02 février 2009

Fermeture du BPI Rennes Armées le 30 janvier 2009

Fermeture du BPI Rennes Armées
le 30 janvier 2009


Il n'y a pas que la philatélie dans la vie... un déplacement sur Paris pour voir un match de rugby et l'impossibilité d'être à la fermeture de Rennes Armées


on doit donc un grand merci à Marcel qui a affronté les affres du froid et du BPI pour récupérer les affranchissements du dernier jour d'ouverture du BP à la caserne Marguerite


Monsieur Marcel



Fiche du BPI Rennes Armées ex BPM 103







Cachet du Chef de Bureau




30 janvier 2009

Bon week-end en Bretagne


pour les sandwichs

pour le vin rouche, le gwin ruz koa


pour la nuit



29 janvier 2009

GEAOM Jeanne d'Arc 2008 2009 Djibouti Abu Dhabi

Au courrier ce matin
mon facteur n'était pas en grève



Donc en ouvrant la boîtes aux lettres ce matin, deux plis en provenance de la Jeanne d'Arc dont l'un de Djibouti portait le cachet FD et au verso la flamme de Fougères. (ce qui nous permet de savoir que Fougères a conservé sa flamme!)


Le code postal était pourtant bon... TAD du 3 janvier 2008 Marabout courrier certainement posté avec celui reçu hier.
Le timbre représente le port pétrolier de Doraleh

Le projet du terminal pétrolier de doraleh co-financé par le groupe du port de Dubaï et l'Etat djiboutien offre des nouveaux appuis au port de Djibouti qui se trouve à la porte du grand marché régional des Etats membres du Comesa (Marché Commun des Etats d’Afrique Australe et Orientale). Avec une jetée de 1,2 km qui devra permettre aux navires de la dernière génération d'accoster sans aucun problème, le port de Doraleh est doté d'un dépôt pétrolier pour stocker quelque 240.000 tonnes métriques de produits pétroliers, du gaz ou des produits chimiques. Lors d'une allocution prononcée à cette occasion, le président de l'autorité des ports et zones franches de Djibouti M.Abdourahaman Mahamoud Boreh s'est félicité des résultats des travaux réalisés avec les concours techniques des sociétés ENOC des Emirats Arabes Unis et une entreprise brésilienne spécialisée dans la construction des infrastructures portuaires.

La Nation (Djib) 27/02/2006


http://www.africatime.com/djibouti/nouvelle.asp?no_nouvelle=241999&no_categorie=3


A la localité de Doraleh, 11 Km à l’Est de l’actuel port, le port de Doraleh affiche des infrastructures permettant de concurrencer les grands ports de la région:
Le terminal pétrolier
Projet financé à hauteur de 100 millions de dollars US par Horizon Terminal Limited, le complexe pétrolier doté d’une haute sécurité est le premier réservoir indépendant de la Corne d’ Afrique caractérisé:
Un tirant d’eau de 20m
Une capacité de stockage de 240 000 m3 (1ère phase)
Le Terminal pétrolier est d’hors et déjà opérationnel.




Autre pli d'Abu Dhabi TAD en date du 17/01/2008
Timbre Faucon et cachet chasse au faucon



« Abu Leila »… C’est ainsi que les bédouins ont surnommé le faucon pèlerin, le plus rapide des oiseaux utilisés pour la chasse.
Sa vitesse peut atteindre 180 km/heure lorsqu’il déboule sur sa proie qu’il capture en l’air après une poursuite horizontale ou en exécutant des piqués de centaines de mètres. Son cousin, le faucon sacre, fait preuve d’une force et d’un courage remarquable et n’a jamais peur, il est capable de s’attaquer à des proies bien plus grosses que lui. La dernière prise spectaculaire d’un faucon saqr eut lieu en 2003 : le rapace abattit un daim de plusieurs fois son poids. Au temps où les gazelles peuplaient encore le désert d’Arabie, ces dernières étaient les proies favorites de ces redoutables chasseurs venus du ciel.

Aujourd’hui ce « sport » très coûteux est pratiqué par les plus fortunés. Autrefois, les bédouins chassaient la journée et se retrouvaient le soir autour du feu, buvant le café cuit sur des pierres chauffées, déclamant des poésies et évoquant leurs exploits respectifs. Le dressage d’un faucon demande 2 à 4 semaines durant lesquelles l’oiseau reçoit un nom et reste en permanence avec le fauconnier. Les yeux du faucon sont recouverts d’un capuchon en cuir et ses pattes maintenues par des longes… le premier entraînement peut commencer. Le rapace devra répondre à son nom, sauter du champignon auquel il est attaché au bras ganté du fauconnier et petit à petit attraper des proies en vol sur ordre de son dresseur. Lorsqu’il est fin prêt, la saison de chasse débute (généralement au mois de janvier) et se poursuit jusqu’en mars. La outarde, actuellement mis en élevage aux Emirats pour répondre à la demande des chasseurs, et le lièvre forment l’essentiel du gibier.

Finalement, à la fin de la saison de chasse les rapaces sont remis en liberté après avoir reçu des soins médicaux dans un établissement unique en son genre : l’hôpital des Faucons à Abu Dhabi. Ils auront suivi un régime alimentaire leur permettant d’augmenter leur chances de survie en liberté les premiers temps et auront été bagués et équipés de transmetteurs satellite miniature. Ils pourront alors être relâchés sur l’axe de migration d’autres faucons et les hommes pourront suivre leurs déplacements grâce aux nouvelles technologies.


http://www.abudhabisalam.com/article-5185206.html

28 janvier 2009

Bretagne toujours et Partout

Vision du monde sans chauvinisme aucun!


GEAOM Jeanne d'Arc Djibouti en timbres locaux

GEAOM Jeanne d'Arc Djibouti en timbre local

Reçu ce jour de Djibouti un pli de la Jeanne d'Arc avec TAD de Marabout

La ville de Djibouti est construite à partir de quelques îlots de récifs madréporiques émergés situés dans l'embouchure de l'oued Ambouli laquelle était occupée par une mangrove.






Des récifs madréporiques identiques forment les îles de Moucha et Maskali , au large de la ville à l'entrée du Golfe de Tadjourah.Les parties les plus anciennes de la ville (Centre ville et Présidence, Plateau du Serpent et Hôpital Pelletier, quartier du Marabout) sont construites sur ces récifs. Entre les récifs, des remblais ont permis l'expansion autour du port (Quartiers du Marabout et Héron).




Le reste de la ville ("les Quartiers") est construit sur les alluvions anciennes de l'Oued Ambouli. Le quartier de Balbala et les nouveaux quartiers qui se construisent le long de la RN1 sont situés pour leur part sur les coulées les plus récentes des Basaltes initiaux de l'ouverture du Golfe de Tadjourah.


J-P Berger & A-M Caminiti

27 janvier 2009

Polynésie Bilan des actions de l'Etat en Mer

L’Etat exerce ses compétences en mer dans un cadre particulier, celui de l’action de l’Etat en mer (AEM). Le délégué du gouvernement est le responsable pour l’action de l’Etat en mer dans la zone maritime Polynésie française. Cette zone inclut la ZEE Polynésie française (+ de 5 millions de km2) et la ZEE de l’atoll de Clipperton (430 000 km2). Le délégué du gouvernement est assisté dans cette tâche par le commandant de zone maritime, chargé de coordonner en mer l’action des administrations (gendarmerie, douanes, affaires maritimes, marine nationale, gendarmerie maritime) et la mise enoeuvre de leurs moyens.
Avant de dresser le bilan de la sécurité en mer pour 2008, le point presse débutera par une présentation des perspectives générales pour l’action de l’Etat en mer en Polynésie française
1. Orientations pour l’AEM en Polynésie française

Les orientations pour l’AEM, dictées par l’environnement polynésien, s’inscrivent dans la continuité de celles de l’année passée. Elles se déclinent selon 3 axes :
1.1. en termes d’organisation, l’adaptation au cadre institutionnel polynésien : le partenariat
Etat – Polynésie française
La statut d’autonomie de la Polynésie française est à l’origine d’un partage complexe de compétences entre l’Etat et le Pays en mer. Cette réalité de compétence partagée exige que l’Etat et la Polynésie française organisent leur partenariat dans le domaine maritime.
A cet effet, une convention Etat/Pays du 4 avril 2007 (relative aux modalités de coordination de
l’action en mer des services publics de l’Etat et de la Polynésie française), a créé notamment une
commission maritime Etat – Polynésie française et formalise la coordination quotidienne entre services de l’Etat et du Pays.
La réunion de la commission maritime, le 4 décembre dernier, a permis de dresser un bilan
positif de la coordination entre les services de l’Etat et du Territoire. Par exemple dans le
domaine de la pêche, la coopération entre les services de l’Etat et du Pays permet des échanges
d’informations utiles pour rendre plus efficaces les actions de surveillance de la zone économique
exclusive de Polynésie française. Dans le domaine de la sécurité des loisirs nautiques, des actions
conjointes de contrôle en mer ont permis de sensibiliser les usagers de la mer aux règles de sécurité.
Pour 2009, les efforts devront être poursuivis. Ainsi le Plan POLMAR mer, de lutte contre les
pollutions marines, sera adopté. Les textes encadrant les nouvelles pratiques d’activité de loisirs
nautiques seront signés. Enfin le travail visant à la création d’une association de marins bénévoles concourant au sauvetage en mer (FEPSM) devra être poursuivi.
communication

Modification dans le balisage

Modification dans le balisage des côtes bretonnes


A la demande des services ad hoc des Mam Goz Goudig , une nouvelle bouée est mise en service depuis peu sur les Côtes de Bretagne. Sa forme spécifique devrait être reconnue de loin!

voir ci-dessous













Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...