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29 août 2021

Humour dans le carré par Donec : le président de la station de sauvetage pête les plombs SNSM

Humour dans le carré par Donec : le président de la station de sauvetage pête les plombs SNSM



Bonjour la compagnie,

Nous connaissons tous les sauveteurs en mer de la S.N.S.M. habillés en orange comme Casimir et qui n’hésitent jamais à sortir quelle que soit la météo pour venir en aide à un plaisancier maladroit. Naturellement certains sont reconnaissants, surtout dans les minutes qui suivent le sauvetage, d’autres au contraire font preuve d’une belle désinvolture. Pour preuve voici le texte qui a été diffusé par le président d’une station de sauvetage de la Manche.

« Hier soir, a 21h37, nous appareillons avec le SNS655, pour deux Jet-skis , échoués sur la plage du " Butin", évidemment, nous arrivons par le chenal, nous ne pouvons pas intervenir directement. Nous accostons donc la digue du Ratier, ce qui nous oblige à débarquer, et franchir la digue, et faire environ une centaine de mètres à pied pour constater l'échouage de deux "jet-skis", nous sommes rejoints par un homme, propriétaire de l'un des deux engins, qui nous dit tout de suite que l'opération est gratuite, information soi-disant venant du CROSS-JOBOURG . Pour nous la mission est claire, on sécurise le tout " on amarre les deux jets, on se défait de nos Flash-lights, que l'on dispose sur les deux machines et on s'assure d'un bon mouillage. Nous savons que dans cet endroit, à marée montante, le courant est très fort, nous allons revenir quand il y aura flot.

Nous appareillons de Honfleur à 00h30 et nous prenons la brèche pour prendre les deux engins en remorque. Nous patientons, pour être sûr d'avoir assez d'eau. Nous ramenons les deux machines à Honfleur et les amarrons près de notre station. Ce matin, a 09h15 je me rends à la station, pour faire les factures de remorquage, je constate que l'un des deux engins est en train de couler, je fais donc le nécessaire pour que ce "jouet de riche" reste à flot. Nous serons trois pour faire en sorte que ce beau jouet de 34 000 euros ne coule pas. le propriétaire, n'arrivera qu'une heure plus tard. Certes, nous avons sauvé son jouet de frimeur et pour la peine il nous a fait un don de 50 euros. Merci, nous sommes trois équipiers à avoir passé cinq heures en mer, de nuit, puis trois heures pour sauver le " joujou" qui n'est pas assuré. Nous les mendiants de la mer, qui ne savons pas comment financer, le remplacement de notre vieille "Notre Dame du Port".

Pourquoi ces gens peuvent-ils naviguer impunément, si près des plages sans assurance et narguer des hommes comme nous ?
Pour finir, ces imbéciles ont voulu remorquer en marche arrière le premier "Jet" échoué, déplacement du joint de turbine, voie d'eau.

Je n'ai eu qu'une peur, c'est que l'on nous colle ça sur le dos.
Je me suis engagé à servir au sein de la SNSM, mais je tiens à vous dire, que quelquefois, j'ai bien envie de claquer la porte.

Cordialement
De l'eau de mer dans les veines, du sel dans les cheveux.
A Bientôt »

Jean-François

Comme vous le voyez c’est assez édifiant !
A bientôt pour de nouvelles aventures

Donec



https://don.snsm.org/ete2021?utm_source=google&utm_medium=cpc&utm_campaign=2021ETEWEBCAMP-googleads-motscl%C3%A9s&gclid=Cj0KCQjwvaeJBhCvARIsABgTDM763x53rY_SA111e2qxq30oxbHNRuReaJtZCfS-6iJ0krET7A8hGNwaAoY_EALw_wcB


Sur la peau de bouc : « Etre atteint de vermine et ne pas l’avoir dénoncé »

Les mots du Général ;
Le général forme l’état-major des Forces Françaises Libres. Après avoir fait rapidement le tour des ses maigres effectifs, il convoque un jeune officier.
Dites-moi capitaine, vous y connaissez-vous en bonnes femmes ?
Non mon général !
Et en escrocs ?
Non, mon général !
Etes-vous au moins à l’aise dans les coups tordus ?
Non mon Général !
Parfait, Passy ! je vous confie mes services de renseignements.
Cerise sur le gâteau :


Saint-Jean-Cap-Ferrat est un adorable petit port dans une presque-île sans la moindre usine métallurgique ni quartier défavorisé. C’est dans ce cadre idyllique que vous êtes invité à l’inauguration de l’exposition « Peinture naïve d’Italie et d’ailleurs » à laquelle participent des maîtres internationaux, autre sujet abordé « l’Art Singulier » avec Stéphanie NATERA ;


Le vernissage à lieu vendredi 3 septembre à 18h30 à la salle Neptune qui donne sur le port.




24 juillet 2021

Le Fringant Escorteur-côtier garde-pêche Mer Irlande Nord

Le Fringant Escorteur-côtier garde-pêche

En 1949, avec l'entrée dans la Guerre froide, les pays occidentaux dont la France pensent à la construction d'escorteurs capables de protéger les groupes aéronavals mais aussi les navires de commerce. Ces unités serviront dans le cadre de l'OTAN. La marine française se voit confier la mission prioritaire de la lutte anti-sous-marine. Elle décline ses futures fabrications sur les escorteurs d'escadre, les escorteurs rapides de lutte anti-sous-marine et des escorteurs côtiers.








La classe L'Adroit est un type d'escorteur léger français inspiré des Patrol Coasters (PC), des patrouilleurs côtiers américains de classe PC-461. Construits pour la Marine nationale par des chantiers navals français après la Seconde Guerre mondiale, ils furent dénommés escorteurs côtiers.
Après la première série de 3 unités de la classe Le Fougueux, une seconde série de 11 escorteurs est construite. Ces petits bâtiments furent destinés à la lutte anti-sous-marine côtière.


Le FringantP640Forges et Chantiers de Méditerranée au Havrecoulé comme cible en Atlantique le - 


Les escorteurs servent d'abord pour la surveillance des côtes d'Afrique du Nord. Ils assurent aussi la formation des futurs marins.

Le Fringant et L'Agile serviront, en fin de carrière, pour la surveillance des pêches en mer d'Irlande et mer du Nord. 


LE FRINGANT EN MER D'IRLANDE : SURVEIL

Entre deux missions en mer d'Irlande et sur les bancs du canal Saint-Georges et d'Ouest-Hébrides, l'escorteur côtier Le Fringant, commandé par le lieutenant de vaisseau Kanengieser, est intervenu la semaine dernière en baie de Seine à la demande d'un chalutier soviétique, pour permettre à son médecin-aspirant de soigner un marin russe.

Cette intervention a eu lieu au retour d'une mission d'un mois de surveillance des pêches. Au cours de cette mission l'officier des pêches nouvellement affecté à la flottille du Nord a pu prendre connaisance des problèmes qui se posent actuellement dans les zones fréquentées par les pêcheurs de Bretagne et de l'Atlantique.


Le Fringant a parcouru à cette occasion plus de 4000 milles marins. En un mois, il a reconnu une bonne centaine de chalutiers, la plupart soviétiques, roumains, polonais ou bulgares. Ces navires sont actuellement les plus actifs dans les eaux de l'Atlantique Nord Est et de la mer d'Irlande, en raison de leur tonnage unitaire assez important pour travailler par mauvais temps.

La mission du garde-pêche était du reste double : effectuer des contrôles au titre de la règlementation internationale des pêches et assister les nationaux. Sur ce second point, l'assistance du Fringant a été réduite en raison des tempêtes qui ont éloigné nos chalutiers. Deux interventions méritent toutefois d'être signalées : la réparation du Decca d'un bateau du Guilvinec, le Reun Couz, qui a été effectuée dans le délai record de cinq heures, et la fourniture de pain à la Petite Carine, de la Rochelle, dont la provision s'était avariée à la mer




L'AFFAIRE DE CORK

Avec son équipage, le « pacha » du Fringant a été toutefois placé aux premières loges pour suivre une affaire de mer sortant de l'ordinaire. ; la saisie du gros chalutier usine soviétique Bellomorye dérouté sur Cork, et dont le commandant a été traduit en justice pour avoir pêché dans les eaux territoriales irlandaises. Par une curieuse coïncidence, le Fringant avait été conduit quelques jours auparavant à contrôler le navire soviétique alors qu'il se trouvait en pêche avec toute une flottille, de façon tout à fait régulière cette fois. L'accueil des Soviétiques avait été cordial : tout était en règle — maillages et taille des espèces pêchées — et la visite 
s'était soldée par l'offre de vodka et de poisson frais !

cC'est dans des circonstances bien différentes que, pendant leur escale à Cork, les marins du Fringant devaient revoir les marins soviétiques, de loin bien qu'au même quai, après que le chalutier eut osé tenir tête à la Marine de l'Eire vingt-six heures durant. Le capitaine Nikolaï Shinkaruk n'accepta, en effet, d'obéir aux injonctions des patrouilleurs Grainne et Banba qu'après un tir de semonce de l'artillerie de 40 mm irlandaise.
Pendant la durée de cet intermède naval peu courant - des militaires irlandais ont investi le chalutier russe en mer, après les injonctions des patrouilleurs — de nombreuses négociations furent conduites au plus haut niveau, entre les autorités de l'Eire et les chargés d'affaire de l'ambassade soviétique à Dublin

Le chalutier soviétique Bellomorye se ravitaille à couple d'un pétrolier de la flotte logistique de l'URSS. Sur notre photo il est presque totalement dissimulé par la coque du pétrolier.


Sources 
COLS Bleus 6-11-1976

09 février 2021

Joël Lemaine et le timbre Saint-Yves Les oeuvres de mer Saint-Pierre et Miquelon Ville d'Ys Sainte Jeanne d'Arc

Le Saint-Yves



Pour revenir sur le timbre de Joël Lemaine le Saint-Yves (SPM) voici quelques informations qui ont préludées à l'achat, à la mise en oeuvre du navire hôpital des Oeuvres de mer. (L'oeuf des mers pour les Finistériens)



Ste Jeanne d'Arc

Le navire hôpital des Oeuvres de Mer n'est pas armé en 1934 pour la campagne de grande pêche.

La pêche évolue avec le matériel et provoque une diminution du nombre de marins (12000 en 1904 - 3320 en 1933).



Les chalutiers remplacent les goélettes et la pêcha en doris. Le navire hôpital Sainte-Jeanne d'Arc n'arrive plus à suivre ou à trouver les bateaux et est d'un coût exorbitant, il faudra faire des économies d'armement, d'entretien et de combustible.




Organiser une campagne de plus de cinq mois n'a rien de simple, surtout que les Oeuvres de Mer se battent toujours pour boucler leur budget.

Les coûts d'armement sont si élevés que les Oeuvres de mer ne peuvent plus suivre.

L'Ouest-Eclair 6 juin 1935
Malheureusement la crise est venue; la Société n'a plus recueilli les fonds nécessaires pour lui permettre d'armer la Jeanne-d'Arc en vue de nouvelles campagnes. Cependant les administrateurs charitables n'ont pas voulu que les Œuvres de Mer restent Inactives et ils ont réussi cette année a armer un petit voilier, le Saint-Yves, sous le commandement du capitaine Genin. Un medecin et l'intrépide aumônier. le père Yvon, lui servent de précieux auxiliaires. Le Saint-Yves  fera dans son petit rayon d'action ce que la Jeanne-d'Arc faisait en grand.

Aussi M. Vercel adressa-t-il un dernier et vibrant appel à toutes les bonnes volontés pour que l'année prochaine, Les Œuvres de Mer puissent continuer à exercer leur action bienfaisante. auprès de nos marins hauturiers en leur apportant réconforts et nouvelles.




En l'absence du bateau hôpital des Oeuvres de Mer le R.P. Yvon va, en 1934, autorisé par le Ministre de la Marine, embarquer sur l'aviso Ville d'Ys de la station navale de Terre-Neuve.

La Ville d'Ys est un ancien aviso anglais (Andromeda) qui durant la guerre a fait les convois de Mourmansk. Le bateau est équipé pour le froid, il est doublé de bois à l'intérieur. (CF Henri Goybet)




Il est confronté au programme du bateau fixé par la Marine nationale, aux escales officielles, à la représentation (7 mois et 28 escales). Le R.P. Yvon calcule qu'il ne restera que 23 jours sur les bancs. Il ne peut être avec les marins comme il le désire. Il compte sur les navires qui feront escale pour se faire embarquer. C'est en partie la raison de sa volonté de mettre en oeuvre un nouveau bateau hôpital.

Il va faire signer une pétition aux marins, aux Saint-Pierrais pour "obtenir une assistance matérielle, médicale et religieuse sur les bancs de Terre-Neuve et du Groënland".



Mon rôle n'est pas de faire fonction d’aumônier de la Ville d'Ys mais des marins de la grande pêche

Il a acheté une caméra, il filme lors de ses embarquements notamment sur l'Alfred. Ces films serviront de supports à ses conférences pour récolter des fonds.

https://www.cinematheque-bretagne.bzh/G%C3%A9olocalisation-970-13420-0-0.html

Les Saint-Pierrais (du moins certains) ne sont pas particulièrement pour la présence d'un navire hôpital qui livre aux marins sur les lieux de pêche ce qu'ils demandent et ainsi les empêche de venir à terre et nuit au commerce local... Le R.P. Yvon condamne les commerçants "qui possèdent une telle âpreté au gain ..." lors d'une intervention à la radio de Saint-Pierre.


Le 16 mai 1934 Yvon présente le projet du saint-Yves à l'administrateur de Saint-Pierre. Bien entendu le président des Oeuvres de mer n'est au courant de rien... Son dossier est bien ficelé et semble viable.

"Voila ce qu'il faudrait. Un canote comme ce canadien là, du genre dundee paimpolais qui font cabotage de 100 à 150 tonneaux avec moteur et voile, un équipage d'une dizaine d'hommes tout au plus, un capitaine long-courrier et un médecin à bord".


Le CF Goybet le conseille, Mgr Poisson préfet apostolique des îles le soutient. Il récolte six cents signatures pour sa pétition.

Son financement s'inspire du financement des oeuvres de mer : les armateurs paieront 60 fr pour chaque marin, chaque homme paiera 20fr de participation. En mouillant l'administrateur de Saint-Pierre, il attend une oeuvre substantielle de l'Etat. Le soir même l'administrateur écrit au Ministre des Colonies...


Durant le retour de la Ville d'Ys vers Cherbourg, Yvon rédige son rapport sur la campagne pour l'amiral Lacaze président des Oeuvres de mer, pour mgr Poisson. Dans ce rapport Yvon démontre que la Ville d'Ys ne peut remplacer un vrai navire hôpital et il y joint les signatures de sa pétition.

Le 4 octobre, son projet est dévoilé à Saint-Pierre par Mgr Poisson.

Le 21 octobre, l'amiral Lacaze accepte le projet. Les Oeuvres de mer hésitent à reconnaître la paternité du projet à Yvon.

Le Saint-Yves existe sur le papier, il ne reste plus qu'à trouver un bateau. Son plan de financement est validé : Ministère des Colonies, ministère de la Marine, région de Saint-Pierre et Miquelon, participation des armateurs et des marins.





Mi décembre Yvon acquiert le Willy-Fursy, un dundee de 27m60 construit en 1929 par les chantiers navals de Normandieà Fécamp, il a fait l'Islande.

Le capitaine Gervin en prend le commandement. Il surveille le recrutement de l'équipage, refuse le second parce qu'il boit...


Il souhaite acheter une TSF avec pour programme : météo, messages codés,, capitaine-armateur, alerte des hommes en perdition ou en dérive, organisation des recherches, nouvelles de France, nouvelles des communes des équipages, disques récréatifs, cette radio sera appelée Radio-Morue.

Yvon entre en conflit avec les Oeuvres de mer, il souhaite récupérer un tiers des recettes de ses conférences et souhaite pouvoir en faire pour son propre compte. Il essuie un refus de l'administrateur délégué Loture. Et radio-Morue gêne les autorités... 
En cause l'argument : "puissant soutien puissant pour le moral des équipages qui, dans la réalité se traduit par la diffusion de la messe dominicale... L'Etat craint une forme de prosélytisme, le ministère des PTT est réticent à l'idée que l'on piétine ses plate-bandes.




Yvon embarque du matériel de tournage, des pellicules, une table de montage, un projecteur, un mur-écran, des cartons de médicaments, des étagères pour les disques, des rames de papier, des classeurs, les plans du Saint-Yves, les CV de l'équipage

Les travaux avancent, le 1er avril le Saint-Yves entre dans l'écluse de Saint-Malo.



Par l'avant ; Poste d'équipage avec couchettes et armoires - cambuse - hôpital séparé par un fort cloisonnement, avec deux lavabos fixes, des armoires à linge et quatre couchettes fixes.



A tribord à toucher la cloison de la cambuse, la chapelle puis attenant, une pièce réservée à la visite des malades et dans laquelle se trouve la table d'opération, la pharmacie.

A babord le poste émetteur TSF et l'emplacement du poste radiophonique Radio-Morue.



Sous la descente avant deux couchettes avec lavabos et armoires pour les contagieux. En outre des des couchettes fixes, il est prévu six couchettes mobiles. Au centre la descente avec coursive commandant , la salle de viste, compartiment réservé à la Poste.

A l'arrière, le carré, à bâbord et à tribord, les cabines de l'aumônier et du médecin. Ensuite séparé par une double cloison la chambre des machines dans laquelle est installé un groupe marin semi-diésel Bolingers de 80cv et un groupe electric-diésel avec, en abord, les réservoirs d'une capacité de 10 tonnes. Enfin une troisième descente, la cabine du capitaine, le carré des sous-officiers et des spécialistes avec quatre couchettes et la chadière du chauffage central qui assure une bonne température.


Sous les planchers le parc à charbon, les réserves d'eau douce, le puits aux chaînes, le lest de fonte de 40 Tonnes.

Le 8 mai 1935 10 heures du matin tout est prêt pour le départ, le 9 le Saint-Yves quitte son mouillage à 15h sous voile et moteur.

Sources 
Avec les pêcheurs de Terre-Neuve et du Groënland 1936b R.P. Yvon  Editions nouvellistes de Bretagne
Yvon le Typhon Alain Guéllaff 2007 L'ancre de Marine
L'Oeuf des mers 1990 amiral Henri Darrieus

16 octobre 2009

PH Jeanne d'Arc

En mer sur la "Jeanne d'Arc"
Au courrier aujourd'hui

cachet PH Jeanne d'Arc et essais semaine 42
De retour sur le blog après 3 jours de mer sur le "PH Jeanne d'Arc"
R97 un nom sur la mer
Un vrai bonheur de découvrir ce bâtiment mythique qui prépare sa dernière virée avant une retraite bien méritée.
La cheminée de la Jeanne
Trois jours d'essais à la mer, trois jours d'entrainement pour les hommes,
Quart en machine avant
trois jours pour acquérir réflexes et automatismes,
Entrainement à l'appontage d'une alouette 3 devant participer au GEAOM
trois jours pour être prêts à répondre aux demandes et aux ordres.
impact dans 10 secondes position de sécurité
trois jours pour connaître et comprendre.
Riposte aux attaques d'embarcations hostiles
Un grand merci au Commandant, au Commissaire principal, au SM Michel agent postal et à l'ensemble de l'équipage, officiers, OMS, OM, QM et matelots pour l'accueil et pour le temps des explications.
SM Michel agent postal dans son bureau
à suivre...
photos Jean-Michel Bergougniou

Teriieroo a Teriierooiterai Brésil 2024 avril transit Tahiti POM

Le POM Teriieroo a Teriierooiterai fait escale à Rio de Janeiro Dans le cadre de son déploiement vers Papeete, le patrouilleur outre-mer (PO...