30 décembre 2017

boite à lettre LISA Musée de la Poste

LISA Musée de la Poste 

Boite à lettres  Dejoie 


Les vignettes Libre service d’affranchissement (LISA) du Musée de La Poste continuent de revisiter les boîtes aux lettres du XXe siècle. Celle émise en mars dernier était illustrée des « fameuses » Mougeotte (1900) et Simyanette(1908), ainsi nommées en référence aux ministres des Postes Mougeot et Symian qui avaient souhaité leur installation.
Les nouvelles nous apportent plus Dejoie...


Un jour d'hiver à Montélimar Photo JM Bergougniou


L’Adresse Musée de La Poste dispose d’un espace timbres situé au 21 avenue du Maine dans le quinzième arrondissement de Paris. L’entrée y est libre du lundi au vendredi de 10h à 18h, fermé le samedi, dimanche et les jours fériés. Un point de vente, proche de la gare Montparnasse qui propose à toutes et à tous :
Tous les modèles de timbres en cours de validité, dont les dernières nouveautés.
Tous les timbres originaux de St Pierre et Miquelon, Andorre, Monaco, TAAF, Nouvelle Calédonie, Polynésie Française, Wallis et Futuna.
Un service de libre affranchissement (Lisa) qui délivre une vignette d’affranchissement dont le visuel est une exclusivité du Musée.
Un service de « Timbre à date » à la marque du Musée pour l’oblitération du courrier.
Un conseil permanent délivré par des professionnels.
Un lieu de découvertes culturelles autour du timbre.





LISA représentant des boites à lettres Dejoie 1962 et 1985.

http://www.ladressemuseedelaposte.fr/Le-Blog-48


http://www.ladressemuseedelaposte.fr/La-nouvelle-LISA-du-Musee-de-La-2654

29 décembre 2017

salon automne Lisa

salon automne Lisa 

Sabine de Gandon



Cette vignette est dédiée aux 40ans de la Sabine de Gandon.

La Sabine de Gandon est un timbre-poste d'usage courant qui a servi en France de décembre 1977 au retrait de la vente des derniers timbres en décembre 1982.








Elle met en exergue la célèbre Sabine de Gandon et représente un extrait du tableau peint par Jacques-Louis David entre 1796 et 1799 : "Les Sabines". C'est une création de Elsa Catelin.




20 000 exemplaires de chacune des deux vignettes ont été tirés pour chaque type de papier, thermosensible pour LISA2 et non thermosensible pour LISA1.


http://libreserviceactualite.blogspot.fr/2017/11/71-salon-philatelique-dautomne-paris.html#more

Humour dans le carré par Donec

Bonne année 1968



Bonjour à tous,

Je crois que ce début d’année est propice à un petit voyage dans le temps vers une époque où l’on risquait sa vie sans vergogne sur des routes improbables.




Pour cela, je viens de retrouver un petit opuscule de la collection « Marabout » qui nous fait l’éloge d’une gloire oubliée : l’Alfa Roméo 1750. Un petit texte y évoque une course vers le soleil dans des conditions et à une allure que l’on n’imagine même pas aujourd’hui.



Le texte s’intitule modestement : A la poursuite du temps.

A lire en pièce jointe

En attendant je vous souhaite une année 2018 qui exauce vos vœux les plus secrets…

A la semaine prochaine

Donec

Les brumes du ciel s’effilochaient doucement. La lumière pointait peu à peu.La grande aiguille du compte-tours semblait somnoler. Depuis plus de cent kilomètres, elle restait immobile ou presque : 5.000, 5.200 tours, soit une vitesse de croisière de 180/190 km/h. Une cinquième vitesse, juste assez longue pour soutenir un tel rythme, sans souffrance aucune pour le moteur.

Montélimar sous la neige photo JM Bergougniou

Les pneus avalaient l’asphalte de l’autoroute fonçant vers le soleil. Au volant un homme détendu, légèrement fatigué cependant par une nuit passée à toute allure sur les routes, avec lui deux passagers, plongés chacun dans un profond sommeil…Régulièrement le pilote jette un regard sur sa montre, un autre sur le compteur kilométrique. Il reste vingt minutes pour arriver à Montélimar, à trente kilomètres de distance ? « Si tout va bien, pense t’il, j’aurai rattrapé complètement le retard pris jusqu’à maintenant, et avec un peu de chance, je reprendrai la nationale 7 avec quelques minutes d’avance. »


L’Alfa Roméo berline 1750 fonçait toujours. Elle avait accepté de tenter l’aventure : relier Bruxelles à Nice en moins de 10h30.
Depuis 0h02 mn, elle avalait allègrement les kilomètres. Toute la nuit, comme la chèvre de Monsieur Seguin, elle a lutté de toutes ses forces. Jusqu’à Avallon, la route était presque déserte. Plus loin par contre, ce fut beaucoup moins gai. Les poids lourds se succédaient en file ininterrompue dans les deux sens.Tenir la moyenne imposée par le tableau de marche (120 km/h) demandait un effort constant et éprouvant. A ce moment à cause d’une erreur de 25 km l’Alfa était en retard sur l’horaire prévu. Elle tentait de grignoter une à une les secondes. Mais pour chacune c’était un dur combat.A Lyon, la situation s’était légèrement améliorée.


Montélimar le nougat sous la neige photo JM Bergougniou

Mais l’autoroute était là avec ses 150 km de ligne droite, pied à la planche.
 
Montélimar, la cité du nougat : la moyenne a remonté et même dépassé 120 km/h.Le petit capital (7 minutes) lui permettait de respirer. Les gendarmes s’étaient levés avec l’aube. Ils pullulaient tout au long de la route du soleil. La circulation augmentait au fur et à mesure des minutes. Les limitations de vitesse dans les villages, les lignes blanches, autant de secondes perdues. Il fallait les rattraper. Le moteur se mit à chanter plus vite ; L’aiguille du compte-tours haussa son rythme d’un cran. Les changements de vitesse se faisaient plus sèchement, et jusqu’à Aix-en-Provence, le petit capital (7 minutes fut préservé)… 
Un fou ?
Faut-il être fou pour tenter une pareille aventure ? pas le moins du monde.L’idée de cette randonnée me travaillait depuis quelques mois lorsque sa réalisation fut décidée.C’était pour moi une aventure comme une autre. Je l’avais préparée très sommairement, pas plus que si j’avais choisi cette route sans autre but que le soleil et les vacances. Physiquement j’étais prêt, bien reposé, et habitué à produire des efforts de cette durée. Le coup de pompe, je l’ai eu comme chacun, mais sur l’autoroute heureusement. Là avec une Alfa Roméo il est possible de se décontracter en roulant à 180, 190 km/h (sic !).Un ravitaillement, le tour de la voiture pendant le plein d’essence et la forme revenait. Mon ravitaillement personnel ? Trois sandwiches grignotés au milieu de la nuit, deux tasses de café bien chaud et c’était tout. Le plus dur la finale, lorsqu’il fallut foncer au maximum pour annuler le retard pris entre Aix-en-Provence et l’autoroute de l’Estérel. Elle vaut la peine d’être raconté en détail. 
Au finish 
L’entrée d’Aix, j’avais 7 minutes d’avance. A la sortie, hélas ! je les avais perdues. Une circulation intense, des bouchons m’avaient fortement retardé. Je croyais que les choses iraient s’améliorant, mais je me trompais… ce fut pire encore. Les petits villages provençaux aux rues étroites, les camions gros et multiples, les lignes blanches, ne me laissèrent pas de répit. Le chrono tournait et, les secondes s’échappaient. Je pensais que tout était perdu. Le silence s’établit dans la voiture. Le moteur ronronnait rageusement.A l’entrée de l’autoroute de l’Estérel, j’avais presque un quart d’heure de retard. J’étais furieux car si j’étais parti deux heures plus tôt de Bruxelles, tout cela ne serait pas arrivé. 
Saint-Jeannet photo JM Bergougniou
En démarrant pour le sprint final vers Nice, j’étais bien décidé à jouer le tout pour le tout. La 1750 a été cravachée. « Si elle doit exploser, c’est ici ! » ai-je annoncé. Les grandes courbes se prenaient à 180/190 km/h comme sur un circuit. Il fallait rattraper les minutes perdues. Quelle course ! Les pneus criaient sur l’asphalte brulant. Finalement l’aéroport apparut au loin. Un dernier coup d’œil au chrono, un ultime virage et un profond soupir collectif : top ! nous y voilà.Le verdict : 9h33, soit exactement un peu moins de 120 km/h.

Mais en faisant le compte exact des kilomètres perdus lors de l’erreur de parcours commise entre Tonnerre et Avallon, la moyenne remontait et le verdict définitif était 1 165 km en 9h33 soit la moyenne de 122 km/h.Ce qu’il fallait démontrer

LISA entrée en guerre des Américains étiquette distributeur Saint-Mihiel Gondrecourt Bar le Duc Meuse USA

LISA entrée en guerre des Américains

A l'occasion du centième anniversaire de l'entrée en guerre des américains à Gondrecourt-le-Château et à Saint-Mihiel (Meuse) une étiquette de distributeur LISA 2 est éditée par la Poste.
La Lisa a été commercialisé à Bar-le-Duc et Saint-Mihiel les 29 et 30 septembre.





Sophie Beaujard photo JM Bergougniou


Cette Lisa a été réalisée par Sophie Beaujard



Cette vignette a pu être obtenue sur les machines suivantes :

- LISA2 et NABUCCO Wincor Nixdorf dans le bureau de Bar-Le-Duc ,
- NABANCO dans le bureau de Saint Mihiel.
A noter que le bureau de Bar-le Duc a assuré la commercialisation de la vignette en lieu et place de celui Gondrecourt-Le-Château, non équipé de machine.








Les machines ont délivré des vignettes courrier avec les mentions et les valeurs correspondant au tarif du 1er janvier 2017 et des vignettes en complément d'affranchissement. Toutes les machines ont été bridée à 0,71 €.
- vignettes courrier

http://libreserviceactualite.blogspot.fr/2017/10/centenaire-de-lentree-en-guerre-des.html



John Joseph Pershing est né le 13 septembre 1860 à Linn Country, un village du Missouri. Sa famille était d'origine alsacienne - un de ses ancêtres avait émigré en Amérique au milieu du XVIIIe siècle. A 22 ans, après avoir été instituteur, il entre à l'Académie militaire de West Point. Il en sort en 1886 et suit alors une carrière militaire classique : sous-lieutenant en Arizona, professeur de science militaire et de tactique à l'Université du Nebraska (1891) où il étudie également le droit, 10e Régiment de cavalerie du Montana. Lieutenant à Washington (1897), il participe à la guerre de Cuba, puis à la répression de l'insurrection des Moros aux Philippines.




En 1901, le capitaine Pershing est attaché militaire à Tokyo et suit de près la guerre russo-japonaise. En 1906, il est nommé général de brigade et remplit une nouvelle mission aux Philippines avant de faire un séjour en Europe où il étudie le français et, en 1914, il reçoit le commandement de la Division de l'Ouest, à San Francisco. Il participe à la répression de la révolte de Pancho Villa au Mexique. En août 1915, sa femme et trois de ses enfants périssent dans un incendie à San Francisco.




Le 10 mai 1917, le président Wilson le charge de commander le Corps expéditionnaire américain en Europe. Le 13 juin 1917, le général Pershing arrive à Paris.



Treize jours plus tard, les premières troupes américaines débarquent à Saint-Nazaire. Jusqu'au 11 novembre 1918, le général Pershing n'aura de cesse de créer sur le front français une grande armée américaine autonome.

http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/fr/john-pershing

28 décembre 2017

Lisa Berlin Porte de Brandebourg Pont Oberbaum

Lisa Berlin Porte de Brandebourg Pont Oberbaum

Fondée au xiiie siècle, Berlin a été successivement capitale de l'électorat du Brandebourg (1247-1701), du royaume de Prusse (1701-1871), de l'Empire allemand (1871-1918), de la République de Weimar (1919-1933) et du Troisième Reich (1933-1945). Après 1945 et jusqu'à la chute du Mur de Berlin en 1989, la ville est partagée en quatre secteurs d'occupation. 


Pendant la Guerre froide, le secteur soviétique de la ville, nommé Berlin-Est, est devenu la capitale de la République démocratique allemande, tandis que Berlin-Ouest était politiquement rattachée à la République fédérale d'Allemagne, devenant ainsi un bastion avancé du « Monde libre » à l'intérieur du Bloc communiste. 
Après la chute du mur, Berlin redevint, en 1990, la capitale de l'Allemagne alors réunifiée, et les principales institutions fédérales y emménagèrent en 1999.



Inaugurée en 1896 à l'occasion d'une foire commerciale se tenant au Treptower Park, l'Oberbaumbrücke remplaçait un ancien pont de bois datant de 1724, qui ne permettait pas le passage du métro reliant la Warschauer Strasse et le Zoologischer Garten. L'architecte Otto Stahn dota le pont d'arcades et pignons caractéristiques du style gothique en brique de la Marche du Brandebourg. Les coiffes des tours de guet surmontées de girouettes - avec pour effigies l'ours berlinois et l'aigle prussien - sont inspirées du Mittelturm de Prenzlau.




La porte de Brandebourg est un monument emblématique de Berlin – un point de repère et un symbole -, avec son histoire vieille de plus de deux cents ans. Autrefois symbole de la ville divisée, elle attirait les visiteurs qui se juchaient sur la plateforme d’observation pour jeter un coup d’œil de l’autre côté du rideau de fer, par delà le no-man’s land qui séparait géographiquement et politiquement l’Est et l’Ouest de Berlin. C’est de cet endroit que, le 12 juin 1987, Ronald Reagan lança cette injonction sévère à l’adresse de son adversaire de la Guerre froide, l’admonestant en ces termes : “M. Gorbatchev, abattez ce mur !” Le discours, prononcé pour les Berlinois de l’Ouest, était audible de l’autre côté de la porte de Brandebourg et faisait écho aux paroles fortes du président von Weizsacker: "La question allemande restera ouverte tant que la porte de Brandebourg restera fermée"


Pour mon ami René, Berlinois de coeur (Ich bin ein Berliner!) ce chant de noël qui berça mon enfance à Wetzlar et Koblenz.

https://www.youtube.com/watch?v=27JleM39TPY




O Tannenbaum, o Tannenbaum,
Wie treu sind deine Blätter!
Du grünst nicht nur zur Sommerzeit,
Nein, auch im Winter, wenn es schneit.
O Tannenbaum, o Tannenbaum,
Wie treu sind deine Blätter!

O Tannenbaum, o Tannenbaum,
Du kannst mir sehr gefallen!
Wie oft hat nicht zur Weihnachtszeit
Ein Baum von dir mich hoch erfreut!
O Tannenbaum, o Tannenbaum,
Du kannst mir sehr gefallen!

O Tannenbaum, o Tannenbaum,
Dein Kleid will mich was lehren:
Die Hoffnung und Beständigkeit
Gibt Mut und Kraft zu jeder Zeit!
O Tannenbaum, o Tannenbaum,
Dein Kleid will mich was lehren!

27 décembre 2017

LISA Croix-Rouge exposition Saint-Louis

LISA Croix-Rouge Saint-Louis


1ère Exposition philatélique internationale Croix-Rouge Saint-Louis 
du 30/09/2017 au 01/10/2017 de 09h00 à 17h30


Vignette représentant Henry Dunant, fondateur de l'oeuvre de la Croix-Rouge

Année 2017 Tirage: 20 000 exemplaires  




On sait le rôle de pionnier qu’Henry Dunant a joué dans la création du mouvement de la Croix-Rouge et dans l’acceptation par les Etats des principes qui sont à la base du Droit international humanitaire. On connaît moins la part personnelle et décisive qu’il a prise dans la constitution de la Croix-Rouge Française, dont il est le véritable fondateur.

Dans les deux années qui suivent la première convention de Genève « pour l’amélioration du sort des militaires blessés », les premières sociétés nationales voient le jour dans les Etats allemands, la Suède, en Norvège, en Suisse… Convaincu du rôle de premier plan que la France, grâce à son influence et son prestige, peut jouer dans le succès de l’entreprise, Henry Dunant multiplie les démarches auprès de Napoléon III et de son entourage, pour susciter la création d’une Société Nationale en France.


Escorteur Cotier La Malouine HMCS Cowichan

Escorteur Cotier La Malouine
HMCS Cowichan





En 1951 et 1952, la Marine royale canadienne ordonna la mise en chantier de quatorze navires de la classe Bay destinés à remplacer les dragueurs de mines vieillissants qui dataient de la guerre. En 1972, ils furent reclassés escorteurs-patrouilleurs.

Construit par les Chantiers Davie à Lauzon (Québec), le dragueur de mines Cowichan de la classe Bay entra au service de la Marine royale canadienne le 10 décembre 1953. Il fut désarmé le 31 mars 1954 et transféré à la marine française, qui le rebaptisa La Malouine





Lors de la cérémonie le ministre de la défense Canadienne Brooke Claxton rencontre les 4 anciens commandants Canadiens et les 4 commandants français remplaçants. Il sert la main du lieutenant de vaisseau André Perrin commandant de l’ex-Cowichan "La Malouine"





Encore sous numéro de coque canadien, en 1961, la Malouine sort de son coconnage. Son commandant, le LV Gérard Lefèbvre et le second l'EV1 Jean Claude Fouilland accompagnent les marins pour le transit vers Diégo-Suarez, via Héraklion, Suez, Djibouti, Monbasa, Beira, pour y arriver en octobre 61.
Il faisait une chaleur torride à Djibouti ,en particulier dans les appartements des enseignes à l'arrière sous le pont en alu! où la clim ne fonctionnait pas !

A Diego , la Malouine est rattachée à la Mission hydro de Madagascar avec le "La Pérouse", et effectue essentiellement de la "grande sonde "radioguidée au théodolite à partir de stations à terre sur les hauteurs où elle passait plusieurs jours avec une petite équipe de porteurs et un OM hydrographe. (On se croyait à l'époque de la conquête !)




La Malouine passe également 6 mois à Mayotte pour y faire de la géodésie et l'hydro du lagon. Ceci permit la venue à Dzaoudzi de grands bâtiments comme le croiseur "de Grasse" en transit vers les expérimentations du Pacifique. (Commentaires de Pierres Latourette)


TàD Madagascar 15-10-1962 sur timbre FM

Affecté à Djibouti de longues années, l'ancien dragueur de mines "La Malouine" P 651 (dont la coque était en bois) est reconverti en patrouilleur, Il quitte définitivement Djibouti en 1977 pour rentrer en France.





https://www.youtube.com/watch?v=zaihMSWSQPs

Déplacement : 470t
Longueur : 50m
Largeur : 9,2m
Tirant d'eau : 2,8m
Numéro de coque : M727
Date admission au service actif : 21/05/54
Date retrait service actif : 1977 (coulé le 25/02/85)





sources 

http://perso.numericable.fr/la.malouine/

Camille Pelletan Gaston THOMSON ministres de la Marine croiseur-cuirassé Sully Baie d'Along 1905 Marine nationale

Camille Pelletan et Gaston THOMSON ministres de la Marine  Les ministres de la Marine ont souvent été l'objet de railleries, de critique...