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25 janvier 2025

Libération du camp de concentration d'Auschwitz 27 janvier 1945

Libération du camp de concentration d'Auschwitz 27 janvier 1945


Auschwitz 1 l'ancienne caserne © JM Bergougniou

Le camp de concentration, dirigé par les SS, est créé le 27 avril 1940 à l'initiative de Heinrich Himmler ; il est complété par un centre d’extermination (dont la construction démarre à la fin de 1941) et par un second camp de concentration destiné au travail forcé (créé au printemps 1942). Ces camps sont libérés par l'Armée rouge le 27 janvier 1945.



Auschwitz I  © JM Bergougniou
Auschwitz 1 bloc 11 © JM Bergougniou

Le camp est divisé en trois parties distinctes, Auschwitz I, faisant auparavant office de camp militaire, est un camp de concentration. Auschwitz II est le centre d'extermination. Auschwitz III est une usine chimique fabriquant du carburant de synthèse et centre de travail forcé.

Durant la Seconde Guerre mondiale, les nazis l'ont utilisé dans les chambres à gaz des centres d'extermination : les premiers essais homicides ont été effectués dans le bloc 11 d'Auschwitz I sur des prisonniers de guerre soviétiques, mais la plupart des victimes du Zyklon B ont été les Juifs et Tziganes d'Europe assassinés durant la Seconde Guerre mondiale.


Le bloc 11 d'Auschwitz I, également connu sous le nom de bloc de la Mort, était utilisé pour infliger diverses formes de punition, y compris la torture, les exécutions. Il abritait les cellules debout ainsi qu'une prison en sous-sol, connue sous le nom du « bunker », où les détenu·es étaient placé·es en l'isolement et soumis·es à des tortures extrêmes.

Auschwitz 1 boites de Zyklon B © JM Bergougniou



Conçu comme pesticide, le Zyklon B n'a jamais été utilisé comme gaz de combat, en raison de sa trop faible densité, qui entraîne sa dispersion aléatoire au moindre souffle de vent. Son utilisation comme pesticide agricole n'est pas attestée en 1935.

Auschwitz 1 chaussures © JM Bergougniou

C'est dans le block 11 que les détenu·es subissaient les punitions dans des cellules standard, sans fenêtre ou debout, à la suite d'actes de sabotage, d'interactions avec des civils, de tentatives d'évasion ou d'assistance à des évasions. La forme de punition la plus sévère était l'enfermement dans une cellule debout, mesurant moins d'un mètre carré et dotée d'une ventilation minimale.

Auschwitz 1 blaireaux © JM Bergougniou








Auschwitz 1 l'ancienne caserne block 7
© JM Bergougniou
Le bloc 7 d'Auschwitz I présente une exposition sur les conditions de vie exiguës, les infrastructures sanitaires inadéquates et souvent inexistantes, et la propagation des maladies dans le camp. On peut y voir des répliques des lits superposés et des latrines rustiques dont se servaient les prisonnier·ères.


Auschwitz Birkenau © JM Bergougniou

L'arrivée d'Hitler au pouvoir en 1933 a instauré en Allemagne le régime national-socialiste (nazi). Il est fondé sur l'idéologie exposée par Hitler dans Mein Kampf : 

  • Volonté d'effacer l'affront de Versailles, 
  • supériorité de la race germanique, 
  • droit absolu de l'Allemagne à accroître son espace vital et à étendre son hégémonie sur le monde. 


Auschwitz 1 l'entrée du camp © JM Bergougniou


Il fallait rendre le peuple allemand capable d'appliquer ce programme ; c'est pourquoi, après la suppression de tous les partis politiques et l'instauration d'une pédagogie hitlérienne, commença la mise hors la loi de tous les opposants au régime ; pour eux, dès 1934, s'ouvrirent des camps : Dachau, puis Buchenwald, et d'autres. 


Auschwitz Birkenau la voie ferrée © JM Bergougniou


Leur contrôle passa en 1936 à Himmler, qui s'employa à éliminer les opposants (communistes, sociaux-démocrates, objecteurs de conscience, catholiques, protestants, etc.) et à mettre les Juifs hors d'état de nuire. Himmler est le chef suprême de la S.S. (abréviation de Schutzstaffel der Nazionalsozialistischen Deutschen Arbeitspartei : sections de protection du parti national-socialiste allemand du travail) et les camps échappent aux juridictions normales. 

Auschwitz Birkenau © JM Bergougniou


Arrêtés le plus souvent par des membres de la Gestapo (Geheimstaatspolitzei : police secrète d'Etat), non jugés (le cas du groupe du Musée de l'Homme en 1941 est exceptionnel), les déportés ne sont pas condamnés à temps : seule la mort peut mettre un terme à leur peine,


Auschwitz Birkenau © JM Bergougniou
L'Office central de gestion économique S.S. . (W.V.H.A.) a créé trois degrés de camps de concentration. Le premier degré (camps de travail) était la forme la plus douce du système ; le deuxième degré aggravait les conditions de vie et de travail ; le troisième degré était le « moulin à os », d'où il était extrêmement rare de sortir vivant. L'intention de la Gestapo — qu'elle ne put jamais réaliser entièrement — était de placer au troisième degré tous ceux qui lui paraissaient particulièrement dangereux, sans tenir compte de leur nationalité. 

Auschwitz Birkenau © JM Bergougniou

Mais les sections locales de la Gestapo ne jugeaient pas toutes de la même façon ; les directions de camps se refusaient fréquemment à rendre une précieuse main-d'œuvre, elles faisaient échouer des décisions qui ne leur plaisaient pas, et l'on finit par trouver préférable de conserver dans les camps un mélange de toutes les catégories de détenus, afin d'enlever aux « politiques » la possibilité de renforcer leur position dans le sens qu'ils souhaitaient... 

Auschwitz Birkenau  destruction des bâtiments © JM Bergougniou


La façon dont on vivait dans les camps, soit que la situation y fût véritablement monstrueuse ou simplement barbare dans son ensemble, tout cela dépendait d'une bonne douzaine de facteurs autres que les principes de répartition des hommes. 

Auschwitz Birkenau © JM Bergougniou

Par exemple, Dachau fut toujours le premier degré, ce qui, chez tout homme qui connaît les camps, ne peut que provoquer une sorte de rire donnant la chair de poule.


 Alors qu'il était encore du deuxième degré (il passa au premier degré le 28 avril 1944), Buchenwald connaissait depuis longtemps des conditions générales de vie meilleures qu'à Dachau. 


Auschwitz Birkenau © JM Bergougniou
Le seul avantage à demi réel qui pouvait, à l'occasion, résulter d'un degré supérieur était que la quantité de vivres allouée à l'ensemble du camp en question était quelque peu accrue. Mais, comme on le verra par la suite, ce serait une illusion de croire que, pour cette raison, le ravitaillement individuel des prisonniers était meilleur... 

Auschwitz 1 © JM Bergougniou



Il n'y avait d'ailleurs qu'un tout petit nombre de détenus qui savaient qu'il existait, en principe, une différence de catégorie. On savait seulement que c'était « mieux ici » ou « pire ailleurs », sans aucun rapport avec ces catégories officielles...






Auschwitz 1 © JM Bergougniou

En cinq ans, plus de 1 100 000 hommes, femmes et enfants meurent à Auschwitz, dont 900 000 le jour de leur arrivée, en général par train. Les victimes de ce que les nazis appelèrent la « Solution finale » et dont 90 % étaient juives, furent assassinées dans les chambres à gaz ou parfois exécutées par arme à feu, mais elles moururent aussi de maladies, de malnutrition, de mauvais traitements ou à la suite d'expériences médicales.

Auschwitz 1  © JM Bergougniou

En raison de sa taille, Auschwitz est considéré comme le symbole des meurtres de masse commis par les nazis et plus particulièrement comme celui de la Shoah, au cours de laquelle près de six millions de Juifs furent assassinés.

Le camp est prévu pour ceux que le régime nazi estime dangereux : suspects de résistance, hommes politiques, intellectuels, des Allemands condamnés par les tribunaux, des prisonniers politiques, ainsi que ceux que les nazis appellent des « éléments asociaux » : Tziganes, prostituées, homosexuels, handicapés, Témoins de Jéhovah, Juifs. 

Auschwitz 1  © JM Bergougniou

18 novembre 2024

Aviso Marne Pologne 1921 escadre de la Baltique Lituanie Prusse Memel Kaliningrad Copenhague

Aviso Marne escadre Baltique Pologne Memel Lituanie 1921

À la fin de la Première Guerre mondiale sont rétablis les États nouvellement indépendants de Pologne et de Lituanie, favorables à la division de la Prusse. 
Rappelons que Koenigsberg se nomme aujourd'hui Kaliningrad, que aujourd'hui c'est une enclave russe au coeur de l'Europe, car Kaliningrad a été annexée par l'URSS après la seconde guerre mondiale, c'est le siège de la flotte russe de la Mer Baltique...

Traité de Versailles

En 1920, le traité de Versailles consacre la création du territoire de Memel, constitué de la région prussienne située au nord du Niémen. Ce territoire est placé sous le contrôle de la Conférence des ambassadeurs et sous administration française. 


Ouest-Eclair 16 janvier 1923 

Le 3 février 1920, les premiers éléments du 21e bataillon de chasseurs débarquent dans le port de Memel, accompagnant les membres de la Commission administrative française chargée de gérer le territoire au nom des Alliés.



"Les traités de Versailles et de Saint Germain en Laye n'ont pas réglé, et de loin, tous les problèmes frontaliers. 

Liberté, fraternité, égalité


Il faudra attendre les traités de Riga (1920 et 18/0/1921) pour voir fixer leurs frontières avec la Russie (celles de la Lituanie avec la Lettonie furent définies par la "sentence" de Riga du 31 mars 1921).

 
13 juin 1921 Aviso Marne

Il demeurait toutefois un conflit de frontières entre Pologne et Lituanie, les deux Etats n'ayant qu'un étroit accès à la mer, couloir de Dantzig pour l'un (à l'ouest du territoire de Dantzig), couloir de Mémel pour l'autre.

Reval devenue Tallin en 1918

Aussi, en 1920 et les années suivantes, les Puissances victorieuses signataires du Traité de Versailles se doivent d'encourager les débuts difficiles de ces jeunes Etats et de veiller à éviter de nouveaux conflits. 
La France va entretenir une petite division en Baltique de 1920 à 1923.

Carte postale de Reval devenue Tallin 18-12-1920 

Cette division comprend trois avisos, la Marne, l'Oise et l'Ancre, (remplacée en 1922 par l'Aisne), soutenue par le pétrolier Durance. 

La division est basée à Copenhague, le capitaine de vaisseau chef de division ne commandant pas le bâtiment qui portait son guidon, et pour cause, puisque que, par tranche de neuf mois, chaque aviso passait 6 mois en Baltique et 3 mois à Cherbourg.



Pendant l'hiver 1921-1922, les bâtiments doivent hiverner à Copenhague, la Baltique occidentale ayant, pour la première fois depuis 1878 été bloquée par les glaces, la navigation étant totalement interrompue.

En juin et juillet 1922, la Division de la Baltique, rangée sous les ordres du contre-amiral commandant la "division volante de l'Atlantique" (marque sur le croiseur Jules Michelet) montrait le pavillon à Stockholm, Revel, Helsinfors, Riga, Memel, Dantzig, Copenhague, Göteborg, et Chritiana (Oslo). En janvier 1923, c'est avec le cuirassé Voltaire, accompagné de deux torpilleurs, que la division s'était rendue à Memel."


Ouest-Eclair 16 janvier 1933

"Rappelons que Memel est un ancien port prussien. le point extrême, au nord-est de la Prusse Orientale, qui s'allonge, sur la rive droite et tout près de l'embouchure du Niémen, dans la Baltique. La Lithuanie le revendique pour avoir un débouché sur la mer. Mais ce n'est probablement pas à Kovno que le coup de main en vole d'exécution a été comploté. On observera que les localités successivement occupées par les troupes irrégulières Pitkuponen, Pogegen, Bogelen, Heidekrug, s'-étagent sur la voie ferrée qui va de Memel à Tilsitt. en desservant l'ancienne bande de territoire prussien qui borde le Niémen. Il semble donc que la base de l'opération est la ville prussienne de Tilsitt, et ceci en dit long sur la signification et la portée du mouvement ordonné par le prétendu Comité su- périeur de secours à la Petite Lithuanie ». Nous sommes en présence d'une machination allemande. C'est la réplique de Berlin à l'occupation de la Ruhr. Mais le Reich fait trop bien le jeu des Lithuaniens pour que le gouvernement de Kovno ne cherche pas à tirer profit de l'aventure."


Ouest-Eclair 18 janvier 1923


Le 9 janvier 1923, l'armée lituanienne envahit le territoire au cours de la révolte de Klaipėda, grâce à l'aide de milices qui y étaient entrées clandestinement. La France, qui entreprend à la même époque l'occupation de la Ruhr, ne prend aucune mesure importante pour contrer la rébellion, alors que la garnison sur place est en large infériorité numérique (250 soldats contre 1 400 soldats et insurgés lituaniens). Le 19 janvier 1923, le territoire est annexé par la Lituanie, aux termes de combats qui font 12 morts lituaniens et 2 français.


L'Aviso Marne 

Mis en chantier à Lorient en 1916

il sera mis à flot le 25.11.1916 en n'entrera en service qu'en 1917

Caractéristiques : 566 t ; 5 000 cv ; 78 x 8 x 3,10 m ; 700 tpc ; 2 turbines Parsons ; 20 nds ; 103 h.

Armement : IV de 100 + III/IV de 65 + grenades ASM

Affecté à la 1ère escadrille de chasseurs de la division de Bretagne, entre 1920 - 1923 il est affecté à la division navale de la Baltique, basée à Copenhague

placé en disponibilité en 1923, il est réarmé en avril 1925et envoyé en Extrême-Orient directement rattaché aux FNEO, fera route avec Cassiopée jusqu'à Nouméa

https://www.netmarine.net/bat/pr/marne/ancien.htm

08 juin 2024

Pologne Trésor et Postes SP 311 Varsovie Tarnopol mission miltaire française Charles de GaulleJózef Piłsudski TRESOR ET POSTE 311 -7 8-19

Pologne Trésor et Postes SP 311 Varsovie Tarnopol




La France fut l’un des rares pays à soutenir la Pologne dans sa guerre contre les bolcheviques. Entre avril 1919 et octobre 1920, le général de brigade Paul Prosper Henrys dirigeait la mission militaire française en Pologne. Les Alliés voulaient même qu’il devienne le chef d’état-major de l’armée polonaise. Les Polonais étaient soutenus par le général Maxime Weygand, considéré aujourd’hui comme l’un des artisans de l’opération qui a consisté à arrêter l’avancée de l’Armée rouge.



Affecté comme instructeur dans une école d’infanterie auprès de l’armée polonaise lorsque celle-ci était formée en France, Charles de Gaulle rejoindra ensuite avec elle la Pologne. En juillet et en août 1920, au moment où le danger fut e plus grand, il a combattu sur le front, ce qui lui a valu d’être décoré de la plus haute médaille militaire polonaise, Virtuti Militari. 

Membres de la Mission militaire française avec des officiers polonais, Varsovie, 1920. (c) NAC
La Mission Militaire Française présente sur le sol polonais dès 1919, sous le commandement du général Paul Prosper Henrys, a été composée de 400 officiers instructeurs qui ont eu pour tâche principale de former et conseiller les officiers de l’Armée polonaise nouvellement créée. La Mission a contribué à l’amélioration de l’organisation de l’Armée polonaise.

Le général Weygand au Palais Krasiński, entouré des lettres et des cadeaux reçus des Polonais
en reconnaissance de son aide lors de la Bataille de Varsovie. (c) Musée de l’Armée
Issue de la volonté politique du maréchal Józef Piłsudski et du Président Raymond Poincaré, la création d’une Mission militaire française en Pologne permit de sceller concrètement l’entente politique et militaire qui liait Paris et Varsovie à l’issue du premier conflit mondial. Elle réunit également les deux armées autour d’un objectif commun : réinstaurer la Pologne en tant que pays souverain et force militaire.


La France, attachée à l’indépendance de la Pologne et consciente de la menace bolchévique, a également délégué en Pologne le général Maxime Weygand dans le cadre de la mission technique des Alliés, qui est devenu conseiller du Commandant en chef des forces polonaises Józef Piłsudski.


Lors de la guerre polono-bolchevique en 1920 et de la bataille de Varsovie, le commandement polonais était conseillé par les officiers de la Mission militaire française. Parmi les instructeurs figurait le jeune capitaine Charles de Gaulle, arrivé en Pologne avec l’Armée Bleue du général Haller. 

Il a été promu commandant en 1920, peu avant la bataille de Varsovie. Dans son carnet consacré à la bataille de Varsovie, De Gaulle évoquait l’héroïsme de ses frères d’armes polonais ainsi que la force de l’ennemi. En 1922, par décret de Józef Piłsudski, Charles de Gaulle a été décoré de la croix polonaise Virtuti Militari pour sa participation au « miracle de la Vistule ».


Paris a par ailleurs doté de 120 chars Renault FT-17 l’Armée Bleue du général Józef Haller, créée en 1917 en France, qui a également combattu dans la guerre polono-bolchevique.



L’un des plus importants alliés de la Pologne fut le maréchal Ferdinand Foch, devenu par la suite maréchal de Pologne, honoré dans de nombreuses villes polonaises de noms de rues et de places.



Sources

https://pl.ambafrance.org/La-Mission-Militaire-Francaise-en-Pologne-et-le-jeune-capitaine-Charles-de#:~:text=La%20Mission%20Militaire%20Fran%C3%A7aise%20pr%C3%A9sente,l'Arm%C3%A9e%20polonaise%20nouvellement%20cr%C3%A9%C3%A9e.



16 juillet 2023

Envelopmer - reprise des activités - Marcophilie navale Pologne Varsovie

Envelopmer - reprise des activités - 



Hôpital Bielanski Varsovie


Les choses ne se passent que rarement comme prévues... Parti pour 3 semaines en Pologne avec un possible voyage en Mazurie et en Lituanie dans la nuit du quatrième jour, mon coeur a décidé de faire des siennes. 



Rapidité de l'équivalent du Samu local, de la prise en charge aux urgences cardiologiques, compétence du personnel hospitalier, moyens techniques au top (merci l'Europe) me voici de retour après une douzaine de jours en soins intensifs  à l'hôpital Bielanski de Varsovie. 


Merci aux amis polonais pour leur présence et assistance de tous les instants. Pas facile de communiquer quand on ne parle pas une langue et quand la connaissance de l'anglais a ses limites techniques et médicales.

On va pouvoir reprendre nos chroniques philatéliques petit à petit.


Hôpital Bielanski Varsovie

C'est reparti...

30 juin 2023

Varsovie Cathédrale Notre-Dame Reine de la couronne polonaise Armée polonaise guerre 39 45 Pologne agence marine

 Varsovie Cathédrale Notre-Dame Reine de la couronne polonaise  Armée polonaise

 La cathédrale Notre-Dame Reine de la couronne polonaise est la principale église de garnison de Varsovie. Elle représente toute les armées polonaises dont la marine avec une ancre et une hélice encadrant la porte d'entrée.


Actuellement, toutes les grandes fêtes religieuses militaires de Varsovie s'y déroulent.




En 1915 quand les Russes quittent face à l’armée allemande, ceux-ci l’utilise comme dépôt. A la fin de la guerre, la Pologne ayant retrouvé son indépendance, l’église est reconstruite sur des dessins du XVIIe siècle.
Elle est devenue le siège de l'évêque de campagne de l' armée polonaise.
Timbres gouvernement polonais en exil Série 1941  sur une lettre recommandée envoyée par l'agence postale de la marine polonaise n° 1, cachets de la censure britannique au verso.


Pendant le soulèvement de Varsovie en 1944, la cathédrale est l'une des églises fréquemment ciblées par la Luftwaffe. De violents combats ont lieu pour l'occupation des ruines, car la tour ouest préservée est utilisée comme poste d'observation. Parallèlement, les caves du monastère et les cryptes sous l'église servaient d’hôpital de campagne.
Les vestiges de l'église, ainsi que l'hôpital, ont été détruits par un bombardement aérien allemand le 20 août 1944

La façade avant est marquée par un grand tympan avec au sommet une sculpture représentant la Sainte Marie et flanqué de deux tours basses. Des deux côtés de l'entrée principale, il y a un certain nombre de tablettes de pierre commémorant les unités militaires polonaises notables du passé, ainsi qu'une ancre et une hélice symbolisant deux branches des forces armées polonaises.

Gouvernement polonais en exil en Angleterre 1941 1ère émission  une série de timbres sur  lettre recommandée postée à l'agence maritime n° 12


1945 secours et aide polonais 1ère édition du Gouvernement polonais en exil à Londres - POLSKA MARYNARKA HANDLOWA; lettre recommandée du Portugal envoyée dans une agence

L'ASTROLABE DDU 18-2-2025 Départ de l'Astrolabe début hivernage 75e mission facteur Dumont d'Urville TAAF

Départ de L'ASTROLABE DDU  18-2-2025 Derniers Adieux  Photo  © Adèle Philippe Il est 23h à notre montre, le mardi 18 Février 2025 quand ...