Le PH JEANNE D'ARC à Saint-Pierre et Miquelon
et pour commencer un PAP de le SPM représentant l'île aux Marins
Timbre humide rouge PH Jeanne d'Arc Dernière campagne GEAOM 2009/2010
flamme bleue de St Pierre en date du 22 avril 2004 sur timbre SPM Le Ramendeur
Merci à JEF
02 mai 2010
La Jeanne d'Arc à Québec
Escale à Québec plis en timbres français
La symbolique du vaisseau
Toutes voiles gonflées, le vaisseau est l’élément fort des armoiries et du drapeau et fait office de logotype de la Ville.
Il évoque la fondation de Québec en 1608 par Samuel de Champlain, venu de Honfleur. Il rappelle aussi l’histoire maritime de la ville dont les figures dominantes, le découvreur, Jacques Cartier, et le fondateur, Samuel de Champlain, étaient tous deux navigateurs.
Il rend de plus honneur à la vocation maritime de la ville qui, au milieu du XIXe siècle, fut l’un des plus importants centres de construction de navires au monde. Ses voiles gonflées symbolisent quant à elles la fermeté et la vaillance de la population.
Québec - Chateau Frontenac photo JM Bergougniou |
Québec - Chateau Frontenac photo JM Bergougniou |
Québec - statue de Samuel de Champlain photo JM Bergougniou |
Brouage - François de Montmorency photo JM Bergougniou |
Québec - plaque historique photo JM Bergougniou |
Quatre siècles au cours desquels Québec est aussi devenue la ville que nous connaissons maintenant, se forgeant un caractère propre : un dynamisme culturel, des succès économiques, des transformations urbaines, des vies de quartier, un rayonnement francophone.

site de la ville de Québec
timbre PH Jeanne d'Arc flamme PH Jeanne d'Arc en date du 12 avril 2010
sur enveloppe, timbre Marins de la Jeanne, timbre à date manuel en date du 12 avril 2010
Et me voilà de retour
Frégate FLORÉAL Présence aux TAAF
De retour après une semaine dans le Massif Central a étudier les reliefs volcaniques, rien de plus normal que de commencer par la visite de la frégate de surveillance FLORÉAL aux TAAF
escale à Kerguelen le 21 février 2010 TAD manuel sur timbre île Saint-Paul
Île Saint Paul est un volcan égueulé
Le district de Saint-Paul et Amsterdam est situé dans sud de l’océan Indien, il est composé de deux îles distantes d’environ 85 kilomètres : L’île Saint-Paul (38°43’S et 77°31’E)
L’île d’Amsterdam (37°50’S et 77°31E), quelquefois appelée île de la Nouvelle-Amsterdam.
L’île Saint-Paul (8 km²) est caractérisée par la présence d’un cratère central envahi par la mer, avec une passe peu profonde délimitée par deux jetées naturelles de bloc rocheux. Des bulles et quelques vapeurs indiquant la présence de sources d’eau chaude, au fond du cratère, témoignent de l’activité volcanique assoupie des lieux.
Occupation humaine
Il n’y a aucune présence humaine permanente sur l’île qui n’est visitée que lors de brèves expéditions scientifiques. Entre 1850 et 1930, des tentatives d’implantation de pêcheries et de conserveries ont eu lieu, essentiellement pour l’exploitation des langoustes, très abondantes sur ces côtes. Mais elles se sont soldées par des échecs du fait de l’isolement, du manque de ressources et d’abris. La dernière tentative se finissant même en tragédie connue en France, sous le nom des "Oubliés de Saint-Paul" avec la mort de dizaines de colons. En dehors des missions scientifiques, l’accès sur l’île est désormais interdit
sources TAAF :
http://www.taaf.fr/spip/spip.php?article110
photos JMB
De retour après une semaine dans le Massif Central a étudier les reliefs volcaniques, rien de plus normal que de commencer par la visite de la frégate de surveillance FLORÉAL aux TAAF
escale à Kerguelen le 21 février 2010 TAD manuel sur timbre île Saint-Paul
Île Saint Paul est un volcan égueulé
Le district de Saint-Paul et Amsterdam est situé dans sud de l’océan Indien, il est composé de deux îles distantes d’environ 85 kilomètres : L’île Saint-Paul (38°43’S et 77°31’E)
L’île d’Amsterdam (37°50’S et 77°31E), quelquefois appelée île de la Nouvelle-Amsterdam.
L’île Saint-Paul (8 km²) est caractérisée par la présence d’un cratère central envahi par la mer, avec une passe peu profonde délimitée par deux jetées naturelles de bloc rocheux. Des bulles et quelques vapeurs indiquant la présence de sources d’eau chaude, au fond du cratère, témoignent de l’activité volcanique assoupie des lieux.
Occupation humaine
Il n’y a aucune présence humaine permanente sur l’île qui n’est visitée que lors de brèves expéditions scientifiques. Entre 1850 et 1930, des tentatives d’implantation de pêcheries et de conserveries ont eu lieu, essentiellement pour l’exploitation des langoustes, très abondantes sur ces côtes. Mais elles se sont soldées par des échecs du fait de l’isolement, du manque de ressources et d’abris. La dernière tentative se finissant même en tragédie connue en France, sous le nom des "Oubliés de Saint-Paul" avec la mort de dizaines de colons. En dehors des missions scientifiques, l’accès sur l’île est désormais interdit
sources TAAF :
http://www.taaf.fr/spip/spip.php?article110
photos JMB
24 avril 2010
Absence pendant une semaine
EN CLASSE VERTE PENDANT UNE SEMAINE....
j'accompagne des CM1 et CM2
DIRECTION LA BOURBOULE ET LE MASSIF CENTRAL
on se retrouvera après le premier mai
j'accompagne des CM1 et CM2
DIRECTION LA BOURBOULE ET LE MASSIF CENTRAL
on se retrouvera après le premier mai
Lancement du sous-marin LE TERRIBLE
Sous-Marin le TERRIBLE
SNLE
Le Sous-marin Nucléaire Lanceurs d'Engins (SNLE) Le Terrible est le deuxième sous-marin de ce type. Lancé le 12 décembre 1969, il a été admis au service actif le 1er janvier 1973. A son admission au service actif, il est équipé de 16 missiles balistiques de type M20 comportant chacun une tête nucléaire d'une mégatonne et d'une portée supérieure à 3000 km.
Il a subit une refonte, dite "refonte M4", réalisée à Cherbourg entre 1988 à 1990 et qui a consisté principalement à la mise en place d'un nouveau système d'armes, qui permet de lancer des missiles dotés de 6 têtes nucléaires indépendantes d'une puissance unitaire de 150kt d'équivalent TNT, à desdistances supérieures à 4500 km avec une grande précision.
La refonte M4 concerne également le système d'armes tactiques qui comprend, un sonar de coque à hautes performances et une antenne linéaire remorquée adaptée à la détection des sous-marins. Le Terrible peut également mettre en œuvre le missile SM39, version sous-marine de l'Exocet. L'installation du M4 n'a pas entrainé d'agrandissement des tubes de lancement ; les équipements et armes tactiques ont été mis au niveau de ceux deL'Inflexible et les formes de la coque reconstruites sur le modèle de ce SNLE.
Le Terrible a été désarmé le 1er juillet 1996. Comme tous les autres SNLE, il fut durant toute sa carrière, intégré à la Force Océanique Stratégique (FOST).
Un nouveau sous-marin porte le nom LE TERRIBLE
Le Sous-marin Nucléaire Lanceurs d'Engins de Nouvelle Génération (SNLE-NG) Le Terrible sera le 4ème de la série. La commande a été signée le 28 juillet 2000 par le ministre de la Défense. La découpe d'une tôle de 20 tonnes, destinée à la cloison arrière de la partie réacteur, a marqué, le 24 octobre 2000, le début sa construction. La construction de ce sous-marin, remise en cause en 2001, a été confirmée en septembre 2002.
Bien que Le Terrible soit le dernier bâtiment de la classe Le Triomphant, on ne peut pas vraiment parler de quatrième de série, car la technologie et le design de nombreux équipements, ont été totalement revus.
Ainsi, Le Terrible est équipé d'un système de combat d'un type nouveau, le SYCOBS (SYstème de COmbat commun Barracuda SNLE), un système qui équipera également les Barracuda, sous-marins nucléaires d'attaque. On note également une amélioration des outils de détection sous-marine (nouveau sonar), et un « système global de navigation ».
Mais surtout, à la différence de ses trois prédécesseurs, il reçoit dès sa mise en service le nouveau missile nucléaire stratégique M51. Plus gros et plus performants que les M45, ces missiles sont pourtant plus légers que les précédents. Un problème se pose alors pour conserver la stabilité du navire, lorsqu'un missile est éjecté. Auparavant, l'eau qui remplissait le logement du missile était suffisante pour maintenir cette stabilité. Avec les M51, le sous-marin en embarque trop. Il a donc fallu imaginer un système de plombs que l'on éjecte par des trappes placées sous le navire, en même temps que le missile. Chacun de ces plombs pèse le poids de quatre voitures.
Les premiers essais à la mer ont été effectués en février 2009, pour une admission au service actif en 2010.
sources :
http://www.netmarine.net/bat/smarins/terribl2/index.htm
http://www.defense.gouv.fr/breves/premiers_essais_en_mer_du_snle_le_terrible
http://euronaval2004.dcn.fr/sous-marins/sous-marin-nucleaire-lanceur-d'engins/le-terrible.html
Merci à Alain Facchinetti pour ces documents
Groupe Jeanne d'Arc Frégate Georges LEYGUES
Le Georges LEYGUES dans la zone de la ligne
carte postale du CV Max Moulin
enveloppe du GL en date du 23 avril 2010 Paris Tri Interarmées
merci à JEF
photos Bernard Hily
carte postale du CV Max Moulin
enveloppe du GL en date du 23 avril 2010 Paris Tri Interarmées
merci à JEF
photos Bernard Hily
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