25 février 2013

Croiseur auxiliaire LIAMONE guerre 14 18 affretement bateau

Croiseur auxiliaire LIAMONE


La presse a fait écho ces derniers temps de l'affrètement de cargos en complément de BPC pour approvisionner les troupes de l'opération Serval engagés au Mali.

 Ce principe a déjà été utilisé lors de la guerre 14-18.

Nous prendrons l'exemple de l'un de ces cargos le LIAMONE

La guerre mondiale implique des actions de guerre sur plusieurs fronts souvent très éloignés de la mère Patrie (AOF, Maroc, Monténégro, Grèce, Dardanelles, Egypte, Liban, etc.)

Ces opérations obligent les états-majors à concevoir et mettre en oeuvre  des convois vers les différents fronts. 

La Marine réquisitionne donc des cargos, qui sous la protection de contre-torpilleurs ou cuirassés, viennent approvisionner les troupes en armes, munitions , vivres, assurer les relèves, évacuer les blessés en plus des navires hopitaux mais aussi apporter le courrier et les colis. 
Le Liamone fait partie de la longue liste des fleuves corses, il s’écoule paisiblement, en général, vers la côte occidentale de l’ île de beauté entre Tiuccia et Sagone en Corse-du-sud  (46 km).

Le Paquebot Liamone est lancé en 1906 pour le compte de la Compagnie Marseillaise de Navigation a Vapeur (Cie Fraissinet), de Marseille. 

Numéro de chantier 750. C'est le sister ship du Golo et il est destiné comme lui au service de la Corse 

Le 16 août 1914 il est réquisitionné, il est utilisé pour le transport du courrier de l’Armée d’Orient à Corfou.



Le 01 septembre 1914 : 

Parti de Toulon, le Liamone accoste à Antivari avec le personnel, dirigé par le LV Gignon, et le matériel destiné à l’installation d’un poste de TSF capable d’émettre à 300 milles environ sur le Mont Lovcen situé en territoire monténégrin. La manœuvre s’opère sous l’escorte de deux escadrilles de torpilleurs que soutient la 2ème division légère. Les torpilleurs de la 2ème escadrille, munis de dragues que le CV Ronarc’h avait mises au point peu de temps avant la guerre, déblaient le chenal où ils trouvent quatre mines. Le Liamone entre derrière eux et s’accoste à la jetée.



Pendant ce temps, les cuirassés, éclairés par la 1ère division légère et protégée contre les sous-marins par trois escadrilles de torpilleurs, se dirigent vers Cattaro en se tenant à une quinzaine de milles de la côte, pour éviter les petits fonds où des mines peuvent avoir été mouillées. Arrivés à la hauteur des Bouches de Cattaro, ils s’en rapprochent par une brusque évolution, et, à 13 000 mètres environ, ouvrent sur les forts un feu précis de leur grosses pièces. 

On voit un ballon captif s’élever de Cattaro, mais les batteries de côtes ne ripostent pas. Au bout d’un quart d’heure, les cuirassés remettent le cap à l’Ouest, tandis que les croiseurs qui se tiennent au large signalent et canonnent deux sous-marins ennemis. A la tombée de la nuit, l’armée navale et le Liamone, qui a finit son déchargement, sortent de l’Adriatique sans être inquiétés. 



Le 03 octobre 1914  avec le vapeur Mogador chargé de blé, le Liamone à bord duquel se trouve l’amiral de Bon, se trouve à l’entrée de l’Adriatique avec du matériel TSF destiné au poste de Podgoritza, et, pour la cinquième fois depuis le début des hostilités, l’armée navale toute entière franchit le canal d’Otrante. 

le 16.10.1914 : le Liamone revient chargé de vivres, de matériel et de canons anti-aériens pour la défense d’Antivari où il entre le 17 au matin précédé des dragueurs, et de nouveau l’armée navale lui fait escorte. Il dépose son matériel sur le quai et, comme au voyage précédent, un avion autrichien largue quelques bombes dans son voisinage. 

La Foudre, quant à elle, débarque devant le port deux hydravions qui, pilotés par les EV Cintré et Destrem, se rendent à Antivari où les Monténégrins, non prévenus, les reçoivent à coups de fusils. 


La Marine donnera le nom de Liamone  à un navire citerne après la seconde guerre mondiale 
31.10.1914 : le Liamone amène du personnel pour la mission Grellier (hommes, artillerie et matériel débarqués au Monténégro) et du matériel militaire destiné au Monténégro. Escorté de trois croiseurs et de cinq torpilleurs, il entre à Antivari le 1er novembre au matin avec le Bisson, y opère son déchargement que trois avions ennemis tentent d’entraver en jetant, d’une hauteur de 1 500 mètres, une quinzaine de bombes qui tombent dans l’eau, et sort de l’Adriatique le soir même, tandis que les navires qui l’ont accompagné restent en observation dans le voisinage pour repousser les Autrichiens qui viendraient bombarder le port. Personne, du reste, ne parait.
01.11.1914 : échappe à une torpille lancée par le sous-marin autrichien U-5 KuK. 


Ferryville Tunisie  
23-06-1916

07.1915 : figure à l’effectif des bâtiments affectés au service du corps expéditionnaire français aux Dardanelles dans le groupe de courriers et transports divers 

03.09.1918 : déréquisitionné 

1932 : vendu à la Compagnie Aéropostale, et devient l’Aéropostale V qui l’utilise pour le transport de courrier entre Dakar et Natal 

23 février 2013

CORYMBE 119 BPC Mistral

CORYMBE 119  BPC Mistral

Escale en Afrique du Sud 





http://jdb.marine.defense.gouv.fr/index.php/post/2013/02/14/Le-«-Mistral-»-au-Cap-:-démonstration-amphibie-pour-la-SAN-et-promotion-de-la-citoyenneté-auprès-de-nos-ressortissants.


Le « Mistral » au Cap : démonstration amphibie pour la SAN et promotion de la citoyenneté auprès de nos ressortissants


Par BPC Mistral le jeudi, 14 février 2013, 22:09


Du 5 au 11 février dernier, le BPC Mistral était en Afrique du Sud.


L'arrivée devant la ville du Cap et sa fameuse Table Mountain.


Crédit photo: Aerial Perspectives




Du 5 au 11 février 2013, le bâtiment de projection et de commandement Mistral a fait escale au Cap, en République Sud-Africaine. Cette relâche opérationnelle à l’extrémité Sud du continent africain, entre deux volets de la mission du BPC, a été mise à profit pour promouvoir la coopération avec la SAN (South African Navy), ainsi que pour accueillir les jeunes Français résidant au Cap dans le cadre de la « Journée Défense et Citoyenneté ».


Des manœuvres d’engins amphibies français devant Le Cap


L’EDA-R a prouvé sa rapidité de mise en œuvre et sa manœuvrabilité dans le port de la ville du Cap.


Le dimanche 10 février, le Mistral ballastait dans le port du Cap pour présenter à une délégation de la SAN les procédures d’enradiage et déradiage des engins amphibies. Ainsi, deux chalands de transport de matériel, et surtout le tout nouvel engin de débarquement amphibie rapide (EDA-R) ont manœuvré dans le port puis sont sortis dans la baie du Cap.


Embarqués à bord de l’EDA-R L9093, les officiers sud-africains ont pu apprécier ses qualités manœuvrières, autour de la célèbre Robben Island où fut emprisonné Nelson Mandela, puis devant le « Waterfront » à la surprise de nombreux promeneurs du dimanche. En configuration « catamaran », les 27 nœuds atteints par l’EDA-R non loin du Cap de Bonne Espérance ont fini d’impressionner les invités sud-africains.


Première mise en œuvre amphibie française dans les eaux sud-africaines de longue mémoire – et en tout cas première incontestée pour l’EDA-R –, cette démonstration particulièrement réussie ouvre un précédent intéressant dans la perspective d’exercices de plus grande ampleur lors de prochains passages de BPC.





La délégation de la marine sud-africaine à bord de l’EDA-R L9093, une sortie dont tous se souviendront avec plaisir.


Partage d’expérience sous la coque du « Mistral »


Tout au long de l’escale, les plongeurs du bord du Mistral ont partagé leur expertise avec leurs homologues sud-africains, particulièrement intéressés puisque c’est l’école de plongée de la SAN qui, quotidiennement, acheminait ses équipes depuis Simon’s Town pour ces rencontres subaquatiques. Procédures, matériels, le savoir-faire français séduisait visiblement nos homologues dans la perspective d’un renforcement de la sécurité des ports.





Les plongeurs du bord et les plongeurs sud-africains ont pu partager à maintes reprises leurs techniques et savoir-faire.


"Journée Défense et Citoyenneté" pour la communauté française du Cap


Les jeunes français du Cap montant la coupée, une première pour la majeure partie d’entre eux.


La « Journée Défense et Citoyenneté » concerne des centaines de milliers de jeunes Français chaque année, à travers le monde entier puisque nos compatriotes expatriés y sont tenus comme les métropolitains. L’escale du Mistral était l’occasion de donner à celle du Cap un lustre particulier, en attirant à bord du navire des jeunes parfois moins motivés par une série de conférences en salle à terre. Franc succès puisque, de l’avis de monsieur Antoine Michon, consul général de France au Cap, elle a drainé deux fois plus d’inscrits qu’à l’accoutumée.


Singulièrement, cette journée qui rassemblait nombre de jeunes scolarisés en langue anglaise ou bi-nationaux, s’est principalement déroulée… en anglais, malgré son contenu exclusivement tricolore ! La cinquantaine de participants s’est prêtée de bonne grâce à l’audition des conférences traditionnelles, prononcées dans la zone modulaire de commandement du BPC par le consul général et l’attaché de défense et complétées, de la part du commandant, d’une présentation de la marine.


A la clef, une visite du bâtiment a suscité l’enthousiasme, puisque ces jeunes figuraient parmi les seuls à bénéficier d’une telle occasion lors de la relâche, qui conservait un fort caractère opérationnel. Les nombreuses questions posées par ce public expatrié attentif et curieux ont ainsi souligné la pertinence d’associer ce rendez-vous visant à rappeler les devoirs des citoyens et à renforcer le lien armées-nation, à la démonstration par l’exemple de la pertinence de disposer d’une marine polyvalente et de haute mer.




Le capitaine de vaisseau François-Xavier Polderman, commandant le BPC Mistral, faisant visiter le bâtiment sous le regard attentif des jeunes français.


La « Journée Défense et Citoyenneté » s’est achevée sous le soleil pour une photo de groupe avec les participants, M. Antoine Michon, consul général de France au Cap, le capitaine de vaisseau Jean-Claude Barrère, attaché de défense, et le capitaine de vaisseau François-Xavier Polderman, commandant le BPC Mistral.

Crédit photos: BPC "Mistral"

BATRAL DUMONT D'URVILLE

BATRAL DUMONT D'URVILLE
Fort-de-France Marine

Construit aux chantiers de Normandie au Grand Quevilly, le BAtiment de TRansport Léger (BATRAL) Dumont D'Urville est armé à Brest, où il effectue ses essais officiels. Il est mis en service le 5 février 1983.

Affecté aux Antilles, c'est le dernier bâtiment de la série. initialement prévu d'être désarmé en 2014, le Batral Dumont d'Urville va être prolongé au minimum jusqu'en 2016.


Jules Sébastien César Dumont d'Urville est un marin français, né à Condé sur Noireau (Calvados) en 1790. Il entre dans la Marine en 1811. Polyglotte, il est curieux de tout et étudie l'Astronomie, la Géologie, l'Entomologie et la Botanique.


En 1819, lors d'une escale dans l'île de Milos à bord de La Chevrette, c'est lui qui fit acheter et ramena la "Vénus de Milo", désormais au musée du Louvre à Paris.
De 1822 à 1829, à bord de l'Astrolabe, il explore les côtes des îles Gilbert et Caroline, de Tahiti, des îles Malouines et d'une partie de l'Australie, des îles Fidji, des îles Loyauté, de la Nouvelle Zélande, des îles Tongas et des Moluques.

Il retrouva également à Vanikoro les restes de l'expédition de La Pérouse (1828).

Mais son grand dessein se concrétisa avec sa volonté de descendre toujours plus au sud. Dès 1837, il part avec l'Astrolabe et La Zélée, pour plusieurs campagnes d'explorations.

Malgré les embuches de toutes sortes, scorbut, bateau prisonnier des glaces, il découvre dans l'Antarctique les terres Louis Philippe et Joinville en 1839.
Le 20 janvier 1840, toujours plus au sud à la recherche d'une terre, le continent antarctique leur apparaît. Il nomme cette terre « Terre Adélie », du prénom de son épouse.

En 1842, il eut une fin tragique, non pas en mer, mais dans le voyage inaugural de la première ligne de Chemin de Fer Paris-Invalides à Versailles-Rive Gauche. Suite à des fêtes dans le parc de Versailles, les trains avaient été renforcés et deux locomotives remorquaient celui transportant Dumont d'Urville

Sources : Netmarine
Merci à Jef pour son pli

FREMM AQUITAINE au Maroc

La FREMM AQUITAINE fait Escale à Casablanca




Du 11 au 14 février 2013, la FREMM Aquitaine a effectué la première escale de son déploiement de longue durée (DLD) à Casablanca. Elle avait conduit quelques jours plus tôt des manœuvres d’entraînement avec deux corvettes de la marine royale marocaine.

FREMM AQUITAINE photo Bernard Hily


L’état-major de la future FREMM Mohammed VI embarqué à bord de l’Aquitaine pendant plusieurs semaines a suivi les évolutions tactiques, les présentations pour ravitaillement à la mer et les vols d’hélicoptères.

Casablanca 19-2-2013


Les marins de l’Aquitaine ont repris la mer et se dirigent vers Rio de Janeiro, afin de poursuivre la vérification des capacités du navire en eaux chaudes sous des latitudes équatoriales.


Le traitement des courriers provenant des navires en mission semble avoir trouvé sa vitesse de croisière.
Les plis sont traités à leur arrivée par ROISSY SPID EDCNP


Les timbres sont annulés par l'empreinte d'une machine à affranchir (NU43739) dont le montant d'affranchissement est à zéro

l’Aquitaine, tête de série du programme des frégates multi-missions (FREMM), dont est dérivé le futur Mohammed VI,  en achèvement chez DCNS, à Lorient, a évolué avec deux des trois nouvelles corvettes du type SIGMA, réalisées aux Pays-Bas par Damen et également appelées « frégates multi-missions » (FMM) par les Marocains. 

Ces nouveaux bâtiments montrent la volonté du royaume du Maroc d'être présent à la mer avec une flotte renouvelée.


http://www.damen.nl/en/markets/sigma-class-corvette



Photo Damen








Merci à Bernard pour ses photos





22 février 2013

Corymbe 48 EV Le Henaff

Corymbe 48  LV Le Henaff


Depuis quelques temps déjà j'avais rangé cette carte de la mission CORYMBE 48 dans mes soutes. Cadeau d'un ami philatéliste connaissant mes goûts pour la Marine et l'Afrique




C'est en discutant avec Bernard que nous sommes venus à parler Corymbe et carte... donc voila la chose.


Si les cartes des missions Jeanne d'Arc sont connues, c'est la première carte Corymbe que je vois




Cette mission a conduit le LV Le Hennaf sur la côte ouest africaine du 23 septembre au 9 décembre 1999 comme l'atteste la vignette collée sur la carte






Neuvième aviso du type « A69 », l'aviso Lieutenant de vaisseau Le Hénaff a été mis sur cale le 21 mars 1977, lançé le 16 septembre 1978, et il est entré en service le 13 février 1980. A l'instar de ses sisterships, cet aviso a été conçu, dans les années 70, comme spécialisé dans la lutte anti-sous-marine côtière pour pouvoir lutter contre les « hordes » de sous-marins soviétiques, qui ne manqueraient pas de déferler sur nos côtes, le grand soir venu.





Mais comme souvent, un bâtiment conçu pour une fonction particulière, sera utilisé pour bien d'autres usages. Car au fil du temps, l'aviso type « A69 » est devenu le véritable « couteau suisse » de la Marine nationale. Sa polyvalence lui permet de remplir des missions de défense des approches maritimes, de surveillance et d'escorte en haute mer, mais bien plus encore..



Flaamme du BPM 635 Libreville 


Douala Cameroun

SIRPA Lettre d'information de la marine semaine du 14 au 21 février 2013


Semaine du 14 au 21 février 2013




Opération Serval
 La traque des Atlantique 2
Sur l’ensemble des aéronefs engagés dans l’opération Serval, plusieurs appartiennent à la Marine Nationale. Ce sont les Atlantique 2 ou ATL 2. Détour par Dakar d'où opèrent ces avions et les détachement des flottilles 21F et 23F de Lorient.


 Déploiement BPC Tonnerre et FASM Georges Leygues 2013
Le 6 mars, la mission Jeanne d’Arc 2013 conduite par le Tonnerre et le Georges Leygues appareillera de Brest.
Exercices d’évacuation de ressortissants en Martinique
Du 5 au 7 février, les forces armées aux Antilles (FAA) ont conduit plusieurs exercices d’évacuation de ressortissants au cours desquels près de 140 élus, professeurs, étudiants et collégiens de Martinique ont joué le rôle de ressortissants.

 Retrouvez la campagne de recrutement de la Marine dans les médias
Les spots TV ainsi que les affiches et les bannières pour Internet reviennent en 2013 !


 Bataillon des marins-pompiers de Marseille
Le 19 février, le BMPM est intervenu sur un feu d'embarcation à quai.


 Échanges franco-marocains pour la FREMM AquitaineDu 11 au 14 février, l'Aquitaine a effectué la première escale de son déploiement de longue durée (DLD) à Casablanca. Elle avait conduit quelques jours plus tôt des manœuvres d’entraînement avec deux corvettes de la marine royale marocaine.
 50ème anniversaire du traité de l’Élysée
Du 15 au 18 février, la frégate anti-sous-marine (FASM) Primauguet a fait escale à Hambourg pour célébrer l'amitié franco-allemande.

 Le BPC Mistral au Cap
Du 5 au 11 février, le bâtiment de projection et de commandementMistral a fait escale au Cap, présentant notamment les capacités amphibie du bâtiment à la marine Sud-Africaine.

 Cérémonie de remise de sabres à l’École navale
Le 15 février, une quarantaine d’élèves officiers ont reçus leur sabre d’officier par leurs parrains respectifs, issus de différentes branches de la Marine nationale et autres corps d’armées.

 Le chasseur de mineAndromède contremine une bombe
Le 18 février, l'Andromède a découvert et contreminé une bombe allemande datant de la seconde guerre mondiale, à environ 6 kilomètres du Havre.


  Rouen
Escale du CMT Andromède. Amarré au quai Emile Duchemin, il sera ouvert au public samedi 23 et dimanche 24 février de 9h à 11h et de 13h30 à 16h.
  Toulon
Jusqu'au 13 mai, au musée national de la Marine, exposition "Le Bagne portuaire de Toulon - Entre réalités et imaginaire 1748 – 1873".
 Rochefort
Jusqu'au 21 mai, au musée national de la Marine, exposition "Fort Boyard, les aventures d'une star".
 Cherbourg
Jusqu'au 31 mai, au cercle naval, exposition fixe « Deux siècles d'événements maritimes »

Santé Ile Longue Sous-Marin nucléaire Marine EAMEA Cherbourg Santé et longueur de banette

Santé Ile Longue Sous-Marin Des articles déjà anciens du Journal Ouest-France et du quotidien du médecin m'ont fait ressortir des photos...