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03 décembre 2025

Carte du cuirassé Richelieu via Marseille Etranger sur une carte interzones Pétain Dakar 1942

Carte du cuirassé Richelieu via Marseille Etranger sur une carte interzones 1942

Encore une carte interzones Pétain 80c qui ne paie pas de mine mais qui est fort interessante... car elle provient du cuirassé Richelieu à Dakar en 1942.

Essayons de retracer l'histoire des cartes interzones de 1942 et la correspondance du cuirassé Richelieu depuis Dakar via Marseille – Gare Étranger.


Petit rappel

Flamme Marseille Gare 18-IV-1942/ Sarcelles 23-4-42
Timbre Pétain 80c 
tampon triangulaire T  Taxe à percevoir 50 centimes 
le tarif passe le 5 janvier 1942 de 80 centimes à 1,20 franc

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les liaisons postales entre les territoires de l’Empire français, les forces navales stationnées outre-mer et la métropole sont sévèrement restreintes. À partir de 1940, seules des cartes interzones, formulaires très réglementés et soumis à la censure, permettent encore un échange minimal entre marins et familles.

Rôle et caractéristiques des cartes interzones

Les cartes interzones sont des documents postaux officiels, préimprimés et limités en espace d’écriture, destinés à maintenir un lien strictement contrôlé entre des zones séparées par la guerre.

Elles étaient soumises à la censure militaire et civile, limitées à un texte très court, réservées aux échanges entre territoires occupés, zones non occupées et colonies,

acheminées par des circuits très spécifiques et souvent lents.

Le cuirassé Richelieu et les contraintes postales à Dakar



Arrivé à Dakar en juin 1940, le cuirassé Richelieu se trouve isolé du reste de la Marine française et soumis aux directives du gouvernement de Vichy.

Les communications avec la France sont rares, strictement réglementées, dépendantes des lignes postales coloniales, systématiquement contrôlées.



Tout courrier destiné à la métropole passe obligatoirement par : Marseille – Gare Étranger, le grand centre de tri du courrier colonial, militaire et maritime.

Cachet “MARSEILLE – GARE ÉTRANGER” du 18-IV-1942

Au 18 avril 1942 le Richelieu est toujours immobilisé à Dakar et n’a pas encore rallié les Forces Navales Françaises Libres (ce qui n’aura lieu qu’en novembre de la même année).

Ce cachet indique le passage obligatoire dans le bureau de tri spécialisé dans le courrier colonial, les correspondances navales, les cartes interzones.

Taxe postale de 50 centimes

La carte est frappée d’une marque “T” (insuffisance d’affranchissement), d’un timbre-taxe de 50 centimes,

d’un timbre à date annulant  le timbre taxe  - Sarcelles - 23-4-1942.

Le tarif de 50 c. correspond à la pénalité appliquée lorsque : l’affranchissement était irrecevable pour une carte interzones, ou que le formulaire utilisé ne respectait pas parfaitement les règles imposées.

L’affranchissement initial d’un timbre Pétain 80 c n’entrait pas dans les normes strictes des cartes interzones. D’où l’application automatique de la taxe à l’arrivée.

Expéditeur : un matelot armurier du Richelieu

La partie manuscrite qu'il faut déchiffrer pour la deuxième ligne :

« Matelot armurier / Marif. A.B.L. / Richelieu – par Marseille-Gare Étranger / France » 

Ce type d’adressage est typique des forces navales stationnées hors de France : le marin mentionne son bâtiment, et la Poste redirige automatiquement via Marseille-Gare Étranger.

Parcours postal probable

Rédaction à bord du Richelieu et transmission via la Poste navale de Dakar

Censure locale (coloniale ou militaire)

Acheminement maritime ou aérien vers la métropole via le Maroc

Entrée en France → Marseille – Gare Étranger le 18 avril 1942 - passage de la ligne de démarcation vers Sarcelles - Application de la taxe de 50 c à Sarcelles - Distribution au destinataire en métropole


le texte 


Bord le 12 avril 1942. 

Chers parents, un petit mot pour vous donner de mes nouvelles qui sont toujours bonnes. Pour René Aubry, c'est lui même qui doit m’envoyer une feuillet  pour que je puisse lui expédier  du bord ou payer les cigarettes 35 francs les 25 paquets, Il y en a à volonté.  Si il n'était pas possible d'en expédier, papa fumerait toutes la journée.  J'ai envoyé 5 kilos de café chez Valen. Comme il m'avait donné 100 francs et que j'ai payé 130, il vous en enverra 1 kilog quand il l'aura comme ça on sera quitte.  Dites-le lui. Je suis en train de faire un colis de savon, il partira dans le courant de la semaine. Je vous quitte en vous embrassant tous les deux. 

André.


20 novembre 2025

Ecrire en France dans les années 1940 1943 Carte Pétain complément de Taxe Perçue 1942

Carte Pétain complément de Taxe Perçue 

carte 80 c Pétain brun sur chamois

Du 26 septembre 1940 au 1er mars 1943 la correspondance interzone ne peut se faire qu’au moyen d’entiers cartes postales sur lesquels les Allemands interdisaient l’apposition de timbres mobiles pour empêcher tout message clandestin au verso.


carte 80 c Pétain blanc
C'est d'abord la carte 80 c Pétain brun sur chamois puis sur carton blanc couché (pour éviter les messages à l’encre sympathique) et à partir du 1er mars 1942 les cartes 1,20 F brun rouge.






carte 80 c Pétain brun taxée






carte 80 c Pétain taxée au double de l'insuffisance
soit 80c


Lors du changement de tarif de la carte postale début 1942 (1F20 au lieu de 80c), l'interdiction d'apposer des timbres-poste pour le complément d'affranchissement sur les cartes à 80c utilisées dans les échanges interzones peut être palliée par les entreprises par l'apposition d'empreintes de machines à affranchir en attendant l'approvisionnement des nouvelles cartes à 1F20.


 "COMPLEMENT / DE TAXE / PERÇU" dans un cadre rectangulaire

Les anciennes cartes encore stockées par l'administration des postes sont surchargées en métropole "COMPLEMENT / DE TAXE / PERÇU" dans un cadre rectangulaire.

Une tolérance est appliquée pour le courrier interzones jusqu'au 28 février, à savoir que les cartes interzones à 80c entre les zones peuvent encore être utilisées sans taxe à l'arrivée. Mais les cartes à l'intérieur de chaque zone doivent, elles, être affranchies à 1F20.

Lorsque les cartes à 80c sont utilisées dans la correspondance interzones après le 1er mars 1942, elles sont taxées à l'arrivée au double de l'insuffisance.




23 novembre 2024

Naufrage du Lamoriciere Jumiège Aviso Impétueuse 1942 Minorque

SS Lamoricière  Aviso impétueuse naufrage





Le 6 janvier 1942 à 17 heures le paquebot " Lamoricière" de la "Compagnie Générale Transatlantique" quitte Alger pour Marseille. Le paquebot est commandé par Joseph Milliasseau et à son bord il y a 272 passagers et 120 hommes d'équipage. Les passagers sont des fonctionnaires et militaires affectés en Afrique du Nord, des résidents d'Algérie venus passer les vacances sur le continent et des enfants rentrant de colonie de vacances ou de séjours dans des familles d'accueil.



Le 7 janvier 1942 à 22h54, le paquebot capte un SOS du cargo "Jumiège" en perdition au large de Minorque. Le commandant Milliasseau décide de tenter de lui porter secours, mais le cargo demeure introuvable.

Près des iles Baléares, le paquebot fait alors face à une mer de force 9 avec des vagues de 7 mètres.

Le 8 janvier le "Lamoricière" à son tour subit de graves avaries, l'eau s'engouffre dans les soutes à charbon par les "portelones" déformées par les chocs des paquets de mer, provoquant une forte gite sur bâbord. A 17h10 le paquebot émet un signal de détresse.


Le "Lamoricière" avait été modifié pour passer d'une propulsion au fuel à une propulsion au charbon, le fuel étant réquisitionné par les troupes allemandes d'occupation. Cette modification du navire avait conduit à construire des "portelones", portes de chargement du charbon ouvertes dans la coque et présentant une étanchéité médiocre, et a pour conséquence de limiter la vitesse (vitesse max passe de 18 à 10 nœuds) et la puissance du bateau par l'utilisation du charbon qui en outre est de qualité médiocre.


Le 9 janvier, dans des vagues de 12 mètres et des vents de force 9, la gite bâbord du paquebot s'accentue, le charbon humide brûle mal et diminue encore la puissance du navire qui peine à faire face aux vagues déferlantes.


Les paquebots "Gouverneur Général de Gueydon" et " Gouverneur Général Chanzy" ainsi que l'aviso "l'Impétueuse", alertés par les messages de détresse émis par le paquebot "Lamoricière", ont rallié la zone et tentent de passer une remorque au navire en perdition. Mais toutes les tentatives de remorquage échouent.


A 16h l’aviso l’Impétueuse arrive sur les lieux et récupèrera une heure plus tard un radeau avec 15 passagers épuisés dont Maguy Dumont Courau qui, à son retour, publia le récit de ce drame. Parmi ces 15 rescapés figurait un enfant. Elle recueille sur l’Impétueuse ce bref témoignage : « Dans la cabine voisine, je vois le jeune homme blond de notre groupe. Il a 16 ans et faisait partie du groupe de l’œuvre Guynemer. Il est couché et n’a pas l’air très bien. «J’ai nagé tellement longtemps avant de rallier le radeau», explique-t-il. Tous ses camarades, ont péri sous ses yeux dans une embarcation brutalement renversée... ». Maguy Dumont Courau qui perdit son mari dans le naufrage décèdera à l’âge de 101 ans.

A 11 heures le 9 janvier l'ordre d'évacuation est donné. Les embarcations bâbord, les seules accessibles, sont mises à l'eau et des matelots courageux parviennent à sauver quelques vies, mais de nombreux passagers et membres d'équipages disparaissent dans une mer démontée.

Le 9 janvier 1942 vers 12h35 le paquebot coule à la latitude de 40°38N et la longitude de 04°38E près des côtes de Minorque.

La tragédie fait 299 victimes dont 80 membres d'équipage, y compris le commandant Milliasseau.

Les rescapés, sont recueillis par les 3 navires présents sur la zone de naufrage.


Catastrophes maritimes Le mardi, 6 janvier, le paquebot « Lamoricière » quittait Alger pour Marseille avec des passagers et une cargaison de fruits. La mer était houleuse, sans plus. Mais, dans la nuit de mercredi, le bateau en se portant au secours du cargo français « Jumièges » en détresse, fut pris dans une épouvantable tempête. Les rafales l'inclinaient dangereusement. La cargaison de fruits fut transportée de tribord à bâbord pour rétablir l'équilibre. Jeudi après midi l'eau commence à suinter à travers la coque. Les pompes entrent en action ; l'équipage et ies passagers font la chaîne et avec des sceaux travaillent à vider les cales. Le soir, une voie d'eau se déclare... Les machines sont inondées, la lumière s'éteint. Le « Lamoricière » lance le S.O.S. Le paquebot « Gouv. Général Gueydon » arrive, essaye de lui passer une haussière : en vain. Vendredi, à 11 h., un navire de guerre et le « général Ghanzy » arrivaient à leur tour. Le commandant du Lamoricière croit pouvoir faire évacuer femmes et enfants sur les trois bateaux sauveteurs. Pendant l'opération, la tempête redouble, le « Lamoricière » donne de la bande, il s'enfonce par l'arrière;  à midi 40, il avait disparu. Ses passagers, son équipage étaient maintenant tous à la mer. Tragique spectacle. Des centaines d'êtres humains étaient le jouet des vagues hautes de 10 mètres. Ils disparaissaient, reparaissaient. Les trois bateaux sauveteurs ne pouvaient que croiser sur les lieux et laisser traîner en mer toutes leurs cordes et leurs filins dans l'espoir de voir les naufragés s'y accrocher. Leurs équipages travaillaient de toutes leurs forces au sauvetage : tel marin de l'Etat se fit descendre par une corde au ras des flots pour happer quelques survivants... Il y a bien des rescapés... mais il y a aussi hélas ! 290 disparus : parmi lesquels le commandant et le chef mécanicien, morts à leur poste. Du « Jumieges » au secours duquel le « Lamoricière » se portait, on n'a pas trouvé de traces. Il a été perdu corps et biens.


La Croix de la Lozère 18-01-1942

13 octobre 2022

1942 Ecole service de santé Montpellier 1942

 1942 Ecole service de santé Montpellier


Le vendredi 28 Juin 1940 arrive en gare de Montpellier, après un long arrêt en gare de Sète pour passer de la traction électrique à la traction vapeur, un train spécial en provenance de Bordeaux avec à son bord 120 élèves de l’ Ecole de Santé Navale et Coloniale.

Bordeaux se trouvant en « zone occupée », l’École de Santé Navale, comme les autres Écoles Militaires, ne pouvait rester sous la coupe de l’occupant.



Les « Navalais », nom familièrement employé pour désigner les élèves de l’École de Santé Navale, de la dernière promotion de médecins et de pharmaciens entrée en 1939 (tous les autres étaient partis sur le front dans des régiments coloniaux ou affectés sur des bateaux – ils rejoindront Montpellier durant l’été sauf ceux qui auront été tués ou faits prisonniers -) arrivent donc dans une complète désorganisation et les autorités préfectorales, militaires et universitaires vont rapidement trouver des solutions.

Les élèves seront logés, en attendant de rejoindre le Pavillon Colonial de La Cité Universitaire, au Lycée de Jeunes Filles, à l’Enclos Saint François, à la Caserne de Lauwe et au Sanatorium Bon Accueil (pour femmes) qui deviendra la Clinique Lavalette où ils recevront en guise de verres, les crachoirs paraffinés destinés aux tuberculeux



Fin Décembre 1942 ils sont « priés » par l’occupant de quitter rapidement la Cité U pour l’Asile d’Aliénés de Font d’Aurelle. Remarques amusantes en ces temps tristounets à Bordeaux l’École occupait un ancien Asile d’Aliénés. Elle a quitté la ville où se trouvent les Trois Grâces sur la Place de la Bourse, (bronze de Visconti – 1865) par la Gare Saint Jean pour arriver à la Gare (Saint Roch) et retrouver les Trois Grâces (marbre de Carrare de d’Antoine – 1767) Place de la Comédie et l’Hôpital Saint Charles a remplacé l’Hôpital Saint-André. Les locaux de Bordeaux avaient été un ancien Séminaire en 1821, comme la caserne de Lauwe le fût lors de sa construction en 1870. Étranges coïncidences ! […]



Pour moi je suis toujours en perm. En effet les vacances d'abord écourtées par un rappel à Montpellier du fait de l'occupation de l'école par les Allem sont maintenant prolongées jusqu'à ce qu'un nouvel avis nous fasse revenir à Montpellier. Nous sommes transférés à l'asile de Font d'Aurelle où Monsieur TRIRAS (?) a été interne. ... A Montpellier j'avais perdu près de 5 kgs...


Sources :



21 novembre 2021

St Nazaire attaque du commando anglais chariot 1942 contre torpilleur Kléber 1947 Cérémonie

 Saint-Nazaire attaque du commando anglais Chariot 1942

1947 contre torpilleur Kléber 

cérémonie commémorative de 1947
en présence du Kléber

L’opération Chariot est le nom du raid britannique sur le port de Saint-Nazaire. Mené par les Combined Operations de Lord Mountbatten, le raid a pour but de rendre inutilisables certains équipements du port et en particulier la forme Joubert qui faisait de Saint-Nazaire le seul port de France à pouvoir accueillir le Tirpitz.

Monument commémoratif de l'Opération Chariot du 28 mars 1942. 

Le 27 mars 1942, 611 commandos volontaires à bord du destroyer
Ce menhir, érigé après la libération, est aujourd'hui situé dans le quartier du Petit-Maroc, à proximité du Vieux Môle. Il rend hommage au courage des soldats britanniques qui ont participé à l'opération Chariot.Campbeltown, de deux torpilleurs et de dix sept vedettes rapides, débarquent sur le port sous le feu nourri des Allemands. Les commandos réussissent à neutraliser des ouvrages portuaires mais font face à des combats meurtriers dans la vieille ville de Saint-Nazaire. Seuls 224 Britanniques peuvent regagner la Grande-Bretagne.Les Alliés ont pu ainsi tester les systèmes défensifs allemands de la façade atlantique


Le Kléber ex Theodor Riedel



Le Z 6 Theodor Riedel est un destroyer de classe 1934A construit pour la Kriegsmarine au milieu des années 1930.

Au début de la Seconde Guerre mondiale en , le navire mouille des champs de mines défensifs en mer du Nord. Il couvre les navires de sa classe lors des largages de champs de mines dans les eaux anglaises de la fin 1939 à début 1940. Il participe aux débuts de la campagne norvégienne en transportant des troupes dans la zone de Trondheim au début d', avant d'être transféré en France plus tard dans année. Le navire couvre une autre sortie de minage avant que des problèmes de moteur ne l'obligent à retourner en Allemagne en novembre pour les réparations. Le Theodor Riedel est gravement endommagé après un échouement trois jours après l'achèvement de ses réparations, restant en panne jusqu'à .

Le navire est transféré en Norvège en 1942 où il s'échoue une nouvelle fois en juillet pendant qu'il attaquait un convoi vers la Russie. Après les réparations achevées en décembre, le destroyer participe à la bataille de la mer de Barents à la fin de l'année et à l'attaque allemande sur le Spitzberg à la mi-1943. Après une longue remise en état, le navire escorte des navires entre le Danemark et la Norvège jusqu'en , date à laquelle il effectue plusieurs allers-retours pour secourir les réfugiés de Prusse orientale.


21 mars 2021

Torpilleur la Poursuivante sabordage Toulon croisière Espagne guerre escorteur

Torpilleur la Poursuivante 

La classe Melpomène est une classe de douze  torpilleurs construits entre 1933-1934 et entré en service entre 1936 et 1938. 

L'Ouest-Eclair 4 août 1936



Prévus comme escorteurs puis classé  torpilleurs, les "600 tonnes" sont des bâtiments rapides et très manœuvrants. Ils avaient pour mission l'escorte des convois côtiers. Leur coupe élégante est celle d'un petit torpilleur mais leur robustesse se révèle insuffisante ainsi que leur rayon d'action en service de guerre.


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L'Ouest-Eclair 9 mars 1938




D'une longueur de 80,70 mètres et d'une largeur de 8 mètres, leur tirant d'eau moyen est de 3 mètres. Leur déplacement normal est 680 tonnes et atteint 895 tonnes à pleine charge. L'équipage est de 105 hommes (5 officiers, 15 officiers mariniers, 85 quartiers-maîtres et matelots.

L'Ouest-Eclair 9 novembre 1937

La propulsion est composée d'un appareil évaporatoire de 2 chaudières timbrées à 27 kg/cm2 et d'un appareil propulsif de 2 turbines à engrenages Parsons ou Rateau développant 22 000 chevaux. Ils ont 2 hélices et peuvent filer 32 nœuds à pleine charge (36,5 nœuds aux essais). Leur rayon d'action est de 1 000   nautiques à 20 noeuds et de 650 nautiques à 25 nœuds. Leur soute peut contenir 170 tonnes de mazout.






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L'Ouest-Eclair 30 novembre 1942








L'Ouest-Eclair 10 décembre 1942

Bâtiment sabordé à Toulon le 27 novembre 1942. Récupéré par les Italiens

sources :

Carte du cuirassé Richelieu via Marseille Etranger sur une carte interzones Pétain Dakar 1942

Carte du cuirassé Richelieu via Marseille Etranger sur une carte interzones 1942 Encore une carte interzones Pétain 80c qui ne paie pas de m...