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12 février 2011

au courrier hier et peut-être d'avant hier

BCR VAR  Flottille 12F BPC Tonnerre Corymbe 106



Les SIC du "Charles de Gaulle"
Par PA Charles de gaulle le jeudi, 10 février 2011, 11:04 - Équipage



Le service SIC comporte 4 secteurs, 73 personnes dont 5 officiers.

Cachet de la Flottille 12 F  7- 2-11 Le CDG était à Djibouti à remonter vers Suez
c

Le secteur INFOR est le secteur qui s’occupe du matériel et de l'administration des réseaux informatiques du bord.


Comme vous pouvez l’imaginer, il y a différents systèmes d'information sur le porte-avions qui diffèrent selon leur confidentialité et leur utilisation. Le secteur est partagé entre les 5 officiers mariniers BS (Brevet Supérieur), administrateurs des serveurs qui supervisent et gèrent ces différents systèmes et 7 BAT (Brevet d’Aptitude Technique) "hotliners". En effet, lorsque vous avez un problème informatique sur le Charles de Gaulle, il vous suffit de composer le 16 pour contacter la "hotline informatique" du bateau qui va vous trouver la solution. Une souris qui s'est échappée ? Un compte utilisateur bloqué ? Un problème de connexion ? La "hotline" s’occupe de tout ou presque. Le chef du secteur, bien connu d'une bonne partie du bord pour sa souplesse et sa magnanimité, est également responsable de la sécurité des systèmes informatiques du bâtiment. A ce titre, il veille au grain et reçoit chez lui toute personne qui aurait dérogé à la règle. Le chef de secteur est secondé par 3 adjoints officiers mariniers supérieurs dans le domaine de la sécurité et de l'administration. Le secteur s'occupe tous les jours du bon fonctionnement d'environ 1000 ordinateurs et 40 serveurs. A la mer, il envoie tous les jours entre 600 et 700 mails aux familles !


Ils travaillent bien sûr en collaboration avec la section réseaux du secteur RESEAUX/FIL qui, lui, s'occupe du transit de l'"information câblée" du bord, notamment entre les systèmes INFOR. La section "réseaux" est composée de 2 BM (brevet de maîtrise), d'un BS et d'un BAT qui ont la charge d'assurer la disponibilité totale des 22 réseaux présents à bord du "Charles de Gaulle". Ces derniers sont cloisonnés par 150 commutateurs, 15 routeurs, 19 chiffreurs et répartis dans 10 baies principales. Le bâtiment est équipé de quelque 2000 prises, ce qui correspond à environ 200 km de câbles et de fibres optiques à l'instar des plus grandes entreprises françaises. Le but : fournir les services IP, de visioconférence et de messagerie. Pratiquement, ce sont eux qui vont réparer les prises et les câbles réseaux et qui vont autoriser les ordinateurs à y accéder. Ne peuvent se connecter que les ordinateurs "enregistrés" à condition d'utiliser la bonne prise en plus. Par ailleurs, la section a pour mission de surveiller les charges (les flux) de chaque réseau pour détecter et traiter les anomalies qui pourraient en découler.

La section "FIL", elle, ne s’occupe « que » des réseaux filaires de communication (= les réseaux sur lesquels on ne branche pas d'ordinateurs). Ils sont légions sur le "Charles de Gaulle", et d’une importance capitale, car ils permettent aux 2000 marins de se parler pour travailler ensemble. Ils gèrent en effet le réseau téléphonique du bord (environ 1100 postes), et un autre système indépendant un peu plus « rustique » qui permet de parler en utilisant des interphones répartis dans tout le bateau. Mais ils gèrent aussi l’ensemble des klaxons d’alarme ainsi que les haut-parleurs du bord, les cabines téléphoniques d’appel vers l’extérieur, les "enregistrements légaux" des discussions sur les fréquences (l’équivalent de la boîte noire des avions et du bord en quelque sorte). Ils entretiennent enfin le réseau TAG (téléphone auto-générateur) qui fonctionnerait encore alors que tous les autres systèmes seraient hors service : on l'appelle dans ce cas précis "le réseau de fortune".

Un autre secteur qui s'occupe des communications, mais vers l'extérieur cette fois, est le secteur TELECOM. Ce secteur de 23 personnes (3 BM, 8 BS, 1 BST et 9 BAT et un chef) et d'une soixantaine d'antennes est en charge des liaisons satellite, utilisées pour les réseaux informatiques, le téléphone ou des liaisons spécialisées avec les avions (Rafale ou Hawkeye) et des liaisons radio, exploitées pour les transmissions ou pour les liaisons tactiques avec les avions ou les navires. Les principaux utilisateurs sont le central opérations, le centre de contrôle et d'approche, la passerelle et le PC SIC (voir secteur EXPLOITATION). On y trouve aussi, entre autres, les GPS, les systèmes de détresse, les radios portatives du personnel pont d'envol, des fusiliers, des équipes SECU... Les télécoms s'occupent également de tous les réseaux vidéo du bord, qui vont de la télésurveillance de la chaufferie nucléaire aux tourelles asservies qui enregistrent les catapultages et appontages des avions. Sans oublier la diffusion en permanence de 36 chaînes de distraction et opérationnelles sur plus de 600 TV à bord.


Enfin, les 5 photographes qui réalisent des prises de vues que tout le monde s'arrache et des montages vidéo à vous couper le souffle, tout ça au profit du bord, de l'état-major et des organismes de communication institutionnelle.

Enfin le secteur EXPLOITATION se charge d'assurer la transmission sécurisée des messages officiels vers les unités à terre et les bâtiments. Composé de 21 personnes, il contrôle le format ainsi que les destinataires des messages avant de les envoyer vers les unités concernées. Pour ce faire, les personnes de quart utilisent les liaisons radioélectriques et les circuits mis en œuvre par les autres secteurs du service SIC. Il s'occupe également de la distribution des messages aux personnes intéressées dans le bord. Toutes ces opérations sont réalisées par du personnel de quart 24h/24 au "PC SIC". C'est aussi depuis ce local que sont reçus et transférés les appels téléphoniques de la métropole (c'est le fameux standard du bateau, bien connu des familles).


Pour tous, un principe: fournir le meilleur service possible aux util
isateurs !

Asp. Le Gac de Lansalut
Photo: SM Lempin

journal de bord du Charles de Gaulle

http://jdb.marine.defense.gouv.fr/batiment/cdg

LE BCR VAR soutien de la guerre des mines dans le Golfe a testé ses capacités en octobre 2010 en Méditerranée.

Merci à Claude A. pour son envoi


Opération "Guerre des mines" au Liban, une première pour le BCR Var!

Du 22 septembre au 15 octobre 2010, le BCR Var a participé à un déploiement « Guerre des mines » au large des côtes libanaises. Une première dans l’histoire des bâtiments de commandement et de ravitaillement !

Un nouveau concept – Un nouveau succès

Par le passé, le BSM Loire a assuré les fonctions de bâtiment de soutien mobile des chasseurs de mines. A partir d’octobre 2009, date de son désarmement, l’étude de son remplacement par un moyen existant s’est naturellement orientée vers le choix du BCR. Le déploiement 2010 au large des côtes du Liban (Beyrouth, Saïda, Tripoli, Naqoura, Jounieh, Jiyeh et Sour) a ainsi permis de valider l’emploi d’un bâtiment de commandement et de ravitaillement en tant que bâtiment support d’une force guerre des mines.

Au cours de ce déploiement les opérations de ravitaillement entre les chasseurs de mines (CMT) et le BCR Var se sont succédées de jour comme de nuit et même parfois dans des conditions météorologiques peu favorables. L’Alouette III, spécialement embarquée à bord du Var, a également été mise à contribution lors des transferts de matériels et de personnels entre les différents bâtiments et ainsi contribué à fluidifier la manœuvre logistique.

Pour assurer un soutien efficace, le Var a embarqué en soute un lot de rechanges destiné aux CMT ainsi que toutes les charges des poissons autopropulsés (PAP 104). Des conteneurs spécialisés ont également été mis en place pour réaliser la cartographie des levées de fond et stocker le matériel spécifique du détachement de plongeurs démineurs (GPD). L’état-major quant à lui, a pu bénéficier du confort du bâtiment et de ses moyens SIC performants pour conduire la mission en toute sérénité.

Parallèlement, le BCR Var a, au gré des rencontres, soutenu les bâtiments français qui opéraient à proximité. L’engagement et le savoir-faire des marins du BCR Var ont permis de valider une nouvelle configuration qui loin de spécialiser le bâtiment, accroît bien au contraire sa polyvalence.

Une collaboration enrichissante

Dans le cadre du déploiement Guerre des mines, le BCR Var a pu être associé aux activités de coopération entre l’Etat français et le Liban.

Tout d’abord dans le domaine de la plongée, où les forces armées libanaises (FAL) ont été associés aux plongées quotidiennes du détachement GPD Méditerranée embarqué pour la durée de la mission à bord du Var. Ils ont pu ainsi tester l’appareil de plongée « crabe » habituellement utilisé par les plongeurs français et se former à la technique de recherche par circulaire. Par ailleurs, en tant qu’observateur, les plongeurs des FAL ont été associés aux plongées sous coque des unités françaises, ainsi qu’aux plongées d’identification réalisées par les chasseurs dans le cadre des levées de fond dans le port de Beyrouth.

En parallèle de l’objectif majeur de cartographie des fonds, la France a également apporté son savoir-faire technique en matière de réparation. En effet, l’EDIC Damour, bâtiment libanais, a connu quelques avaries au niveau de ses échappements. Après une expertise technique réalisée par le personnel du BCR Var, une équipe composée de trois techniciens a été détachée à terre afin d’assurer la maîtrise d’œuvre des travaux de réparations. Après six jours d’intervention, le bâtiment libanais a recouvré toute sa disponibilité.

Enfin une dizaine de jeunes officiers des FAL ont été accueillis à bord du BCR Var. Ils ont pu ainsi découvrir l’organisation du bâtiment et sa configuration à la mer en étant intégrés aux équipes de quart en passerelle et en machine.

 LE BPC TONNERRE en CORYMBE au large de l'Afrique de l'Ouest


Ce n'est pas au milieu du fleuve qu'il faut vérifier l'état de sa pirogue

BPC TONNERRE en Corymbe

 Journal de bord du BPC

 http://www.blogger.com/post-create.g?blogID=3960784170244103510

 Fraternité Matin Journal Ivoirien

http://www.fratmat.info/
http://www.lepatriote.net/main/lejournal.aspx


Opérations extérieures (OPEX), où sont-ils ?



Côte d’Ivoire. Opération « Licorne », 1 800 hommes ; Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci), 200 hommes.
Golfe de Guinée. Opération « Corymbe », 270 hommes.
République centrafricaine. Opération « Boali », 200 hommes.
République démocratique du Congo. Mission des Nations unies en République démocratique du Congo (Monuc-UE-Eusec-Eupol), 30 hommes.
Soudan. Mission des Nations unies en République centrafricaine (Minurcat) (1) ; Mission des Nations unies et de l’Union africaine au Darfour (Minuad), 25 hommes.
Tchad. Opération « Epervier », 1 150 hommes ; Force de l’Union européenne Tchad - République centrafricaine (Eufor Tchad - RCA), 1 850 hommes.

ASIE CENTRALE

Afghanistan. Force internationale d’assistance à la sécurité (FIAS) et opération de l’OTAN « Liberté immuable », 2 800 hommes.

BALKANS

Kosovo. Forces de maintien de la paix au Kosovo (KFOR), 1 800 hommes ; Mission européenne de police et de justice au Kosovo (Eulex), 145 hommes.
Bosnie. Force de l’Union européenne (Eufor), 90 hommes.

PROCHE-ORIENT

Golfe d’Aden. Opération « Atalante » et Force maritime européenne (EuNavFor), 100 hommes.
Liban. Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul), 1 900 hommes.
Mer Rouge, mer d’Oman, mer d’Arabie, golfe Arabo-Persique. Task Force 150, 600 hommes.
Palestine-Sinaï. Rafah-UE-FMO, 20 hommes. AUTRES
Haïti. Mission des Nations unies pour la stabilisation en Haïti (Minustah), 25 hommes.
Source : ministère de la défense nationale
http://www.armees.com/info/actualites/Operations-exterieures-OPEX-ou.html



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