29 mars 2018

Le Patrouilleur Polaire L'ASTROLABE premier séjour en Antarctique Terre-Adélie Dumont d'Urville

Le Patrouilleur Polaire L'ASTROLABE premier séjour en Antarctique Terre-Adélie Dumont d'Urville

Alors que L'Astrolabe regagnait la Réunion, aujourd'hui 29 mars 2018 de nombreux couurriers en provenance de Dumont d'Urville Ils s'étalent de novembre 2017 à mars 2018...

R01

12 novembre 2017

L'Astrolabe à l'approche




16 novembre 2017

Tous les passagers prévus ont pu débarquer aujourd'hui. Les premiers membres de la TA68 ont été accueillis à DDU. Ils seront rejoints par le reste de leur mission à l'occasion de R2 fin décembre.

Arrivée des 23 sacs de la dépêche postale ...













vendredi 24 novembre 2017

Retour de R0 : départ de deux hivernants de la TA67 C'est avec émotion que les membres de la TA67 ont assisté hier soir au départ de deux hivernants Eric, le GP, leur a confié la dépêche postale, qui a voyagé avec eux dans le même hélicoptère jusqu'au bateau.

1er décembre 2017

L'Astrolabe est arrivé ce matin 1er décembre à Hobart. Il était parti le 24 novembre dernier du bord de banquise à 50km de DDU.

12 décembre 2017

L'Astrolabe a quitté le port d'Hobart hier soir mardi 12 décembre à 21h (heure locale).

R1
17 décembre 2017

L'Astrolabe est arrivé hier soir 17 décembre en bord de banquise. Les opérations logistiques ont commencé tôt ce matin avec les premières charges déposées par hélicoptère.

La dépêche postale, composée de 18 sacs, a été débarquée en priorité comme à l'accoutumée








23 décembre 2017

La tempête de ces trois derniers jours, avec des vents approchant les 160 km/h, a stoppé toutes les opérations logistiques.

26 décembre 2017






L'Astrolabe a quitté aujourd'hui le bord de banquise où il stationnait, à 18 kilomètres de DDU. Le navire a appareillé un peu avant 15 heure, direction Hobart.

31 décembre 2017

L'Astrolabe est arrivé à Hobart


R2

7 janvier 2018 L'Astrolabe quitte Hobart

11 janvier 2018

arrivée à DDU










19 janvier 2018

départ de DDU le bateau est reparti avec une dépêche postale et 100 tonnes de fret




arrivée prévue à Hobart le 24 janvier


R3

6 février

L'Astrolabe se présente à DDU

11 février 2018

L'Astrolabe a quitté Dumont D'Urville le 11 février.

L'arrivée est prévue à Hobart autour du 16 février.


09 mars 2018






Sources

Blog District Dumont d'Urville Terre Adélie TAAF
http://terreadelie-antarctique.blogspot.fr/search?updated-max=2018-02-17T22:42:00%2B11:00&max-results=3 


28 mars 2018

L'ASTROLABE V SPID 11251 6 février 2018

L'ASTROLABE V SPID 11251 

6 février 2018



Les premiers plis de L'Astrolabe portant le timbre à date V SPID 11251 commencent à arriver.

Le cachet est apposé sur des timbres australiens, TAAF ou français.

Brève: départ de l'Astrolabe pour R3
L'Astrolabe a quitté le port d'Hobart ce jour (jeudi 1er février 2018), à 10h05 heure locale.A son bord, l'équipage B de la Marine Nationale, 7 passagers, 188 tonnes de fret et 508 m3 de SAB pour la base.
L'arrivée à DDU est prévue pour le mardi 6 février.

Ces plis ont donc été annulés à Dumont D'Urville à l'arrivée de L'Astrolabe. Merci Jérôme.




L'Astrolabe s'est présenté le 6 février à l'aube, après être entré dans un pack assez lâche vers 3 heures du matin. A noter la présence à son bord de Mme Pozzo Di Borgo, Préfète, Administrateur Supérieur des TAAF.
Le beau bateau rouge s'est installé au Cap des Barres, au nord-ouest de l'île des Pétrels, pour réaliser le débarquement des sept passagers et débuter les opérations aériennes et maritimes.

Le 8 février, l'Astrolabe a pu accoster au Lion, permettant ainsi la livraison du carburant et le déchargement du fret du navire. Le rechargement a également pu commencer.




Les conditions météorologiques en ce vendredi 9 février à Dumont D'Urville ont conduit le bateau à quitter son mouillage et les opérations ont été interrompues pour la journée (le vent souffle à 30-35 kt, des rafales de plus de 50 kt sont attendues).

En plus des sept passagers de l'Astrolabe, la base de Dumont D'Urville accueille depuis quelques jours 20 personnels en transit retour de la base franco-italienne de Concordia, jusqu'au départ de R3, ce qui porte les effectifs présents à 76 personnes sur Dumont d'Urville et 9 à Prud'homme. 10 personnes sont par ailleurs toujours sur le trajet retour du raid logistique: ils ont quitté Concordia le 1er février et sont attendus aujourd’hui ou demain à Cap Prud'homme.



DDU a pris des airs de Babel: des Français, des Italiens, une Belge, une Néerlandaise, un Suisse et un Australien sont en effet présents. L'occasion de pavoiser les couleurs de nos hôtes!



L'Astrolabe a quitté Dumont D'Urville le 11 février.
Les 34 passagers ont embarqué par hélicoptère, puis les équipes de l'IPEV et l'équipage B de la Marine Nationale ont terminé le saisissage du fret, permettant l'appareillage du bateau vers 17h.

Le pack, assez lâche, a été facilement traversé. Le conditions de mer s'annoncent plus difficiles sur le trajet jusqu'à Hobart... L'arrivée est prévue autour du 16 février.







Sources :

TAAF Blog Terre Adélie


http://terreadelie-antarctique.blogspot.fr/search?updated-max=2018-02-17T22:42:00%2B11:00&max-results=3

Le B2M CHAMPLAIN aux Eparses Juan de Nova 23 février 2018

Le B2M CHAMPLAIN aux Eparses Juan de Nova 23 février 2018

Deux plis sont arrivés ce jour en provenance de Juan de Nova îles Eparses TAAF.

J'aime bien l'initiative du vaguemestre qui appose le TàD du bateau (V SPID 10990) le jour du passage sur l'île ou le jour de la remise des plis à l'agent postal.  Ici le 23 février 2018.

L'agent postal appose son TàD sur les timbres le jour de l'expédition du courrier.







27 mars 2018

Latouche Tréville Des Russes dans la grande-Guerre

Latouche-Tréville la guerre dans tous ses Etats : 

la Russie




En réponse à la chronique de DONEC concernant les Russes et l'alliance avec les Russes, je vais vous parler d'une intervention des troupes russes durant la 1èere guerre mondiale. 

Si on a beaucoup parlé de l'arrivée des troupes américaines en 1917 en Bretagne (Saint-Nazaire et Brest), il na pratiquement pas été évoqué l'arrivée des Troupes Russes à Marseille en 1916 sur le Latouche-Tréville.





Qualifiée de « réservoir d’hommes inépuisable » par Paul Doumer, la Russie doit, dès août 1914, faire face à la demande d’envoi de troupes sur le front occidental par les gouvernements français et britanniques. Obtenant du Tsar la promesse de la constitution d’un corps expéditionnaire russe sur le sol français, les gouvernements alliés fournissent l’armée du Tsar en matériel militaire. Ainsi débute l’histoire de la première brigade russe du général Lokhvitsky, qui, comprenant huit mille hommes, embarque en Mandchourie pour rejoindre le port de Marseille en avril 1916.





















À la suite d'une demande du gouvernement français qui propose à l’Empire russe du matériel de guerre contre l’envoi d’hommes en France l’état-major russe du général Alekseïev forme en janvier 1916 la 1re brigade spéciale d’infanterie, composée de deux régiments1 (fort chacun de trois bataillons), sous le commandement du général-major Nikolaï Alexandrovitch Lokhvitski. 










Par voie ferrée les 8 942 hommes rejoignent Dalian, sur le golfe de Corée, où ils montent à bord de navires français (dont le Latouche-Tréville, L'Himalaya...) qui les emmènent à Marseille qu’ils atteignent le 16 avril 1916.





En juillet 1916 la 2e brigade spéciale d’infanterie, commandée par le général Dieterichs, est envoyée via la France sur le front de Thessalonique.




La 3e brigade spéciale d’infanterie2 fut formée en juin 1916 et envoyée en France au mois d’août via le port d’Arkhangelsk. Elle est commandée par le général V. Marouchevski.




Le 21 avril 1916, le « Latouche-Treville », navire amiral du corps expéditionnaire russe, mouille dans le port de Marseille après un périple de quarante-cinq jours. Débarquant à la tête de ses troupes, le général Lokhvitsky reçoit les honneurs militaires des autorités civiles et militaires de Marseille venues accueillir le chef de la première brigade russe. Acclamant les troupes russes, la population de Marseille assiste au défilé de ces dernières sur les avenues de la cité phocéenne. Conduits au camp Mirabeau, où ils assistent à leur première Pâques russe en territoire français, les hommes de la première brigade russe prennent quelques jours de repos avant de rejoindre le front.




Dans un premier temps cantonnées au camp de Mailly, où elles reçoivent une instruction militaire française, la brigade russe rejoint le front de Champagne. Durant l’été 1916, cette brigade russe s’illustre face aux nombreuses attaques menées par la 242e division d’infanterie allemande. Relevée le 15 octobre 1916 du secteur d’Auberive, la brigade russe connaît d’autres engagements féroces. Dissoute du fait de la Révolution d’Octobre de 1917 et de la signature par la Russie du traité de paix de Brest-Litovsk en mars 1918, la brigade russe est rattachée à la 1re division Marocaine et envoyée sur le front en mars 1918.








Enfin, la 4e brigade spéciale d’infanterie commandé par le général-major Maxime Leontiev fut envoyée en Macédoine, reliant d’abord Brest à bord du paquebot Lorraine et arrivant finalement à Salonique en octobre 1916.








En septembre 1917 eut lieu la mutinerie des soldats russes à La Courtine, réprimée dans le sang. Neuf mutins sont tués par l’artillerie, 81 meneurs sont envoyés à Bordeaux pour être jugés, 549 sont emprisonnés à Bourg-Lastic et à l'Île-d'Aix, et 7 500, désarmés, sont retenus au camp de La Courtine. 

Le nombre de tués est sujet à caution. Entre le chiffre de plusieurs centaines évoqué dans certaines sources fantaisistes et le chiffre officiel de 9, l'historien Rémi Adam en estime le nombre proche de la centaine. Ils furent enterrés « furtivement, de nuit, à l'insu de leurs camarades et de la population »

La Der des Der  DIDIER DAENINCKX, JACQUES TARDI




L’enquête d’Eugène Varlot le mène dans un hôpital qui accueille d’anciens soldats, des gueules cassées dont Alizan, visité de temps en temps par la femme du colonel Fantin et sa fille, démembré et défiguré par un obus, officiellement dans la Somme mais en fait en Creuse, au camp de La Courtine, en 1917.1917, année des mutineries dans les tranchées françaises et année de la Révolution russe ; inquiet d’une contagion des idées révolutionnaires russes dans le contingent français, le commandement militaire français décide de retirer les soldats russes du front puis de les en éloigner. C’est ainsi qu’en juin-juillet 1917 les soldats russes sont envoyés au camp de La Courtine où on leur laisse armes et munitions.Une opposition voit le jour entre deux brigades, l’une « bolcheviks », l’autre loyaliste ; cette dernière quitte alors le camp pour se retrouver à Felletin. Les soldats restants, réclamant leur retour en Russie pour participer à la Révolution, autogèrent le camp et refusent de répondre à la demande des autorités françaises de rendre leurs armes. Cette situation va alors déboucher sur un pilonnage du camp par les troupes françaises et loyalistes russes et par l’assaut du camp par ces derniers.
Sources :

BNF Gallica

ECPA-D

20/4/16, arrivée des troupes russes, Marseille, le Latouche-Trèville : [photographie de presse] / [Agence Rol]

26 mars 2018

Humour dans le carré par Donec La Grande Russie

La Grande Russie


‌Salut la compagnie,

Au début du siècle dernier l’Etat russe atteint un intéressant niveau de sclérose. Il s’apprête a vivre un siècle d’abominables aventures révolutionnaires. En attendant il est en guerre contre le Japon.




La marine russe est très inégalitaire, une bande d’aristocrates mène d’une poigne de fer un équipage de moujiks. Le 21 octobre 1904 la flotte de la Baltique fait route vers Port-Arthur pour renforcer celle d’Extrême-Orient. Il fait nuit. Nous sommes au large de l’Angleterre, en pleine mer du nord, le navire-atelier Kamtchatka qui ferme la marche des 45 navires signale qu’ils sont suivis par plusieurs bâtiments dont les feux ne sont pas règlementaires.

Branle-bas de combat dans l’escadre, les Japonais attaquent !

L’amiral ROJESTVENSKY ne barguigne pas et fait ouvrir le feu pendant 20 minutes. Après avoir fait cesser le feu, on allume les projecteurs et surprise les destroyers japonais ne sont que de paisibles pêcheurs anglais. Heureusement que les canonniers russes tirent mal. Il n’y aura chez les Britanniques que deux morts et six blessés.




Comble de malchance, les croiseurs russes Aurora et Dmitrii Donskoi sont pris à partie par leurs coreligionnaires. L’aumônier et un matelot sont tués. Le cuirassé Oryol a de son côté tiré 500 obus en pure perte.

Non content d’avoir mis à mal les chalutiers anglais l’amiral ROJESTVENSKY abandonne les naufragés à leur sort.

Orage à Londres !

Sous la pression diplomatique une enquête internationale est menée. L’escadre doit relâcher à Vigo pour s’expliquer avant de poursuivre sa route vers son anéantissement total à la bataille de Tsushima.

Pour conclure c’est avec ces couillons, dit le « rouleau compresseur russe » que dix ans plus tard, le président Poincaré a la bonne idée d’affronter l’Allemagne. Nous n’avions peur de rien en ce temps-là.

A la semaine prochaine

Donec

Escorteur d'Escadre Kersaint

Escorteur d'Escadre Kersaint

Deuxième d'une série de 18 escorteurs d'escadre, le Kersaint a été conçu comme escorteur antiaérien et anti-sous-marin. Mis sur cale à Lorient en juin 1951, il fut lancé en octobre 1953 et mis en service en mars 1956.






Deux grande refontes vont marquer sa vie, tout d'abord de février 1964 à avril 1965 (la refonte dite « Tartar », qui verra la mise en place du système de lutte anti-aérien éponyme) puis de décembre 1970 à juin 1972.



A noter que durant les opérations de Suez d'octobre 1956, le Kersaint fera feu à 65 reprises sur un navire inconnu qui se révélera être le destroyer égyptien Ibrahim el Awal plus tard arraisonné par la Marine israélienne.

La denière rentrée des couleurs se déroule le 3 mars 1984. Le Kersaint est condamné le 23 mai 1985 et devient le numéro de coque Q638.

Il est coulé, comme cible de tirs, en mai 1986, durant un exercice par l'Escadre de l'Atlantique.

Amiral de Coëtnempren, comte de Kersaint 

(1742-1793) Notice biographique Armand Guy Simon de Coëtnempren, comte de Kersaint, naît à Paris le 20 juillet 1742. Il entre aux gardes-marine, à Brest, en novembre 1755, après avoir été volontaire lors d’une campagne de l’escadre de McNemara. Enseigne de vaisseau en avril 1757, il embarque sur le vaisseau l’Intrépide commandé par son père, le capitaine de vaisseau Guy François de Coëtnempren, et participe à la campagne d’Angola et des Antilles. Il embarque sur la frégate l’Améthyste en 1759, sur la frégate l’Opale en 1760 et navigue aux Antilles en mission d’escorte. Il navigue de nouveau aux Antilles en 1765 sur la frégate Danaé. Commandant la corvette-canonnière la Lunette en 1767, il prend part à la campagne du Maroc. De nouveau aux Antilles en 1768 sur la frégate la Belle-Poule, il est promu lieutenant de vaisseau en février 1770 et commande en 1771 le Rossignol à la Martinique. 






Commandant la corvette la Favorite en 1776-1777, puis la frégate Iphigénie en mars 1778, il fait avec cette frégate une campagne en Manche puis aux Antilles au cours de laquelle il s’empare des frégates anglaises Lively et Cérès avant de participer aux opérations contre l’île de la Dominique. Capitaine de vaisseau en mars 1779, il combat en 1780 dans l’escadre du comte de Guichen contre Rodney et s’empare le 29 avril d’une corvette anglaise. 





Commandant une division de cinq bâtiments menés par la frégate Iphigénie, il attaque et fait capituler, en janvier 1782, les établissements anglais d’Essequibo et deBerbice (Guyane). De retour en France, il s’intéresse à des problèmes techniques concernant les constructions navales, voyage en Angleterre et propose de nombreux projets de réforme de la Marine. 





Il commande le vaisseau le Réfléchi en 1784. À la demande du ministre il expérimente diverses innovations techniques sur le vaisseau le Léopard en 1787. En 1789, président de l’assemblée des électeurs de Paris, il présente à la Constituante un plan de réorganisation de la Marine qui n’est pas retenu. Administrateur du département de la Seine, il est élu député de Paris en octobre 1791, puis député de Seine-et-Oise en septembre 1792. 




Contre-amiral en 1792, vice-amiral en 1793, il vote la réclusion de Louis XVI et démissionne. 
La droite demande l'ajournement de toute la discussion à trois jours pour que la défense de Louis XVI puisse être imprimée comme l'ont été toutes les pièces de l'accusation, « Lorsque les tyrans égorgeaient les patriotes, s'écrie Duhem, ils n'ajournaient pas; lorsque les Autrichiens bombardaient Lille au nom du ci-devant roi, ils ne désemparaient pas. Que signifient ces déclamations ? répond Kersaint; nous sommes ses juges et non ses bourreaux. Il faut, dit Saint-Just, préalablement à toutes choses, répondre aux arguments des défenseurs de Louis Capet. »

Candidat au poste de ministre de la Marine, sa candidature n’est pas retenue ; il est destitué en juillet 1793, arrêté à Ville-d’Avray le 2 octobre, condamné à mort et exécuté le 4 décembre.



Terres Polaires n° 190 Mars 2018

Terres Polaires n° 190 Mars 2018



Nos amis de l'UFPP-SATA ont sorti le numéro de mars 2018 de leur bulletin.
en voici la couverture, le sommaire et les coordonnées 









Quelques plis polaires

Campagne du ZELANDE en mai 1981 à Kerguelen 





Plus récent sur le timbre Challenger, le TàD de DDU le 16-11-2017 par L'Astrolabe 





Et plus insolite, d'un pôle à l'autre (ou presque) avec mon ami René, nous nous amusons à envoyer des plis insolites à des adresses improbables...
lors d'une escale du Marion Dufresne à Durban, René s'est envoyé, de ma part, un pli à une adresse fictive au Groenland... Et mes noms et adresses au verso...


Départ de Durban et TàD de réexpédition de Tasilao 6-9-2017


Et comme les Postes groenlandaises sont hyper-organisées, le pli est arrivé chez moi sans encombres. 




Bombardement de Philippeville Algérie croiseurs Goeben Breslau Kaiserliche Marine août 1914

Bombardement de Philippeville Algérie croiseurs Goeben Breslau Kaiserliche Marine août 1914 Bône et Philippeville : les premiers morts de la...