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07 septembre 2022

Tahiti Détachement 35F Pirae hélicoptère Dauphin miss Tahiti marraine dauphin flottille aéronavale aéro

Tahiti Détachement 35F Pirae


En 2015, c’est Hinarere Taputu, Miss Tahiti 2015, qui a eu l’honneur de baptiser le deuxième hélicoptère Dauphin en présence de plusieurs hauts responsables civils et militaires et de l’ensemble du détachement de la Flottille 35F.


l'enveloppe est affranchie avec un timbre Miss Tahiti Ruth Manéa 100 cfp
TàD Piraé Ile de Tahiti 29-08-2022




  • La coordination interministérielle d’emploi des 2 hélicoptères Dauphin de la Marine Nationale

Réparties sur 3 emprises principales, les FAPF s’appuient sur trois composantes :

-  terrestre constituée du régiment d’infanterie de marine du Pacifique-Polynésie (RIMaP-P),

-  maritime articulée autour de six bâtiments de différents types (de la frégate au patrouilleur),

-  aéronautique comprenant des unités de l’armée de l’air et de l’espace et de l’aéronautique navale de la marine nationale, dont la flottille 35F. 


Le GAM Faa’a coordonne l’action des moyens militaires des différentes armées pour la réussite des missions aériennes des forces armées en Polynésie française.

Deux hélicoptères Dauphin de la Marine Nationale font l’objet d’une convention interministérielle entre les ministères des Armées, de l’Intérieur et de l’Outre-mer.

Ce protocole interministériel d’emploi permet de disposer d’une réponse opérationnelle 24h/24 compatible avec l’urgence des situations et la géographie de la Polynésie française.

Le Haut-commissaire de la République en Polynésie-française, en sa qualité de délégué du Gouvernement, est l’autorité de coordination interministérielle d’emploi des appareils Dauphin. 


A ce titre, il autorise régulièrement l’utilisation des hélicoptères de la Flotille 35F pour des missions de service public qui ne relèvent pas des besoins de la Défense nationale.

Le commandant supérieur interarmées (COMSUP), assure pour sa part le contrôle opérationnel des appareils et s’assure de la conformité de la mission autorisée par le Haut-commissaire avec les conditions d’emploi de l’hélicoptère avant d’ordonner sa mise en œuvre.

  • Des missions diverses assurées notamment par les hélicoptères adaptés aux spécificités du territoire :

- Mission des armées relevant de l’autorité militaire ;

- Mission de l’action de l’État en mer (AEM), dont le sauvetage en mer ;

- Missions de concours aux forces de sécurité intérieure et notamment la gendarmerie (lutte contre les stupéfiants, entraînements opérationnels/formation, interventions d’urgence sur des situations complexes) ;

- Missions de sécurité civile (défense contre les incendies, secours aux personnes, lutte contre les inondations, gestion de crise en cas d’évènement exceptionnel) ;

- Missions au profit d’autres administrations, dont les missions d’évacuations sanitaires au profit de la Polynésie-française (EVASAN).


En 2021, 123 missions ont été réalisées par le Dauphin et 133 personnes ont été secourues, dont :

- 17 missions de secours maritime

- 78 évacuations sanitaires

- 28 missions de sécurité civile, dont 5 feux de forêts.

En 2022, 30 missions ont été réalisées et 28 personnes secourues.

  • La flottille 35 F partenaire des opérations des services de l’Etat

Le détachement de la 35F, basé à Tahiti et intégré au sein des FAPF, est composé de 22 personnes qui permettent la tenue d’une alerte à 1h de jour/2 h de nuit, 24/24 et 365 jours par an :

La flottille 35F à Tahiti dispose de trois équipages opérationnels de 6 marins et de personnels au sol pour assurer l’alerte.

Les 2 hélicoptères Dauphin N3+ de la Marine Nationale sont adaptés aux missions locales :

-  Autonomie maximum : 3 heures

-  Rayon d’action : 170 Nm

-  Distance franchissable : 340 Nm

-  Altitude de croisière max : 10 000 ft

-  Vitesse de croisière : 135 kt

-  Emport max : 7 passagers

Toutes les îles de Polynésie française sont accessibles, de jour comme de nuit, avec des ravitaillements qui peuvent être nécessaires pour accomplir la mission.

https://www.avionslegendaires.net/2015/05/actu/miss-tahiti-baptise-un-dauphin-n3-de-la-flottille-35f/#:~:text=C'est%20Hinarere%20Taputu%2C%20Miss,le%20fuselage%20du%20Dauphin%20N3%2B.

Marine nationale 


17 mai 2022

Lieutenant de vaisseau PARIS hydravion liaison transatlantique aéronavale Biscarosse Latécoère

Lieutenant de vaisseau PARIS hydravion


Nous avons déjà évoqué le lieutenant de vaisseau Paris dans un article précédent. Quelques cartes postales vont permettre d'évoquer un hydravion qui porte le nom d'un marin le LV Paris.

https://envelopmer.blogspot.com/2019/11/lieutenant-de-vaisseau-paulin-paris.html

De 1935 à 1939, ancien et "nouveau" monde s’efforcent d’établir des lignes régulières sur l’Atlantique Nord. Se pose la question du matériel à utiliser : hydravions ou avions ?



L’espace entre l’Europe et l’Amérique du Nord est exclusivement maritime et l’autonomie des appareils ne permet pas de vols sans escale, ce qui limite le choix à deux itinéraires possibles : celui du "Nord" (Canada – Terre Neuve – Groenland – Islande - Irlande) aux conditions hivernales naturellement difficiles, ou celui du "Sud" (Bermudes – Açores – Portugal). Dans les deux cas il est nécessaire d’obtenir les droits d’escale, de les organiser, de mettre en place les hydrobases (hangars, ateliers, …), les dépôts de carburants et d’y affecter le personnel. Initialement les dirigeables comptaient parmi les moyens de transport à utiliser, mais rappelons que la solution directe proposée par les Allemands avec le Zeppelin "Hindenburg " n’est pas retenue, suite à l'accident du jeudi 6 mai 1937 .



Suite à cet accident, l’hydravion est choisi pour seconder le paquebot, car il offre de plus grandes capacités en vitesse et distance couverte.
La France, dès janvier 1935, met en ligne à titre expérimental, 


L’hydravion Latécoère 521, dérivé d’un appareil militaire étudié en 1930, hexa-moteur, baptisé "Lieutenant de vaisseau Paris", qui sera immatriculé F-NORD en 1937.
C’est en 1930 que l’histoire de l’hydraviation débute à Biscarrosse : l’ingénieur Pierre-Georges Latécoère décide en effet d’établir une base aéronautique sur son plan d’eau, destinée au montage et aux essais en vol d’hydravion. Idéalement située, proche de l’Océan Atlantique et des lacs alentours, la base Latécoère offre de multiples possibilités d’amerrissage des hydravions.


Cet appareil est supposé pouvoir subir une mer un peu agitée. Notons qu’il a une faible capacité d’emport comparée à celle de l’avion classique de même masse. Il offre une surface importante au vent frontal qui réduit sa vitesse ; cependant le volume de ses réservoirs de carburant est supérieur à celui de l’avion. C’est la formule qui est retenue dès 1935, après obtention des droits d’escale du Portugal pour les Açores et du Royaume Uni pour les Bermudes.


Le 8 décembre 1935 le Latécoère 521 s’envole pour l’Amérique du Nord via Dakar, Natal, Fort de France et arrive à Pensacola (USA) le 14 janvier 1936. Dans la même nuit le Latécoère 521, ancré en rade, est coulé par une tornade et s’est retourné par 7 m de fond. Il est récupéré et ramené en France sur un cargo pour réparations. Il reprend du service à partir de 1937.


Les Français expérimentent également le Latécoère 522 ARAP "Ville de Saint-Pierre"  , de technologie tout aussi désuète que le 521, construit après 1935, il est disponible en 1938 sous l’immatriculation F-ARAP.
Les Américains, riches de l’expérience obtenue sur les destinations de d’Amérique Latine, ont réussi à concilier les impératifs aérodynamiques et la formule hydravion. Les modèles en cours d’essai offrent des caractéristiques calculées particulièrement attrayantes.

09 avril 2022

Dakar Bel Air flottille 7F Sénégal aéronavale Sunderland

Dakar Bel-Air 7F

27F Sunderland



En juin 1945, une circulaire du conseil supérieur de la Marine, soumet un plan de réarmement de l’Aéronautique navale, plan dans lequel l’essentiel s’exprime dans la volonté déterminée que celle-ci soit composée d’une aviation embarquée et d’une autre non embarquée.

 Cette mise au point coupe court aux errements et gesticulations des années 1930, époque durant la quelle l’Armée de l’Air avait essayé de chapeauter et de noyauter à son profit toute l’aviation militaire.

En 1946, la patrouille maritime reçoit pour dénomination celle « d’aviation spécialisée de haute mer » et comporte en théorie cinq flottilles d’exploration et de lutte ASM : 2F, 6F, 7F, 8F et 9F.



La flottille 7F de Dakar continue d’user ses Sunderland livrés en 1943, mais non sans casse : en septembre et novembre 1949, deux de ces appareils se crashent en mer, l’un au large de Dakar et l’autre en Méditerranée, entraînant la perte des deux équipages. Ce ne sera qu’à partir de 1951 que la flottille percevra de nouveaux appareils (toujours du type MK.V, mais modernisés).

Ceux qu’on appelle les “tirailleurs sénégalais” pendant la guerre de 14-18 sont originaires de toute l’ancienne AOF, c’est-à-dire des États actuels suivants : Sénégal, Côte-d’Ivoire, Bénin, Guinée, Mali, Burkina-Faso, Niger et Mauritanie


La coiffure du premier uniforme donné aux tirailleurs sénégalais en 1857 est une chéchia. Elle sera conservé pendant un siècle durant et portée avec les différentes tenues. De couleur rouge, une des couleurs prisée par le prophète Mahomet, elle ne comporte pas de visière et permet ainsi au croyant de se prosterner jusqu’au sol pendant la prière.


Dakar : de la Flottille 7.F à la Flottille 27.F (1951-1953)

Les nouveaux Sunderland arrivent à l'hydrobase de Dakar-Bel-Air tout au long de l'été 1951 pour réarmer la 7.F. Il était temps : la flottille volait sur Mark III depuis sept ans, et le renouvellement du parc était indispensable. Au premier trimestre 1950, la formation n'avait pu cumuler que 287 heures de vol, et au troisième trimestre était descendue à moins de 140 heures. Officiellement, elle arme encore 5 hydravions. Mais dans la pratique, ce sont des aéronefs à bout de bord.


La nouvelle version Mk. V qui arrive au printemps 1951 (avec un peu de retard sur le programme prévu) a délaissé les moteurs Bristol Hercules pour des Pratt & Whitney Twin Wasp R-1830 bien plus sûrs, et les hélices peuvent être mises en drapeau, ce qui n'est pas pour déplaire aux équipages en cas de problème avec un moteur durant une mission en haute mer.

Dès septembre de la même année, la flottille "remonte" en métropole au grand complet pour y accomplir le premier de nombreux stages G.A.S.M (Groupe d'Action Anti-sous-marine) qui seront effectués au large de Toulon.

Sources:

01 mai 2021

Bréguet ALiZE Aéronavale aéro porte-avions Br 1050 Louis Bréguet Villacoublay

Bréguet Br 1050 ALiZE 


Le Breguet Alizé, avion embarqué de sûreté, fut construit à la suite d'une demande de la Marine nationale dans les années 50. Prévu pour être un monoplace d'attaque équipé d'un système de propulsion combinant turboréacteur et turbopropulseur, il devint un triplace avec un seul turbopropulseur plus puissant, un radar de recherche maritime repoussant le moteur dans la partie arrière du fuselage.

Construit en 75 exemplaires pour la Marine et entré en service en 1959, le Bréguet Alizé à, au fil du temps, vue ses missions évoluer. Conçu à l'origine pour l'offensive anti-sous-marine, 



l'appareil s'est consacré par la suite principalement à la détection aérienne et de surface. L'avion entra, à la fin des années 50, en service dans trois flottilles. Au 1er janvier 2000 : 7 appareils étaient encore en ligne au sein de la 6F basé à Nimes-Garons.


Un programme de modernisation en 1980 mit en oeuvre le radar Iguane, plus efficace, le système de navigation Omega Equinox, un nouveau système de communication et un équipement de guerre électronique. De récentes modifications dans les années 90 améliorèrent encore les communications et apportèrent de meilleures capacités de brouillage et d'autres améliorations lui permettant de prolonger une activité largement étendue.

Alizé - Rochefort Anaman  -
photo JM Bergougniou


Avec l'arrivée de l'E2C Hawkeye, l'Alizé a été retiré du service actif au mois de septembre 2000. La cérémonie d'adieu à l'Alizé a eu lieu à BAN Nîmes Garons le vendredi 15 septembre 2000.

Alizé - Rochefort Anaman  - photo JM Bergougniou
La cabine –triplace- de l’Alizé est conditionnée, mais non pressurisée. Le pilote est à l’avant gauche, le navigateur à l’avant droit, l’opérateur radar est juste derrière, dans le sens contraire de la marche.
Un 4ème siège pouvait être disposé totalement à l’arrière de la cabine pour un moniteur radariste par exemple.


Alizé - Rochefort Anaman  -
photo JM Bergougniou
Une des particularités de l’Alizé est qu’il pouvait décoller des Foch et Clemenceau sans les catapultes, en utilisant simplement la longueur total du pont d’envol, et ce à une masse maximale de 7 tonnes. Cette particularité à été utilisée en condition opérationnelle en 1982 au large du Liban, lorsque les catapultes du Clemenceau sont tombées en panne.

PA Foch 

PA FOCH Alizé embarqué détail

Sur sa fin de carrière, l’équipement de l’Alizé n’étant plus adapté à la lutte anti-sous-marine (en tout cas à sa détection), l’appareil était surtout utilisé en tant que guet aérien (veille anti-surface), et appareil de guerre électronique (interception, brouillage, relais…).

Alizé - Rochefort Anaman  - photo JM Bergougniou

L a Société Breguet, pour ses différentes fabrications, dispose actuellement de trois centres : Villacoublay, Biarritz et Toulouse. Villacoublay, créé pendant la Grande Guerre, est le berceau de la société. 

C’est là qu’ont été construits des milliers d’avions portant le label célèbre, notamment les Br-14, les Br-19, les Br-27, etc. Fortement endommagé par les bombardements aériens lors du dernier conflit mondial, le centre, reconstruit après la Libération avec les moyens offerts à cette époque, est loin d’avoir retrouvé son lustre d’antan. Dans le cadre d’une opération de décentralisation, ses activités ont été transférées sur

les usines de province. 
Ses effectifs ont été considérablement réduits, et Villacoublay devient une sorte d’atelier expérimental à la disposition de la Direction technique principalement, laquelle y a une partie importante de ses bureaux d’étude et s’y livre à des travaux de laboratoire, de recherches, d’avant- projets, de soufflerie... Un autre centre est situé à Biarritz et comprend l’usine d’Anglet, dans les terres, ainsi que le hall de montage général sur le terrain de Parme. Enfin le troisième groupe se trouve à Toulouse avec l’usine de Montaudran et le hall de piste de Colomiers (Blagnac).


Alizé - Rochefort Anaman  - photo JM Bergougniou
Après l'abandon de l'avion d'attaque  Bréguet  
Br960 Vulture, il fut décidé de concevoir un avion de lutte anti-sous-marine à partir de la même cellule, qui avait montré ses qualités. Le  turboréacteur arrière du Vulture fut supprimé et remplacé par un radar escamotable, tandis qu'un turbopropulseur Rolls-Royce Dart  était installé à l'avant. Le fuselage fut largement modifié, notamment pour permettre d'installer un troisième membre d'équipage, ainsi que les ailes qui reçurent des nacelles encastrées sur les bords d'attaque.

Louis Bréguet
A la fin des années 1950, les commandes du Br 765   Sahara conduisent à la construction d'une usine à proximité de l'aéroport de Biarritz-Parme. La production des Br 1050 Alizé leur succéda rapidement.

Sources 
BNF Gallica

Anaman


06 mars 2021

ATL2 - Atlantique 2 patrouille maritime standard 6 modernisation Dassault SABENA Dinard aéronavale

Dinard. Sabena technics va moderniser les ATL2

L' Atlantique 2 (ou ATL 2) de Bréguet - Dassault Aviation est un appareil de patrouille maritime à long rayon d'action, doté d'une endurance et d'une étonnante maniabilité, lorsqu'il s'agit d'évoluer au ras de l'eau à la poursuite d'un sous-marin. Cet appareil est l'héritier direct du Breguet Atlantic. Il en reprend les formes générales, avec un fuselage bilobé caractéristique qui permet de loger une vaste cabine pressurisée au dessus d'une longue soute à armement.

 



Sabena technics a accueilli un premier avion de patrouille maritime ATL2, sur son site de Dinard (Ille-et-Vilaine). L’entreprise va moderniser le système de combat de l’appareil.


(c) Dassault-aviation

Le programme de modernisation concernera 18 avions dont 11 seront modernisés par le Service Industriel Aéronautique du ministère des Armées ( SIAé).

Les 7 autres ont été confiés au constructeur qui a choisi de s’appuyer sur le savoir-faire de Sabena technics, à Dinard, pour l’accompagner en tant que sous-traitant sur ce chantier.

Les équipes de Sabena technics assureront donc, depuis le site de Dinard, la réalisation de la modification sur certains de ces appareils dont le premier vient d’être pris en charge.
Le programme de modernisation au standard 6 comprend notamment un nouveau radar : le Search Master à antenne active de Thales, un nouveau sous-système acoustique de Thales, une nouvelle console de navigation conçue par Dassault Aviation, des nouvelles consoles pour le sous-système de visualisation tactique, développées par le SIAé, l’intégration complète de l’optronique Wescam.


Nous sommes ravis d’accueillir pour la première fois l’ATL2 dans nos installations. Nos techniciens ont été qualifiés l’été dernier par Dassault Aviation sur son centre d’Istres et sont désormais prêts à délivrer la meilleure qualité de service dans le strict respect des délais, indique Philippe Rochet, PDG du groupe Sabena technics. Après les modifications Falcon 50 de la Marine nationale, notre coopération s’étend aujourd’hui, pour notre plus grande satisfaction, à un nouveau type avion.

Sabena technics est un acteur français indépendant de premier plan dans le secteur de la maintenance aéronautique (500 M€ CA). Avec plus de 3 000 employés répartis sur 16 sites dans le monde, son expertise couvre le support des flottes régionales, moyens et longs courriers, ainsi que le secteur militaire.


La rénovation de l’ATL2, du standard 5 au standard 6, répond au besoin de remettre à niveau les capacités de lutte anti sous-marine de l’aéronef tout en traitant l’obsolescence de certains matériels. Celle-ci concerne :
- le système acoustique ;
- les consoles et calculateurs ;
- le système optronique ;
- le radar et l’IFF (système permettant d’identifier les aéronefs).

So
urces

https://www.ouest-france.fr/bretagne/dinard-35800/dinard-sabena-technics-va-moderniser-des-avions-de-combat-de-dassault-7174923


https://www.defense.gouv.fr/dga/actualite/le-ministere-des-armees-commande-la-renovation-de-6-atl2






06 septembre 2010

Ouvrez le B.A.N. des cachets de l'aéronautique navale

l'Aéronautique Navale en cachets


BAN AGADIR TAD Agadir B



Ban Dakar Bel Air Sénégal TAD Bel Air Marine





Ban CAT LAI Saïgon Indochine

Ban Cuers Var


Ban Dugny Le Bourget



Ban Saint-Raphaël
Ban Hyères




Ban Hyères

BAN Kouribga

Ban Landivisiau


Ban Landivisiau Finistère 



BAN Lann-Bihoué




Ban Lanvéoc Poulmic





BAN Nîmes Garons



BAN Nîmes Garons



Ban Port Lyautey Maroc  le cachet le médecin principal est sous Nécessité de fermer le chef de service... 



Port Lyautey avec affranchissement de complaisance mais c'est si beau n'en déplaise aux membres du jury....






BAN TAN SON NUT Saïgon Indochine



BAN TAN SON NUT Saïgon Indochine

Construit par les Français dans les années 1920 le petit aéroport situé à proximité du village de Tan Son Nhat va devenir l"aéroport commercial de Saïgon. Durant la seconde guerre mondiale, les Japonais agrandissent l'aéroport.




et bien entendu le PA DIXMUDE en Indochine




BPAN Lartigue Oran

60e ANNIVERSAIRE DU PORTE-HÉLICOPTÈRES JEANNE D’ARC Monaco Albert

60 e  ANNIVERSAIRE DU PORTE-HÉLICOPTÈRES  JEANNE D’ARC Construit par l’arsenal de Brest et baptisé à l'origine  La Résolue , le porte-hé...