10 juin 2020

PHM Commandant Blaison BCRM Brest

PHM Commandant Blaison 

BCRM Brest



A l'initiative du bord, la section Bretagne de la Marcophilie navale a réalisé un tampon de service pour le PHM Commandant Blaison.




Les patrouilleurs de haute-mer (PHM) sont des unités polyvalentes et optimisées pour assurer la défense maritime du territoire. Leur spectre d’emploi est large : lutte anti-sous-marine dans les eaux côtières, participa­tion à des missions d’embargo, soutien, protection et entraînement des sous-marins, défense des approches maritimes, sauvegarde maritime. Véritables sentinelles maritimes, les PHM peuvent assurer ponctuellement des missions de présence, notamment dans le golfe de Gui­née, et de soutien de la dissuasion.


Missions

Connaissance – Anticipation – Prévention – Protection – Dissuasion

Équipement - Armement
1 radar de navigation, 1 radar de veille surface-air, 1 radar de conduite de tir, 1 sonar de coque, 1 bruiteur remorqué NIXIE, système de transmissions par satellite

1 tourelle de 100 mm, 2 canons de 20 mm, 4 mitrailleuses de 12,7 mm

1 système d’autodéfense anti-aérienne SIMBAD (missiles Mistral)

Caractéristiques

Longueur : 80,5 m
Largeur : 10,3 m

Déplacement : 1 250 tonnes
Vitesse : 24 nœuds

Équipage : 85 marins

Le PHM Commandant Blaison a été admis au service actif le 28 avril 1982


Lapalisse est la ville marraine du patrouilleur de haute-mer Commandant Blaison. (Attention de ne pas confondre avec avec La Pallice - 17)

Le nom de Lapalisse apparaît pour la première fois sur une ancienne carte du XIIème siècle (en 1165) où il est question d'une chapelle (Capella di Palicia). La famille des premiers seigneurs de La Palice s'est installée là à cette époque, après avoir porté le nom des seigneurs de Lubié, de la Motte des Noyers (à 1500 m de là une ferme porte encore ces deux noms : cette motte féodale contrôlait le passage sur la Besbre, l'une des fortifications primitives de Lapalisse.)

En 1429, le Duc Charles de Bourbon acquit la seigneurie de La Palice de Jeanne de Châtillon, et la revendit pour 6000 écus d'or en 1430 à jacques 1er, l'un des deux derniers représentants de la maison de Chabannes, ancienne famille dont les origines sont antérieures à l'an 1000. Cette somme provenant d'une partie des rançons des chevaliers anglais capturés au siège d'Orléans. Jacques 1er et son frère Antoine, Comte de Dammartin, furent parmi les grands capitaines qui, à l'exemple de Jeanne d'Arc et avec elle, contribuèrent à lutter victorieusement contre les anglais durant la guerre de 100 Ans.



« Un quart d'heure avant sa mort, il était encore en vie »

Jusqu'à la révolution, Lapalisse s'écrivait en deux mots : mais l'orthographe variait soit en La Palice soit en La Palisse. En 1789, la ville s'est définitivement écrit Lapalisse.
Des changements importants sont intervenus au XVIIIème siècle : en 1753, le grand chemin de Lyon fut tracé et provoqua l'abattement d'une partie des murailles, témoignage rue Billaudy et rue de la Liberté.

A partir du noyau ancien, resserré au pied du Château, la ville s'est développée suivant les principaux axes de communication (RN7, RD243, RD61, RD990, RD 7 , RD48) générant ainsi une urbanisation en étoile.

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