12 février 2011

BATRAL FRANCIS GARNIER dernière cérémonie des couleurs

Dernière cérémonie des couleurs pour le BATRAL Francis GarnierBREST 11 février 2011




Construit à Brest par la DCAN en 1973  ,le « Francis Garnier » est admis au service actif le 27 octobre 1974 puis affecté aux forces maritimes des Antilles durant 32 années.



Outre les missions d'entraînement avec les forces armées françaises aux Antilles, le Batral a participé régulièrement à des exercices multilatéraux avec les forces alliées ou amies.
Le Francis Garnier s'est rendu célèbre dans la zone Antilles par ses nombreuses missions de service public

  • lors d'événements de mer en remorquant ou en assistant des bâtiments divers :
  • lors de catastrophes naturelles : éruption de la Soufrière en Guadeloupe (1976), cyclone David en Dominique (1979), tempête tropicale Klaus en Martinique (1984), cyclone Hugo en Guadeloupe et à Montserrat (1989), cyclones Iris, Luis et Marilyn (1995), cyclone Lenny (1999).



Il a aussi transporté de l'aide humanitaire au Nicaragua en décembre 1988 et janvier 1989. Le « Francis Garnier » a également rempli plusieurs missions opérationnelles : maintien de l'ordre à Saint-Pierre et Miquelon (1975) et au Surinam, pré-positionnement en Haïti dans le cadre du plan PAULINE (1991).



Il est intervenu en république Dominicaine et au Guatemala à après le passage des cyclones GEORGES (octobre 1998) et MITCH (novembre 1998). Il a reçu à cette dernière occasion les présidents Chirac et Arzul.
Le Francis Garnier a quitté les Caraïbes en avril 2000 pour effectuer une IPER à Brest puis rallier Toulon, son nouveau port base le 30 octobre 2000.



Il a connu au premier semestre 2002 un déploiement de 6 mois dans le golfe Persique et en océan Indien.

Placé, en retour de mission, en août 2002 en indisponibilité accidentelle à Toulon suite à une avarie majeure sur le moteur de propulsion bâbord, il en sort finalement en octobre 2003 après que son désarmement ait été souvent évoqué. Celui-ci étant repoussé à 2008, il rejoint à l’été 2004 Fort de France pour y prendre la relève du Champlain.



Il y reprend une activité marquée par des exercices interarmées et multinationaux et les missions d’action civile. Le Francis Garnier effectue notamment :
  • Un transport de fret humanitaire vers la Grenade en septembre 2004 ;
  • Un transport de fret humanitaire vers la Jamaïque après le passage du cyclone Ivan (octobre 2004) ;
  • Un pré-positionnement au large de l’archipel des Saintes frappé le 21 novembre 2004 par de nombreuses secousses sismiques ;
  • Un transport de fret humanitaire en septembre 2008 vers Haïti ;
  • Quatre liaisons entre la Martinique et la Guadeloupe au profit de la Gendarmerie pendant les troubles sociaux dans ces deux îles en février et mars 2009


En septembre 2008, il participe à une opération renforcée de police des pêches en Guyane

Si les missions se succèdent, les décisions relatives au désarmement du bâtiment s’enchaînent également, ce qui met à mal son état général. En 2005, sa date de RSA est fixée à 2011. L’IPER prévue en 2007 est annulée en prévoyant finalement un retour définitif à Brest à l’été 2009. Cette dernière décision est rapportée, moins d’un mois avant la date prévue de départ des Antilles.


Le Francis Garnier a participé du 15 janvier au 5 février 2010 à l’opération « Séisme Haïti  2010 » déclenchée après le violent tremblement de terre qui a frappé Port-au-Prince et qui a causé plus de 200 000 morts.



Il rallie Brest le 1er juin 2010 où il est placé en complément le 7 du mois. Les opérations de désarmement sont interrompues du 23 juin au 13 septembre dans la perspective d’une cession à une marine étrangère. Mis en réserve le 3 décembre, les opérations de sécurisation de la coque s’achèvent le 14 janvier 2011, date de son retrait définitif du service et du transfert de la responsabilité de la coque à la base navale de Brest.

Durant ses 36 ans de service opérationnel, le Batral a connu 36 commandants, effectué 549 112 nautiques et 762 plageages

photos Claude Bélec

Le Télégramme de Brest 14 février 2011

aviation maritime Actualités Egyptiennes... d'avant 1916 Egypte 1915

Marine Egypte et Philatélie


l'actualité nous amène ces derniers temps sur l'Égypte, manifestations et démission du Président Moubarak, passage du Canal de Suez par le Groupe Charles de Gaulle...
j'ai ressorti quelques plis et cartes postales...




Lors de l’avancée des Turcs vers Égypte, les Britanniques avaient bien 3 avions terrestres sur place pouvant servir d’observatoire, mais le rayon d’action de ces appareils était très insuffisant. L'Amirauté britannique demanda alors le concours aérien de la France. Le 27 novembre, LA FOUDRE charge à son bord les Nieuport vus précédemment à Bizerte, se présente à Port-Saïd le 30 et y dépose les appareils ainsi que 30 de nos marins. Parmi ces hommes on peut y relever les noms des Lieutenants de Vaisseau : de L’ESCAILLE, DELAGE et DESTREM, et des Quartiers-maîtres : LE GALL, TROUILLET et GRAAL.

      

Le 5 décembre les vols de guerre commencent et de nombreuses reconnaissances effectuées.
A partir du 15 du même mois, les Nieuport de l’escadrille embarquent sur les croiseurs britanniques DORIS et MINERVA, afin de surveiller plus loin l’éventuelle avancée de l’Armée turque. La compagnie du canal de Suez, grée ensuite en « porte-aéronefs » les cargos ANNE et RAVEN, sur lesquels embarqueront les appareils.

 



Etrange épopée que celle de ces marins aviateurs à bord des Nieuport au dessus du désert, alertant par radio(*) les troupes britanniques, tout en se donnant le plaisir d’attaquer les caravanes guerrières en rase mottes….


(*) D’après Mr Yves De Kerguistel (ancien officier à St Raphaël, puis ingénieur chez « Loire » à Saint-Nazaire, c’est lui qui affecté au service torpilles d’un bâtiment, bricola un petit émetteur léger marchant sur accus, émetteur composé principalement d’un condensateur constitué avec des plaques photos et du papier d’étain. Cet émetteur, toujours d’après Mr de Kerguistel, portait à 20 km.





Grâce à l’aviation maritime française, toutes les tentatives turques d’attaque par surprise, échouent. Notons toutefois que traversant le désert du Sinaï, les Turcs arriveront en vue du canal. Notre garde-côtes cuirassé REQUIN les prend à partie, anéantit leurs projets, et les oblige définitivement à faire marche arrière. Le canal de Suez est sauvé !



Sur la côte de Syrie, durant ce temps, l’Escadre française entretient un blocus étroit et veille surtout à couper les communications avec la Tripolitaine (Libye actuelle) où les Turcs cherchent à soulever la confrérie Senoussis La tâche est considérable et dangereuse (Pour preuve, le torpillage de notre Croiseur-Cuirassé AMIRAL CHARNER le 8 février 1916, dont un seul homme sur 400 fut sauvé).




Notre escadrille d’aviation maritime, qui continue ses patrouilles maintenant au dessus de la Syrie, perdra l’un de ses Nieuport dans ce pays en 1915.
Pour information, le centre d’aviation de Port-Saïd est abandonné en avril 1916 et transféré à Argostoli en mer Ionienne, afin d’apporter son soutien aérien à l’Armée navale (Les Nieuport convoyés à bord du CAMPINAS).


sources :
http://www.postedeschoufs.com/aeronavale/1870_1918/bapteme_feu/bapteme_feu.htm

au courrier hier et peut-être d'avant hier

BCR VAR  Flottille 12F BPC Tonnerre Corymbe 106



Les SIC du "Charles de Gaulle"
Par PA Charles de gaulle le jeudi, 10 février 2011, 11:04 - Équipage



Le service SIC comporte 4 secteurs, 73 personnes dont 5 officiers.

Cachet de la Flottille 12 F  7- 2-11 Le CDG était à Djibouti à remonter vers Suez
c

Le secteur INFOR est le secteur qui s’occupe du matériel et de l'administration des réseaux informatiques du bord.


Comme vous pouvez l’imaginer, il y a différents systèmes d'information sur le porte-avions qui diffèrent selon leur confidentialité et leur utilisation. Le secteur est partagé entre les 5 officiers mariniers BS (Brevet Supérieur), administrateurs des serveurs qui supervisent et gèrent ces différents systèmes et 7 BAT (Brevet d’Aptitude Technique) "hotliners". En effet, lorsque vous avez un problème informatique sur le Charles de Gaulle, il vous suffit de composer le 16 pour contacter la "hotline informatique" du bateau qui va vous trouver la solution. Une souris qui s'est échappée ? Un compte utilisateur bloqué ? Un problème de connexion ? La "hotline" s’occupe de tout ou presque. Le chef du secteur, bien connu d'une bonne partie du bord pour sa souplesse et sa magnanimité, est également responsable de la sécurité des systèmes informatiques du bâtiment. A ce titre, il veille au grain et reçoit chez lui toute personne qui aurait dérogé à la règle. Le chef de secteur est secondé par 3 adjoints officiers mariniers supérieurs dans le domaine de la sécurité et de l'administration. Le secteur s'occupe tous les jours du bon fonctionnement d'environ 1000 ordinateurs et 40 serveurs. A la mer, il envoie tous les jours entre 600 et 700 mails aux familles !


Ils travaillent bien sûr en collaboration avec la section réseaux du secteur RESEAUX/FIL qui, lui, s'occupe du transit de l'"information câblée" du bord, notamment entre les systèmes INFOR. La section "réseaux" est composée de 2 BM (brevet de maîtrise), d'un BS et d'un BAT qui ont la charge d'assurer la disponibilité totale des 22 réseaux présents à bord du "Charles de Gaulle". Ces derniers sont cloisonnés par 150 commutateurs, 15 routeurs, 19 chiffreurs et répartis dans 10 baies principales. Le bâtiment est équipé de quelque 2000 prises, ce qui correspond à environ 200 km de câbles et de fibres optiques à l'instar des plus grandes entreprises françaises. Le but : fournir les services IP, de visioconférence et de messagerie. Pratiquement, ce sont eux qui vont réparer les prises et les câbles réseaux et qui vont autoriser les ordinateurs à y accéder. Ne peuvent se connecter que les ordinateurs "enregistrés" à condition d'utiliser la bonne prise en plus. Par ailleurs, la section a pour mission de surveiller les charges (les flux) de chaque réseau pour détecter et traiter les anomalies qui pourraient en découler.

La section "FIL", elle, ne s’occupe « que » des réseaux filaires de communication (= les réseaux sur lesquels on ne branche pas d'ordinateurs). Ils sont légions sur le "Charles de Gaulle", et d’une importance capitale, car ils permettent aux 2000 marins de se parler pour travailler ensemble. Ils gèrent en effet le réseau téléphonique du bord (environ 1100 postes), et un autre système indépendant un peu plus « rustique » qui permet de parler en utilisant des interphones répartis dans tout le bateau. Mais ils gèrent aussi l’ensemble des klaxons d’alarme ainsi que les haut-parleurs du bord, les cabines téléphoniques d’appel vers l’extérieur, les "enregistrements légaux" des discussions sur les fréquences (l’équivalent de la boîte noire des avions et du bord en quelque sorte). Ils entretiennent enfin le réseau TAG (téléphone auto-générateur) qui fonctionnerait encore alors que tous les autres systèmes seraient hors service : on l'appelle dans ce cas précis "le réseau de fortune".

Un autre secteur qui s'occupe des communications, mais vers l'extérieur cette fois, est le secteur TELECOM. Ce secteur de 23 personnes (3 BM, 8 BS, 1 BST et 9 BAT et un chef) et d'une soixantaine d'antennes est en charge des liaisons satellite, utilisées pour les réseaux informatiques, le téléphone ou des liaisons spécialisées avec les avions (Rafale ou Hawkeye) et des liaisons radio, exploitées pour les transmissions ou pour les liaisons tactiques avec les avions ou les navires. Les principaux utilisateurs sont le central opérations, le centre de contrôle et d'approche, la passerelle et le PC SIC (voir secteur EXPLOITATION). On y trouve aussi, entre autres, les GPS, les systèmes de détresse, les radios portatives du personnel pont d'envol, des fusiliers, des équipes SECU... Les télécoms s'occupent également de tous les réseaux vidéo du bord, qui vont de la télésurveillance de la chaufferie nucléaire aux tourelles asservies qui enregistrent les catapultages et appontages des avions. Sans oublier la diffusion en permanence de 36 chaînes de distraction et opérationnelles sur plus de 600 TV à bord.


Enfin, les 5 photographes qui réalisent des prises de vues que tout le monde s'arrache et des montages vidéo à vous couper le souffle, tout ça au profit du bord, de l'état-major et des organismes de communication institutionnelle.

Enfin le secteur EXPLOITATION se charge d'assurer la transmission sécurisée des messages officiels vers les unités à terre et les bâtiments. Composé de 21 personnes, il contrôle le format ainsi que les destinataires des messages avant de les envoyer vers les unités concernées. Pour ce faire, les personnes de quart utilisent les liaisons radioélectriques et les circuits mis en œuvre par les autres secteurs du service SIC. Il s'occupe également de la distribution des messages aux personnes intéressées dans le bord. Toutes ces opérations sont réalisées par du personnel de quart 24h/24 au "PC SIC". C'est aussi depuis ce local que sont reçus et transférés les appels téléphoniques de la métropole (c'est le fameux standard du bateau, bien connu des familles).


Pour tous, un principe: fournir le meilleur service possible aux util
isateurs !

Asp. Le Gac de Lansalut
Photo: SM Lempin

journal de bord du Charles de Gaulle

http://jdb.marine.defense.gouv.fr/batiment/cdg

LE BCR VAR soutien de la guerre des mines dans le Golfe a testé ses capacités en octobre 2010 en Méditerranée.

Merci à Claude A. pour son envoi


Opération "Guerre des mines" au Liban, une première pour le BCR Var!

Du 22 septembre au 15 octobre 2010, le BCR Var a participé à un déploiement « Guerre des mines » au large des côtes libanaises. Une première dans l’histoire des bâtiments de commandement et de ravitaillement !

Un nouveau concept – Un nouveau succès

Par le passé, le BSM Loire a assuré les fonctions de bâtiment de soutien mobile des chasseurs de mines. A partir d’octobre 2009, date de son désarmement, l’étude de son remplacement par un moyen existant s’est naturellement orientée vers le choix du BCR. Le déploiement 2010 au large des côtes du Liban (Beyrouth, Saïda, Tripoli, Naqoura, Jounieh, Jiyeh et Sour) a ainsi permis de valider l’emploi d’un bâtiment de commandement et de ravitaillement en tant que bâtiment support d’une force guerre des mines.

Au cours de ce déploiement les opérations de ravitaillement entre les chasseurs de mines (CMT) et le BCR Var se sont succédées de jour comme de nuit et même parfois dans des conditions météorologiques peu favorables. L’Alouette III, spécialement embarquée à bord du Var, a également été mise à contribution lors des transferts de matériels et de personnels entre les différents bâtiments et ainsi contribué à fluidifier la manœuvre logistique.

Pour assurer un soutien efficace, le Var a embarqué en soute un lot de rechanges destiné aux CMT ainsi que toutes les charges des poissons autopropulsés (PAP 104). Des conteneurs spécialisés ont également été mis en place pour réaliser la cartographie des levées de fond et stocker le matériel spécifique du détachement de plongeurs démineurs (GPD). L’état-major quant à lui, a pu bénéficier du confort du bâtiment et de ses moyens SIC performants pour conduire la mission en toute sérénité.

Parallèlement, le BCR Var a, au gré des rencontres, soutenu les bâtiments français qui opéraient à proximité. L’engagement et le savoir-faire des marins du BCR Var ont permis de valider une nouvelle configuration qui loin de spécialiser le bâtiment, accroît bien au contraire sa polyvalence.

Une collaboration enrichissante

Dans le cadre du déploiement Guerre des mines, le BCR Var a pu être associé aux activités de coopération entre l’Etat français et le Liban.

Tout d’abord dans le domaine de la plongée, où les forces armées libanaises (FAL) ont été associés aux plongées quotidiennes du détachement GPD Méditerranée embarqué pour la durée de la mission à bord du Var. Ils ont pu ainsi tester l’appareil de plongée « crabe » habituellement utilisé par les plongeurs français et se former à la technique de recherche par circulaire. Par ailleurs, en tant qu’observateur, les plongeurs des FAL ont été associés aux plongées sous coque des unités françaises, ainsi qu’aux plongées d’identification réalisées par les chasseurs dans le cadre des levées de fond dans le port de Beyrouth.

En parallèle de l’objectif majeur de cartographie des fonds, la France a également apporté son savoir-faire technique en matière de réparation. En effet, l’EDIC Damour, bâtiment libanais, a connu quelques avaries au niveau de ses échappements. Après une expertise technique réalisée par le personnel du BCR Var, une équipe composée de trois techniciens a été détachée à terre afin d’assurer la maîtrise d’œuvre des travaux de réparations. Après six jours d’intervention, le bâtiment libanais a recouvré toute sa disponibilité.

Enfin une dizaine de jeunes officiers des FAL ont été accueillis à bord du BCR Var. Ils ont pu ainsi découvrir l’organisation du bâtiment et sa configuration à la mer en étant intégrés aux équipes de quart en passerelle et en machine.

 LE BPC TONNERRE en CORYMBE au large de l'Afrique de l'Ouest


Ce n'est pas au milieu du fleuve qu'il faut vérifier l'état de sa pirogue

BPC TONNERRE en Corymbe

 Journal de bord du BPC

 http://www.blogger.com/post-create.g?blogID=3960784170244103510

 Fraternité Matin Journal Ivoirien

http://www.fratmat.info/
http://www.lepatriote.net/main/lejournal.aspx


Opérations extérieures (OPEX), où sont-ils ?



Côte d’Ivoire. Opération « Licorne », 1 800 hommes ; Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci), 200 hommes.
Golfe de Guinée. Opération « Corymbe », 270 hommes.
République centrafricaine. Opération « Boali », 200 hommes.
République démocratique du Congo. Mission des Nations unies en République démocratique du Congo (Monuc-UE-Eusec-Eupol), 30 hommes.
Soudan. Mission des Nations unies en République centrafricaine (Minurcat) (1) ; Mission des Nations unies et de l’Union africaine au Darfour (Minuad), 25 hommes.
Tchad. Opération « Epervier », 1 150 hommes ; Force de l’Union européenne Tchad - République centrafricaine (Eufor Tchad - RCA), 1 850 hommes.

ASIE CENTRALE

Afghanistan. Force internationale d’assistance à la sécurité (FIAS) et opération de l’OTAN « Liberté immuable », 2 800 hommes.

BALKANS

Kosovo. Forces de maintien de la paix au Kosovo (KFOR), 1 800 hommes ; Mission européenne de police et de justice au Kosovo (Eulex), 145 hommes.
Bosnie. Force de l’Union européenne (Eufor), 90 hommes.

PROCHE-ORIENT

Golfe d’Aden. Opération « Atalante » et Force maritime européenne (EuNavFor), 100 hommes.
Liban. Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul), 1 900 hommes.
Mer Rouge, mer d’Oman, mer d’Arabie, golfe Arabo-Persique. Task Force 150, 600 hommes.
Palestine-Sinaï. Rafah-UE-FMO, 20 hommes. AUTRES
Haïti. Mission des Nations unies pour la stabilisation en Haïti (Minustah), 25 hommes.
Source : ministère de la défense nationale
http://www.armees.com/info/actualites/Operations-exterieures-OPEX-ou.html



11 février 2011

Quelques plis marcophiles

Quelques plis



Pli en FM cachet de service Marine nationale circonscription de Paris Surveillance des travaux à l'Industrie


TAD d'arrivée Bar Le Duc Meuse 7-6-18



Courrier parti du CIN Querqueville pour Gouville sur Mer  NPAI Retour à l'envoyeur 657 R1 R2 R3

Cachet de retour  Couville sur Mer

CMT L'AIGLE en pleine guerre du golfe EMA rouge de Paris Naval 8-3-91

10 février 2011

Groupe Ecole d'Application des Officiers de Marine Album de Campagne 2009/2010

Groupe École d'Application des Officiers de Marine 
Album de Campagne 2009/2010




L'album de la dernière campagne 2009/2010 du PH Jeanne d'Arc est sorti.

Malheureusement, il ne sera pas disponible en librairie, il est réservé aux membres de l'équipage et aux OE.



Sous une belle jaquette réalisée par Vivi Navarro, ce sont tous les événements qui ont marqué la mission qui sont repris en images.

Tous les services, toutes les escales, les réceptions sont illustrés des photos du MP Yann Le NY et MT Franck Seurot et de quelques photographes qui resteront anonymes...



Une belle place est faite à la Marcophilie Navale avec, en page de couverture intérieure et en page de garde, les cartes de campagne et pour chaque événement ou manifestation les cachets commémoratifs.


Un bel ouvrage réalisé par l'équipe Rayonnement de la Jeanne d'Arc :

CRC2 Prache, les photographes MP Le Ny et MT Seurot,  les ASP De Waal, Sourmail, Le Priélec le SM Wassilieff

au courrier aujourd'hui

LE GAN  rentre vers la France



GAN groupe aéronavale  TAD mécanique Paris Tri Interarmées 7-2-2011 dans la couronne absence du quantième sous la flamme
En cette fin de semaine, le Charles de Gaulle arrive à Djibouti pour une escale de plusieurs jours. A l'issue, il devrait mettre le cap autour du 8 février vers le canal de Suez, afin de regagner la Méditerranée et de rejoindre Toulon, où le groupe aéronaval français est attendu dans une grosse quinzaine de jours (vers le 22 février). Ce programme peut, évidemment, évoluer en fonction de l'actualité et des impératifs opérationnels. 


Centre d'Entraînement, d'Instruction et de Préparation des Missions.



Il convient notamment de voir comment va évoluer, dans les prochains jours, la situation en Egypte, où les violences se poursuivent. A priori, aucune menace ne pèse actuellement sur l'accès au canal de Suez, dont il convient d'ailleurs de noter que la fermeture éventuelle serait catastrophique, dans la mesure où elle couperait les flux maritimes en provenance d'Asie et du golfe Persique et à destination de l'Europe. 

4F TAD mécanique Paris Tri Interarmées 7-2-2011 dans la couronne absence du quantième sous la flamme


En matière d'évacuation de ressortissants, le rapatriement des Français, notamment des touristes, s'effectue par les lignes aériennes classiques, la situation ne nécessitant pas, à l'heure actuelle, le déploiement de moyens militaires pour mener des évacuations. Il faudrait d'ailleurs que le contexte « dérape » sérieusement pour qu'une telle option soit envisagée.

35F TAD mécanique Paris Tri Interarmées 7-2-2011 dans la couronne absence du quantième sous la flamme




 sources :
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=115263

09 février 2011

Guerre des Mines en Océan Indien

La France déploie un groupe de guerre des mines en océan Indien
BCR VAR BPI  610  en date du 2-2-2011


Le bâtiment de commandement et de ravitaillement Var, ainsi que les chasseurs de mines Andromède et Croix du Sud, ont appareillé de Toulon pour mettre le cap sur l'océan Indien. Jusqu'à la mi-avril, ce groupe réalisera des missions de reconnaissance des fonds, notamment dans les détroits de Bab El Mandeb et d'Ormuz, qui comptent parmi les voies maritimes les plus empruntées au monde. « Y transitent par exemple une grande partie des approvisionnements français et européens en pétrole. 


Boum!


Le déploiement contribue à sécuriser le transit de tous les navires les empruntant », explique la Marine nationale. Pour cette dernière, les mines sont une menace toujours d'actualité. « Elles impactent les opérations navales mais aussi le trafic commercial maritime international puisque 80% des échanges mondiaux s'effectuent par mer. Cette menace est très diversifiée car constituée d'un éventail très large de mines, de la plus sophistiquée à la plus basique, voire artisanale, les plus simples étant les plus répandues. 

Le BSM Loire ravitaille le CMT Pégase


La mine représente une arme de choix dans les conflits asymétriques grâce son très bon rapport coût/efficacité (une mine coûte quelques milliers de dollars et peut causer des dégâts de plusieurs centaines de millions de dollars). Cette efficacité est par ailleurs démultipliée par son aspect "aveugle", touchant aussi bien les belligérants que les navires neutres, ainsi que par la véritable psychose qu'elle peut créer désorganisant rapidement et durablement le trafic maritime ».

le poisson CMT Céphée photo JMB




Pour protéger ses intérêts stratégiques et renforcer la coopération avec les pays riverains, la France déploie tous les deux ans un groupe de guerre des mines en océan Indien. En revanche, c'est la première fois qu'un BCR est au coeur du dispositif. Accueillant l'état-major de guerre des mines, le Var sert au ravitaillement et au soutien logistique des chasseurs. 


BSM LOIRE photo JMB


Auparavant, c'était le bâtiment de soutien mobile Loire qui était affecté à cette tâche, mais le BSM a été désarmé en 2009.

mise à l'eau du poisson CMT L'Aigle

le poisson est largué et va être guidé par fil CMT L'Aigle photo JMB

en salle d'OPS CMT L'Aigle photo JMB

préparation du pétardage CMT L'Aigle photo JMB


Afin de conserver une capacité de déploiement loin de la métropole de son groupe de guerre des mines, la marine a donc opté pour recours à sa flotte de bâtiments de ravitaillement, concept validé l'an passé à l'issue de tests et d'exercices au large des côtes françaises

coursive du CMT Céphée photo JMB


sources texte : Mer et Marine

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=115313

 photos Jean-Michel Bergougniou

PHA Mistral à New-York du 7 au 12 mai 2025

PHA Mistral à New-York 07 mai 2O25 Le 7 mai, une réception s’est tenue à bord du porte-hélicoptère amphibie de la Marine nationale, le « Mis...