17 décembre 2010

L'ACHARNE tire sa révérence Cherbourg Remorqueur Côtier

Retrait du service actif du remorqueur côtier ACHARNE




Le remorqueur est entré en service le 5 juillet 1974, il en est retiré le 16 décembre 2010
Retrait du service actif le 16 décembre 2010 TAD 16-12-2010  LA POSTE 24403A CHERBOURG CC-T1 BDIS 50100


RC ACHARNE  photo Bernard Hily


http://www.defense.gouv.fr/marine/decouverte/equipements-moyens-materiel-militaire/batiments-de-surface/batiments-de-soutien/remorqueurs/cotiers/acharne-a-693




BâtimentSur caleLancementMise en servicePort base
Acharné (A 693)197313 février 19745 juillet 1974Cherbourg

Missions


Remorquage
Lutte anti-pollution.

Caractéristiques
Longueur : 28,30 mètres
Largeur : 7,90 mètres
Tirant d'eau : 4,30 mètres
Tirant d'air : 14,20 mètres
Déplacement : 220 tonnes et 290 tonnes en pleine charge
Vitesse : 11 noeuds
Distance franchissable : 4.100 nautiques à 11 noeuds

Énergie et propulsion
1 moteur diesel SACM-Wärtsilä UD 30 V 16 M 3
1 hélice Kort - 1.000 ch (735 kW)
Puissance électrique 60 kW

Armement
Néant

Équipement électronique
1 radar Furuno

Équipement
Traction au point fixe : 17 tonnes
Mâture rabattable


Équipage
9 officiers mariniers
4 quartiers-maîtres et matelots




http://www.netmarine.net/g/bat/acharne/30ans.htm



16 décembre 2010

FREMM PROVENCE Découpe de la première tôle 15-12-2010

FREMM Provence LORIENT 
15-12-2010






Lettre Prioritaire flamme 21951A 561760VANNES CTCAVENUE PAUL DUPLAIX


Merci à PLG pour son envoi


http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=114883&u=6833&xtor=EPR-56-[newsletter]-20101216-[article]




Un site dimensionné pour produire plus d'un navire par an

Notifié en 2005, FREMM est un programme majeur pour DCNS et la Marine nationale. Pour l'industriel, il représente une charge de travail considérable, soit près de 50 millions d'heures de travail, et permet de renouveler sa gamme de frégates de premier rang proposées à l'export. Un premier succès a d'ailleurs été remporté avec le Maroc, dont la FREMM sera mise à l'eau en septembre 2011 et livrée en 2013. DCNS propose également cette famille de frégates à plusieurs pays, dont la Grèce, le Brésil, l'Arabie Saoudite, l'Algérie et sans doute le Canada. Bien que l'essentiel des programmes internationaux soient désormais réalisés en transfert de technologie, certains contrats à l'export, s'ils débouchent, pourraient voir une partie des navires réalisée à Lorient. Le site, qui a bénéficié d'importants investissements pour remettre son outil industriel à niveau dans le cadre du programme FREMM, est actuellement calé sur une cadence de livraison moyenne d'une frégate tous les 10 mois. Mais il est en mesure de monter en puissance pour produire un navire tous les 7 mois, niveau d'activité que Patrick Boissier espère pouvoir atteindre. Afin d'augmenter ses capacités de production, le groupe peut, à cet effet, jouer sur sa flexibilité, en s'appuyant notamment sur ses différents établissements, comme Brest et Cherbourg, qui ont déjà réalisé des blocs pour les premières FREMM.



L'Aquitaine, hier à Lorient (© : MER ET MARINE - VINCENT GROIZELEAU)

Le programme « dans les temps »
En attendant d'éventuel débouchés à l'export, DCNS se concentre sur l'existant, où il y a déjà fort à faire. Malgré la complexité du programme, le groupe colle jusqu'ici au planning. « Avec FREMM, nous nous sommes engagés sur des objectifs très ambitieux en termes d'innovation, de qualité et de délais. Le programme est dans les temps et l'Aquitaine sera livrée à la Marine nationale mi-2012 », assure Patrick Boissier. Passé au mois d'août au bassin, le prototype des FREMM se libèrera progressivement, dans les prochaines semaines, des échafaudages qui l'enserrent, ce qui permettra enfin de découvrir l'allure définitive du navire. D'ores et déjà, on peut deviner l'élégance du bateau qui, au-delà de son design, constitue surtout un beau challenge technologique. Doté d'une série de nouveaux équipements (missiles Scalp Naval, radar Herakles, système de combat SEIS...), l'Aquitaine présente également un niveau d'automatisation jamais atteint sur une frégate de ce type. L'équipage ne comprendra, en effet, que 108 marins, et même seulement 94 si l'on enlève le détachement aéro. Si l'on compare aux 250 à 300 marins nécessaires pour armer les bâtiments actuels, il s'agit d'une véritable révolution pour la flotte française. L'équipage de conduite du navire, arrivé à Lorient en septembre, en a d'ailleurs bien conscience et découvre avec étonnement un nouveau mode de fonctionnement.



L'Aquitaine, hier à Lorient (© : MER ET MARINE - VINCENT GROIZELEAU)


L'Aquitaine, hier à Lorient (© : MER ET MARINE - VINCENT GROIZELEAU)

C'est dans ce contexte que vont se dérouler les essais, avec une montée en puissance progressive destinée à roder la plateforme et mettre au point les différents équipements, d'abord séparément puis au sein d'un système intégré. Cette phase est toujours délicate pour l'industriel et on se souvient que la mise au point du système de combat du bâtiment de projection et de commandement Mistral, ainsi que celui de la frégate de défense aérienne Forbin (Horizon), furent longs et fastidieux. Tirant les leçons des erreurs passées, DCNS et la Direction Générale de l'Armement (DGA) abordent cette fois le problème de manière différente. D'importants travaux sont menés en amont, sur le site DCNS du Mourillon et sur la plateforme de Saint-Mandrier, pour que l'intégration du système se passe au mieux. De plus, contrairement au programme franco-italien Horizon, les Français n'auront, cette fois, pas à subir les aléas de la coopération. Le système de combat SEIS est purement tricolore, ce qui devrait faciliter sa mise au point. D'où, peut être, une certaine confiance chez DCNS, même si l'expérience prouve qu'il faut, avec ce genre de programmes complexes, rester prudent.



FREMM (© : DCNS)

La marine défendra ses 11 frégates
Comme on vient de le voir, le programme FREMM est crucial pour DCNS. Et pour la Marine nationale, l'enjeu n'est pas moindre. Les 11 FREMM commandées, soit 9 en version anti-sous-marine et 2 en version antiaérienne, permettront en effet de renouveler la majeure partie de la flotte de surface de premier rang. Ces bâtiments apporteront, en outre, une nouvelle capacité aux forces armées françaises, puisqu'ils seront les premiers navires de la Marine nationale à mettre en oeuvre le missile de croisière Scalp Naval, à raison de 16 munitions par FREMM. Toutefois, malgré le caractère stratégique de ces bâtiments, les marins redoutent toujours que les difficultés financières entrainent des retards ou même des coupes sombres. Le programme, notifié en 2005 avec un objectif initial de 17 frégates (pour remplacer en même temps les 9 avisos du type A69), a déjà fait les frais des restrictions budgétaires. D'abord, deux Frégates de Défense Aériennes (FREDA) sont venues se substituer à deux FREMM suite à l'abandon de la construction des troisième et quatrième Horizon, jugées trop onéreuses. Puis, en 2008, 6 frégates sont finalement passées à la trappe et la cadence de production a été réduite. Aujourd'hui, le chef d'état-major de la marine estime que le format et le calendrier actuels du programme FREMM doivent être maintenus. Et l'amiral est prêt à défendre « ses » bateaux, où plutôt ceux dont la France a besoin pour maintenir ses capacités et tenir son rang. « Pour nous, ce programme est structurant puisqu'avec lui, nous construisons la colonne vertébrale de la marine du XXIème siècle. C'est grâce à ce programme que la Marine nationale restera une marine de premier rang. Je me battrai donc jusqu'au bout pour que ce programme soit mené en temps, en heures et dans les termes du contrat. », affirme Pierre-François Forissier, qui a salué hier le travail réalisé par les équipes de DCNS.



L'amiral Pierre-François Forissier et Patrick Boissier (© : GWEN CATHELINE - LE TELEGRAMME)

Livraisons entre 2012 et 2022


En 10 ans, le site DCNS de Lorient achèvera, au moins, 12 frégates, soit 11 pour la Marine nationale et une pour le Maroc. Tête de série, l'Aquitaine sera donc livrée mi-2012. Elle sera suivie l'année suivante par la FREMM marocaine. Viendront ensuite les Normandie (2014), Provence (2015), Languedoc (2016), Auvergne (2016), Alsace (2017), Bretagne (2018) et Lorraine (2019), puis en 2020, 2021 et 2022 les trois dernières unités françaises qui n'ont pas encore été nommées. Destinées à remplacer les 9 frégates du type 67 (Tourville) et F70 ASM (Georges Leygues), ainsi que les Cassard et Jean Bart (type F70 AA), les FREMM 1, 2, 7, 8 et 9 seront basées à Brest, alors que les frégates 3, 4, 5, 6, 10 et 11 rejoindront Toulon.

Longues de 142 mètres pour un déplacement de 6000 tonnes en charge, les 9 premières FREMM françaises auront comme mission principale la lutte anti-sous-marine. Elles seront notamment chargées d'assurer la sécurité des sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE) basés en Bretagne, de protéger les approches et accès maritimes, tout en offrant un rempart au groupe aéronaval contre une attaque sous-marine. Pour mener à bien cette mission, les bâtiments seront dotées d'un sonar remorqué, de torpilles MU90 et d'un hélicoptère NH90. Très armées pour la lutte ASM, ces frégates sont aussi polyvalentes. Elles seront, part exemple, capables de mener des frappes contre des objectifs terestres grâce à leurs 16 missiles de croisière Scalp Naval, dont la portée atteint un millier de kilomètres. Le reste de l'armement comprendra 16 missiles surface-air Aster 15, 8 missiles antinavire Exocet MM40 Block3, une tourelle de 76mm et de l'artillerie légère.
Les FREMM 10 et 11 seront, quant à elles, dédiées à la défense aérienne et se substitueront aux troisième et quatrième frégates du type Horizon. Baptisées FREDA, les deux dernières frégates, livrables en 2021 et 2022, succèderont aux Cassard et Jean Bart. Les nouveaux bâtiments n'embarqueront pas de Scalp Naval mais un total de 32 missiles surface-air, avec un panachage d'Aster 30 et Aster 15. Elles disposeront en outre d'un radar multifonctions Herakles plus puissant afin d'assurer la protection contre avions et missiles d'un groupe naval.

sources :

Mer et Marine

http://www.dcnsgroup.com/wp-content/uploads/2010/10/60875.pdf





Longueur, hors tout 142 m déplacement 6,000 t Vitesse.max 27 nœuds Logements 145 Equipage 108 Distance franchissable 6,000 NM

15 décembre 2010

ATALANTE SOMALIE De Grasse


Changement de commandant à la tête de l'EUNAVFOR Frégate DE GRASSE

C'est en anglais mais vous ne devriez pas avoir trop de problèmes à traduire... c'est le passage de témoin entre la France et l'Espagne concernant la mission ATALANTE


Il y a quelques vidéos en cliquant sur le second lie, je vais le marquer en vert CLIQUEZ en dessous

je m'aperçois aussi que je n'ai pas d'enveloppe du De Grasse en ATALANTE... Bizarre vous avez dit Bizarre



EUNAVFOR Force Headquarters handover ceremony




At a ceremony in Djibouti on board the EUNAVFOR French warship, FGS DE GRASSE, Rear Admiral (FR) Philippe Coindreau, who has been the Force Commander of EUNAVFOR Operation ATALANTA for the last four months, handed over to Rear Admiral Juan Rodriguez of Spain. He will lead the multinational Force Headquarters onboard the EUNAVFOR Spanish warship PATIÑO for the next four months.
On Tuesday 14th December the handover took place on board FS DE GRASSE and the Admirals exchanged information regarding Operation ATALANTA. 








SPS PATIÑO now becomes the new flagship of the European Union Naval Force Operation ATALANTA.
“In 2010, 72% of pirate attacks have failed, 81% since August. Those results are due to the combination of EUNAVFOR’s action, the application of new concepts of operations, the use, by the maritime community, of systematic security measures on merchant vessels and high-quality cooperation with other naval forces and independent Navies”, said French Rear Admiral Philippe Coindreau. He continued: “Admiral, the responsibility of continuing the mission will soon be in your hands. I am convinced that your command will be marked by significant and fruitful actions.“






The new EUNAVFOR Force Commander, Rear Admiral Juan Rodríguez thanked Rear Admiral Philippe Coindreau and stated: “The ships, the aircraft and the people that worked for EUNAVFOR before us, have achieved an impressive record of effectiveness.





REVUE DE PRESSE

This press release is also available on: http://www.eunavfor.eu/2010/12/eunavfor-force-headquarters-handover-ceremony
Please find video material about "European Union Naval Force Somalia - Operation Atalanta" published in the TV-Newsroom of the Council of the European Union: 







CLIQUEZ en dessous

http://tvnewsroom.consilium.europa.eu/search/simple-search-result?simple_search_type=media&simple_search_query=EU+NAVFOR

















EU NAVFOR SomaliaEU NAVFOR Somalia - Operation ATALANTA's main tasks are to escort merchant vessels carrying humanitarian aid of the 'World Food Program' (WFP) and vessels of 'African Union Mission in Somalia' (AMISOM), and to protect vulnerable ships in the Gulf of Aden and Indian Ocean and to deter and disrupt piracy. EU NAVFOR also monitors fishing activity off the coast of Somalia.










For any further questions, do not hesitate to get in contact with us.
Best regards,
European Union Naval Force SomaliaOperation Atalanta Public Affairs Office
Tel: +44 (0) 1923 9 58611
Mob: +44 (0) 7762 7 84746
Fax: +44 (0) 1923 9 58608

For official comments on the above please contact EU NAVFOR Spokesperson:
Lt. Col Per Klingvall
Tel: +44 (0) 1923 958693 Mob: +44 (0) 7540 417378



Site EUNAVFOR


Internet: http://www.eunavfor.eu
E-Mail: media@eunavfor.eu




le BCR SOMME reviendra à BREST

Une grosse unité rejoindra la base navale de Brest à l'été




14 décembre 2010

TOULON Journée ADOSM

Les Œuvres Sociales de la Marine





Les journées d’entraide régionales de Toulon ont lieu, chaque année, fin novembre ou début décembre au Cercle du Marin (près de la porte Castigneau).
Elles se déroulent sur 2 jours, le vendredi et le samedi.

En 2010, les journées d'entraîde de Toulon ont eu lieu le vendredi 10 décembre de 09 h 30 à 19 h 00 et le samedi 11 décembre de 10 h 00 à 18 h 00.

On pouvait y trouver un nombre important de stands allant de la bijouterie aux souvenirs maritimes en passant par la maroquinerie, la librairie, les produits de nos régions, la philatélie, fleurs et jardins, etc…

http://adosm.free.fr/index.php

10 décembre 2010

Saint-Malo deux navires écoles de la Marine en Escale

La Ménagerie à Saint-Malo : le LYNX et le CHACAL en escale bassin Vauban




















photos JM Bergougniou







Dimensions : 43,00 ht (40,15 entre pp) x 8,30 x 3,65 (Tmax) mètres
Déplacement : 335 tonnes (470 t pleine charge)
Equipage
1 officier, 7 officiers mariniers, 7 quartiers-maîtres ou matelots (1 ou 2 officiers et 2 officiers-mariniers instructeurs + 18 élèves)


La superposition de deux passerelles.
ENERGIE - PROPULSION
Propulsion principale
2 moteurs Diesel diesels SACM-Wartsila UD30 V16 M3
2 lignes d'arbres avec hélices à pas variable.
Puissance : 2200 CV (2 x 1200 CV)
Auxiliaires
Usine électrique : 2 groupes Diesel-alternateurs de 80 kW
Vitesse maximum : 15 noeuds
Distance franchissable à 12 noeuds : 5000 nautiques
Diamètre de giration :140 yard à 15 noeuds ; Distance nécessaire pour casser l'erre à 15 nds : 50 mètres
EQUIPEMENTS
Armement
2 mitrailleuses de 12.7mm
Equipements électroniques
Un radar de navigation DRBN 38 (Racal Decca 250E Bridgemaster)
1 compas gyroscopique SAGEM, 1 loch Ben, 2 sondeurs (petits fonds et grands fonds)
Capacités
Gazole = 98 m3 ; Eau douce = 47 m3 ; Vivres = 3 chambres froides / 33,9 m3

http://www.netmarine.net/m/bat/be/chacal/caracter.htm


RC ACHARNE

Hommage au RC ACHARNE

Après une carrière bien remplie le RC ACHARNE va prendre une retraite bien méritée...







Ils avaient pour nom : Actif, Courageux, Hercule, Laborieux, Le Fort, Lutteur, Travailleur, L'Utile, Valeureux. C'étaient les remorqueurs côtiers de puissance 1000 chevaux ; les " mille " comme on les appelait.



Moi, l'Acharné, je suis le dernier survivant de ce type encore en activité. J'ai été construit par les chantiers " La Perrière " à Lorient et admis au service actif en 1974. Voici mes caractéristiques : longueur 28 mètres, largeur 8 mètres, tirant d'eau 4 mètres .

Basé à Cherbourg sous le commandement organique de la base navale, je viens donc de fêter mes trente ans le 5 juillet.



Trente ans, le bel âge ! Mon copain le Lutteur a pris sa retraite en 1999, il m'a laissé un peu orphelin dans le bassin Charles X. Je promène ma silhouette trapue du Mont Saint Michel à la frontière belge . J'ai eu la chance de visiter quelques ports du Royaume-Uni , de Belgique, des Pays bas et des îles anglo-normandes. En France, au cours de mes missions de surveillance, Granville, Fécamp, Dieppe et Dunkerque m'accueillent toujours à bras ouverts. L'équipage a toujours autant de plaisir à me faire visiter par la population. Ce qui intrigue le plus les visiteurs est de savoir comment vivent les marins dans un espace si restreint.
Dessin de Francis Jamesse

A l'heure des systèmes de navigation intégrés, je gouverne toujours au compas magnétique. La machine, qui brille de mille feux, fait des envieux ; il est vrai que les " Mécanos " me bichonnent et sont aux petits soins avec moi. Ma puissance de remorquage est toujours aussi impressionnante, 17 tonnes au croc.


C'est ainsi que ces derniers mois, je faisais partie de l'attelage pour la sortie du SNG Vigilant, en " fléchard " avant. Le sous-marin O'higgins du programme Scorpène Chili m'a également utilisé pour des essais de plongée statique en baie du Becquet ; je suis toujours prêt à donner un coup de main aux pilotes. Mon retrait du service actif est prévu en 2010 ; j'ai encore quelques belles années devant moi à bourlinguer de Chausey à Jobourg , en passant par Lévy, Barfleur, Saint-Vast-la-Hougue, des jolis coins que je ne cesse d'admirer.



Mais, je ne serais rien sans le travail effectué par tous les hommes qui ont constitué mon équipage durant ces années : les mécanos, les boscos sans oublier les cuistots. Au hasard de vos promenades sur la côte normande, le dernier des " mille chevaux " vous tapera sûrement à l'œil.

(Texte du MJR André Coulloc'h , cdt le RC Acharné de juin 2002 à aout 2004)


http://www.netmarine.net/g/bat/acharne/30ans.htm

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...