ATHOS et ARAMIS en escale à Rochefort
« Aramis » fait escale pour laisser ses archives et… permettre aux habitants de sa ville marraine, dans la Creuse, de venir le voir.
Les curieux qui observent de loin les bateaux à quai, au port de commerce, ont pu observer la présence d'un bateau militaire depuis hier matin. Arrivé vendredi matin à 10 heures, le patrouilleur « Aramis » reprendra la mer lundi midi. Basé à Bayonne avec un autre patrouilleur « Athos » (1), il avait
pour mission principale de surveiller le champ de tirs du centre d'essais de lancement des missiles des Landes.
pour mission principale de surveiller le champ de tirs du centre d'essais de lancement des missiles des Landes.
Le lieutenant de vaisseau Clémence Raphat, 29 ans, commande le patrouilleur « Aramis ».© PHOTO DAVID BRIAND
La fermeture de la base navale de l'Adour à Anglet conduit les deux patrouilleurs de 32 mètres armés par 12 hommes à changer d'affectation : ils vont être employés par la gendarmerie maritime de Cherbourg.
Dans le cadre de ce désarmement, le patrouilleur construit (2) à Cannes au début des années 80 a effectué un premier versement de ses archives au Service historique de la Défense, en charge de la collecte des archives des unités marines implantées sur le littoral atlantique depuis le Nord de la Vendée jusqu'à frontière espagnole.
Commandé par le lieutenant de vaisseau Clémence Raphat, 29 ans, le patrouilleur avait aussi une autre bonne raison de venir à Rochefort. Il se rapproche de la Creuse et de sa ville marraine (depuis 2013) de Saint-Martin-Sainte-Catherine. 45 habitants de cette commune de 400 âmes sont attendus pour rencontrer l'équipage. Un déplacement plus court que de se rendre à Bayonne en effet : 3 h 31 contre 5 h 12, selon le site Viamichelin.
D. B.
(1) Il devait l'accompagner à Rochefort mais il a été victime d'un problème technique. (2) C'est le dernier bâtiment à coque en bois (acajou, peint en gris) de la Marine nationale.
Clémence Raphat faisait partie de l'équipe de Rugby de la Jeanne d'Arc lors de la dernière mission 2009/2010 et à joué longtemps à Brest.
La fermeture de la base navale de l'Adour à Anglet conduit les deux patrouilleurs de 32 mètres armés par 12 hommes à changer d'affectation : ils vont être employés par la gendarmerie maritime de Cherbourg.
Dans le cadre de ce désarmement, le patrouilleur construit (2) à Cannes au début des années 80 a effectué un premier versement de ses archives au Service historique de la Défense, en charge de la collecte des archives des unités marines implantées sur le littoral atlantique depuis le Nord de la Vendée jusqu'à frontière espagnole.
Commandé par le lieutenant de vaisseau Clémence Raphat, 29 ans, le patrouilleur avait aussi une autre bonne raison de venir à Rochefort. Il se rapproche de la Creuse et de sa ville marraine (depuis 2013) de Saint-Martin-Sainte-Catherine. 45 habitants de cette commune de 400 âmes sont attendus pour rencontrer l'équipage. Un déplacement plus court que de se rendre à Bayonne en effet : 3 h 31 contre 5 h 12, selon le site Viamichelin.
D. B.
(1) Il devait l'accompagner à Rochefort mais il a été victime d'un problème technique. (2) C'est le dernier bâtiment à coque en bois (acajou, peint en gris) de la Marine nationale.
Clémence Raphat faisait partie de l'équipe de Rugby de la Jeanne d'Arc lors de la dernière mission 2009/2010 et à joué longtemps à Brest.