26 novembre 2009

CMT Croix du Sud

250ème anniversaire de la Bataille des Cardinaux


De nombreuses manifestations célébreront cette défaite de la Flotte française.
Vous trouverez ces informations sur le site d'où provient la présentation ci-dessous

 http://www.labatailledescardinaux.fr/


"Localement, sur la côte atlantique entre la pointe de Penmarch et Noirmoutier, se terme interpelle chaque marin pour lui rappeler la côte rocheuse située à l'est de l'île de Hoëdic : Le plateau des Grands Cardinaux.

Sur ce plateau rocheux d'un peu plus d'un mile et demi, les rochers presque entièrement immergés à marée haute sont indiqués par deux balises et un phare : Le Phare des Grands Cardinaux. Une superbe tour de 28 m de haut, rouge barrée d'une bande blanche ). Un phare comme tout le monde les imagine !

Il y a 250 ans, dans les eaux au large de ce plateau rocheux, s'est déroulée l'une des plus terribles batailles navales de la Marine Française du XXVII ième siècle. Les flottes françaises et anglaise s'affrontent, pendant un peu plus de 4 heures, dans une mer et un temps exécrables, mais pas exceptionnelles pour un mois de novembre."





Très beau pli réalisé par la sction Atlantique Sud Ouest avec timbre à date de Saint-Nazaire au 21 novembre2009 rappelant les Daguin...



La bataille des Cardinaux, connue sous le nom de « Battle of Quiberon Bay » chez les Britanniques, est une bataille navale ayant opposé les flottes française et britannique, pendant la guerre de Sept Ans. Elle a lieu le 20 novembre 1759, dans la baie de Quiberon. La flotte française fut défaite, offrant à la Royal Navy l'une de ses plus grandes victoires


Sources :


http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_des_Cardinaux

"Présentation de la bataille des Cardinaux, trouvée sur le site www.labatailledescardinaux.fr :"

http://www.labatailledescardinaux.fr/

Le premier jour en photos





Laissons la parole à Jacques Prévert pour nous présenter les conditions météorologiques de ce premier jour du timbre...




Rappelle toi Barbara


Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là


Et tu marchais souriante


Epanouie ravie ruisselante


Sous la pluie


Rappelle-toi Barbara


Il pleuvait sans cesse sur Brest


Et je t'ai croisée rue de Siam


Tu sourais


Et moi je souriais de même


Rappelle-toi Barbara


Toi que je ne connaissais pas


Toi qui ne me connaissais pas


Suite à des cas de grippe A sur le bord, toutes les manifestations sont annulées sur la Jeanne d'Arc.
En urgence, il faut se replier sur le Musée de la Marine






Au musée de la Marine le premier jour en images






la manipulation des cadres s'avère parfois délicate, les articulations des doigts en conservent quelques souvenirs



La mnifestation ocper deux salls du Musée, l'accueil et la salle au-dessus. L'espace convivial se révèle étroit pour l'installation des panneaux d'exposition




le matériel est livré da la salle



ajustement des nappes par Marie



Les préparatifs vont bon train



La Poste monte son stand















les panneaux sont montés, les feuillets placés, tout est prêt












La fabriqe de faïence quimpéroise HB-Henriot propose un Mail-Art représentant la Jeanne





photos JMB

Souvenirs Souvenirs

Premier jour du timbre Jeanne d'Arc à Brest

ceci est une invitations aux retardataires à se procurer les souvenirs du premier jour du dyptique Jeanne d'Arc







Pour ceux qui n'auraient pas pu se procurer les souvenirs réalisés par la Marcophilie Navale,

ceux-ci sont disponibles chez le Président de la section Bretagne, Monsieur Claude Bélec,

au prix de 3€ chaque souvenir.

Marcophilie Navale section Bretagne


Claude BELEC

8 rue Raphaël



29200 Brest


ajouter au prix des souvenirs le montant de l'affranchissement pour le retour en fonction du poids

par exemple :

1 carte et 1 enveloppe achetée = 6 €uros plus 0,56 €uro de frais de retour soit 6,56 €uros

3 cartes et 3 enveloppes = 18 €uros plus 0,90 €uro de frais de retour soit 18,90 €uros









Carte Postale représetant la Jeanne d'Arc entrant dans le goulet de Brest, timbre Jeanne d'Arc ,
Photo Bernard Hily membre de la Marcophilie navale





Enveloppe premier jour Dessin de Jean Moulin, timbre Les Marins de la Jeanne




24 novembre 2009

Le Mistral souffle sur le Havre novembre 2009 BPC

Avec retard.. et grâce à Denise... BPC Mistal 2009 Le Havre


Après la réparation de ces planchers défectueux à Brest, le bâtiment de projection et de commandement Mistral rend visite jusqu'à dimanche à sa ville marraine. Le BPC est arrivé hier, dans la brume, au quai Roger Meunier. Ce samedi, l'impressionnant navire sera exceptionnellement ouvert au public, qui pourra le découvrir de 9 à 11H et de 13H30 à 17H. Long de 199 mètres pour un déplacement de 21.500 tonnes en charge, le Mistral et son sistership, le Tonnerre, sont les deux plus gros bâtiments de combat de la Marine nationale après le porte-avions Charles de Gaulle. Capable de transporter 16 hélicoptères, 4 chalands de débarquement, 70 véhicules et 450 hommes de troupe, le Mistral est armé par 160 marins, placés sous le commandement du capitaine de vaisseau Gilles Humeau.





Le Bâtiment de projection et de commandement de la Marine Nationale, le "Mistral", a quitté le port du Havre ce mardi, un peu après 9 h 15. Il fait route désormais vers Saint-Pétersbourg où il doit passer quelques jours avant son retour dans son port d'attache, Toulon, peu avant la mi-décembre.

Le "Mistral" était arrivé au Havre vendredi dernier pour une escale exceptionnelle à l'occasion de laquelle la ville du Havre est officiellement devenue la marraine du bâtiment. Samedi et dimanche, le public a pu visiter ce navire de deux cents mètres. Au total, plus de 3500 personnes sont montés à bord. Hier lundi, quarante jeunes du Havre, de seize à dix-huit ans, ont effectué leur Journée d'appel et de prépation à la Défense à bord du navire. De quoi faire naitre quelques vocations...

Ce matin, l'heure était à l'émotion au moment du départ ; de nombreux Havrais ont salué le départ du "Mistral", en souhaitant que le souffle le ramène au Havre rapidement.


  TAD Manuel  Le Havre Palais de justice Cachet de la Capitaineie du Port Autonome du Havre

Lu dans Ouest-France ce matin
 
  mardi 24 novembre 2009
Etranger

Le Mistral français démarche la marine russe

mardi 24 novembre 2009

Long de 200 m pour 32 m de large, le Mistral est le deuxième plus gros navire de guerre français, après le porte-avions Charles de Gaulle. Il peut accueillir six hélicoptères, quatre chalands de débarquement, treize chars Leclerc, une centaine de véhicules. Il est aussi doté d'un hôpital de 69 lits.

Photo : Reuters

La Russie va-t-elle rompre avec une longue tradition de préférence nationale et acheter un navire de guerre français ? Le Mistral est à Saint-Petersbourg, depuis hier, pour prouver ses qualités.

Manoeuvre délicate, hier matin, pour le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Mistral. Le navire français, long de 200 m, s'est amarré le long du quai du Lieutenant-Schmidt, à Saint-Petersbourg. Il s'agissait d'effectuer un sans-faute, dans un bras du fleuve Neva où ne sont pas autorisés les navires de plus de 200 m et où le vent fort pénalise les bateaux à gros tirant d'air comme le Mistral. Une manoeuvre sous les yeux inquisiteurs de clients potentiels...

La marine russe souhaite s'équiper en BPC et le Mistral français, conçu par DCNS, correspond à ses besoins. « L'état-major de la marine recherche un navire amphibie capable de débarquer un corps expéditionnaire et de servir de navire-amiral », explique Ivan Konovalov, un analyste militaire du journal Commersant.

De l'air pour Saint-Nazaire ?


Le Mistral a des concurrents : le LPD hollandais de type Johan de Witt et, surtout, le navire amphibie espagnol de type Juan-Carlos I. Pourtant, il tient la corde, comme le confirment des sources au sein de la marine russe. Une marine qui pourrait acheter jusqu'à quatre exemplaires du BPC dont un, voire deux, pourraient être construits en France et les autres dans des chantiers navals russes. Les flottes russes du Pacifique et de la mer Noire devraient être les premières équipées.

Si ce contrat avec les Russes se concrétise, le principal bénéficiaire sera le chantier nazairien STX France, qui construit un troisième BPC pour la Marine nationale, mais dont le carnet de commandes est dramatiquement vide. Un contrat russe pourrait lui donner un peu d'air.

« Il y a une chose à ne pas négliger, ajouteKonovalov, c'est que les chantiers russes sont incapables de construire ce type de bateau. Nous n'avons ni les capacités techniques ni les moyens financiers de remettre à niveau nos chantiers. En outre, il faut aussi prévoir que ce navire-amiral sera à la tête d'un groupement aéronaval, avec des frégates, des navires de soutien qu'il va falloir construire. » Ces faiblesses des chantiers navals russes pourraient faire les affaires de leurs homologues français.

Jusqu'à jeudi, les experts locaux, à qui le président Medvedev a promis, le 16 novembre, un prochain « essor » de la marine russe, vont pouvoir examiner de près le navire français. Nul doute que le dossier sera abordé, vendredi soir, par Vladimir Poutine et François Fillon, les deux Premiers ministres se rencontrant à Rambouillet pour un séminaire intergouvernemental.


23 novembre 2009

Le timbre Jeanne d'Arc est paru

Premier jour à Brest du dyptique Jeanne d'Arc Marins de la Jeanne







Tout aurait pu plus mal commencer...

Il aurait pu ne pas avoir de grippe A/H1N1 à bord de la Jeanne d'Arc,

Cette Maladie aurait pu se déclarer après la sortie du timbre Jeanne d'Arc ou n'aurait  pu même ne pas exister...

La salle du Musée de la Marine aurait pu être plus grande,

Il aurait pu faire beau et le soleil briller...






Mais heureusement toutes les conditions ont été remplies pour dans les meilleurs délais,
  • trouver une salle (Un grand merci à Monsieur l'Administrateur du musée Nationale de la Marine) souder les organisateurs
  • informer le public du changement de lieu
  • organiser les salles et l'accueil du public
  • inviter pluie et vent




La Marcophilie Navale était présente sous la houlette de son Président Claude Bélec (avec un accent et un L)




Le pavillon est là pour le prouver, Eole souhaitait manifester à sa manière l'événement. Les poumons gonflés pour sonner dans les trompes marines du musée le vent fripon chassait chapeaux et parapluies.




Les Brestoises ont certainement fait de sérieuses économies de brumisateurs...




Contrairement à ce qu'indiquait l'affiche la manifestation s'est déplacée au musée de la Marine





et dès 9h00 du matin, un grand nombre de collectionneur se pressait devant la porte du Musée malgré le vent et la pluie.

Aussitôt l'ouverture des portes, c'est l'invasion du stand de la Poste








Michel Bez et dessinateur du timbre répond aux questions de la presseet de la télévision




La Poste embauche même  des vacataires... (JMB et le SM Michel, agent postal de la JDA)











à suivre...

18 novembre 2009

La grippe à la "Hune"

Trois cas de grippe A à bord de la Jeanne d’Arc



mardi 17 novembre 2009





La Jeanne d'Arc.


Photo : Thierry Creux


La Marine nationale vient d’annoncer que trois cas de grippe A sont avérés à bord du porte-hélicoptères école Jeanne d’Arc. Quarante autres personnes présentent des symptômes et sont consignées à l’infirmerie.


Le navire, en essais techniques en mer d’Iroise depuis huit jours, a même devancé son retour à Brest de deux jours. Il est attendu dans le port du Ponant ce mercredi matin. Selon la Marine, ce retour anticipé « n’est pas dimensionnant, la Jeanne a terminé ses essais ».


Le départ pour sa 45e et ultime campagne de formation des officiers reste programmé pour le 2 décembre. Toutefois, on imagine très difficile de contenir une épidémie dans un lieu aussi confiné et climatisé, où vivent actuellement 650 personnes.


Une opération de marcophilie qui devait avoir lieu à bord ce week-end, avec la possibilité d’accueillir des centaines de visiteurs, sera délocalisée au Musée de la Marine, à Brest.







Coup dur pour le célèbre navire école de la Marine nationale, dont l'appareillage de Brest, pour sa dernière campagne avant désarmement, est prévu le 2 décembre. La semaine dernière, alors que la Jeanne d'Arc effectuait une série d'essais en mer, plusieurs cas de grippe A/H1N1 se sont déclarés à bord. Trois cas avérés auraient été diagnostiqués parmi les marins, une quarantaine d'autres militaires présentant des symptômes. Les malades seront débarqués à Brest dès le retour (anticipé) du bâtiment, prévu ce mercredi matin. D'ores et déjà, l'émission d'un timbre commémoratif par la Poste, qui était prévue à bord ce week-end, a été annulée. On n'en sait pas plus, pour le moment, sur la suite des festivités prévues dans le cadre du dernier départ de la Jeanne, admise au service en 1964 et qui sera désarmée l'an prochain à l'issue de son ultime campagne.



Le bâtiment embarque plus de 600 membres d'équipage et officiers élèves.

 
 
Le TELEGRAMME
 
Jeanne d'Arc. Plusieurs cas de grippe A sur le navire-école


18 novembre 2009


Plusieurs cas de grippe A/H1N1 se sont déclarés la semaine dernière à bord du navire-école Jeanne d'Arc alors qu'il effectuait des essais en mer avant de débuter sa dernière campagne, en décembre. La préfecture maritime de Brest a annoncé que trois cas de grippe A/H1N1 sont avérés parmi des marins qui ont déclaré la semaine dernière les symptômes de la grippe. Ils doivent rejoindre leur domicile dès le retour du bateau à Brest, aujourd'hui. L'émission par La Poste du timbre «premier jour», consacré au navire-école Jeanne d'Arc à l'occasion de son dernier départ qui devait se dérouler à bord samedi et dimanche prochains, a été annulée et se déroulera au musée de la Marine, à Brest.

17 novembre 2009

Georges Leygues

Le Georges Leygues rend visite à sa ville Marraine











LORMONT. Les douze élèves de la première bac pro marine du lycée Jacques-Brel ont remonté l'estuaire du Verdon à Bordeaux, à bord de la frégate anti sous-marine Georges-Leygues


Les futurs marins accostent sur le quai des Chartrons

Les douze jeunes matelots ont découvert l'estuaire depuis une passerelle de première classe. (photo Y. D.)

Jean-Baptiste la regarde arriver, lippe tremblante. Des jours qu'il attend ça, qu'il a fait des recherches sur elle, qu'il a fait monter la pression avec les copains. Et la voilà, dans sa robe d'un gris sobre, avec son chignon en forme de tourelle. Elle s'appelle Georges. Georges-Leygues, frégate aux multiples arguments comme ses deux moteurs de Concorde, ses missiles Crotale et ses torpilles L5.

Il est 11 heures et l'on grimpe à l'échelle de corde à hauteur du Verdon pour poser sur son pont. Jean-Baptiste Guévar est l'un des douze élèves de première bac pro marine nationale. Benjamin du groupe du haut de ses 17 ans, il attaque la première des deux années de cette atypique formation (1), de laquelle il devrait sortir avec un bac maintenance des équipements industriels (MEI) spécialité marine nationale. Le corps aqueux de la Défense nationale est en effet partenaire du lycée lormontais depuis quinze ans, recrutant et intégrant à l'issue des deux ans.

Lucie aime les moteurs

Il est midi et le saumon du mess est bon. L'estuaire est calme, les estomacs sont sereins, et le commissaire Charles-François Barbier a l'air d'avoir l'âge des élèves et il est très sympa. L'officier est intarissable et passionnant sur l'histoire du navire, le premier sur lequel les jeunes posent le pied. « C'est fou, le monde là-dedans », souffle Lucie qui a l'impression d'avoir croisé la totalité des 194 marins qui peuplent la frégate dès qu'elle sort. Lucie est la seule fille de la promo, chouchoutée par les gars. À Pissos (40), elle jouait aux petites voitures, a eu une moto à 14 ans, et un BEP maintenance navale l'année dernière à Gujan. « J'adore les moteurs de bateaux », dit-elle avec féminité. Alors l'entretien et la visite médicale de juin pour accéder à la formation, ça s'est passé tranquille.

Il est 13 heures et Pauillac est joli aussi, vu de l'eau. La centrale nucléaire du Blayais de l'autre côté, toujours pas. Dans la salle d'opérations plongée dans un noir dont on verrait bien sortir le Sean Connery d'« Octobre rouge », Éric Louit se rappelle le service militaire qu'il a effectué comme technicien radar sur une frégate du même gabarit. Après une carrière d'électromécanique dans l'aéronavale, il est aujourd'hui conseiller au Centre d'information et de recrutement des forces armées (Cirfa) de Bordeaux, ravi de la convention avec le lycée Jacques-Brel. « On a des élèves motivés et concernés, qui savent ce que tarer les injecteurs d'un moteur diesel veut dire », dit-il. Sans moi, les gars.




Projets pédagogiques

Il est 14 heures, et la pointe d'Ambès regarde passer les 139 mètres de cette frégate Georges-Leygues dont la marraine est la ville de Villeneuve-sur-Lot, où cet ancien ministre de la marine (1917-1933) a vu le jour. Sylvain Laroche a l'oeil qui ne décolle pas du caméscope. « C'est un moment merveilleux pour eux », dit ce professeur de maintenance qui enseigne dans cette filière depuis neuf ans. « C'est la première fois qu'une promo a l'occasion de faire ce type de voyage. » Avec ses collègues Laurence Giustiniani (anglais), François Manon (construction) et Sabrina Delimi (CDI), ils croisent les projets pédagogiques, travaillent sur l'estuaire, un respect de l'océan qu'ils aimeraient inculquer à ceux qui vont bientôt l'arpenter.



Il est 15 h 30 et le navire accoste sur le quai des Chartrons devant l'oeil curieux colberto-nostalgique des badauds bordelais. « On vise tous la maistrance », disent en choeur le Cenonnais Bilal Belmehdi et Loïc Mourat, de Romagne. La maistrance : l'École des sous-officiers qui requiert au moins la mention au Bac dans deux ans. Les autres bacheliers se verront proposer un contrat de quatre à dix ans, militaire de rang avec perspectives quand même. Celle de la passerelle Kawamata n'est pas mal du tout lorsqu'on descend de son homologue militaire.

(1) La Marine a une seule autre convention en Gironde, sur le bac pro aéronautique avec le centre de formation de Latresne.

La frégate Georges-Leygues sera arrimée au quai des Chartrons jusque demain soir et accueille le public aujourd'hui et demain. L'équipage expliquera en effet le vécu de cette frégate vieille de trente ans, longtemps accompagnatrice du navire-école Jeanne-d'Arc.

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...