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22 septembre 2013

Fluctuat Nec Mergitur la Police Judiciaire a 100 ans 2013 1913

Fluctuat Nec Mergitur 
36 quai des Orfèvres
La Police judiciaire a 100 ans

Il doit son nom aux orfèvres établis sur le quai bâti entre 1580 et 1643. Les rues Sainte-Anne et de Jérusalem y débouchaient au niveau des numéros 12-14 et 24-26, et le reliaient à la rue de Nazareth, sa parallèle.
Ici naquirent Boileau et Voltaire, et résidait le premier président du Parlement, dans l'ancien hôtel du baillage devenu à la Révolution le domicile du maire de Paris. Affecté en 1800 à la préfecture de police nouvellement crée, il disparut dans l'incendie allumé sous la Commune en mai 1871.

La Préfecture de Police de Paris

Depuis sa création en 1800, la préfecture de police, dont le siège se trouve à Paris, au coeur de l’Île de la Cité, est une administration unique en France. Force humaine, force opérationnelle, force d’innovation et de modernisation, elle met depuis deux siècles ses multiples compétences au service de la population.


La direction régionale de la police judiciaire lutte contre la grande délinquance à Paris et dans les trois départements de la petite couronne. Face aux nouvelles formes de criminalité et de délinquance organisées, la police judiciaire développe sans cesse des réponses adaptées. Entre autres priorités, elle a mis en place des unités spécialisées pour combattre la cybercriminalité, l’économie souterraine et la délinquance financière, dont les ramifications ne connaissent pas de frontières.



Les infractions criminelles les plus graves sont poursuivies par six brigades spécialisées : brigade criminelle, brigade de recherche et d’intervention, brigade de répression du banditisme, brigade de répression du proxénétisme, brigade de protection des mineurs, brigade des stupéfiants. La PJ participe au dispositif de coordination francilien en matière de trafics de stupéfiants, de vols à main armée et de trafics d’armes.


Clemenceau (le tigre)  est élu sénateur du département du Var en 1902, bien qu'il ait critiqué dans sa jeunesse l'institution anti-républicaine du Sénat et de la présidence de la République, il est nommé ministre de l'Intérieur en 1906, se désignant lui-même comme le « premier flic de France ».


Elle a également lancé une grande offensive contre les trafics de drogue dans la capitale : répression accrue, notamment dans les établissements de nuit, enquêtes sur le patrimoine des trafiquants et de leur famille, saisie des avoirs criminels, recherche des trafiquants en fuite, etc.




La répression de la délinquance « en col blanc » relève de la compétence de la sous-direction des affaires économiques et financières. Les sept brigades qui la composent, comme la brigade d’enquête sur les fraudes aux technologies de l’information (Befti) ou la brigade financière, élucident les crimes et délits informatiques, recherchent les personnes disparues, luttent contre les fraudes aux nouveaux moyens de paiement, les escroqueries à la carte bancaire, les extorsions de fonds ou encore les infractions à la législation sur les sociétés.


Le bâtiment a été construit entre 1875 et 1880, sur les plans des architectes Émile Jacques Gilbert et son gendre Arthur-Stanislas Diet, à l'emplacement de l'ancien hôtel du premier président de la Cour d'appel de Paris, qui fut détruit par l'incendie volontaire survenu lors de la Commune le 24 mai 1871, et qui détruisit également une bonne part du Palais de justice mitoyen.

Maigret:  une légende 

La Préfecture de police de Paris a donc dû quitter son ancien emplacement, et fut installée dans de nouveaux locaux, par Jules Ferry, dans une partie des bâtiments du Palais de Justice qui venait d'être reconstruit au 36, quai des Orfèvres.

Un autre grand de la BD qui situe son personnage, Nestor Burma, devant le 36

Sur le quai de cet hôtel se tenait un marché aux volailles et des rôtisseries, d'où le sobriquet de poulet donné aux policiers. Une autre version mentionne que Jules Ferry affecte à titre provisoire au Préfet de Police la caserne de la Cité (qui en est toujours le siège) suite à cet incendie, cette caserne ayant été bâtie sur l'emplacement de l'ancien marché aux volailles de Paris, d'où l'expression de « maison Poulaga » pour désigner le 36, quai des Orfèvres.


Étudiant en architecture aux Beaux Arts, Jacques de Loustal fait ses débuts dans le fanzine Cyclone édité par des élèves du Lycée de Sèvres où il publie en 1977, à l’âge de 21 ans, son premier album, sans titre, en collaboration avec Tito, créateur de Cyclone. Puis, tout en poursuivant ses études, il réalise des illustrations pour le magazine Rock & Folk où il rencontre Philippe Paringaux. Ce dernier lui écrira plusieurs scenarii de bandes dessinées publiées dans les magazines Métal hurlant et (À suivre). Ensemble, ils signent plusieurs albums dont le mythique Barney et la note bleue, ainsi que New York Miami, Clichés d’Amour, Cœurs de sable, Kid Congo, Le sang des voyous, etc.


Loustal a travaillé avec des écrivains tels Jérôme Charyn (Les frères Adamov, White Sonya) ou Jean-Luc Coatalem (Jolie mer de Chine et Rien de neuf à Fort Bongo) dont il a illustré les romans et histoires ou qui ont écrit autour de ses dessins. Il a signé, en 2008,Coronado, une adaptation en bande dessinée d’une nouvelle de Dennis Lehane et publié, en 2010, avec Tonino Benacquista au scénario, Amours insolentes – 17 variations sur le couple. Il fait un important travail d’illustration autour de l’œuvre de Georges Simenon pour les Éditions Omnibus et publie régulièrement des livres pour enfants.





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