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29 mai 2025

VCSM ELORN Parrainage ville marraine Loctudy Finistère Bretagne gendarmerie maritime

Loctudy parraine la vedette de la gendarmerie maritime  VCSM ELORN


Vue sur l'ïle-Tudy © JM Bergougniou



La ville de Loctudy, marraine d’un navire de la Marine nationale

La réception officielle, célébrant le parrainage de la ville de Loctudy (Finistère) d’un navire de la Marine Nationale, a eu lieu mardi 13 mai 2025. C’est une vedette côtière de surveillance de la gendarmerie maritime, L’Elorn, qui a été choisie comme filleule.


Mardi matin, à la mairie, a eu lieu la réception officielle du parrainage d’un navire de la Marine nationale : L’Elorn. C’était un souhait exprimé en 2021 par Christine Zamuner, alors maire de la commune, et Christine Barba, correspondante Défense.


LOCTUDY - L'ïle Tudy
L’Elorn est arrivé à Concarneau le 12 juin 2003.  C’est une vedette côtière de surveillance de la gendarmerie maritime. Le bateau était le premier d’une série de 24 unités confiées à la gendarmerie maritime, mais propriétés de la Marine nationale. Le navire fait 20 m de long et pèse 40 tonnes. 


Il est propulsé par deux moteurs de 1 000 CV lui donnant une vitesse de croisière de 20 nœuds. Son équipage est composé de neuf personnes, dont une seule, le mécano, appartient à la Marine nationale , précise le major Erwan Perrot.

La gendarmerie maritime participe à la sauvegarde des intérêts maritimes de La France. Ses missions sont multiples. Les gendarmes maritimes sont environ 1200, dont 350 embarqués sur des navires.


À Loctudy, le souhait est de permettre aux écoles de la ville de rencontrer l’équipage et de découvrir les missions du bateau.  Des échanges peuvent être organisés afin de faire découvrir aux jeunes ce métier de la mer, de rencontrer d’autres acteurs du monde maritime et bien entendu la population dans son ensemble. 

Retour de pêche © JM Bergougniou
Nous pouvons présenter l’unité, ses missions, les spécialités de chacun des membres d’équipage et cette double appartenance Marine nationale et gendarmerie », conclut le major Erwan Perrot.

Une visite du navire sera prochainement proposée à la population.

Ouest-France

Publié le 14/05/2025 à 15h38


24 avril 2025

Patrouilleur Fulmar Saint-Pierre et Miquelon parrainage P740

 Patrouilleur Fulmar Saint-Pierre et Miquelon

Le Fulmar a été parrainé par la ville de Saint-Pierre (SPM) qui est aujourd'hui la ville marraine du BSAM Garrone 

Construit en 1991, le patrouilleur Fulmar a entamé sa carrière sous le nom de Jonathan comme chalutier. Transformé en patrouilleur en 1997, il rallie son port base de Saint-Pierre, armé par un équipage de la Gendarmerie maritime. En 2009, le bâtiment est placé sous le commandement d’ALFAN. Seule unité de la Marine basée en Amérique du Nord, le Fulmar conduit des missions relevant de l’action de l’État en mer mais également des missions de coopération internationale avec le Canada, les États-Unis et le Danemark (Groenland). Long de 40m, il est armé par un équipage de douze marins.



L'étude pour son remplacement, via une unité neuve ou d'occasion, devait débuter en 2024 en vue d'une échéance de succession fixée en 2027, soit à la trentième année de carrière du Fulmar en tant que bâtiment militaire, sa robuste coque d'ancien chalutier étant alors âgée de 37 ans. Mer et Marine

Joël nous informe par  mail du prochain parrainage (juin) du Fulmar avec Miquelon-Langlade.

Comme à son habitude seront réalisés des enveloppes avec une version tampon et une enveloppe couleur.

Devant  utiliser les timbres SPM, il ne pourra se servir des enveloppes des abonnés à la section Ile de France.

Le Fulmar à l'occasion du parrainage
par la ville de St-Pierre par Marie Détrée

Il propose aux interressés de faire une réservation selon les modalités ci-dessous.

Le prix de chaque souvenir sera de 4,00 euros comprenant le prix du tampon, du timbre SPM et de l'envoi vers SPM, les enveloppes seront expédiées depuis SPM.

Le règlement sera à établir à l’ordre de Marcophilie Navale.

Joel Moreau

20 rue de Belfort

75011 PARIS

joel.moreau24@wanadoo.fr





La commande devra être rapide, pour cause de délais d’acheminement et de passage en Douane.

Joël Moreau


Sources





08 août 2021

L'Agosta sous-marin déconstruction BREST 2021 parrainage ville de Nice Jumbo Kinetic

 L'Agosta sous-marin déconstruction BREST

L'Agosta : plusieurs sous-marins ont porté ce nom

L'Agosta est un sous-marin français de la Classe 1500 tonnes . Lancé en 1934, il appartient à la série M6.

Dans l'étroite logette du kiosque où le périscope et ses bras de cuivre tiennent toute la place, après deux ordres brefs et calmes, le ministre a. pu, comme nous, voir â l'aiguille des cadrans et non sentir car on ce sent rien la mer monter. autour de son bâtiment, le submerger lentement et naviguer une demi-heure avec quinze mètres d'eau sur la tête.

L'oeil à la lentille du périscope, les jarrets pliés au-dessus du trou de descente il a dû voir à sa droite, érigée sur la falaise de Saint-Pierre, la nouvelle Ecole navale qu'il allait ensuite visiter.

Une demi-heure de plongée De la terrasse de cet établissement, magnifique 200 mètres de long nous avons pu en tout cas voir le sous-marin ministériel s'enfoncer lentement sous les flots qu'une brise assez fraîche mouchetait de blanc et reparaître tout à coup une demi-heure auprès une vedette blanche l'accoster puis s'en détacher, le pavillon du ministre en poupe, le cap sur La Ninon où M. Campinchi allait débarquer. Devant le perron monumental que flanquent les statues colossales de Jean Bart et du Bailli de Suffren qui naguère n'ornaient que médiocrement la cour du palais de Versailles et ont avec bonheur retrouvé ici leur élément, les deux: promotions de l'école navale, casquette blanche, gants blancs et sabre au clair, étaient alignées. Entre les deux, le drapeau de l'école présenté par le major de la seconde année et ses brigadiers, les as de cette savante et virile jeunesse. En face d'eux, sur les marches de granit, les instructeurs militaires et quelques robes universitaires leurs maîtres civils. A leur droite, la mnusique des équipages de la. flotte, pompon rouge et guêtres blanches claironne Aux champs et attaque la Marseillaise.
Dès la déclaration de guerre le 3 septembre 1939, il est envoyé pour patrouiller au large des ports de la côte nord de l'Espagne, où s'est réfugiée une partie de la flotte de commerce allemande, suspectée de servir de ravitailleurs aux U-Boote allemands. Le 5 septembre, il repère le U-Boot U-47 de Günther Prien sans pouvoir l'attaquer. Au début du mois d'octobre, il est envoyé avec la 8e division dans les Antilles. Il patrouille notamment dans les Bouches du Serpent, entre l'île de Trinité et le Venezuela.

Le 12 janvier, il quitte avec l'Ouessant Fort de France  pour Brest, où ils rentrent en grand carénage. C'est là qu'il est sabordé le 18 juin à 19 heures, ne pouvant appareiller devant l'avancée allemande.


La classe Agosta est un type de sous-marin d'attaque à propulsion classique de conception française des années 1970.


Une version améliorée, baptisée Agosta 90B, a été développée pour l'exportation dans les années 1990, et vendue à la marine pakistanaise. 

Quatre unités de la classe Agosta ont été construites à l' arsenal de Cherbourg pour les forces sous-marines françaises dans le cadre de la loi-programme de 1970-1975. Désarmés entre 1997 et 2001, ils ont été les derniers sous-marins à propulsion classique de la marine française.


En août 2019, Navaleo – filiale de l'entreprise Les recycleurs bretons – obtient le marché de déconstruction des sous-marins Agosta, Bévéziers et La Praya qui sera réalisée d'ici à 2022 aux chantiers navals de Brest.


Chargé à Toulon entre le 27 et 31 juillet 2021, en pontée du navire de charges lourdes Jumbo Kinetic le sous-marin Agosta (Q739) est arrivé à Brest jeudi 5 août 2021 au matin.

Après des préparatifs de déchargement ce jeudi, en fonction de la météo, c’est à l’aide des deux puissantes grues du navire, que la délicate opération de mise à l’eau de l’Agosta doit se dérouler vendredi 6 août 2021, avant son entrée en forme n°1 dans l’après-midi

Nice ville marraine de l'Agosta



LA VILLE DE NICE DEVIENT LA MARRAINE DU SOUS-MARIN D'ATTAQUE « AGOSTA »

Le 11 novembre au matin, le sous-marin d'attaque Agosta, commandé par le C.C. de Penfentenyo de Kervereguen, venait s'amarrer au quai Papacino au port de Nice, concrétisant ainsi les démarches et les efforts faits par l'amicale des anciens marins de Nice, tant auprès de la ville, d'une part, que de la Marine nationale d'autre part, pour obtenir que la ville de Nice devienne la marraine d'un bâtiment de guerre récent.

L'Agosta devait passer trois jours au port, trois jours d'un beau temps ensoleillé qui devait assurer le plein succès des manifestations, car les Niçois sont venus par milliers visiter leur filleul.


L'Agosta sur le Jumbo Kinetic  photo B. Hily
Accueilli par le président des anciens marins, M. Pastorelly, une délégation de l'amicale, le groupe de majorettes de Nice, l'Agosta faisait une entrée remarquée au port. A 12 h. le C.C. de Pen- fentenyo, ses officiers, une délégation d'officiers-mariniers et marins de l'Agosta étaient reçus par l'amicale des anciens marins à un repas d'accueil dans ses locaux de la « Batterie de la Rascasse ». L'après-midi, sur le terrain de Saint-Roch, l'équipe de football de l'Agosta battait l'équipe de l'amicale de Nice par 4 buts à 2. Toujours à la Batterie de la Rascasse, avait lieu une soirée dansante qui obtint un franc succès et se termina... tôt le 12 novembre

L'Agosta sur le Jumbo Kinetic  photo B. Hily

Le 12 novembre à 11 h 30, avait lieu la cérémonie officielle de parrainage, au quai Papacino, en présence du V.A.E. Tardy, préfet maritime de la lllème Région, commandant en chef en Méditerranée, de M. P. Lambertin, préfet des Alpes-Maritimes, du C.V. Joli, commandant l'escadrille des sous-marins de la Méditerranée, du colonel Bayle, délégué militaire départemental, de l'administrateur en chef des Affaires maritimes Bernigaud, de M. Leleyter, commandant du port de Nice, de l'amiral Eynaud de Fay (c.r.), représentant la F.A.M.M.A.C., de l'amiral Noël, président de l'A.C.O.R.A.M. des - Alpes-Maritimes, de M. Malbert, président des anciens des sous-marins, de M. Durante, président de l'A.C.O.M.A.R. des Alpes Maritimes, du C.C. Michotte de Welle (c.r.), commandant du Centre de préparation militaire-marine « Amiral Ponchardier » et d'un détachement de 20 jeunes de la P.M.M. en uniforme. La musique des sapeurs-pompiers de Nice et le groupe folklorique la « Ciamada Nissarda » animaient la cérémonie. M. J. Médecin, secrétaire d'Etat au tourisme, président du Conseil général, maire de Nice, amarrait, avec une aussière symbolique, l'Agosta au quai Papacino, concrétisant ainsi cette cérémonie de parrainage. Le C.C. de Penfente- nyo faisait alors les honneurs de son bâtiment qui arborait la marque du V.A.E. Tardy, aux hautes autorités présentes. Celles- ci étaient alors les invitées de la ville de Nice à un banquet officiel. A 17 h 30, la ville de Nice offrait dans les salons de la villa Masséna une réception où se retrouvaient le commandant et l'équipage de l'Agosta, les autorités civiles et militaires et de nombreuses personnalités de la ville de Nice. M. J. Médecin prenait alors la parole pour exprimer, d'une manière chaleureuse, toutes les raisons qui avaient milité pour que Nice devienne la marraine de l'Agosta, retraçant rapidement le combat naval d'Abraham Duquesne à la tête de 30 vaisseaux armés par 10.300 hommes et dotés de plus de 1.700 canons, contre le célèbre Ruyter, le 22 avril 1676. C'était ensuite le traditionnel échange du parchemin scellant les liens existant dorénavant, entre l'Agosta et Nice, et les différents cadeaux offerts par la ville au bâtiment, à son commandant, ainsi que les cadeaux remis par l'Agosta à la ville de Nice, « tape de bouche », photos...

L'Agosta sur le Jumbo Kinetic  photo B. Hily
Le dimanche 13 novembre, dernière journée du séjour de l'Agosta, une journée chargée attendait encore « les gens de l'Agosta », quittant le sous-marin. Accompagné par un détachement de la musique des équipages de la flotte, des anciens marins et de diverses personnalités, le défilé se rendait au monument aux morts. La ville de Nice, et les autorités maritimes déposaient des gerbes, puis se rendaient en la cathédrale Sainte-Réparate où avait lieu une messe solennelle, en présence des autorités civiles et militaires, et à laquelle assistaient en outre deux délégations avec drapeaux des anciens marins italiens de Vintimille et San-Remo, qui avaient tenu à venir participer aux cérémonies de parrainage du sous- marin Agosta par la ville de Nice, témoignant des liens unissant les anciens marins des deux côtés de la frontière.
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L'Agosta sur le Jumbo Kinetic  photo B. Hily

A 11 h 30, tout le monde se retrouvait à nouveau à la « Batterie de la Rascasse » pour un apéritif, tandis que les personnalités étaient accueillies aux accents de la « Marche Consulaire » jouée par la Musique des Equipages de la Flotte. Le médecin en chef de la Marine Guillaud (c.r.) conseiller général, représentant M. J. Médecin, maire de Nice, devait exprimer avec franchise ce que ressentent tous ceux qui s'intéressent à la vitalité et à l'efficacité de notre Marine nationale devant son potentiel qui tend à s'amenuiser au fil des ans et il lançait un vibrant appel notamment aux anciens officiers, officiers-mariniers et marins pour que chacun se fasse le propagandiste de la Marine nationale et du maintien de sa puissance, il fut chaleureusement applaudi. Le président de l'A.M.M.A.C.-Nice, M. Pastorelly, cheville ouvrière de cette opération « parrainage », faisait le bilan de ces trois magnifiques journées et le C.C. de Penfente- nyo remerciait au nom de son équipage et de lui-même de l'accueil reçu à Nice à cette occasion, souhaitant que l'Agesta soit amené à fréquenter souvent le port de Nice, le C.V. Joli assurait chacun qu'il ferait tout son possible pour que les bâtiments de l'escadrille des sous-marins de la Méditerranée viennent faire escale à Nice.

Dans un établissement des environs de Nice, l'amicale des anciens marins de Nice offrait ensuite un banquet d'adieu aux officiers et à l'équipage du sous- marin Agosta auquel il était traditionnellement souhaité « Bon vent... Bonne mer ».

R. de RENTY
sources 

Cols bleus : hebdomadaire de la Marine française

10-12-1977  n° 1499

Ouest-France

Merci à Bernard Hily


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