10 novembre 2018

FREMM BRETAGNE passage du cercle polaire Halifax Canada Reykjavik Islande septembre octobre 2018

FREMM BRETAGNE  passage du cercle polaire Halifax Canada Reykjavik Islande 


Avec retard et toutes à la même date le 24 septembre 2018 les enveloppes 

  • cercle polaire arctique
  • Escale à Halifax Canada
  • Reykjavic Islande 

sont arrivées le 8 novembre 2018.

Elles sont annulées par le Cachet SPID V 11287 au 24 septembre 2018.


Selon l'EMA (Ministère de la défense), du 24 septembre au 09 octobre, la FREMM Bretagne s’est entraînée au large de la Virginie puis du Canada, et a fait deux escales aux Etats-Unis avant d’entamer la phase « Grand Nord » de son déploiement qui la mènera jusqu’aux côtes norvégiennes pour participer à l’exercice Trident Juncture 2018.

Problèmes de dépêches? la faute à l'équinoxe?




C'est donc le 23 septembre à 3h54 que le dernier automne en date a démarré. A partir de cette date, nous avons perdu jusqu'à 4 minutes d'ensoleillement théorique par jour.
La définition de l'équinoxe d'automne tient en quelques mots : il s'agit de l'instant où le soleil traverse le plan de l'équateur terrestre. Autrement dit, où le soleil passe au zénith de l'équateur.





une durée du jour égale à celle de la nuit, d'où le mot "équinoxe". 

En effet, le terme "équinoxe" est un mix du latin aequus (égal) et nox (nuit). Il survient par ailleurs à un moment très précis. 











09 novembre 2018

Amers et Azimut Situation des principaux bâtiments Marine Nationale

Amers et azimut
Situation des principaux bâtiments déployés au 6 novembre 2018

41 bâtiments   12 aéronefs    5 028 marins
Opération Chammal
FREMM Auvergne (mer Méditerranée) + Caïman Marine
Atlantique 2

Opération Corymbe
BPC Mistral (océan Atlantique) + Alouette III
FS Ventôse (océan Atlantique) + Alouette III

TF 55
FLF Courbet (océan Indien) + Panther

Déploiement longue durée
BSAH Rhône (océan Atlantique)

Opération Sophia
PHM EV Jacoubet (mer Méditerranée)

Surveillance maritime
FLF Aconit (mer Méditerranée) + Panther
FAA Cassard (océan Indien) + Panther
FS Floréal (océan Indien) + Panther
FS Germinal (océan Atlantique) + Panther
B2M Champlain (océan Indien)
B2M D'Entrecasteaux (océan Pacifique)
Patrouilleur La Moqueuse (océan Pacifique)
B2M Bougainville (océan Pacifique)
Falcon 50 (Dakar)

Préparation opérationnelle
BPC Dixmude (mer de Norvège)
FREMM Bretagne (mer de Norvège) + Caïman Marine
FASM Latouche-Tréville (mer de Norvège)
BCR Somme (mer de Norvège) + Alouette III
BRS Aldébaran (océan Atlantique)
BRS Altaïr (océan Atlantique)
CMT Pégase (océan Atlantique)
CMT Sagittaire (océan Atlantique)
CMT Céphée (océan Atlantique)
BEGM Thétis (océan Atlantique)

Mission de soutien à la logistique Antarctique
Patrouilleur polaire L'Astrolabe (océan Indien)

Défense maritime du territoire
PSP Flamant (océan Atlantique)
PSP Pluvier (océan Atlantique)

365 jours par an, 24H sur 24, sur tous les océans et mers du globe, ce sont en moyenne 35 navires à la mer, 5 aéronefs en vol, des fusiliers marins et commandos déployés, soit près de 5 000 marins sur, sous et au-dessus de la mer pour préserver les intérêts de la France et garantir la sécurité des français.

LA FREMM BRETAGNE en Norvège DLD novembre 2018 Trident Juncture

LA FREMM BRETAGNE en Norvège DLD novembre 2018



La partie américaine de son déploiement s’est articulée autour de plusieurs exercices de lutte anti-sous-marine au cours desquels le couple FREMM – NH 90 a confirmé ses excellentes performances en la matière. Des exercices de ravitaillement à la mer, de lutte antiaérienne et antinavire, ont complété ces manœuvres.

Golfe du Saint-Laurent photo JM Bergougniou


Après avoir traversé le golfe du Saint-Laurent au Canada, doublé les bancs de Terre-Neuve puis franchi le Détroit de Belle-Ile, la Bretagne a conduit en Atlantique Nord et au large du Groenland une patrouille de lutte anti-sous-marine, plusieurs vols de surveillance maritime avec son hélicoptère Caïman ainsi que des tirs d’artillerie d’entraînement.



l'oblitération norvégienne est illisible dommage 


La FREMM Bretagne s’est ensuite mesurée à une mer démontée pendant plusieurs jours ainsi qu’à des températures descendant jusqu’à -10°C et a navigué entre les icebergs du Détroit du Danemark.



La présence de la Bretagne dans cette région du globe vise plusieurs objectifs : assurer de manière autonome les fonctions « connaissance et anticipation » et permettre d’éprouver ce bâtiment de dernière génération dans des conditions météorologiques et de navigation extrêmes. La frégate confirme la pleine disponibilité de ses équipements modernes et renforce la connaissance de cette zone stratégique, dans trois dimensions : sous l’eau, sur l’eau et dans les airs.

Après une escale en Islande, la Bretagne a rallié les côtes norvégiennes où elle participe actuellement à l’exercice Trident Juncture 2018.

Utilisation de la force hydraulique pour une scierie  photo JM Bergougniou
Nom de l’opération : Trident Juncture 2018. Forces déployées : 50 000 militaires, 250 avions, 10 000 véhicules, 250 aéronefs et 65 navires. Du jamais-vu depuis la fin de la Guerre froide. Entre le 25 octobre et le 7 novembre, l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (Otan), qui réunit 29 pays, s’est coordonnée avec la Suède et la Finlande, non-membres, pour organiser un exercice géant en Norvège. Une opération forcément complexe à coordonner, qui a d’ailleurs été le théâtre de plusieurs accidents et couacs plus ou moins sévères, comme autant de preuves de la nécessité de l’exercice...

Cascade photo JM Bergougniou
La veille du lancement de l’exercice, le 25 octobre, un accident est survenu pendant les préparatifs, impliquant quatre véhicules militaires américains. Quatre soldats ont blessés et hospitalisés.
Nouvel accident similaire le 3 novembre dernier : en plein exercice, un tank a percuté un véhicule militaire de terrain plus petit dans le compté d’Hedmark. Quatre soldats suédois ont été blessés.

 
Bergen photo JM Bergougniou

Navires en détresse

Alors que l’opération débutait à peine le 26 octobre et que les militaires rejoignaient la zone d’exercice en Norvège, un incendie a touché les turbines à gaz d'un bâtiment arrivant du Canada. L’équipage est rapidement parvenu à éteindre le feu et il n’y a pas eu de blessé, rapporte le site canadien Global News. L'HMCS Halifax, a pu continuer son intervention.



Les fjords photo JM Bergougniou






Quelques jours plus tard, le vaisseau HMCS Toronto a subi une coupure de courant d’environ six heures, avant de faire étape à Belfast, en route pour la Norvège, explique le journal canadien The Chronicle Herald. Une série de problèmes similaires dans d’autres vaisseaux de la marine royale canadienne à travers le monde a poussé les autorités à lancer une enquête.


Les fjords Geirangaerfjord photo JM Bergougniou


La flotte américaine a également déclaré avoir perdu une de ses trois unités, l’USS Gunston Hall, dont les chalands de débarquement ont été endommagés par une mer démontée au large de l’Islande.

Enfin ce 8 novembre, au lendemain de la clôture de l’exercice, une frégate norvégienne est entrée en collision avec un tanker maltais dans un fjord norvégien. 8 blessés légers sont à déplorer, et le navire militaire menaçait dans l’après-midi de sombrer.


Les fjords Geirangaerfjord photo JM Bergougniou
Echaudée, la Russie, qui avait promis « une riposte » à l’annonce de l’exercice, s’est invité dans les grandes manœuvres militaires en Norvège. L’équipage multinational de l’USS Mount Whitney a ainsi pu voir passer au-dessus de ses têtes un avion Tupolev TU-142, construit du temps de l’Union soviétique. Le ministère de la Défense russe a par la suite précisé que deux Tupolev TU-142 avaient effectué un « vol planifié » de plus de 12 heures dans la zone.
Moscou avait déjà marqué le coup en disant projeter, la même semaine, des tests de missiles dans les eaux internationales de la mer de Norvège, dans une zone et à des dates chevauchant largement celles de l’exercice de l’Otan.
« Nous n’avons pas vu quoi que ce soit qui ressemble à un test de missile ou bien des navires ou aéronefs susceptibles d’attester la tenue de tels tests », a cependant confié Robert Aguilar, le capitaine de l’USS Mount Whitney. De quoi conforter dans leurs convictions les militaires occidentaux qui confiaient en privé voir en ces projets « une provocation ».
l'oblitération norvégienne est absente dommage !

sources :

Marine nationale 

Le Parisien

http://www.leparisien.fr/international/trident-juncture-les-fausses-notes-de-l-exercice-militaire-geant-de-l-otan-08-11-2018-7938066.php

Rochefort Hôpital de la Marine Charente-Maritime santé navale

Rochefort Hôpital de la Marine 

Les Thermes et l’Hôpital de la Marine




L’étude de programmation urbaine conduite et rendue publique en 2015 souligne l’excellente santé des Thermes de Rochefort et leur nombre exponentiel de curistes : 17 000. Un chiffre qui se traduit par une fréquentation de 1 400 curistes/jour en période de pointe et qui, selon une étude de marché peut encore évoluer jusqu’à 25 000 cures annuelles.

Hôpital de la Marine photo JM Bergougniou

UN NOUVEAU SOUFFLE

Hôpital de la Marine
photo JM Bergougniou







En revanche, l’équipement vieillit, il est saturé et présente le risque de voir sa clientèle de curistes s’évaporer pour d’autres horizons thermaux plus adaptés aux nouvelles attentes.
La Ville a fait le choix du développement et forme le projet de réaliser le nouvel établissement thermal sur une emprise de 6 000 m² à l’arrière de l’Hôpital de la Marine. Cet espace est, depuis le 10 octobre 2018, propriété de la Ville de Rochefort qui l'a acquise pour l'euro symbolique auprès de la famille Cohn, propriétaire de l'Hôpital de la Marine.

UN PROJET INTÉGRÉ AU PATRIMOINE HISTORIQUE ET NATUREL
Hôpital de la Marine Aérarium
photo JM Bergougniou

Cet espace présente un dénivelé qui permet de construire des Thermes sur plusieurs niveaux sans dénaturer le bâtiment du XVIIIème et d’offrir 14 000 m² d’espaces de soins aux curistes.
Un transfert des Thermes à l'arrière de l’Hôpital de la Marine, au centre d’un complexe historique de premier plan, permettrait à son opérateur d’élargir son offre de soins vers des prestations de bien-être et esthétiques (Spa, cures libres…) qui attirerait une clientèle nouvelle que le débit en eau thermale du forage rochefortais permet tout à fait de satisfaire.


Cette nouvelle configuration et relocalisation des Thermes participeront à la requalification du site de l’ancien Hôpital des Armées, zone charnière entre le centre-ville ancien, les faubourgs, la gare et les cours. Le bâtiment principal de l’Hôpital de la Marine, fleuron de l’architecture du XVIIIème siècle, devra être simultanément requalifié en établissement hôtelier et résidence pour curistes ou touristes thermaux.


Hôpital de la Marine le bassin
photo JM Bergougniou
Hôpital de la Marine la Rotonde
photo JM Bergougniou

sources :

Ville de Rochefort 


Musée de la Marine Rochefort


Envelopmer Marcophilie navale 


http://envelopmer.blogspot.com/2014/05/rochefort-visite-au-musee-de-sante.html


http://envelopmer.blogspot.com/2010/09/sante-navale-bordeaux-rochefort-hopital.html


Humour dans le carré par DONEC 14-18 La fin des paysans novembre 2018


Humour dans le carré par DONEC 14-18 La fin des paysans 

Bonjour la compagnie,

Le 11 novembre 1918 le clairon Octave DELALUQUE sonne la fin des combats de la grande guerre. L’holocauste commencé quatre ans plus tôt se terminait enfin. La médiocrité des hommes politiques poussés dans le dos par une élite bravache allait faire payer l’impôt du sang à la paysannerie française.




Loin des discours enflammés des Barrès et autres Déroulède, nos paysans menés sabre au clair par les « hussards noirs » de la République découvrirent bien vite que la guerre fraîche et joyeuse n’existait que dans les pages du « Gaulois », du « Temps » ou de « l’Action Française ». Pour connaître le quotidien de nos grand-pères au front, plongeons- nous par exemple dans la lecture des « Carnets de Guerre » de Louis BARTHAS, tonnelier à Peyriac-Minervois. Il évoque la guerre sans fard ni lyrisme. Mais n’oublions pas que tous ne sont pas à la même enseigne, la vie est beaucoup plus décontractée pour les embusqués de toutes sortes.

Selon le caporal BARTHAS le poilu ne se battait pas pour ruiner l’Allemagne ou pour reprendre l’Alsace et la Lorraine, il se battait par honnêteté, par habitude, par force, il se battait parce qu’il ne pouvait pas faire autrement. Bref son imaginaire relevait plus de la chanson de Craonne que de la Marseillaise.




Malgré l’inhumanité de cette guerre que le « bonhomme » ressentait profondément, il a tenu bon. S’il s’est parfois révolté contre des chefs incapables et féroces c’est qu’il en avait vraiment plein la musette. Mais jamais il ne lâcha prise et n’abandonna son poste.

En tout cas dimanche avec mes amis nous saluerons la mémoire de ces braves paysans de France, nos grand-pères, qui ont tant donné pour leur chère patrie.

A la semaine prochaine

Donec

Maurice GENEVOIX au Panthéon : belle initiative



08 novembre 2018

BSAH SEINE le départ de Concarneau est retardé suite au mauvais temps 6 novembre 2018

BSAH SEINE le départ de Concarneau est retardé suite au mauvais temps 6 novembre 2018

Le pavillon français flotte désormais sur le troisième des quatre nouveaux bâtiments de soutien et d’assistance hauturiers (BSAH) de la Marine nationale. Construite par le chantier Piriou de Concarneau, la Seine a connu le 16 octobre sa première prise de commandement. A cette occasion, le capitaine de vaisseau Romuald Bomont, chef d’antenne de l’État-major de la Force d’action navale à Brest, a fait reconnaître le capitaine de corvette Philippe Lory comme premier pacha du bâtiment.




Dans le cadre de la réalisation du programme de quatre unités, le troisième Bâtiment de Soutien et d'Assistance Hauturier (BSAH) 'SEINE' a été mis à l'eau à Concarneau le 5 avril en présence du Commandant et de son équipage.


BSAH SEINE Photo Patrick Le Pestipon
Le navire qui devait quitter Concarneau le 6 novembre 2018 est finalement resté à quai suite au gros temps qui sévit en Atlantique. Le courrier posté à midi devancera donc de quelques jours le départ du bateau.
Grand frais à fort coup de vent en cours ou prévu pour VIKING, UTSIRE, FORTIES, CROMARTY, FORTH, TYNE, DOGGER, CASQUETS, OUESSANT, IROISE, YEU, ROCHEBONNE, CANTABRICO, FINISTERRE, PAZENN, SOLE, SHANNON, FASTNET, LUNDY, IRISH SEA, ROCKALL, MALIN, HEBRIDES.



Mise à l’eau le 5 avril dernier, la Seine va rejoindre Toulon, où elle sera basée et finalisera ses essais avant sa livraison à la marine en 2019

BSAH SEINE Photo Patrick Le Pestipon


Longs de 70.3 mètres pour une largeur de 15.8 mètres et un tirant d’eau de 5 mètres, les BSAH affichent un déplacement de 2960 tonnes en charge. Capables d’atteindre 14 nœuds, ces bâtiments, armés par deux équipages de 17 marins se relayant à bord tous les quatre mois (ce qui permet d'assurer 200 jours de mer par an), peuvent accueillir 12 personnes supplémentaires.

BSAH Photo Patrick Le Pestipon




BSAH SEINE Photo Patrick Le Pestipon
Photos Patrick Le Pestipon

Merci à Patrick et Pierrot


Sources :

Mer et Marine

https://www.meretmarine.com/fr/content/premiere-prise-de-commandement-sur-le-bsah-seine

BSAH GARONNE mise à flot Concarneau 5 novembre 2018 Bretagne Finistère Chantiers Piriou Kership

BSAH GARONNE mise à flot Concarneau 5 novembre 2018 




Le programme de bâtiments de soutien et d’assistance hauturiers (BSAH) vise à renouveler des moyens nécessaires à la Marine nationale afin d’assurer trois types de missions:

- le soutien des forces (remorquage de bâtiments de fort tonnage, accompagnement de bâtiments de surface et de sous-marins, entraînement des forces…),

Photo Patrick Le Pestipon 


- la sauvegarde maritime (sauvetage en mer, assistance à navires en détresse, lutte contre les pollutions maritimes…)

- le soutien de région (travaux maritimes, support pour investigations maritimes, transports et ravitaillements).



Photo  Patrick Le Pestipon 


Il permettra de renouveler les bâtiments de soutien de région (BSR), remorqueurs de haute mer (RHM) et remorqueurs ravitailleurs (RR). Répartis sur chaque façade, ils permettront notamment de garantir le soutien des opérations de protection pouvant nécessiter un remorquage.

Photo  Patrick Le Pestipon 



Utilisant des technologies civiles éprouvées dans les activités offshore, les BSAH sont longs de 70 mètres, larges de 16 mètres et déplacent à pleine charge 2960 tonnes avec une puissance de propulsion de 5 200 kilowatts. Ils embarquent un équipage de 17 marins et 12 personnels supplémentaires. Ils sont capables de mettre en œuvre des engins sous-marins téléopérés.

Photos  Patrick Le Pestipon 

KERSHIP est une co-entreprise créée en 2013 par PIRIOU et NAVAL GROUP, deux experts dans l’ingénierie et la construction navale, les systèmes militaires et les services.
Cette alliance repose sur la complémentarité de leurs expériences et de leurs savoir-faire :
- PIRIOU, 50 ans d’expérience dans la construction de navires civils.
- NAVAL GROUP, un leader mondial dans le naval de défense.
KERSHIP propose des navires jusqu'à 95 m à destination de l’Action de l’Etat en Mer : marines, garde-côtes, douanes, institutions scientifiques...
Grâce à l'expertise de ses maisons-mères, KERSHIP accompagne les administrations et marines militaires tout au long de la vie de leurs navires, de la constuction à la livraison, mais également du service après-vente au Maintien en Condition Operationnelle (MCO).

Sources :

 https://www.defense.gouv.fr/dga/equipement/naval/les-batiments-de-soutien-et-d-assistance-hauturiers-bsah

Photos  Patrick Le Pestipon 

Merci à Patrick, à Pierrot

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...