17 décembre 2009

Beautemps-Beaupré Boulogne Billancourt ville marraine et parrainage

les BB : Beautemps-Beaupré Boulogne-Billancourt

et encore une double oblitération





« Un support culturel et pédagogique très riche »

Pourquoi la ville de Boulogne-Billancourt devient-elle la marraine du Beautemps-Beaupré ?

(CF Y Rest, CF M Reina, G Moukbirian, P Ch Baguet)


Depuis la suspension du service national, les parrainages de bâtiments militaires par des collectivités locales constituent les seuls liens authentiques et durables entre civils et militaires. Ils permettent de mieux faire connaître aux jeunes susceptibles de s’y intéresser, la carrière militaire et les nombreux débouchés qu’elle peut offrir.




Ils offrent également un support culturel et pédagogique très riche. Les échanges avec le Beautemps-Beaupré, dont Boulogne-Billancourt est désormais la marraine, s’adressent à tous les Boulonnais. Pour les plus jeunes, les relations épistolaires ou via Internet avec ses membres d’équipage constituent une ouverture inédite sur un monde nouveau. Les jeunes adultes peuvent bénéficier dans leur cycle de formation des compétences techniques des militaires et scientifiques embarqués.


lecture de la charte

 
Enfin, les plus anciens manifestent beaucoup d’intérêt pour les visites et les cérémonies commémoratives à laquelle la ville et l’équipage du bâtiment seront associées.



la charte


 Il était important pour nous de choisir un bâtiment qui remplisse à la fois des missions d’intérêt militaire pour répondre aux besoins des forces maritimes, de service public avec la levée et la mise à jour des cartes marines et documents nautiques et des travaux généraux sur la connaissance des océans. C’est un support pédagogique passionnant qui devrait intéresser un nombre important de nos concitoyens.


durant la cérémonie à Boulogne Billancourt

 
Enfin, le parrainage constitue une occasion unique pour la marine nationale d’expliquer ses missions, de mettre en oeuvre ses savoir faire.



Le Président de l'Association des villes marraines
 L’intérêt porté aux membres d’équipage parrainés est un élément motivant pour leur moral tout au long de leurs expéditions parfois très longues. Le lien avec la société se trouve renforcé.


Les enfants des écoles

La Ville

Lorsque Boulogne-sur-Seine prend le nom de Boulogne-Billancourt en 1926, cette union officialise une réalité souhaitée par le baron Haussmann dès 1859, rattacher Boulogneà Billancourt. Le lieu de villégiature, le territoire dévolu à l’agriculture et à l’élevage cède la place à l’industrie et au commerce. L’activité traditionnelle de la ville, la blanchisserie, dépasse le stade artisanal pour se muer en petites et moyennes entreprises. Liée à l’essor de la population, l’industrie du bâtiment voit prospérer des manufactures spécialisées dans les décors muraux.

Ce sont les industries automobile, aéronautique et cinématographique qui permettent à la ville, entre 1880 et 1914, d’entrer dans une spirale ascendante :Étienne-Jules Marey invente la chronophotographie, Louis Renault construit sa première voiture en 1898, les frères Voisin, Louis Blériot et les frères Farman jettent les bases de l’industrie aéronautique, les premiers studios de cinéma voient le jour en 1912. Aux portes de Paris, une modeste cité devient le centre de toutes les mobilités.

Érigé par Tony Garnier en 1934, l’hôtel de ville constitue un point focal par le choix stratégique de son emplacement. Il représente un parti‑pris architectural et urbain, emblématique du mouvement artistique d’avant-garde qui caractérise la vie boulonnaise de l’entre-deux-guerres. Qu’il s’agisse de Marc Chagall ou de Max Blondat, de Joseph Bernard ou de Juan Gris, des artistes élisent domicile ou travaillent dans la commune, lui imprimant sa marque, tel le sillage de pierre laissé, dans le quartier des Princes, par Mallet‑Stevens ou Le Corbusier.

L’après-guerre et la seconde moitié du XXe siècle amorcent les mutations profondes, avec la disparition progressive des industries lourdes, des activités inédites viennent combler les vides, dans un perpétuel mouvement de reconversion. L’explosion du secteur tertiaire, la floraison des sièges sociaux modifient à leur tour la physionomie urbaine.
Classée Ville d’art et d’histoire, Boulogne- Billancourt rend hommage aux talents qui ont forgé son patrimoine, avec comme règle pour les années futures : répondre au meilleur du passé par une exigence de bonne mémoire, d’excellence et de dynamisme.

plis réalisés par la section Ile de France Contact Joël Moreau

sources :
le site de la Ville de Boulogne Billancourt


http://wwwwww.boulognebillancourt.com/cms/images/pdf/BBI/2009/avril/la_ville.pdf

Marine Nationale


http://www.defense.gouv.fr/marine/content/download/44535/444437/file/Beautemps-Beaupre%20A758.pdf


Le bâtiment hydro-océanographique Beautemps-Beaupré porte le nom du père de l’hydrographie  française.

Il remplace L’Espérance désarmé en 2000 et réalise des travaux d’hydrographie et d’océanographie côtiers et hauturiers pour le Service Hydrographique et Océanographique de la Marine (SHOM) :

- en matière d'hydrographie et d'océanographie militaires : il participe à la connaissance physique,

biologique, chimique et géologique des mers et des fonds marins.

- en matière d'hydrographie générale : le SHOM contribue à l’amélioration

des connaissances océanographiques générales dans la mesure où elles intéressent la Défense.

L'objectif est de disposer d'une perception de plus en plus précise de l'environnement aéro-maritime.

Les missions secondaires du Beautemps Beaupré consistent à :

- expérimenter de nouvelles méthodes de mesures ou de recherche en utilisant des équipements nouveaux dans lesquels l’acoustique sous-marine est susceptible d’avoir un rôle important ;

- permettre, à l’occasion, la mise en oeuvre d’engins remorqués pour des essais au profit de la marine ;

- effectuer des missions de présence au profit de la marine.

- effectuer des travaux océanographiques au profit de l’Ifremer (10 jours/an)

Admis au service actif le 13 décembre 2003, le Beautemps-Beaupré est basé à Brest. Il est armé alternativement par deux équipages.

16 décembre 2009

FS VENDEMIAIRE

Au courrier aujourd'hui
Zone de la Ligne Nouvelle Zélande


Un pli de la Frégate Vendémiaire en exercice avec la SNSM et les sauveteurs néozélandais

flamme courrier urgent transporté par La Poste Néozélandaise














Jeanne d'arc GEAOM 2009 2010 escale à Casablanca

Escale à Casablanca en timbres locaux







merci au MPMPLG pour son envoi







un peu de tourisme au Maroc













Crédit Photos Marine Nationale 
GEAOM 2004 2005 MP Briantais SM Cottais

journal de bord du PH Jeanne d'Arc
cliquez sur le lien ci-dessous

13 décembre 2009

Soyez Marins!

Engagez-vous, vous verrez du pays

merci à JEF pour ce document












BRS ANTARES

Le bâtiment remorqueur de sonars visite sa ville marraine

hier samedi 12 décembre a eu lieu le parrainage du BRS Antarès avec la ville de Nogent sur Marne.


20 membre de l'équipage sur 24 sous le commandement du  Major Claude Trébaol étaient présent pour le parrainage à Nogent sur Marne




 Les cérémonies présidées par Monsieur Stéphane Eychenne délégué à la jeunesse et au devoir de mémoire se sont déroulées en  présence de Monsieur Jacques J.P. Martin Maire de Nogent sur Marne et de Monsieur Gérard Moukbirian Délégué général des villes marraines et d'une classe de l'école Paul Bert.
TAD manuel de Nogent sur Marne



Cachet de Fontenay sous Bois Val de Marne avec flamme représentant l'ancien pavillon des halles de Baltard (Les Halles Paris) et reconstruit à Nogent sur Marne




le piquet d'honneur


l'équipage de l'Antarès



les drapeax de anciens combattants et le commandant de l'Antarès e le Maire


les enfants de l'Ecole Paul Bert



Concernant l'Antarès voir Netmarine



Concernant le bâtiment des Halles :


Le GAG  ou cherchez l'erreur

Note-circulaire n° 195/DEF/CEMM/CAB du 15 mars 1994 (BOC, p. 2703. ; BOEM 143.7).


Classement dans l'édition méthodique : BOEM 143.7

Référence de publication : BOC N°21 du 19 juin 2009, texte 27.

Le parrainage du chasseur de mines « Antarès » par la ville de Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) est agréé.

Pour le ministre de la défense et par délégation :

L'amiral,

chef d'état-major de la marine,

Pierre-François FORISSIER.

plis réalisés par la section Ile de France de la Marcophilie Navale

Photos Joël Moreau

Encore une histoire de Fausse Direction

Mon Trésor (Public)


Comment un courrier posté à Clermont-Ferrand code ROC = 12599A LEMPDES CLERMONT FERRAND CTC CTC 63370


et adressé en Bretagne Tinteniac 35190
peut-il arriver au centre des impôts de LILLE (59)




Cela permet d'obtenir un nouveau timbre humide ouvert par erreur Trésor Public
Centre d'encaissement de Lille

Si vous avez des idées?

Hérodote nous parle de la Belle-Poule

Un lien vers l'Histoire


En 1840, le chef du gouvernement français négocie avec son homologue anglais le retour des cendres de Napoléon 1er à Paris. Adolphe Thiers souhaite de cette façon redresser le prestige du roi Louis-Philippe 1er.



Gourgaud, un ancien général de l'Empire, prend en main l'opération. Il se rend sur l'île de Sainte-Hélène où est mort l'empereur près de vingt ans plus tôt.


Le 15 décembre 1840, au cours d'une cérémonie populaire et grandiose, l'auguste cercueil entre à Paris après un long voyage en mer sur la Belle-Poule.
Un million de Parisiens devenus bonapartistes pour l'occasion n'hésitent pas à crier «Vivel'Empereur !».


Le principal bénéficiaire de l'opération est le courant bonapartiste. Il reprend vie et il ne lui faudra que huit ans pour amener au pouvoir Louis-Napoléon Bonaparte, neveu du regretté empereur.

Napoléon 1er repose depuis lors en l'église Saint-Louis-des-Invalides, sur les bords de la Seine.

http://www.herodote.net/articles/article.php?ID=375

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...