11 juillet 2021

L'Astrolabe aux Eparses TAAF 2021 TROMELIN 19-6-2021

L'Astrolabe aux Eparses TAAF 2021

TàD Ile Tromelin-Iles Eparses 19-6-2021 T.A.A.F.


Le vendredi 18 juin 2021, après un stage de mise en condition opérationnelle, le patrouilleur polaire L’Astrolabe a appareillé de son port base de La Réunion pour une mission de patrouille dans les Terres Australes et Antarctiques Françaises (TAAF).



Merci à René

Carte postale d'après photo de Bernard Hily.


L'Astrolabe Durban Afrique du Sud une lettre voyageuse 2019



 L'Astrolabe Durban Afrique du Sud une lettre voyageuse 2019

Une lettre est arrivée le jeudi 8 juillet 2021 dans ma boite aux lettres en provenance de L'Astrolabe.

Durban 2019-08-07  -  Inscription informatique UTF ????


Les timbres T.A.A.F (affranchissement 0,85€) sont annulés par deux timbres à date Durban - 2019-08-07... soit presque deux ans!

Ce pli a été remis à la poste sud-africaine lors de l'escale de L'Astrolabe à Durban en 2019.

Seulement n'ayant pas précisé le pays du destinataire, le postier sud-africain a marqué USA comme pays de destination. Le pli porte la mention PAQUEBOT.


La ville de Tinténiac n'étant pas connue chez l'Oncle Sam, la mention France a été reportée sur la lettre, la marque USA a été rayée et celle-ci a retraversé l'Atlantique. Un beau parcours!


10 juillet 2021

AP SPID 422 21 juin 2021 LIBAN FINUL Naqoura Dayr Kifa

AP SPID 422 21 juin 2021 LIBAN

Présente depuis 1978 au Liban, la France est l’un des principaux pays contributeurs de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL), avec actuellement près de 700 soldats. Les militaires français au Liban sont déployés dans le cadre de l’opération Daman, nom de la participation française à la force internationale.


Le contingent français arme principalement la Force Commander Reserve (FCR), qui est en mesure d’intervenir très rapidement au profit de tous les contingents déployés sur l'ensemble de la zone d’action de la FINUL (cadre des résolutions 1701 et 2373). Une vingtaine de militaires français est par ailleurs insérée au sein de l’état-major de la FINUL. Les derniers éléments français travaillent au profit des détachements renseignement, du National Component Command, du renfort ambassade et du commandement des systèmes d’information et de commandement interarmées de théâtre.

Le représentant des éléments français (Senior national representative - SNR) est un officier général supérieur, qui est aussi le chef d'état-major de la FINUL. Il est stationné à Naqoura. Depuis juillet 2019, le SNR est le général de brigade Frédéric BOUCHER.

Basée à Dayr Kifa, elle est le principal moyen de réaction, de dissuasion et de coercition de la FINUL. Robuste, souple et réactive, elle constitue une véritable force au service de la paix au Sud-Liban.

https://www.defense.gouv.fr/espanol/operations/europe/bassin-mediterraneen/operation-daman/dossier-de-reference/daman-la-contribution-francaise-a-la-finul

Dossier de presse DAMAN

 

09 juillet 2021

Groupe d'études et de recherche sous-marines Toulon CEPHISMER

Groupe d'études et de recherche sous-marines Toulon




La CEPHISMER a été créée en 1945 mais d'abord sous le nom de « Groupe de recherches sous-marines » (G.R.S.). Dès 1943, Philippe Tailliez, Frédéric Dumas et Jacques-Yves Cousteau avaient tourné le film Épaves (premier film sous-marin réalisé avec le scaphandre autonome Cousteau-Gagnan). 



En 1945, à la demande de Philippe Tailliez, Cousteau présenta donc leur film Épaves à l'amiral Lemonnier à Paris. Cette démonstration des possibilités d'intervention du scaphandre autonome Cousteau-Gagnan en milieu aquatique, suffit à convaincre l'amiral André Lemonnier, alors chef d'état-major général de la Marine, de signer l'ordre de création du GRS Groupe de Recherches Sous-marines, dont les premiers acteurs furent bien sûr les trois hommes qui avaient participé au cours des neuf années précédentes aux essais aboutissant à l'invention : le capitaine de corvette Philippe Tailliez, qui commandait le groupe, le lieutenant de vaisseau Jacques-Yves Cousteau, officier en second, et Frédéric Dumas, en tant que contractuel civil.



Parmi les premiers volontaires, recrutés dans le corps des sous-mariniers et formés à l'utilisation du tout nouveau scaphandre autonome, trois officiers mariniers devinrent instructeurs à leur tour: Maurice Fargues, Jean-Paul Pinard et Guy Morandière. Maurice Fargues fut la première victime de la plongée en scaphandre autonome à l'air comprimé lorsque, le 17 septembre 1947, au cours d'une tentative de record organisée à partir du bord de l'aviso Ingénieur Elie-Monnier que commandait Jacques-Yves Cousteau. Fargues se noya à 120 mètres de profondeur, vraisemblablement à la suite de convulsions liées à la forte pression environnante hyperoxie. Fargues parvint à signer à 120 mètres de profondeur, l'une des planchettes qui jalonnaient le cordage plombé que les plongeurs du G.R.S. suivaient à la descente lors de leurs essais de plongée profonde. 


Cet accident ainsi que les observations recueillies au cours de cet été 1947 conduisirent le G.R.S à fixer à 90 mètres la profondeur maximale pouvant être atteinte en plongée en scaphandre autonome à l'air comprimé 7. De nos jours, du moins en France et à la suite d'études physiologiques plus poussées, cette limite est estimée à 66 mètres de profondeur


Le groupe a fréquemment changé de nom au cours de son existence :

  • 1945 : GRS (Groupe de Recherches Sous-marines)

  • 1950 : GERS (Groupe d'Études et de Recherches Sous-marines)

  • 1973 : GISMER (Groupe d'Intervention Sous la MER)

  • 1993 : COMISMER (COMmandement de la plongée et de l'Intervention Sous la MER)

  • 2000 : CEPHISMER (CEllule de Plongée Humaine et d'Intervention Sous la MER)

Source :

https://www.defense.gouv.fr/marine/operations/forces/force-d-action-navale/cephismer/cephismer


08 juillet 2021

LYNX 9 : Tir à l’explosif, exercice grandeur réelle pour le13e génie Estonie

LYNX 9 : Tir à l’explosif, exercice grandeur réelle pour le génie

Le lundi 28 juin, le Transfer of authority marquant officiellement la bascule entre les mandats LYNX 9 et 10, a eu lieu. Engagés depuis trois mois en Estonie, les quelques 200 militaires du Sous-groupement tactique interarmes (SGTIA) LYNX 9, issus du 12e Régiment de cuirassiers (RC) d’Olivet, du Régiment de marche du tchad (RMT) de Meyennheim, du 40e Régiment d’artillerie (RA) de Suippes et du 13e Régiment du génie (RG) du Valdahon, ont laissé place à leur relève pour le prochain mandat.

V SPID B 468 SPID 27-juin-2021 Mission Lynx Estonie 
Sur le pas de tir du Central training area (CTA), le camp d’entraînement des Forces armées estoniennes, la section du 13e Régiment du génie (RG) a organisé une séquence de tirs explosifs. Cet exercice a eu pour objectif de travailler la mise en œuvre technique des tirs en ajoutant une contrainte tactique aux différents scénarios. D’autres unités françaises et le génie britannique ont également assisté à cet entraînement dans le but d’optimiser les futures manœuvres interarmes et interalliées.



Après une nuit de bivouac près du pas de tir, la section du génie s’est attelée à la mise en place de sa séance d’entraînement au tir à l’explosif. Une première partie de la matinée fut consacrée au drill1 des fondamentaux. Puis, les militaires ont mis en œuvre des dispositifs simples avec cordon, détonant électrique et pyrotechnique, utilisés pour la destruction de mines. L’entraînement s’est ensuite durci avec la mise en œuvre, d’une part de charges allongées permettant de brêcher un obstacle, et d’autre part, de charges sur des portes et des fenêtres afin de simuler le combat en zone urbaine.


Une phase à laquelle ont assisté les militaires du 12e régiment de cuirassier dans le cadre de leurs actions conjointes avec le génie au sein du Sous-groupement tactique interarmes (SGTIA) français. Les cavaliers ont ainsi pu s’imprégner de l’effet des charges sur le terrain, permettant in fine d’actualiser leurs connaissances relatives aux spécificités propres au génie. Les sapeurs britanniques ont, quant à eux, pu s’accoutumer aux procédures de leurs homologues français

Le lieutenant Guy, chef de section génie, s’est dit satisfait de l’entraînement des moniteurs et des artificiers en charge de l’amorçage et de la mise à feu : « L’objectif de la journée était de gagner en aisance en incluant l’aspect tactique, le but étant d’être un sapeur compétent capable d’agir dans n’importe quelles situations tactiques ».

Sources : 

07 juillet 2021

Marion Dufresne SCRATCH 01 au 22 juillet 2021 MD 233

Marion Dufresne SCRATCH 01 au 22 juillet 2021 MD 233

Courrier posté au départ de laRéunion le 1-7-2021




La mission océanographique SCRATCH se déroule du 1er au 22 juillet 2021 dans le sud-est de l'Océan Indien, à bord navire Marion Dufresne.


Mission Scratch OPEXO

OPEXO
L'OPEXO est chargé sur certains navires, des opérations de l'expédition scientifique et du suivi des opérations sur le pont.
Il coordonne avant et pendant la mission, les différentes équipes (Sciences et Équipage)



La partie nord du canal du Mozambique est le centre d'importantes questions scientifiques et de nombreux projets y sont menés dans le cadre des ANRs Coyotes, Phenomap, iMonsoon, et des projets INSU FRB COCCACE, LEFE IndSO, et LEFE/EC2CO CHEMICAL. Dans ce contexte, SCRATCH est une campagne multidisciplinaire (biologie, écologie, génétique, paléoclimatologie, paléocéanographie, sédimentologie et volcanologie) combinant des méthodes, des outils et des objectifs très complémentaires.

https://scratch2021.weebly.com/

06 juillet 2021

L'Astrolabe TAAF Îles Eparses TROMELIN 19-6-2021

L'Astrolabe TAAF Îles Eparses TROMELIN 19-6-2021



Le vendredi 18 juin 2021, après un stage de mise en condition opérationnelle, le patrouilleur polaire L’Astrolabe a appareillé de son port base de La Réunion pour une mission de patrouille dans les Terres Australes et Antarctiques Françaises (TAAF).


Armé par l’équipage A et renforcé par son complément de souveraineté, le bâtiment est déployé depuis mi-juin jusqu’à la mi-juillet dans les Zones exclusives économiques (ZEE) françaises de Crozet, Kerguelen et Saint Paul et Nouvelle-Amsterdam. Le patrouilleur a ainsi réalisé une rotation vers l’île de Tromelin pour effectuer la relève du personnel des TAAF sur place. Cette île est historiquement surnommée « l’île du Diable » du fait de son isolement et de sa dangerosité pour les navires.


Cette île est désormais aménagée et utilisée comme base météorologique, permettant l’étude des cyclones dans l’océan Indien. Trois personnes y habitent en permanence. Ces dernières sont relevées tous les trois mois par les bâtiments de la Marine nationale ou le navire français, Marion Dufresne. Un hélicoptère est nécessaire pour se rendre sur l’île, entourée de récifs et sur laquelle les vagues déferlent à cette saison.



Ce patrouilleur polaire a ainsi embarqué depuis La Réunion en bulle sanitaire. A bord, l’infirmière, l’ornithologue et le chef de détachement constituent la nouvelle relève, avec un hélicoptère qui a permis d’effectuer la rotation. Après un transit rapide de 24 heures vers l’île, la mise en œuvre rodée de la chaîne aviation du bord a permis la relève des trois personnes et la délivrance de matériel et de vivres. L’Astrolabe a ensuite pu mettre le cap au sud pour retourner à La Réunion et déposer hélicoptère et équipage à bon port avant de prendre la route des TAAF.





Lorient Chefs de quart Pourquoi pas? JB Charcot guerre 1914-1918 Péristyle

Lorient 

école Chefs de quart Pourquoi pas? Charcot

"La manière dont un tout jeune aspirant prit pour la première fois de sa vie le quart en chef à bord du Pourquoi-pas ? mérite réflexion.
Le navire avait franchi à la nuit tombante les passes de Saint-Malo. « A vous le soin, Monsieur l'aspirant. Vous savez où nous sommes. Nous allons à Alicante. Bonsoir ».

 Au 30 juin 1915, huit chalutiers sont militarisés : l’Halicor, le Kernevel, le Keryado, le Laïta, l’Odet, la Providence, le Sacha et le Vulcain.

Parallèlement, une nouvelle école est créée au Péristyle pour former rapidement des chefs de quart pour les petits bâtiments engagés dans la guerre sous-marine



En 1908, Charcot part avec le Pourquoi Pas ? IV hiverner sur l’île Petermann pour sa deuxième expédition polaire. Lors de cette expédition, plusieurs membres de l'équipage dont Charcot sont atteints du scorbut. L'expédition est de retour en France en juin 1910 après un nouvel hivernage riche sur le plan scientifique. Le tracé de la terre Alexandre est accompli et une nouvelle terre est découverte, la terre de Charcot.

En 1912, le Pourquoi Pas ? devient le premier navire-école de la marine française. 

À cette occasion sa coque sera repeinte en noir. Elle redeviendra blanche à partir de 1918 car Charcot effectue de nouveau, avec le Pourquoi Pas ?, des missions scientifiques en Atlantique nord, en Manche, en Méditerranée et aux îles Féroé, principalement pour des études de lithologie et de géologie sous-marine au moyen de dragages, dont Charcot a mis au point le matériel et les méthodes.

Cachet Ecole des chefs de quart Lorient 


"En 1914, grâce à la compréhension du ministère de la Marine marchande, le brevet de capitaine au long cours est délivré au docteur Charcot. 
Peu après, il devait être promu lieutenant de vaisseau auxiliaire, et reçut le commandement d'un baleinier, transformé en bateau-piège, auquel il donna le nom de sa femme, Meg. et avec lequel il se lançait à la chasse aux sous-marins allemands. 
En 1916, l'amirauté britannique, reconnaissante, lui décerna la croix du Distinguished service. Ensuite il mit au point un bateau-piège, construit par les Ateliers et Chantiers de Bretagne, à Nantes, et qui reçut le nom de Meg II. 
Il avait l'aspect extérieur d'un petit charbonnier, mais il était habilement maquillé et truqué Ses flancs renfermaient 4 canons de 90 et un canon à tir rapide de 47. 


Il patrouillait à l'entrée de la Manche principalement entre Saint-Malo et Ouessant et les Cornouailles. Malheureusement, les occasions de rencontrer l'ennemi étaient rares. Pourtant, la chance le favorisa, une seule fols, et sa citation, à l'ordre de l'armée navale, du 14 septembre 1918, dît expressément : 
"A montré, au cours d'une rencontre du bâtiment spécial qu'il commandait et d'un sous-marin ennemi, le courage réfléchi, la décision et l'énergie d'un chef de grande autorité morale."

Durant ce temps, le "Pourquoi-Pas ?" sert de navire-école, pour la formation de chefs de quart. L'armistice de 1918 signé, le Pourquoi-Pas ? rallie Cherbourg jusqu'en 1919.






Cols bleus 

05 juillet 2021

Croiseur Duquesne 2-5-1950 Arzew CIAO Caserne

Croiseur Duquesne 

2 mai 1950

TàD DUQUESNE  2-5-1950 
cette enveloppe a certainement été faite pour un club de collectionneurs américains
la date ne semble correspondre à aucune activité particulière

Le Duquesne est un croiseur lourd, dit de première classe, tout comme son sister-ship le Tourville. les deux bâtiments dérivaient des 3 "Duguay- Trouin" dont ils conservaient les bonnes qualités nautiques. Ce programme répondait aux normes du traité de Washington. Sans blindage, leur vitesse élevée (33 Nds) était leur meilleure protection.

Après guerre, la Marine envisage la conversion des croiseurs de 10 000 tonnes Duquesne et Tourville en porte-avions pouvant mettre en oeuvre, chacun, une flottille. En fait, cette idée remonte à l’avant-guerre : "en 1935, l’E.M.G. faisait étudier par les services techniques une transformation possible des croiseurs Duquesne et Tourville (10 000 t., 33 noeuds, 8/203 (II x 4)] en porte-avions légers (...). A la suite de ces travaux, le déplacement serait passé de 10 000 à 12 000 tonnes environ. Ce projet fut abandonné, l’E.M.G. ayant jugé préférable de mettre en chantier deux véritables porte-avions d’un tonnage plus élevé" . Dans l’esprit de ses promoteurs de 1945, il s’agit d’obtenir des porte-avions légers et rapides, sur le modèle des porte-avions américains de la classe Independence. Sept croiseurs légers de 10 000 tonnes de la classe Cleveland ont été achevés en 1942-1943 comme porte-avions légers. Ils déplacent 15 800 tonnes à pleine charge et emportent 45 aéronefs.

Les croiseurs convertis auraient, soit renforcé le tandem Richelieu/Jean-Bart, soit accompagné les croiseurs de 7 000 tonnes en leur fournissant une couverture aérienne dans des opérations de raids navals. Le projet est abandonné, pour les mêmes raisons que dans le cas du Commandant-Teste.



Le Duquesne arrive en Indochine le 17 janvier 1947, où il reste jusqu'au 16 avril; il rentre alors à Toulon le 16 mai 1947. Le 1er septembre 1947, il est placé en réserve. Le Duquesne est remorqué à Oran par le croiseur Gloire début 1948, il est affecté au Centre d'Instruction des opérations amphibies d'Arzew, comme caserne jusqu'au 2 juillet 1955, et est vendu pour la démolition le 27 juillet 1956.


Le marquis Abraham Duquesne est né à Dieppe en 1610 et mort à Paris en 1688. Marin français, protestant, le plus célèbre de son temps. Lieutenant général des armées de mer, il se distingua dans les guerres contre la Hollande et l'Angleterre et combatit contre l'amiral De Ruyter.Il bombarda Alger,Gênes,Tripoli. Duquesne refusa d'abjurer sa religion pour devenir maréchal mais il ne fut pas banni lors de la révocation de l'édit de Nantes.

Statue de Duquesne au passage Lanriec Concarneau
 photo JM Bergougniou




04 juillet 2021

TAAF Îles Eparses Juan de Nova 2e RPIMA FAZSOI 2e RPIMa Pierrefonds

TAAF Eparses Juan de Nova 2e RPIMA

"Et au Nom de Dieu, vive la coloniale"

Le régiment assure des missions opérationnelles de souveraineté territoriale, de coopération régionale et de service public. Il assure également le soutien terrestre des forces armées de la zone sud de l'océan Indien (FAZSOI)

Le 2e R.P.I.Ma se situe à Pierrefonds au sud-ouest de l'île de La Réunion au cœur de l'océan Indien. 

Missions de souveraineté et de préservation des intérêts français, actions de coopération militaire régionale, opération de secours d’urgence après une catastrophe naturelle (cyclone, éruption volcanique, catastrophe naturelle ou humanitaire).

Au verso du pli, un cachet du détachement du 2e RPIMa Juan de Nova

• Régiment stationné outre-mer depuis 1947

 • 1973: installation à La Réunion, sa garnison actuelle 

• Présence permanente sur les îles Éparses de Juan de Nova et d’Europa


Un timbre triptyque consacré aux Terres Australes et Antarctiques Françaises (TAAF) est désormais disponible. Présentant les îles Europa, Éparses et Glorieuses, ses visuels portent l’effigie des unités de l’armée de Terre présentes sur place : le 2e régiment parachutiste d’infanterie de marine (2e RPIMa) et le détachement de la légion étrangère de Mayotte (DLEM).

Le Sirpa Terre, en partenariat avec le conseil consultatif et le directeur de la philatélie des TAAF, a apporté son concours quant à la création de ce timbre triptyque, avec l’accord du général d’armée Irastorza, chef d’état-major de l’armée de Terre au moment de ce partenariat.

Kévin Bénard, infographiste au Sirpa Terre Image de Nîmes, a ainsi eu la mission de concevoir et réaliser ce triptyque en suivant les recommandations du directeur de la philatélie des TAAF, Marc Boukebza.

Le triptyque est formé de deux timbres séparés par une vignette et imprimé par feuillet de cinq triptyques. Sa valeur faciale est de 0,60 euros.

03 juillet 2021

Dépôt des équipages de la Flotte Arsenal Cherbourg phare Gatteville Barfleur









Dépôt des équipages de la Flotte Arsenal Cherbourg 1918



Cherbourg la porte de l'arsenal  photo JM Bergougniou

Pendant la Première guerre mondiale l'arsenal de Cherbourg doit faire face à un manque de main d'œuvre, en quantité et en qualification. Entre 1910 et 1914  il y a environ 3 060 personnes à l'arsenal. L'entrée en guerre de la France provoque un doublement des effectifs, qui atteignent alors 6 000 personnes.


La caserne de l'Abbaye, dite caserne des équipages de la Flotte à partir du XIXe siècle, est le premier corps de caserne monumental construit à Cherbourg à la fin du XVIIIe siècle lorsque débutent les travaux du port militaire. Dressé le 1er février 1785 par l'inspecteur général des ponts et chaussées Louis-Alexandre De Cessart, ingénieur chargé de l'aménagement de la Digue du Large, le devis prévoit la construction, en bordure de la nouvelle route qui mène au chantier des cônes et au fort de Querqueville, d'une caserne principale, bordée au nord et au sud par deux cours, encadrée, à l'est et à l'ouest, par deux pavillons d'officiers et une boulangerie. Intégrée dans un périmètre de forme trapézoïdale délimité par un mur d'enceinte, la caserne est prévue pour loger 600 hommes, installés au rez-de-chaussée et au premier étage, dans des chambres rectangulaires desservies par un long corridor. 




Les différents bâtiments, élevés à l'aide de pierres provenant de la carrière des Fourches, tant pour le gros-oeuvre que pour les finitions, sont achevés en 1786, comme l'indique le Certificat de réception d'ouvrages ordonné par le roi en date du 17 août rédigé par les ingénieur Humbert et Pitrou. Réservés aux soldats de la marine affectés aux travaux du port puis transformés, à partir de la Restauration, en caserne des équipages de la Flotte, ils abritent aujourd'hui le Service Historique de la Marine dont les locaux conservent les archives du port de Cherbourg et de la première région maritime, ainsi que plus de 20000 volumes provenant en partie de l'ancien dépôt des livres, cartes et plans établi autrefois dans l'hôtel de la Majorité à l'intérieur de l'arsenal.
Phare et sémaphore de Gatteville-Barfleur photo JM Bergougniou


Phare et sémaphore de Gatteville-Barfleur photo JM Bergougniou

sémaphore de Gatteville-Barfleur photo JM Bergougniou
En 1774, sous le règne de Louis XVI, la Chambre de commerce de Rouen décide de faire construire un premier phare en granite, de 25 mètres. À son sommet, un feu de bois et de charbon brûlait continuellement. Le charbon (issu des houillères de Littry) était approvisionné à dos d'homme et laissait peu de repos aux gardiens. En 1780 le feu à charbon fut remplacé par un système de réverbères constitué de 16 lampes à huile dans une lanterne vitrée.

Ce phare étant trop petit pour recevoir les lentilles modernes, et trop faible pour pouvoir être exhaussé de 32 mètres, on décide en 1825 d'ériger une nouvelle tour . 


le Cotentin sémaphore de Gatteville-Barfleur photo JM Bergougniou
L'architecte et ingénieur des ponts et chaussées Charles-Félix Morice de la Rue, sous le règne de Charles X, qui dessinera ensuite le phare de la Hague, conçoit les plans du plus haut phare de l'époque (dépassé depuis par le phare de l'Île Vierge). La pose de la pierre centrale a lieu le 14 juin 1828  et les travaux s'étaleront jusqu'en 1835. C'est en effet le 1er avril1835 qu'il fut allumé pour la première fois.

L'ancien phare devient sémaphore.



Phare et sémaphore de Gatteville-Barfleur photo JM Bergougniou


DE LA POINTE DE BARFLEUR A LA RADE DE LA HOUGUE.



Eviter la grosse mer du raz de Barfleur ne traverser le prolongement du raz que dans l'Est de l'alignement des deux feux du port de Barfleur vus l'un par l'autre.
Direction à suivre pour passer par la Brèche-du-Ras. 
le clocher de la Pernelle par l'extrémité Ouest de la grande grève de sable blanc qui est au Nord du port de Barfleur.

 

Passer dans le Sud-Est du Riden de Quénanville ... tenir le clocher de la Pernelle par celui de Monfarville
Direction au large de la-quelle il faut se maintenir :
entre la pointe et le port de Barfleur le clocher de la Pernelle ouvert à gauche de celui de Monfarville. 
entre le port de Barfleur et le rocher Moulard, afin d éviter ce rocher.... le moulin Crabet ouvert à droite de la pointe Nord de l'ilet de Barfleur.
Phare et sémaphore de Gatteville-Barfleur photo JM Bergougniou 
il partir du travers de la pointe du Moulard, afin d'éviter les Rident det Ecraoulettes  le clocher de Gatteville ouvert à droite du rocher Moulard...


Phare et sémaphore de Gatteville-Barfleur photo JM Bergougniou

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situé dans la Manche au nord du Cotentin.

Phare et sémaphore de Gatteville-Barfleur photo JM Bergougniou
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Phare et sémaphore de Gatteville-Barfleur photo JM Bergougniou

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Merci à Daniel

Mission Peau 1923 1924 Kerguelen TAAF

Mission Peau 1923 1924 Kerguelen  Etienne Peau travaille au Muséum du Havre. Mais les liens qu’il peut développer, à l’occasion de missions ...