03 décembre 2016

B2M D'ENTRECASTEAUX à Clipperton DLD 2016

B2M D'ENTRECASTEAUX à Clipperton

25 au 27 juin 2007

Les plis de la DLD du B2M D'Entrecasteaux sont enfin arrivés.


Du 25 au 27 juin 2016, le nouveau bâtiment multimission D’Entrecasteaux, en déploiement de longue durée dans l’océan Pacifique, a été missionné pour rejoindre l’atoll de Clipperton, afin d’y soutenir des opérations de déminage. Cette mission a été réalisée sous le contrôle opérationnel du contre-amiral Morio de l’Isle, commandant des forces armées en Polynésie française.

Possession française du Pacifique Est et rattachée au domaine public de l’Etat, Clipperton est administrée par le Haut-Commissaire de la République en Polynésie française par délégation du ministre chargé de l’outre-mer.



La mission du D’Entrecasteaux s’inscrit dans la réflexion engagée sur la valorisation de l’île de Clipperton par l’Etat français. Cette démarche avait notamment conduit le Gouvernement en 2015 à confier à Philippe Folliot, député du Tarn, une mission sur les conditions d’exercice de la souveraineté par la France sur cette île. Dans son rapport remis le 9 juin dernier, Philippe Folliot relevait, notamment dans ses conclusions, la question première du traitement des dépôts pyrotechniques anciens.
En 1945, lorsque les Américains ont mis un terme à l’occupation de l’atoll de Clipperton, ils y ont abandonné de nombreuses munitions, dont des munitions de 12,7 mm et des obus d’artillerie de 20, 30 et 40 mm. Au fil du temps, les conditions météorologiques sur l’atoll les ont fortement endommagées.

Au départ de Brest, l’équipage du D’Entrecasteaux a embarqué du matériel de déminage. Un mois et demi plus tard, lors d’une escale au Guatemala, quatre démineurs, un médecin et un baleinier, spécialiste des débarquements de personnel par embarcation pneumatique sur barrières de corail, ont embarqué à bord.






Le 25 juin, l’opération a consisté dans un premier temps à délimiter la zone de stockage. L’équipage a ensuite trié les munitions et les déchets inertes, avant de procéder à un stockage pour permettre leur « pétardement par fourneau ». Ce procédé est indispensable pour neutraliser tout risque d’actionnement de la matière sensible. Une fois la zone sécurisée, un nettoyage a été réalisé pour préparer une future mission de destruction des munitions restantes.

Au total, l’opération aura duré trois jours. Une journée a été dédiée à l’expertise, une au contre-minage et la troisième à la préparation de zone pour une future mission de déminage.

Au bilan, près de 16 000 munitions ont été découvertes (environ 4 500 munitions de 30 mm, 2 300 munitions de 40 mm et près de 9 000 de 12,7 et 20 mm). 65 % des munitions de 30 mm et 20 % des munitions de 20 mm ont été traitées au cours de cette opération.



La mission de déminage s’est terminée le 27 juin. Le bâtiment multimission D’Entrecasteaux a ensuite entamé un transit vers l’archipel des Marquises, où le personnel de déminage a pu débarquer.

Le bâtiment a continué sa route pour conduire des missions de souveraineté nationale dans la Zone économique exclusive (ZEE) de Polynésie. Il rejoindra son port base de Nouméa fin juillet.

En savoir plus sur les enjeux de l’atoll de Clipperton en cliquant ici...

Source : Marine nationale

Crédits : Marine nationale

02 décembre 2016

Le B2M CHAMPLAIN quitte Concarneau pour Brest 1er décembre 2016 Marine nationale Québec chantier Piriou Concarneau

Le B2M CHAMPLAIN quitte Concarneau pour Brest 







Samuel de Champlain serait né à Brouage (Charente-Maritime) entre 1567 et 1574 ; il aurait été baptisé le 13 août 1574 à La Rochelle au Temple Saint-Yon. Il meurt à Québec le 25 décembre 1635. Champlain est tout à la fois un grand navigateur, un cartographe, un soldat, un explorateur, un géographe, un commandant et un auteur de récits de voyage français. Il est le fondateur de la Ville de Québec.








Statue de Champlain à Québec photo (c) JM BERGOUGNIOU


Après une formation de navigateur en Saintonge (vers 1586-1594), il se fait soldat en Bretagne (1595-1598), puis explorateur des colonies espagnoles d'Amérique (1599-1601), du fleuve Saint-Laurent (1603) ainsi que de l'Acadie (1604-1607) et de la côte atlantique (entre l'actuel Nouveau-Brunswick et Cap Cod). Il nomme définitivement la « Nouvelle-France » en l'inscrivant sur une carte de 1607, représentant l'Acadie à partir de La Hève jusqu'au sud du Cap Cod. Champlain enracine la première colonie française permanente, à Port Royal d’abord, puis à Québec ensuite, qu'il a fondée le 3 juillet 1608. À cette fin, il bénéficie du soutien du roi Henri IV de France, de Pierre Dugua de Mons, de François Gravé, et du chef montagnais Anadabijou.





N'appartenant pas à la noblesse, Champlain agit en tant que subalterne d'un noble désigné par le roi : à Québec, il est « lieutenant du vice-roi de la Nouvelle-France » resté en France, puis à partir de 1629 « commandant en la Nouvelle-France en l’absence » du cardinal de Richelieu. Administrateur local de la ville de Québec jusqu'à sa mort, il ne reçoit jamais le titre officiel de gouverneur de la Nouvelle-France, même s'il en exerce les fonctions.



Double oblitération by La Poste et Centre de Tri Brest Guipavas 05505A

La Poste a encore sévi... Quand je dis La Poste c'est le centre de tri... Patrick avait mis un élastique autour du paquet à expédier, une feuille disant qu'il ne fallait pas réoblitérer les plis et pour plus de sécurité demandé à ce que le paquet soit mis dans les recommandés qui font l'objet d'un traitement spécifique... 

Vieux Québec (c)  photo JM Bergougniou



Les difficultés rencontrées dans cette entreprise sont nombreuses, et ce n'est qu'à partir des étés 1634 et 1635, dans les dix-huit derniers mois de sa vie, que Champlain voit son rêve de colonisation se concrétiser, avec l'arrivée et l'établissement de quelques dizaines de familles de colons. Son acharnement à vouloir implanter une colonie française en Amérique du Nord lui vaut, depuis le milieu du xixe siècle, le surnom de « Père de la Nouvelle-France ».



Au chantier Piriou photo (c) JM Bergougniou
Les B2M 

Un fleuron de la marine nouvelle génération
Au cours des prochaines années, la Marine va se doter de quatre bâtiments multimissions. Entérinés par la loi de programmation militaire de 2013, les B2M ont pour objectif d’assurer une présence française outre-mer, succédant ainsi aux bâtiments de transport léger (Batral) et aux patrouilleurs P400. Comme leurs homologues, ces navires robustes et endurants sont destinés à naviguer dans les vastes espaces ultramarins.


Au chantier Piriou photo (c) JM Bergougniou
Ils se distinguent de leurs prédécesseurs grâce à une polyvalence renforcée. Ils conservent une capacité amphibie légère grâce à leur drome. Avec ces bâtiments polyvalents, adaptés aux normes civiles et aux exigences militaires, la Marine s’adapte et se renouvelle pour répondre aux besoins opérationnels de l’outre-mer. Ces unités vont bénéficier des dernières innovations technologiques grâce au savoir-faire industriel français, permettant une adaptation constante aux nouvelles menaces




Dans un cadre interministériel, les B2M assureront des missions de souveraineté outre-mer au profit des ministères de l’Intérieur, de l’Économie et des Finances, ainsi que de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer. Ils interviendront lors de missions spécifiques de surveillance, d’assistance et de sauvetage. Au plan militaire, ces bâtiments assureront des missions d’intervention maritime en Nouvelle-Calédonie, en Polynésie française, à La Réunion et aux Antilles. Ils pourront être projetés à l’intérieur du théâtre, en appui des forces de police et de gendarmerie.


B2M CHAMPLAIN  photo (c) JM Bergougniou
 Ils sont équipés de deux mitrailleuses de 12,7 mm, de deux canons à eau, d’embarcations de drome opérationnelle de nouvelle génération (EDO NG) pour les interceptions et contrôles.
Les B2M peuvent aussi mettre en œuvre des commandos avec leurs embarcations (Ecume). Avec deux équipages de 20 marins qui permuteront à bord tous les quatre mois, les B2M pourront assurer une activité soutenue, soit plus de 250 jours de mer par an. L’un des équipages sera dédié à la conduite du bâtiment en mer, pendant que l’autre sera employé pour des tâches organiques, de renfort ou de soutien.


A623 photo (c) JM Bergougniou


Le vieux Québec plaque de maison photo (c) JM Bergougniou




la proue et la propulsion photo (c) JM Bergougniou

Bernard Hily était sur son promontoire à la pointe Bretagne pour voir le B2M CHAMPLAIN embouquer le goulet de Brest...

Encore une fois merci Bernard pour tes photos


le B2M va entrer en phase de mise en condition opérationnelle (MECO) au cours de laquelle il va tester à quai : remorquage, tir, visite, évacuation de ressortissants…
En parallèle de ces phases de stage et d’entraînement, le bâtiment va effectuer sa vérification des capacités militaires (VCM) en testant l’adéquation matérielle à ses fonctions militaires : manœuvre, navigation et sécurité sont à l’ordre du jour pour vérifier l’autonomie du navire en mission et ses no-go (limites).
Des interactions avec l’armée de Terre sont également planifiées : entraînements à la récupération en mer de soldats, de matériel et de véhicules.



photo (c) Bernard Hily

photo (c) Bernard Hily


photo (c) Bernard Hily
Sources : 

Cols bleus Marine nationale Wikipedia
Merci à Patrick, à Pierrot LG, à Bernard

Les Histoires à Daniel

Les Histoires à Daniel de Brest même

Il est de Brest... de Bres même, c'est un Marcophile connu et reconnu
et ii a décidé de nous faire partager ses petites histoires du genre "c'est en sciant que le petit Léonard devint scie..." 
Bonne lecture

Dieu ordonna à David de guetter... et David Guetta !

Dieu ordonna à Hélène de s'égarer... et Hélène Ségara !

Dieu ordonna à Thierry d'en rire... et Thierry Henry !

Dieu ordonna à Fatou de mater... et Fatou Matta !

Dieu ordonna à Bruce de lire... et Bruce Lee !

Dieu ordonna au Coca de coller... et le Coca Cola !

Dieu ordonna à Mouss de taffer ...et Mousstafa !

Et il demanda à Mme Sarkozy de bronzer et .......Carla Bruni !!!!!!!!!!!!!!

Et pire..........LA SUITE !!!!!!

Dieu ordonna à un Castor de ramer... et Castorama

Dieu dit à Katy de mourir... et Katy Perry

Dieu ordonna à Mara de donner... et Maradona

Dieu ordonna au chaud de coller... et le chocolat

Dieu a dit : "ton petit lira"... et le petit Lu

Un jour, Dieu dit à Lustu de croire,... et Lustucru

Dieu ordonna que le riz colle... et le Ricola

Un jour, Dieu demanda à Jack de sonner à la porte...depuis Jackson....

Un jour, Dieu demanda à Hugo de bosser et depuis, Hugo Boss.

Dieu sema le blé, et Marc Lavoine !!!

Dieu ordonna à Rex de sonner... Et Rexona !

En 1903, Dieu interdit aux Gendarmes d'être tristes ... et depuis la Gendarmerie.

Humour dans le carré par donecMartial Bussière et le Soleil d'Austerlitz

Humour dans le carré par Donec

Martial Bussière et le Soleil d'Austerlitz


Bonjour à tous,


Le tombeau des ancêtres, ce carré de France de cinq kilomètres de coté, sur les bords de la Solane, abrite toute une mémoire paysanne qui remonte à la nuit des temps. Tous attachés à leur terre qu’ils quittèrent de mauvaise grâce en 1914 pour faire leur devoir.



Avec le même entrain, mais pour répondre cette fois à la conscription de l’empire, leurs pères avaient abandonnés un siècle plus tôt leur campagne occitane. Martial Bussière était l’un d’eux et mon aïeul par la même occasion. Il intègre la grande armée à l’été 1805 et je crois qu’en cette veille de 2 décembre, après des marches harassantes, entourés des anciens, il ne devait pas en mener large. C’était son baptême du feu.

Le lendemain il appartenait à cette élite saluée par l’empereur « il vous suffira de dire, j’étais à la bataille d’Austerlitz, pour qu’on vous réponde, voilà un brave » ;



Martial Bussière participera à la campagne de Russie et s’en sortira, non sans avoir été blessé à la bataille de Bautzen. Il rentrera au pays en 1814 avec le grade de caporal. Il recevra en 1857 la médaille de Sainte Hélène et sera alors lieutenant de la garde nationale.

A la semaine prochaine

Donec

01 décembre 2016

La Surprise à Majunga Madagascar 3 décembre 1916 centenaire 100 ans Torpillage Funchal CS Dacia

La Surprise de Majunga (Madagascar) au Maroc pour détourner les câbles télégraphiques allemands

Je continue mes recherches sur "La Surprise" qui a été torpillée il y a tout juste 100 ans. Nous l'avons déjà vu en Extrême-Orient, nous découvrirons son passage à Madagascar et dans l'Océan indien, au Maroc à Madère.

Mais que faisait-elle à Funchal Madère en 1916 place où elle est torpillée le 3 décembre 1916.  Il y a tout juste 100 ans.

Sa mission est de protéger le transport de sous-marin Kangurou mais surtout le CS DACIA qui a pour objectif de détourner les câbles sous-marins allemands.

Encore un article pour la guerre sur tous les fronts!


Le CS Dacia a été construit, en 1867, pour l’India Rubber, Gutta Percha and Telegraph Works Company, et a eu une carrière remarquable en tant que poseur de câble.
 
Au cours de la Première Guerre mondiale, il a été impliqué dans les travaux de dérivation de câbles télégraphiques pour le compte du gouvernement français. Il a réalisé cette mission avec un certain nombre de grands succès.
A la date du 3 Décembre 1916, le Dacia est engagé dans le détournement du câble télégraphique Allemand qui va vers l’Amérique du Sud afin de relier Dakar avec Brest, via Madère.
Le Dacia et ses escorteurs français, la canonnière Surprise et le navire auxiliaire Kangourou (transport de sous-marin) sont devant Funchal, Madère quand ils ont été coulés par un sous-marin allemand, avec la perte de 41 vies. 

Ce travail de détournement des liaisons télégraphiques sont réalisés dans le plus grand secret, ce qui n'empêcha pas après la guerre, le gouvernement français de reconnaître le travail de l’India Rubber Company en décorant son directeur général, M. C.H. Gray de la Croix de Chevalier de la Légion d’ Honneur.
le CS Dacia au moment de l'explosion
Cette canonnière est du même type que la Zélée qui affrontera la marine impériale à Tahiti.

Elle est mise en chantier chez Augustin Normand au Havre le 16 janvier 1893 et mise à flot le 14 avril 1895.
Elle est achevée en 1896 et entre immédiatement en service.

Elle jauge 680 tonnes, mesure 56 mètres de long pour 8 mètres de large
Avec un moteur de 1800CV elle peut filer 13 nds.

Elle ast armée de 2 canons de 100 mm, de 4 canons de 65 mm et de 4 canons de 37 mm



Le 1er janvier 1896 elle quitte  Cherbourg pour l’Extrême-Orient (Tonkin, Chine, Japon) 

De 1906 à 1910 elle est en Océan Indien
Durant la guerre de 14-16 elle est affectée en Afrique de l'Ouest Cameroun, Dakar, Guinée
Du 21 au 22 septembre 1914, elle participe à l'attaque du Cameroun allemand avec débarquement sur la plage de Coco, elle coule le navire de commerce allemand Itolo 
puis participe avec le Bruix à la reconquête du Cameroun
11-16.10.1914 : entre dans la rivière Cameroun
A partir de 1915, elle est affectée au Maroc
Le 3 décembre 1916, elle est torpillée au mouillage à Funchal par le sous-marin U 38 (KL Max Valentiner) avec le transport de sous-marins Kanguroo et le cablier Dacia.




La Surprise à Madagascar






La guerre au Gabon et au Kamerun (le Cameroun est alors colonie allemande)
En ce temps-là, Cocobeach était occupée par les Allemands depuis trois ans. 

C’est ainsi qu’en 1911, tout le nord du Gabon était rattaché au « Kamerun » selon une ligne allant approximativement de Cocobeach à Mvahdi, passant légèrement au nord de Mitzic. L’exaspération était à son paroxysme tant chez Européens de Libreville qu’à Paris où l’on évoquait la mémoire trahie de Savorgnan de Brazza et de ses compagnons. En 1914, l’entrée en guerre contre l’Allemagne ouvrait la perspective d’une reconquête des territoires ainsi abandonnés


"La prise de Coco Beach, chef lieu du territoire allemand du Muni au nord du Congo français, est un des plus heureux épisodes des combats livrés en Afrique depuis le commencement de la guerre. L'expédition, organisée au départ de Libreville le 21 Septembre, a été conduite avec tant de décision et de vigueur que le soir même notre pavillon flottait à nouveau sur le Muni.
L'action fut chaude. La canonnière SURPRISE, sous le commandement du lieutenant de vaisseau Mégissier, se présenta devant Coco Beach à 05h00 du matin. Elle débarqua un détachement de la 7e compagnie des tirailleurs sénégalais sous les ordres du commandant Mignolard et du capitaine Bernard, le protégeant avec son artillerie.
L'ennemi possédait deux mitrailleuses, une forte chaloupe et un vapeur de 400 tonneaux. Il se défendit avec le plus grand acharnement. Il avait établi des tranchées et dirigea un feu terrible sur les embarcations remorquées par la chaloupe de la SURPRISE qui amenaient à terre nos soldats.
Malgré leurs pertes, nos troupes se lancèrent à l'assaut à la baïonnette, s'emparant d'abord de l'ancien hôpital, puis de la maison de l'administrateur.
Les combats étaient terminés à 16h45, les Allemands ayant chèrement payé leur résistance. En dehors des nombreux miliciens tués, huit Allemands avaient trouvé la mort et trois avaient été blessés, qui se rendirent le lendemain. Ils furent dirigés sur Libreville.


De notre côté, nous avons perdu l'officier de tir de SURPRISE, l'enseigne de vaisseau Blache, le gabier Leizons, atteint de deux balles dans la chaloupe qu'il conduisait et le matelot sénégalais Fara Gomis, ainsi que cinq tirailleurs.
Nous avions cinq blessés dont le sergent Pitolini et le quartier-maître Le Maux.
Un compatriote s'est particulièrement illustré dans cette expédition, Mr Fernand Guillod, vice-consul de Belgique à Libreville. Ayant longtemps habité au Muni, il pilota notre canonnière dans sa navigation difficile et assura le succès du débarquement.
Le commandant de la SURPRISE a demandé pour lui la Légion d'Honneur."
sources :

L'Illustration 

http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultregi.php?nunit=9998&tunit=Surprise+(1916)

http://centenaire.org/sites/default/files/references-files/bataille_de_cocobeach.pdf

http://atlantic-cable.com/Cableships/Dacia/index.htm#divert

30 novembre 2016

Salon des aventures polaires Ouistreham JB jean-Baptiste Charcot commandant

Salon des aventures polaires Ouistreham



Le salon, organisé par le Club Philatélique de Ouistreham, rend hommage au Commandant Charcot et à ses compagnons disparus lors du naufrage du « Pourquoi pas ? » il y a 80 ans.






Le service philatélique des TAAF était présent et proposait un nouveau timbre d’une valeur faciale de 0,50 € dédié au Cirque du Château à Kerguelen.


le cirque du Château?  N'est-ce pas l'Elysée que l'on surnomme le Château?




Ce site porte le nom donné par Edgar Aubert de la Rüe, géologue, en 1952.

Explication : le cirque dominé par les créneaux, dont la silhouette ressemble à une ruine de château-fort.

Merci à Gérard Colline et Daniel Astoul

http://www.kerguelen-voyages.com/consulter/actualites.asp?ActuID=11154&LangueID=1&isActu=2

29 novembre 2016

Ménagerie BE LION à Saint-Malo

Ménagerie BE LION à Saint-Malo



Le cursus ingénieur est un cursus en trois ans après les classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE). Fin 2009, l'École navale a adapté sa formation afin de s'inscrire complètement dans le schéma européen d'enseignement. Les étudiants sont recrutés sur banque d'épreuve du Concours Centrale-Supélec après deux ou trois ans de maths sup et maths spé (MP, PC, PSI). Le cursus s'articule sur six semestres, soit 360 crédits ECTS :
semestre 1 : formation maritime et militaire élémentaire ;
semestre 2 : tronc commun scientifique ;
semestre 3 : options scientifiques et Relations internationales ;
semestre 4 : voie d'approfondissement scientifique et environnement de la Défense ;
semestre 5 : projet de fin d'études ;
semestre 6 : campagne d'application à la mer : Mission Jeanne d'Arc.

À la fin de ce cursus, ils se voient attribuer le titre d'ingénieur diplômé de l'École navale (et depuis 2009 le grade universitaire de master). Ce diplôme est reconnu par la commission des titres d'ingénieurs (CTI).

Après cette formation, ils poursuivent avec la formation maritime supérieure et spécialisation (cf. ci-dessous), ils sont promus "enseigne de vaisseau de première classe".

 https://fr.wikipedia.org/wiki/École_navale






Merci à Bernard pour les photos du BE Lion


BE LION en rade de Brest photo Bernard Hily

BE LION en rade de Brest photo Bernard Hily

BE LION en rade de Brest photo Bernard Hily

PHM Commandant Blaison TANGER MED25 Maroc EUNAVFORMED IRINI

TANGER MED25 PHM Cdt Blaison  Le 23 avril 2025, le patrouilleur de haute mer (PHM) Commandant Blaison a appareillé de Brest dans le cadre de...