Arc, fleuron de la Marine nationale ne prendra pas la mer.
Photo Jean-Michel Bergougniou |
Photo Jean-Michel Bergougniou |
En effet, lors de l'IPER, l'état de certains collecteurs de vapeur a été jugé trop mauvais et leur remplacement décidé. Les délais d'approvisionnement étant trop longs pour mettre le déroulement de la campagne, l'École d'application assure la formation à la mer grâce à la formation d'un "groupe tactique école" composé des frégates Duguay Trouin et Germinal et du pétrolier-ravitailleur Marne, la formation "hors mer" se faisant à quai sur le Jeanne d'Arc.
Le "groupe tactique école" quittera Brest le 25 octobre pour un périple en Océan Indien qui durera jusqu'au 14 mars 1998. La promotion embarque par moitié avec relève à la Réunion.
Le «Jeanne-d'Arc» reste en rade à Brest. Le navire-école de la Marine ne prendra pas le large cette année.
et quelques jours plus tard

"La Jeanne d'Arc va rester au moins un an de plus à quai. En panne de
moteur (lire Libération du 1er août 1997), le navire-école de la Marine nationale aurait dû être réparé cet hiver et reprendre la mer à l'automne 98. Mais les marins sont fauchés et ne pourront pas financer les travaux cette année. «La croisière est finie», constate un officier qui, au vu de l'évolution des crédits militaires, ne donne pas cher de l'avenir de la Jeanne.
Victimes militaires. Le budget 1998 de la Défense pourrait être fatal à ce porte-hélicoptères, vieux de trente-six ans, à bord duquel sont formés les «midships» (élèves officiers) de l'Ecole navale. Les crédits d'équipement militaire, qui seront adoptés demain en Conseil des ministres, baissent de trois à quatre milliards de francs par rapport au budget 1997 (84,9 milliards). Ils devraient s'élever l'an prochain à environ 81,5 milliards."
Le "groupe tactique école" quittera Brest le 25 octobre pour un périple en Océan Indien qui durera jusqu'au 14 mars 1998. La promotion embarque par moitié avec relève à la Réunion.
"Le Jeanne-d'Arc, l'unique navire-école de la Marine nationale,
restera à quai cette année. Pour la première fois depuis 1964, ce porte-hélicoptères n'effectuera pas la «campagne» de plusieurs mois qui couronne la formation des élèves officiers. Le Jeanne a en effet de gros soucis de moteurs, qui nécessitent d'importants travaux. Certains de ses «collecteurs», des tuyaux dans lesquels circule de la vapeur à 45 bars et plus de 350 degrés, sont à bout de souffle. Ils doivent être remplacés d'urgence «pour la fiabilité de la propulsion et la sécurité du personnel», explique-t-on dans la Marine.
Photo Jean-Michel Bergougniou |
En 1989 et 1990, le Jeanne avait déjà subi une série de réparations et de modernisations, notamment sur son «appareil propulsif». Cette fois, les tuyaux en aciers spéciaux devront être usinés pour l'occasion et le chantier ne pourra être achevé avant le début de la «campagne d'application», fin octobre ou début novembre.
Le porte-hélicoptères devrait être opérationnel au printemps prochain et partir pour sa 34e campagne durant l'hiver 1998-1999.
Photo Jean-Michel Bergougniou |
La Marine ne possède aucun bâtiment comparable à le Jeanne, aménagée pour héberger et instruire les élèves officiers. Les 150 «midships» (jeunes officiers, en langage marin) embarqueront cette année sur trois autres bâtiments: les frégates Duguay-Trouin, Germinal et le pétrolier-ravitailleur Marne. Mais, faute de place à bord, ils n'effectueront que la moitié de la croisière. A mi-parcours, ils céderont leurs carrés à l'autre moitié de leur promotion et rentreront à Brest, par avion. Ils y termineront leur formation à bord du Jeanne, sur un quai du port militaire"1er août 1997
MERCHET Jean-Dominique
et quelques jours plus tard

"La Jeanne d'Arc va rester au moins un an de plus à quai. En panne de
moteur (lire Libération du 1er août 1997), le navire-école de la Marine nationale aurait dû être réparé cet hiver et reprendre la mer à l'automne 98. Mais les marins sont fauchés et ne pourront pas financer les travaux cette année. «La croisière est finie», constate un officier qui, au vu de l'évolution des crédits militaires, ne donne pas cher de l'avenir de la Jeanne.
Photo Jean-Michel Bergougniou |
Victimes militaires. Le budget 1998 de la Défense pourrait être fatal à ce porte-hélicoptères, vieux de trente-six ans, à bord duquel sont formés les «midships» (élèves officiers) de l'Ecole navale. Les crédits d'équipement militaire, qui seront adoptés demain en Conseil des ministres, baissent de trois à quatre milliards de francs par rapport au budget 1997 (84,9 milliards). Ils devraient s'élever l'an prochain à environ 81,5 milliards."
MERCHET Jean-Dominique 23 septembre 1997
Libération
http://www.liberation.fr/france/1997/09/23/en-panne-de-credits-la-jeanne-reste-a-quai-la-defense-reduit-de-3-4-milliards-son-budget-equipement_214792

le Groupe Tactique école constitué pour pallier la seule défection de la Jeanne avait appareillé de Brest le 25 Octobre 1997 . Composé du Duguay Trouin , du Germinal et la Marne il était de retour à Brest le 14 Mars 1998. Ce n'est que le 23 juillet 1998 après travaux que la Jeanne avait été à nouveau déclarée apte au service.
Photo Jean-Michel Bergougniou |
http://www.liberation.fr/france/1997/09/23/en-panne-de-credits-la-jeanne-reste-a-quai-la-defense-reduit-de-3-4-milliards-son-budget-equipement_214792
le Groupe Tactique école constitué pour pallier la seule défection de la Jeanne avait appareillé de Brest le 25 Octobre 1997 . Composé du Duguay Trouin , du Germinal et la Marne il était de retour à Brest le 14 Mars 1998. Ce n'est que le 23 juillet 1998 après travaux que la Jeanne avait été à nouveau déclarée apte au service.
Photos Jean-Michel Bergougniou
Guetteur sémaphoriste Sémaphore de Camarat Ramatuelle
Guetteur sémaphoriste Sémaphore de Camarat Ramatuelle


La plage de Tahiti à Ramatuelle aura été le cadre du tournage du film "le Gendarme de Saint-Tropez"
25 septembre 2013
Sémaphore Guetteur sémaphoriste Vigie du cap Cépet VAR Provence
La vigie du Cap Cépet
Saint Mandrier
Le sémaphore de Cépet à été construit entre 1862 et 1877 sur le site du fort de la Croix des Signaux.
Saint-Mandrier-sur-Mer est une commune du Var située sur la presqu'île de Saint-Mandrier, qui est l'extrémité sud de la petite rade de Toulon. Elle est reliée au massif du Cap-Sicié par l'isthme des Sablettes. Elle est membre de la Communauté d'agglomération Toulon Provence Méditerranée.
À sa création en 1806 par Louis Jacob sous Napoléon Ier, le sémaphore était un poste de guet établi sur la côte, chargé de surveiller les approches maritimes et de signaler par signaux optiques toute activité ennemie (le mot sémaphore vient du grec sema : signe et phoros : qui porte).
Dans la deuxième moitié du 19e siècle, les sémaphores sont avec leur capacité télégraphique conçus comme un canal de communication, le seul pour l'époque en tout point de la côte entre les navires et la terre, notamment les armateurs. D'ailleurs, les sémaphores étaient des bureaux télégraphiques à part entière. L'aspect de surveillance complète ce rôle central : « Chaque poste sémaphorique est un œil - et un œil vigilant - ouvert sur la mer pour voir tout ce qui s'y passe. »
Aujourd'hui, le sémaphore est un poste de surveillance en bord de côte qui assure des missions diversifiées qui vont de l'assistance à la navigation jusqu'à la surveillance du territoire en passant par la régulation du trafic maritime et de la pêche.
Pour exercer ces missions, le personnel du sémaphore dispose d'une chambre de veille équipée de larges baies vitrées et de puissantes paires de jumelles (et éventuellement d'un télescope) donnant sur la zone maritime à surveiller, d'un radar et de moyens de radiocommunication.
Le sémaphore est installé sur un point culminant de la côte si le relief s'y prête. La chambre de veille est généralement au sommet d'un bâtiment qui parfois s'apparente à une tour (sémaphore du Stiff).Les sémaphores sont échelonnés tout au long des côtes françaises, chacun couvrant un secteur maritime défini.Le réseau des sémaphores est de la responsabilité de la Marine nationale qui les arme en personnels militaires spécialisés : les guetteurs sémaphoriques.sources
http://www.anciens-cols-bleus.net/t7569-vigie-cepet-saint-mandrier-var
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