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19 octobre 2023

remorqueur Cannebière Rabat Salé Maroc Marseille Chanvre cannabis

 remorqueur Cannebière

La Canebière, célèbre artère marseillaise, a été nommée ainsi en 1672 car la ville était un centre de commerce du canebe, mot occitan issu du latin cannabis signifiant « chanvre ».

En provençal, une plantation de chanvre s’appelle canebiera, d’où « Canebière » et « cannebière » (champ de chanvre).


— Remorqueur à vapeur Canebière, ex-Marseillais n°12, initialement affrété puis finalement acquis par l’État à Marseille.


En effet Marseille était l’un des plus grands comptoirs de chanvre au monde pour la fabrication et le commerce des élingues et cordages.


Elle a été construite au milieu du 17e siècle lors de l’agrandissement de la ville ordonné par Louis XIV, sur un ruisseau, le Jarret, qui menait dans une crique, l’actuel Vieux-Port. Le Jarret court toujours sous la Canebière, et sous le boulevard Sakakini qui prend souvent son nom. Son lit aurait été détourné au 11e siècle vers l’Huveaune tout en conservant une dérivation jusqu’en 1666 pour les besoins des tanneries et des jardins.

RABAT - SALE


C'est au fleuve Bouregreg que Rabat et, avant elle Salé, doivent leur existence. Prenant sa source dans le Moyen Atlas à quelque 240 km de l'embouchure, il était autrefois impétueux et vif, mais depuis la construction du barrage Mohamed Ben Abdallah en 1974, l'ardeur de ses eaux a été bien tempérée. 


Dans l'Antiquité, il se nommait Oued Sala en référence à la ville romaine Chellah. Plus tard, il a porté le nom de Oued Roumane. Ce n'est qu'au 13ème siècle qu'il devint Bouregreg, nom tiré du terme berbère "regrag" qui signifie "gravier". 

Trait d'union entre Rabat et Salé, ce fleuve avait toujours posé problème pour sa traversée. Plusieurs ponts ont existé du temps des Almohades et au-delà permettant ainsi de relier les Andalous de Salé-le-Neuf (Rabat) et les Salétins de Salé-le-Vieux (Salé) au 17ème siècle.Tous ont été détruits par les flots, les conflits... et le premier pont routier moderne date de 1919. Il y eut avant le bac à vapeur en 1913. 

07 juin 2023

RCVS BUFFLE retrait du service actif 31 05 2023 Saint-Malo PH Jeanne d'Arc 2010

RCVS BUFFLE retrait du service actif 31 05 2023



Quelques photos prises lors de l'embossage du PH Jeanne d'Arc sur un coffre entre Dinard et Saint-Malo le 26 mai 2010.

RCVS Buffle devant Saint-Malo photo JM Bergougniou

RCVS Buffle devant Saint-Malo photo JM Bergougniou


Drome
Une embarcation pneumatique de 6 places motorisée par un moteur hors-bord JOHNSON de 20 cv. Sa mise à l'eau s'effectue par l'un des 2 mats de charge (capacité 400 kg) situés en arrière de la passerelle.



RCVS Buffle devant Saint-Malo photo JM Bergougniou
Le haut de la mature, rabattable sur l'avant, permet de diminuer sensiblement le tirant d'air. Ainsi, le bâtiment peut travailler en pousseur au profit du porte-avions.

RCVS Buffle devant Saint-Malo photo JM Bergougniou

Un canon à eau, situé sur le toit de passerelle, permet l'assistance des navires en détresse. Il est alimenté par une pompe de 120 m3/h. Une cuve de 2500 litres d'A3F (agent formant film flottant) permet de fournir de la mousse pendant 30 minutes.


RCVS Buffle devant Saint-Malo photo JM Bergougniou

RCVS Buffle devant Saint-Malo photo JM Bergougniou

RCVS Buffle devant Saint-Malo photo JM Bergougniou

RCVS Buffle devant Saint-Malo photo JM Bergougniou

RCVS Buffle devant Saint-Malo photo JM Bergougniou

RCVS Buffle devant Saint-Malo photo JM Bergougniou

RCVS Buffle devant Saint-Malo photo JM Bergougniou

RCVS Buffle devant Saint-Malo photo JM Bergougniou

RCVS Buffle devant Saint-Malo photo JM Bergougniou

RCVS Buffle devant Saint-Malo photo JM Bergougniou


13 février 2021

le RHM Malabar en partance pour Le Havre
le RHM Malabar en assistance aux pêches Finlande et Islande IV 10-02-1984
 
En route pour Le Havre photo Bernard Hily
Les départs de vieux navires vers Le Havre s’enchaînent ces dernières semaines depuis le port de commerce de Brest. Après le patrouilleur Sterne et et le remorqueur Tenace, un autre remorqueur de haute mer (RHM), le Malabar, a pris, jeudi, le chemin des chantiers de démolition Gardet et De Bezenac dans le port normand. Un transit qui devrait durer deux jours pour le convoi, conduit par le TSM Kermor d’Iroise Mer.


Construit, comme le Tenace, par les chantiers Oelkers de Hambourg, le Malabar avait été mis en service en février 1976.

Long de 51 m, il était armé par un équipage d’une trentaine de marins, et avait été retiré du service en 2016.
RHM Malabar Saint-Malo   photo JM Bergougniou

Vers une fin de vie


PHM Malabar photo Ouest-France

En arrêt technique programmé avec CNN-MCO au bassin n° 7 de la Base navale, le remorqueur de haute mer Malabar, qui devait être désarmé en 2018, le sera plus tôt que prévu. Le 14 novembre, la Marine a entériné son retrait du service actif au cours de l'année prochaine. Cette anticipation fait suite à une expertise du bâtiment, qui a mis en évidence un vieillissement de la coque nécessitant des travaux trop importants pour un remorqueur de 40 ans d'âge.




 Le désarmement du Malabar, armé par une trentaine de marins, débutera bientôt pour s'achever courant 2017. Son sister-ship, le Tenace, continuera d'assurer les missions afférentes à ce type de bateau sur la façade Atlantique. Long de 51 m, d'une puissance de 4 600 CV, le Malabar, construit par le chantier Johann Oelkers à Hambourg, avait été admis au service actif en 1976.

Photo Claude Bélec
Publié le 

Dans le bassin n° 7 de la Base navale, c'est en toute discrétion que s'est déroulée, le 7 février, la dernière cérémonie des couleurs à bord du remorqueur de haute mer Malabar.

RHM Malabar En route pour Le Havre photo Bernard Hily

Construit au chantier Oelkers à Hambourg en Allemagne, le Malabar, admis au service actif en février 1976, a été désarmé plus tôt que prévu. En décembre 2016, durant son arrêt technique, une expertise avait mis en évidence un vieillissement de la coque nécessitant des travaux trop importants pour ce remorqueur de 40 ans d'âge.




RHM Malabar photo JM Bergougniou

Conçu à l'origine pour la sauvegarde des sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE), le Malabar a vu ses missions se diversifier : assistance, sauvetage, lutte antipollution, contrôle des pêches en Atlantique Nord, mission dans les Caraïbes en 2003, renfort aux Antilles en 2004... Son sister-ship, le Tenace, sera désarmé cette année.


RHM Malabar photo JM Bergougniou

Ces remorqueurs seront remplacés par deux bâtiments de soutien et d'assistance hauturiers (BSAH) en construction au chantier Piriou de Concarneau. Le Rhône doit rejoindre Brest cette année, et la Seine en 2019




RHM Malabar photo JM Bergougniou


Le bâtiment d'assistance aux pêches RHM Malabar voit son agence postale réouverte chaque année ici du 15 janvier au 1er avril 1984.





RHM Malabarremorque  photo JM Bergougniou

RHM Malabar photo JM Bergougniou


RHM 

RHM Malabar photo JM Bergougniou

RHM Malabar remorque  photo JM Bergougniou


RHM Malabar photo JM Bergougniou


RHM Malabar photo JM Bergougniou




RHM Malabar photo JM Bergougniou

RHM Malabar photo JM Bergougniou

RHM Malabar photo JM Bergougniou

RHM Malabar photo JM Bergougniou

RHM Malabar photo JM Bergougniou

Sources 
ouest-France
Le Télégramme



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