27 juin 2017

La Cancalaise fête ses 30 ans avec quelques amis 30 ans bisquine Bretagne Cancale Ille et Vilaine Manche Grand Vilaise Girl Joyce Yvon Le Corre fête maritime

La Cancalaise fête ses 30 ans avec quelques amis

La Cancalaise CAN 87 photo (c) JM Bergougniou

Cancale à grève au petit matin photo (c) JM Bergougniou


Girl Joyce le bateau d'Yvon Le Corre photo (c) JM Bergougniou
 Cette "Fille de Joie" était sur la grève à Cancale

Girl Joyce le bateau d'Yvon Le Corre photo (c) JM Bergougniou
Girl Joyce, construit en 1855, est un des plus vieux voiliers en état de naviguer.  Il a, entre autre, servi de pilote à Saint-Hélier jusqu'en 1934 ; il a également joué un rôle durant la 2ème guerre mondiale. 




Il n'était plus en bon état, sur le bord de la Rance, quand il a été acheté et magnifiquement restauré par le célèbre navigateur, écrivain et peintre de marine Yvon Le Corre. !

Sur la grève G90 La Granvillaise photo (c) JM Bergougniou

La Cancalaise photo (c) JM Bergougniou

La Granvillaise photo (c) JM Bergougniou

photo (c) JM Bergougniou

La Cancalaise photo (c) JM Bergougniou

La Granvillaise photo (c) JM Bergougniou

photo (c) JM Bergougniou

photo (c) JM Bergougniou

photo (c) JM Bergougniou

photo (c) JM Bergougniou

photo (c) JM Bergougniou

Yole photo (c) JM Bergougniou

La grève photo (c) JM Bergougniou

photo (c) JM Bergougniou

photo (c) JM Bergougniou

photo (c) JM Bergougniou

photo (c) JM Bergougniou 

photo (c) JM Bergougniou


photo (c) JM Bergougniou

photo (c) JM Bergougniou

photo (c) JM Bergougniou

photo (c) JM Bergougniou

photo (c) JM Bergougniou

Le Grand Léjon photo (c) JM Bergougniou


ROCHEFORT EN TERRE le village préféré des Français 56 Bretagne Morbihan

ROCHEFORT EN TERRE

Rochefort-en-Terre est sans aucun doute l'une des plus belles « Petites cités de caractère » de Bretagne. Ses remparts, son château et ses demeures anciennes invitent à un voyage dans le temps.
Au milieu des landes et des bois, le village se dresse sur un éperon rocheux de schiste. Ses maisons à encorbellement et à colombage rappellent que Rochefort a été une cité prospère gérée par des seigneurs riches et puissants.





Située à 35 km à l’est de Vannes, sur une butte rocheuse dominant la vallée du Gueuzon, la cité bretonne de Rochefort-en-Terre donne une impression d’homogénéité malgré la diversité des courants architecturaux qui s’y sont exprimés : maisons à pans de bois, bâtiments de style gothique, demeures Renaissance, hôtels classiques, architecture XIXème... C’est la pierre, ici omniprésente, qui fait le trait d’union entre ces différents témoignages de l’Histoire.




Au XVe siècle, Jean IV de Rieux-Rochefort, conseiller du duc de Bretagne François II, défendit les frontières du duché face au royaume de France, à la bataille de Saint-Aubin-du-Cormier (1488) où les Bretons furent vaincus par les troupes du roi Charles VIII. En représailles, le roi de France fit détruire de nombreuses forteresses, dont celle de Rochefort. A la mort du duc, Jean IV devint tuteur d'Anne de Bretagne ; celle-ci le dédommagea de la destruction de ses biens par une somme de 100 000 écus d'or. 
Bâti au XIIe siècle, le château de Rochefort traversa les siècles, subissant deux autres destructions dont la dernière, à la Révolution française, lui fut fatale. 
Ce n'est qu'au début du XXe siècle, avec l'arrivée d'un peintre américain, Alfred Klots, que la vieille enceinte féodale reprit vie. Sur des dépendances du XVIIe siècle, Alfred Klots fit bâtir un nouvel édifice à partir, notamment, d'éléments provenant du château de Keralio, à Noyal-Muzillac. 
De la construction initiale de l'église Notre-Dame-de-la-Tronchaye ne subsiste que le clocher roman. Le choeur et la nef furent agrandis au XVIe siècle. Dès les années 1930, Rochefort-en-Terre devint un village fréquenté pour son patrimoine bâti et son fleurissement. 

La petite cité a été élue « Le Village préféré des Français 2016 » lors de l'émission de France 2 animée par Stéphane Bern. 


Texte Véronique van den Broek ©Rochefort-en-Terre Tourisme.
© Morgane Production. L'émission « Le village préféré des Français » est diffusée par France Télévisions, conçue et produite par Morgane Production.

Dʹaprès le communiqué de presse de Phil@Poste


  • Création et gravure : Elsa Catelin 
  • Impression : taille-douce 
  • Couleurs : polychromie 
  • Format : horizontal 40,85 x 30 mm 
  • Présentation : 48 timbres à la feuille 
  • Valeur faciale : 0,73 € 
  • Tirage : 1 000 032 ex

Brest Parade navale 1917 2017

Brest Parade navale 1917 2017 


La Marine nationale s’associe aux commémorations du centenaire de la Grande
guerre en accueillant en rade de Brest, 5 navires de marines étrangères :
  • - Le Brésil, F42 Constituçao : du 17 au 26 juin
  • - L’Irlande, L.E James Joyce : du 20 au 23 juin
  • - L’Allemagne, FGS Lubeck : du 21 au 23 juin
  • - La Grande Bretagne, HMS Richmond : du 21 au 23 juin
  • - Les Etats Unis, USS Arlington : du 22 au 23 juin





23 juin PARADE NAVALE: 16H30 -18H

Les bâtiments appareilleront le matin pour sortir du goulet et se donner rendezvous
au sud de Bertheaume dès 16h30.
Les bâtiments défileront avec les équipages au poste de bande, du phare du
Minou à la grande rade. Ils salueront au canon le port qui a vu débarquer plus de

700 000 américains en 1917.






A l’issue de la parade navale, les bâtiments prendront le large pour, au petit matin, reformer symboliquement un convoi de l’Atlantique et escorter le long des côtes le QUEEN MARY 2 de Groix jusqu’à Saint Nazaire, autre port majeur de
débarquement des « Sammies ».




À l’entrée en guerre des États-Unis, le port de Brest se révèle impropre à recevoir l’importante logistique nécessaire aux millions de soldats américains dont l’engagement en Europe est programmé, faute d’installations portuaires suffisantes. La rade de Brest offre cependant un plan d’eau propice aux opérations de transports de troupes, le débarquement depuis des unités de fort tonnage se faisant au moyen de petites embarcations. Elle bénéfice de conditions très favorables : grande profondeur, accès quelles que soient les marées, protection des vents dominants. Dès lors, la base section No. 5 de l’American Expeditionary Force devient la principale porte d’entrée des troupes américaines en Europe.


La ville de Brest est à l’aube d’une métamorphose : l’afflux puis le reflux de centaines de milliers d’hommes, l’arrivée d’une impressionnante logistique, de nouvelles infrastructures et l’entrée d’un modernisme massif.

Les Américains débarquent avec leurs milliers de véhicules à moteur, ils construisent ou développent barrage, électrification et téléphone, voies ferrées, installations portuaires. Leurs campements se multiplient un peu partout. Sans oublier culture et mode de vie comme le jazz et le chewing-gum.

En septembre, des travaux d'aménagement commencent à Pontanezen, près de Brest, pour la construction d'une véritable ville qui va accueillir 70 000 militaires américains en transit avant de monter au front. Pour chaque homme qui débarque, une tonne de matériel arrive également en France. Brest va ainsi devenir le principal port de débarquement (et de réembarquement) des soldats américains et le quartier général de l'US Navy en Europe. Ainsi le SS Léviathan, alors plus grand bateau à vapeur au monde, desservait uniquement le port breton et sur les 2 millions de membres de l'American Expeditionary Force
(AEF), plus de 700 000 arrivèrent par Brest (c'est également via Brest que le
président des États-Unis, Woodrow Wilson, arriva en Europe en 1919). Un
monument, le Naval Monument de Brest construit dans les années 1930 le rappelle.



FASM Primauguet, frégate Anti Sous-Marine de la classe Georges Leygues (F70). Conçue pour assurer prioritairement la défense anti-sous-marine d'un groupe aéronaval, les frégates de lutte anti-sous-marine (FASM) ont vu leurs capacités d'action au-dessus de la surface fortement renforcées. Bâtiment de combat moderne et performant, la FASM constitue un outil militaire puissant, capable d'intervenir, seul ou au sein d'une force interarmées nationale ou multinationale.




HMS Richmond (F239), Frégate de Type 23 de la Royal Navy. C’est une frégate de la classe Duke, mise sur cale le 2 février 1992 et lancée le 6 avril 1993. Conçu à l’origine pour la guerre anti-sous-marine en Atlantique du Nord, les frégates de type 23 ont prouvé leur polyvalence dans de nombreuses opérations maritimes autour du globe.

USS Arlington (LPD 24), est un navire de transport de chalands de débarquement, huitième de la classe Saint Antonio. Troisième navire de l’US Navy à être nommé ainsi d’après la ville d’Arlington en Virginie, lieu d’implantion du Pentagone. Nommé ainsi en hommage aux attentats du 11 septembre 2001.


Constituçao (F42), quatrième frégate de la classe Niteroi. Entrée en service en Mars 1978. Les Niteroi ont été conçues et construites par les anglais Vosper Thornycroft dans les années 70.


James Joyce (P62) est le navire de tête de série de la classe Samuel Beckett constituée de trois patrouilleurs. Il a pris le nom de l'écrivain irlandais James Joyce. Comme d'autres patrouilleurs de l'Irish Naval Service, sa mission principale est la protection des zones de pêche, la recherche et le sauvetage, et les opérations de protection maritime, y compris les arraisonnements.

FGS Lubeck (F214), dernier d’une série de huit frégates de classe BRÊME, le Lubeck appartient au deuxième escadron de frégate et est basé dans le port de Wilhelmshaven.


Pontanezen Brest Lambézellec 

L'entrée en guerre des États-Unis le 6 avril 1917 est une conséquence capitale, mais elle ne suffit pas à expliquer le retournement de la situation dans la guerre sous-marine. Le 
programme de constructions navales immédiatement lancé par le Président Wilson ne peut pas encore porter ses fruits. Les raisons en sont plutôt l'épuisement rapide de la flotte allemande et les mesures défensives prises par la France et la Grande-Bretagne.

En Angleterre, un Comité de lutte anti-sous-marine dispose d'une flotte de chalutiers, yachts, ou grandes barques, pour la surveillance des côtes et la garde des navires de pêche, et en France les flottilles de pêche sont armées. Mais les flottes des deux pays manquent des bâtiments de guerre nécessaires à la sécurité des grandes routes maritimes. En 1917, ce sont 10 000 navires marchands naviguant isolément qu'il faut protéger. Le camouflage, la navigation en zig-zag ou d'autres mesures de protection passive ne suffisent pas.



La seule solution est d'organiser des convois escortés comme le réclame la France. L'Angleterre, qui s'y est opposée jusqu'alors au nom de la liberté de navigation des armateurs et pour économiser le temps perdu à former des convois, doit s'y résoudre devant les pertes intolérables des premiers mois. C'est une décision salvatrice : seuls 0,2 % des navires convoyés sont perdus, contre 7% de ceux naviguant isolément.


Dans le même temps, l'accent est mis sur l'amélioration des moyens de lutte anti-sous-marine, par l'augmentation du poids des grenades ou l'adoption d'appareil d'écoute microphonique, ancêtres du sonar.



Autre innovation, l'aviation navale se développe jusqu'à compter 1 000 appareils en France à la fin de la guerre. Ces dispositions très dissuasives compliquent la tâche des "U-boot" qui deviennent des cibles à leur tour et doivent se contenter d'attaquer en plongée : 65 des leurs sont envoyés par le fond cette année-là. Sur mer également, l'offensive tourne à la guerre d'usure. Ces pertes accrues et la fatigue des équipages expliquent l'échec final de la flotte allemande qui, en dépit d'un bilan annuel satisfaisant : 11 000 000 tonnes de navires coulés, dont 6 100 000 appartenant à l'Entente, n'a pas les moyens matériels de maintenir le rythme face aux 30 000 000 tonnes américains. .Au total, entre juin 1917 et novembre 1918, l'American Expeditionary Force utilisa pour ses débarquements en France, 85 cales existantes et en construisit 83 nouvelles dans les ports français.

Merci à LV (r) Richard Johnson ADPM35

24 juin 2017

Frégate Chevalier Paul Mission Médor mai - juillet 2017

Frégate Chevalier Paul Mission Médor mai - juillet 2017




A l’occasion de son arrêt technique intermédiaire qui s’est achevé fin mai, la frégate de défense aérienne Chevalier Paul a fait l’objet du premier échange standard de tourelles de 76 mm dans la Marine. Après une forte activité de l’artillerie dont plusieurs centaines de coups tirés durant l’opération Harmattan sur les côtes libyennes en 2011, les canons avaient besoin d’un carénage complet.





La première phase de cette opération complexe a été consacrée au démontage et au débarquement des deux canons pesant sept tonnes chacun qui ont été ensuite transportés en Italie aux ateliers de l’industriel italien Léonardo.


La seconde phase a vu le remontage de nouvelles tourelles et leur alignement au milli-radian près avec la conduite de tir du bâtiment. Pour conclure cette opération et parfaire le réglage des canons, le Chevalier Paul a procédé au tir d’obus sur des cibles de différents types. Après avoir fait but sur une cible aérienne remorquée par avion et sur une cible flottante remorquée, le Chevalier Paul a déclaré l’ « Hercule » et la « Licorne » (noms de baptême des tourelles, en hommage à deux navires commandés par Chevalier Paul au XVIIe siècle) parés au combat.




Cette opération inédite dans la Marine nationale a été menée sous la maîtrise d’œuvre globale du service Armes du bâtiment dans une étroite collaboration avec les techniciens de l’entreprise italienne Léonardo, le Service Logistique de la Marine et le Service de Soutien de la Flotte.

Depuis début juin, le Chevalier Paul est déployé en Méditerranée orientale dans le cadre de l'opération Chammal. Il a relevé la frégate antiaérienne Jean Bart, contribuant ainsi à la permanence à la mer de la Marine nationale au large des côtes syriennes.
sources :

Cols bleus

23 juin 2017

Le BATRAL Dumont d'Urville quitte Fort de France pour Brest 19 juin 2017

Le BATRAL Dumont d'Urville quitte Fort de France pour Brest

Code ROC 19460 A Fort De France Ctc 19 06 17 
Bd Chevalier Ste Marthe97200 FORT DE FRANCE


Le 19 juin 2017, le bâtiment de transport léger (BATRAL) Dumont d’Urville a appareillé de la base navale de Fort-de-France pour un dernier déploiement en direction de la métropole où il sera désarmé. Les Antilles ont salué à leur manière le départ du Dumont d’Urville.




Après 34 années de service, dernier des cinq BATRAL de type Champlain de la Marine nationale, le Dumont va parcourir ses derniers nautiques dans la Caraïbe du 19 juin à début juillet avec notamment deux escales de renforcement de la coopération franco-américaine, avant d’effectuer une dernière transatlantique en direction de Brest où il accostera fin juillet.







Un peu d’histoire…

Mis sur cale le 15 décembre 1980 aux Ateliers Français de l’Ouest de Grand-Quevilly (Seine-Maritime), le Dumont d’Urville a été admis au service actif le 4 février 1983. Affecté initialement à Papeete en Polynésie française du 13 juin 1983 au 9 novembre 2010, le BATRAL participe à de nombreuses missions de présence et de renfort en Nouvelle-Calédonie en raison de la situation intérieure de l’époque, mais également à des missions de soutien et de secours à la population locale comme lors de l’assistance aux Samoa occidentales frappées par les cyclones Ofa puis Peni (1990), aux Australes après le passage de la dépression tropicale William (1995), ou encore après les passages des cyclones Martin et Osea aux îles-sous-le-Vent (1997). D'autres missions plus atypiques ont marqué sa carrière. Parmi elles, la cérémonie d'immersion de la dépouille funèbre de Paul-Emile Victor au large de Bora-Bora (1995), le sauvetage de l'équipage du cargo Vae Anu en avarie sur les récifs de Tahaa (1998), ou le soutien à l'association Salomon pour des recherches archéologiques sous-marines sur l'ile de Vanikoro.





Parti le 9 novembre 2010 de Polynésie, le BATRAL rallie une nouvelle affectation : Fort-de-France en Martinique, qu’il atteint en décembre 2010 après une navigation de 40 jours à travers l'océan Pacifique. Aux Antilles, le Dumont d’Urville remplace le Francis Garnier. Agissant en interalliés ou en national, le Dumont d’Urville a démontré durant 7 ans la pertinence de ses capacités en termes de secours aux populations (transport de troupes, de matériels et de véhicules notamment), en exercice comme en opérations réelles. Bâtiment amphibie, le BATRAL a également réalisé de nombreuses missions de reconnaissance lui permettant d’ouvrir de nouveaux sites de plageage et d’entretenir des sites existants afin de conforter la capacité des FAA à projeter des moyens, avec ou sans infrastructures portuaires, dans la quasi-totalité des îles des petites Antilles.



 Etre en mesure de mener des opérations de secours d’urgence (assistance humanitaire, catastrophe naturelles) est en effet une des deux missions principales des forces armées aux Antilles. Comme tout bâtiment de la Marine nationale, le Dumont a également été un ambassadeur de choix pour représenter la France, la Martinique, la ville du Carbet et les forces armées aux Antilles à travers la Caraïbe et ses escales à l’étranger dont Cuba, Puerto Rico, Saint Domingue, Aruba ou encore la Barbade pour n’en citer que quelques-unes. 




Dans les îles françaises du Nord (Saint-Martin, Saint-Barthélemy, la Guadeloupe et ses dépendances), le Dumont a participé aux missions de souveraineté des forces armées aux Antilles, et démontré la capacité de projection et la réactivité d’intervention des militaires basés en Martinique.

Sous le commandement de son dernier pacha - le capitaine de corvette Nicolas – le Dumont d’Urville a eu une activité opérationnelle intense et variée permettant de mettre en œuvre toutes ses capacités opérationnelles.

Sources :

JC Lacaille

Blog Dumont d'Urville

https://www.facebook.com/groups/408377722872390/

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