Entre le bien et le pire Choisissons le pire
Bonjour à tous,
Le peuple Français et ses élites ne manquent jamais d’étonner. Ils croient s’avancer, guidés par les figures tutélaires de Georges CLEMENCEAU et de Charles de GAULLE. Pourtant à y regarder de plus près, dans la pratique, tous suivent le chemin tracé par Georges COURTELINE et Alphonse ALLAIS. Il est bien certain que si nous y perdons en grandeur nous y gagnons en fantaisie.
Prenons le sujet du moment, les frégates FREMM ( frégates multi-missions). Prétextant la crise, le ministère hésite à poursuivre la construction de ces excellents bâtiments. Seraient construits, en lieu et place, des bâtiments plus petits, bons à rien et mauvais à tout. Pour la multitude ces économies de bouts de chandelles seront du meilleur effet. Naturellement son prix après réflexions, reculs et tergiversations sera aussi élevé que celui des FREMM ; C’est ce que l’on pourrait appeler la « french touch » payer plus cher pour avoir moins et moins bien.
Je m’en ouvrais à mon ami, le cap’tain CAP. Il me rassura immédiatement : « En période de crise il est bon de souffrir pour se donner l’impression d’agir. Nos édiles qui ont fait leurs humanité dans les meilleurs établissements Jansénistes ne manquent jamais d’y ajouter un cilice ».
Enfin rasséréné je pus poursuivre mon chemin.
Le ciel vous tienne en joie et à la semaine prochaine.
DONEC
Bonjour à tous,
Le peuple Français et ses élites ne manquent jamais d’étonner. Ils croient s’avancer, guidés par les figures tutélaires de Georges CLEMENCEAU et de Charles de GAULLE. Pourtant à y regarder de plus près, dans la pratique, tous suivent le chemin tracé par Georges COURTELINE et Alphonse ALLAIS. Il est bien certain que si nous y perdons en grandeur nous y gagnons en fantaisie.
Prenons le sujet du moment, les frégates FREMM ( frégates multi-missions). Prétextant la crise, le ministère hésite à poursuivre la construction de ces excellents bâtiments. Seraient construits, en lieu et place, des bâtiments plus petits, bons à rien et mauvais à tout. Pour la multitude ces économies de bouts de chandelles seront du meilleur effet. Naturellement son prix après réflexions, reculs et tergiversations sera aussi élevé que celui des FREMM ; C’est ce que l’on pourrait appeler la « french touch » payer plus cher pour avoir moins et moins bien.
Je m’en ouvrais à mon ami, le cap’tain CAP. Il me rassura immédiatement : « En période de crise il est bon de souffrir pour se donner l’impression d’agir. Nos édiles qui ont fait leurs humanité dans les meilleurs établissements Jansénistes ne manquent jamais d’y ajouter un cilice ».
Enfin rasséréné je pus poursuivre mon chemin.
Le ciel vous tienne en joie et à la semaine prochaine.
DONEC
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