22 octobre 2016

DLD FREMM Languedoc Fausse direction

DLD FREMM Languedoc 

Fausse direction 


ou l'art d'appliquer les consignes à la lettre 

  • tampon peu marqué à l'encre rouge (encrier à prévoir pour les prochaines approvisionnements)
  • Fausse Direction  
  • Code Postale au stylo 
  • Nom de la Ville soulignée


Tout est réglementaire...

Je ne suis pas certain de conserver cette enveloppe dans ma collection bien que... 


Cachet  du vaguemestre V-SPID en date du 23 septembre  2016






Patrouilleur léger guyanais La Confiance Boulogne sur Mer Pas-de-Calais

Patrouilleur léger guyanais La Confiance 

La classe La Confiance ou patrouilleurs légers guyanais (PLG) est une classe de patrouilleurs hauturiers développée et produite par Socarenam. Cette classe porte le nom de La Confiance, navire commandé par Robert Surcouf.



La Direction générale de l'Armement (DGA) a commandé à Socarenam, en 2015, deux patrouilleurs légers guyanais, ainsi que six ans de soutien initial pour chaque navire qui sera effectué par CNN MCO pour remplacer les P400 La Gracieuse et La Capricieuse basés en Guyane. Ils auront pour mission la surveillance des zones de pêche et lors des tirs de la fusée Ariane.




Les coques ont été construites sur le site de la Socarenam à Saint-Malo, les Boulonnais sont chargés de leur armement. Ces deux embarcations de 60 m de long pour 9,50 m de large chacune sont destinées à remplacer « La Gracieuse » et « La Capricieuse », mises en service en 1987. 





Les équipages de ces navires luttent contre les trafics de stupéfiants ou la prévention des pollutions en mer. Leur livraison est prévue fin 2016 pour le premier et à l’été 2017 pour le second. Dans le même temps, la Socarenam honorera aussi plusieurs commandes des Douanes françaises pour l’armement d’autres patrouilleurs.

Ces différents chantiers remplissent non seulement le carnet de commandes des ateliers boulonnais. Mais ils lui offrent aussi l’occasion de démontrer son savoir-faire, lui permettant peut-être, son PDG Philippe Gobert l’espère, « de décrocher des contrats à l’export ».


La monarchie canadienne Elisabeth II Reine d'Angleterre et du Canada

Elizabeth Deux 

par la grâce de Dieu, Reine du Royaume-Uni, du Canada et de ses autres royaumes et territoires, Chef du Commonwealth, Défenseur de la Foi



Et oui la Reine d'Angleterre est aussi Reine du Canada... et le Canada une monarchie!

Difficile quand on est au Canada d'échapper à la Reine d'Angleterre et à la famille royale. 

A mon arrivée William et Kate terminaient un séjour en Colombie Britannique et au Yukon.

Et puis quand vous retirez des fonds dans un distributeur, le billet de 20$ en polymère est à l'effigie de la souveraine.






Le portrait de la reine Elizabeth II, chef d’État du Canada, a été gravé par Jorge Peral, vice-président de la conception et maître graveur à la Compagnie canadienne des billets de banque limitée. La gravure est inspirée d’une photographie prise par Ian Jones, commandée par la Banque et reproduite sous forme d’image holographique.




Je vais donc essayer de vous présenter brièvement et philatéliquement la Reine du Canada

William et Kate actuellement en visite au Canada, un pays dont sa grand-mère Elizabeth est toujours le chef de l’Etat et dont il est susceptible de devenir le roi un jour. Pourtant, la monarchie britannique n’est pas particulièrement populaire au Canada, comme l’a montré un sondage, qui a indiqué que plus de la moitié des Canadiens préféreraient un chef d’Etat canadien



roi George V vers 1925


Depuis le 16ème siècle, lorsque les premiers colons européens sont arrivés en Amérique du Nord, des monarques anglais, les français et britanniques ont régné sur les différentes contrées du Canada.


George V (né George Frederick Ernest Albert, 3 juin 1865 - 20 janvier 1936) fut roi du Royaume-Uni et des dominions (Canada, Australie, Nouvelle-Zélande, Afrique du Sud, Irlande1), et empereur des Indes du 6 mai 1910 jusqu'à sa mort.

George était le petit-fils de la reine Victoria et du prince Albert et le cousin germain du tsar Nicolas II de Russie et de l'empereur Guillaume II d'Allemagne. De 1877 à 1891, il servit dans la Royal Navy et atteignit le grade de capitaine de frégate. À la mort de Victoria en 1901, le père de George devint roi sous le nom d'Édouard VII et George fut fait prince de Galles. À la mort de son père en 1910, il lui succéda en tant que roi-empereur de l'Empire britannique sous le nom de George V. Il fut le seul empereur des Indes à assister à son darbâr à Delhi.


George V et la reine Mary

À la suite de la Première Guerre mondiale, l'Empire britannique atteignit son étendue maximale. En 1917, il devint le premier monarque de la Maison de Windsor après avoir renommé la Maison de Saxe-Cobourg et Gotha en raison des sentiments antigermaniques au Royaume-Uni. Son règne vit la montée en puissance du socialisme, du communisme, du fascisme, du républicanisme irlandais et de l'indépendantisme indien qui changèrent radicalement le paysage politique. Le Parliament Act de 1911 établit la suprématie de la Chambre des communes élue par le peuple sur la Chambre des lords dont les membres sont nommés par le souverain. En 1924, George V nomma le premier Premier ministre britannique travailliste Ramsay MacDonald et en 1931, le Statut de Westminster supprima les droits d'ingérence sur les dominions au sein du Commonwealth of Nations. Victime de problèmes de santé dans les dernières années de son règne, il mourut le 20 janvier 1936 et son fils aîné Edward lui succéda sous le nom d'Édouard VIII.


Lorsque le pays a franchi la première étape de son indépendance en 1867, en réunifiant ses provinces, ses architectes ont souhaité que le souverain britannique dirige le gouvernement dont ils avaient développé les plans sur le modèle de Westminster.






Lorsque le gouvernement britannique a reconnu l’indépendance du Canada, de l’Australie, de la Nouvelle-Zélande, de l’Afrique du Sud, de l’Irlande et de Terre-Neuve en 1931, les Canadiens ont choisi de garder la monarchie britannique. A son couronnement, en 1953, la reine Elizabeth n’est pas seulement devenue reine d’Angleterre, mais aussi Reine du Canada, de l’Australie et de Tuvalu.



Cela explique pourquoi son portrait figure sur un certain nombre de pièces de monnaie et sur le billet de 20 dollars canadiens mis aussi pourquoi les nouveaux citoyens canadiens prêtent serment à la reine et le fait que chaque nouvelle session du Parlement du Canada commence par un discours du trône.



En général, le trône britannique est représenté par le gouverneur général ou l’un des dix lieutenants généraux. Ce groupe a une fonction essentiellement cérémonielle, mais les politiciens qui la négligent peuvent s’exposer à des ennuis.



La remise en question de la souveraineté britannique est donc très peu probable, d’autant qu’un tel changement réclamerait d’innombrables négociations constitutionnelles qui prendraient du temps.










Malgré tout, cette question reste un sujet sensible. L’administration actuelle a manifesté sa proximité avec la Royauté britannique, en prenant ses distances avec le gouvernement libéral qui a remplacé l’ancien drapeau canadien qui comportait un “union jack” dans un de ses coins, par le drapeau actuel avec la feuille d’érable rouge sur fond blanc. 





Le Premier ministre Stephen Harper a ainsi demandé que l’on remette le mot “Royal” dans les noms la Royal Canadian Navy et la Royal Canadian Air Force. En outre, John Baird, le ministre des Affaires etrangères, a suscité la polémique lorsqu’il a remplacé un tableau mural d’un peintre québecois, Alfred Pellan, qui figurait dans son cabinet depuis une vingtaine d’années, par un portrait de la Reine d’Angleterre.








La Reine Victoria
La fête de l’anniversaire de la reine Victoria, le 19 mai, est donc célébrée au Canada, où elle fait l’objet d’un jour férié. Si quelques Canadiens célèbrent encore la journée avec un sentiment royaliste, la plupart n’y voient plus qu’une occasion de profiter d’un jour de congé et de fêter le début de l’été.














Merci à Mario pour ces timbres

Humour dans le carré par DONEC L'OMERTA c'est du Pipeau

L'OMERTA c'est du Pipeau

J'ai pris quelques retards avec les parutions de Donec, qu'il m'en excuse, je vais rattrapé le retard.  NDLR




Bonjour à tous,


Le 27 août dernier un avion de la Turkish Airline a survolé la ville de Nice à 129 mètres d’altitude, manquant son approche et semant la panique dans la ville. Cet évènement ne put échapper à la sagacité d’un obscur sous-préfet en retraite. Immédiatement il y vit la main de l’Islam et de ses fous de Dieu. Selon lui une lutte aurait opposé pilote et copilote, le premier voulant jeter l’avion sur la ville et le second ne pas rater le rendez-vous qu’il avait le lendemain chez sa dentiste.



Donec ne peut laisser passer cet évènement sans réagir et décide de mener sa propre enquête. En effet, il connait plusieurs membres du personnel de l’aéroport chargés de tâches subalternes et indispensables. Il découvre alors un fait surprenant. Le personnel navigant de la Turkish Airline particulièrement mal payé, arrondit ses fins de mois en transportant moyennant finances, dans le logement du train d’atterrissage, passagers clandestins et substances illicites.

Le confort de cette soute est relatif mais pour des raisons liées à la construction de l’appareil la moindre conversation échangée entre les membres de l’équipage y est parfaitement audible. 




Je rencontre ce passager clandestin M…. G…. dans un établissement discret de la place Garibaldi et ce qu’il me déclare me laisse pantois. Parmi les passagers avait pris place une superbe créature surnommée « l’Oum Kalsoum de Diyarbakir ». L’ayant invitée dans le cockpit, les pilotes firent assaut d’amabilités et même un peu plus. La jeune artiste qui connaissait la vie répondit positivement à leurs avances. Lequel des deux eu l’idée de l’installer aux commandes, l’histoire ne le dit pas. Reste que les talents de l’artiste pour être inoubliables manquèrent de tourner à la catastrophe au-dessus de Nice.

Pour conclure, nous dirons que du Titanic à divers tremblements de terre ou déclarations de guerres, les filles d’Eve sont souvent impliquées dans des catastrophes qui nous dépassent.

Voilà ce que me révéla ce jeune homme, passager clandestin encore sous le coup de l’émotion mettant ainsi les points sur le I et les barres aux T, bien loin des suppositions approximatives de l’obscur sous-préfet.

A demain à St Jean Cap Ferrat 17h30

Donec

Arromanches 3 Porte-avions Charles de Gaulle Chammal USS Ross GAN lutte contre terrorisme

Arromanches 3 Chammal

Porte-avions Charles de Gaulle



SPID ROISSY 20-10-2016


Actuellement déployé en Méditerranée orientale, le GAN intègre parmi ses escorteurs, depuis le début de sa mission Arromanches 3, le destroyer USS Ross. La présence d’un bâtiment américain dans le GAN est un signe fort de la coopération des deux marines déployées ensemble pour lutter contre le terrorisme au Levant : « les deux nations partagent une même vision des enjeux stratégiques du théâtre méditerranéen. Nos marines atteignent, à la mer, un très haut niveau d’interopérabilité », a souligné le VAE du Ché...




Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération Chammal est le volet français de l’opération OIR et mobilise aujourd’hui près de 4 000 militaires. A la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, l’opération Chammal repose sur deux piliers complémentaires : un pilier « formation» au profit d’unités de sécurité nationales irakiennes et un pilier « appui » consistant à soutenir l’action des forces locales engagées au sol contre Daech et à frapper les capacités militaires de Daech. 

USS ROSS

A ce jour, le dispositif complet de l’opération Chammal est structuré autour de trente-six Rafale (douze de l’armée de l’Air et vingt-quatre de la Marine nationale), d’un détachement d’artillerie CAESAR (Camion équipé d’un système d’artillerie), des bâtiments du groupe aéronaval, d’un avion de détection et de contrôle aéroportés E3F, d’un avion de ravitaillement C-135 FR, de deux avions E-2C Hawkeye et d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2. Il comprend également une centaine de militaires projetés à Bagdad et Erbil pour la formation et le conseil des états-majors et unités irakiennes.

21 octobre 2016

La FREMM LANGUEDOC à Montréal 2016

La FREMM LANGUEDOC à Montréal

J'ai loupé la FREMM Languedoc à peu de jours près.... Dommage.

VSPID 11215 23 sept. 2016


La dernière frégate multimission (Fremm) reçue par la Marine nationale est partie en soutien export (soutex) au Canada, où le besoin pour 12 frégates très armées s’est accéléré ces dernières semaines.

L’appel d’offres ne devrait plus tarder, permettant aux industriels, dont le français DCNS, de connaître précisément le besoin canadien. Fort de ses expériences brésilienne, singapourienne, indienne, malaisienne, égyptienne et bientôt australienne, DCNS devrait pouvoir défendre sans difficulté sa capacité en matière de savoir-faire.



Mais la principale difficulté reste que la France est peu implantée sur place : comme en Australie, c’est Thales qui est le plus solidement installé après avoir racheté des entreprises locales. Autre difficulté, les achats canadiens en France sont extrêmement modestes… comme ceux de la France au Canada.




Le Canada représente sans doute une des dernières possibilités d’exporter la Fremm, dont le bilan reste modeste : seulement deux clients exports (Égypte et Maroc) et une série française réduite de 19 à huit navires.

Selon la nature des besoins réels du Canada, DCNS pourrait aussi proposer sa future frégate de taille intermédiaire. Un dossier qui avance pour l’instant moins vite que prévu, en France

La ville deMontréal depuis le Mont Royal  photo JM Bergougniou


Je vais en profiter pour vous faire découvrir la ville de Montréal


Boïte à lettres photo JM Bergougniou

C'est l'explorateur breton Jacques Cartier, lors de son second voyage en Amérique en 1535 qui baptisa la montagne qui surplombe la ville. Dans son récit de voyage, il raconte: « Et parmi ces campagnes est située et assise la ville de Hochelaga près d'une montagne aux alentours labourés et fort fertiles et sur laquelle on voit fort loin. 



Nous nommâmes cette montagne le mont Royal. »Le choix de ce nom pourrait être attribuable à celui qui accompagnait Jacques Cartier le jour du débarquement sur cette île, Claude de Pontbriand, fils du seigneur de Montréal 





La ville de Montréal  le Mont Royal  photo JM Bergougniou
La ville occupe 74,5% des 482,8 km2 de l'île de Montréal, la plus vaste île fluviale de l'archipel d'Hochelaga, à la confluence du fleuve Saint-Laurent et de la rivière des Outaouais. 
L’île de Montréal est délimitée sur sa rive sud, d'Ouest en Est, par le lac Saint-Louis, les rapides de Lachine, le bassin de la Prairie et le fleuve Saint-Laurent proprement dit. Sur sa rive nord elle est baignée par le lac des Deux Montagnes puis par la rivière des Prairies. La ville s’étend en outre sur l'île Bizard, l'île des Sœurs, l'île Sainte-Hélène et l'île Notre-Dame.

Le Port et le Saint-Laurent  photo JM Bergougniou

Si les archéologues datent les premières présences humaines dans les basses-terres du Saint-Laurent du IVe millénaire av. J.-C., les plus anciens artefacts retrouvés sur l'île de Montréal ne datent que de quelques siècles avant l'arrivée des premiers explorateurs européens.

le portrait de Cartier au musée Ramezay   photo JM Bergougniou

Jacques Cartier est considéré comme le premier de ces explorateurs à avoir visité l'île de Montréal. Le 2 octobre 1535, selon le récit de son deuxième voyage en Amérique, il débarque sur l'île et se rend au village iroquois fortifié de Hochelaga, construit au pieds d'une colline qu'il nomme Mons realis (mont Royal en latin). Il estime la population de ce village à « plus de mille personnes ».


maquette de camp musée Ramezay   photo JM Bergougniou









Quand Samuel de Champlain explore à son tour le fleuve en 1603, près de 70 ans plus tard, il rapporte que les Iroquois n'occupent plus l'île de Montréal ni les basses-terres du Saint-Laurent. Cela serait due à l'émigration, aux épidémies de maladies européennes importées et aux guerres tribales. Hochelaga, le village décrit par Cartier, a disparu. 

Ceinture fléchée  musée Ramezay   photo JM Bergougniou


En 1611, Champlain établit un poste de traite saisonnier sur l'île de Montréal, dans un lieu qu'il nomme Place Royale à la confluence de la Petite Rivière et du fleuve Saint-Laurent (aujourd'hui Pointe-à-Callière). Il doit cependant se résoudre à l'abandonner puisqu'il ne peut la défendre contre les guerriers Mohawks.

En 1640, Jérôme Le Royer, sieur de La Dauversière obtient la possession de l'île de Montréal au nom de la société Notre-Dame de Montréal










Monument de Maisonneuve Place d'armes Montréal photo JM Bergougniou








La colonie connaît des débuts précaires. Face aux fréquentes incursions Iroquoises faisant prisonniers et tués, la cinquantaine de colons « montréalistes » sont souvent retranchés dans le fort Ville-Marie. Cette situation rend l'agriculture difficile à pratiquer. De plus, la Société Notre-Dame de Montréal n'arrive pas à convertir suffisamment d'Amérindiens pour assurer la croissance démographique. 



L'église de Bon-secours encore nommée église des marins photo JM Bergougniou



L'église de Bon-secours Sépulture de Marguerite Bourgeoys
photo JM Bergougniou


Maisonneuve est contraint de retourner en France pour recruter d'autres colons en 1653 et en 1659 ; ces efforts en amènent près de parmi lesquels sœur Marguerite Bourgeoys, la fondatrice de la Congrégation de Notre-Dame de Montréal en 1659. Ces nouveaux arrivants permettent le développement de l'agriculture, assurant la survie et le développement de Ville-Marie.


En 1663, la Nouvelle-France devient une province royale. Elle est placée sous le commandement du Conseil souverain de la Nouvelle-France qui relève de l'autorité directe de Louis XIV. La société Notre-Dame est dissoute la même année et Maisonneuve est renvoyé en France par le gouverneur Prouville de Tracy.


Maison du vieux Montréal  photo JM Bergougniou



La seigneurie de Montréal est cédée au séminaire Saint-Sulpice de Paris en 1665. 

Portrait musée Ramezay photo JM Bergougniou
Les sulpiciens influenceront de manière significative le développement de Montréal. La traite des fourrures devient, à partir de 1665, grâce à des interventions militaires françaises, une part principale de l'économie montréalaise. Les pelleteries en provenance de la rivière des Outaouais transitent à Ville-Marie qui compte plus de 600 habitants à cette époque. Les sulpiciens font borner les rues en 1672 puis la ville est fortifiée d'une palissade de pieux en 1687.














Pendant que Ville-Marie se développe, d'autres secteurs de peuplement apparaissent sur l'île. En amont des rapides du Sault-Saint-Louis sur le Saint-Laurent, un fief est concédé à l'explorateur René Robert Cavelier de La Salle, qui fonde Lachine en 1669. Au Sault-au-Récollet, au nord de l'île, sur la rivière des Prairies, une mission est fondée par les sulpiciens en 1696. Malgré quelques périodes de tranquillité, les guerres franco-iroquoises font de plus en plus de ravages dans la colonie à la fin du xviie siècle. On compte parmi les événements sanglants le massacre de Lachine du 5 août 1689.

Et puis Montréal c'est aussi la déclaration du général De Gaulle " Vive le Québec libre"


L'hôtel de ville de Montréal photo JM Bergougniou




Le général de Gaulle accompagné du Premier ministre québecois, Daniel Johnson, s'est rendu par la route de Québec à Montréal. Tout au long du trajet, il a reçu un accueil enthousiaste de la part de la population. Reçu à l'Hotel de ville par le maire de Montréal, M. Drapeau, il adresse à la foule massée sur la place une allocution improvisée dont le texte a pu être rétabli.















L'hôtel de ville de Montréal le balcon photo JM Bergougniou
En juillet 1967, le général de Gaulle effectue un voyage au Canada et, en digne représentant de la "mère-patrie", est reçu de façon triomphale au Québec. Ce triomphe se transformera en quasi-hystérie puis en quasi-incident diplomatique après son fameux discours du 24.07.1967 au balcon de l'Hôtel de Ville de Montréal et sa célèbrissime "petite phrase" : cortège officiel, foule en liesse, drapeaux français et québécois, et extrait : "Vive le Québec libre !"


Vive Montréal ! Vive le Québec !

Vive le Québec libre !

Humour dans le carré par Donec.... Lève rames!

Humour dans le carré par Donec.... Lève rames!


Bonjour à tous,


Parlons du cipal-fusco* (déjà vu mais on ne s’en lasse jamais)

La masse musculaire du cipal-fusco est supérieure à son poids total.

Si la lumière va plus vite que le cipal-fusco c’est qu’elle a peur de lui.

Quand le cipal-fusco dit qu’il va « jeter un œil », il ne parle pas du sien.

Un jour le père Noël a frappé à la porte du cipal-fusco, depuis il passe par la cheminée.



Le cipal-fusco ne ment pas, c’est la vérité qui se trompe.

Le cipal-fusco n’essaie pas. Il réussit.

Le berger allemand du cipal-fusco a mis une pancarte devant sa maison : « attention cipal-fusco »

Quand le cipal-fusco embarque la mer s’apaise.

Quand le cipal-fusco passe les livres et les annuaires se ferment.

Quand le cipal-fusco fixe le compas le nord passe au sud.

Quand le cipal-fusco dit « hein ? » personne ne dit deux.

Quand le cipal-fusco entre au carré, le maître d’hôtel laisse un pourboire.

Quand le cipal-fusco s’est mis au judo, David Douillet s’est mis aux pièces jaunes



Le cipal-fusco est le seul à avoir une bible dédicacée.

Le cipal-fusco n’a pas reçu son brevet supérieur, il l’a pris

Si le cipal fusco pisse face au vent, le vent tourne.

Le cipal fusco peut claquer une porte étanche fermée.

Le cipal-fusco compte jusqu’à l’infini plus un.

Certains portent une panoplie de Superman. Superman porte l’uniforme du cipal-fusco

Le cipal-fusco n’a pas besoin de montre, il décide de l’heure.

Dieu a dit « que la lumière doit », le cipal-fusco ajoute « on dit s’il vous plait ! »

La seule chose qui arrive à la cheville du cipal-fusco ce sont ses chaussettes et il n’en porte pas

Un jour au carré OMS le cipal fusco a commandé un steak et le steak a obéi.

Dieu voulait créer l’univers en 10 jours le cipal-fusco lui en a donné 7.

Malheureusement il est seul, les femmes se détournent de lui, seuls quelques éphèbes à la démarche chaloupée le suivent des yeux…

A la semaine prochaine

Donec

*Cipal fusco : maître principal fusilier marin commando. Il exerce souvent à bord des unités de la Marine la Police à bord. Il est alors surnommé « bidel »

20 octobre 2016

Mission Arromanches 3

Mission Arromanches 3

Qu’elle soit déployée en temps de paix, de crise ou de conflit, la force aéromaritime française de réaction rapide (FRMARFOR) est organisée et équipée pour s’engager dans une mission nationale, ou au sein de l’Otan, de l’Union européenne ou d’une coalition. FRMARFOR fait ainsi partie des structures qualifiées pour opérer au sein de la force de réaction rapide de l’Otan (Nato Response Force, ou NRF).



« Le groupe aéronaval avec le porte-avions Charles de Gaulle sera de nouveau déployé au sein de l’opération Chammal à l’automne car nous devons frapper et détruire ceux qui nous ont agressés, ici, en janvier et en novembre 2015 »
François Hollande, le 13 juillet 2016






« La France est l’un des principaux contributeurs de la coalition, notamment grâce aux chasseurs de l’armée de l’air déployés depuis deux ans en Jordanie et dans le Golfe arabo-persique. Le déploiement d’une batterie d’artillerie et du groupe aéronaval, composé exclusivement de Rafale pour la première fois, renforce de manière significative nos capacités d’actions d’appuyer les forces au sol dans la reprise de Mossoul. »
Jean-Yves Le Drian

Pour la troisième fois en deux ans, le Président de la République a décidé de déployer le GAN pour intensi er le combat contre Daech et accélérer sa chute en Irak et en Syrie. 





Le déploiement du porte-avions Charles de Gaulle permettra de renforcer le dispositif militaire français opérant déjà sur zone, à terre et dans les airs. 






















Cette mission du GAN est baptisée Arromanches 3. C’est la troisième à prendre le nom du port artificiel allié établi en Normandie en 1944 mais également du porte-avions français loué par la Royal Navy en 1946.




Véritable « ligne de vie» entre la terre et la mer pour le groupe aéronaval, la Marne garantit son autonomie en combustibles, vivres, munitions, médicaments et matériels de rechange.

Le groupe aéronaval français : des moyens complémentaires 

Le porte-avions Charles de Gaulle


L’état-major embarqué : 

force aéromaritime de réaction rapide (FRMARFOR)


Moyens aéronautiques :

- Avion Rafale Marine
- Avion E-2C Hawkeye
- Avion de patrouille maritime Atlantique 2 - Hélicoptère Dauphin Pedro
- Hélicoptère Alouette III
- Hélicoptère Caïman Marine


Moyens de surface
- FDA Chevalier Paul
- FAA Cassard
- FASM Jean de Vienne
- BCR Marne
- Frégate allemande FGS Augsburg - Frégate américaine USS Ross


Moyen sous-marin :
- Sous-Marin Nucléaire d’Attaque (SNA)





La FASM constitue un outil militaire puissant, capable d’intervenir seul ou au sein d’une force interarmées nationale ou multinationale, en tout point des mers où la France a décidé d’agir. La FASM Jean de Vienne embarque deux hélicoptères lynx, dont la vocation principale est la lutte anti-sous- marine.




http://www.acoram.fr/wp-content/uploads/2016/10/20161005_NP_SIRPAM_Arromanches-3.pdf

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Aviation maritime Philippeville Algérie  Les principales missions de l’Aviation maritime sont la surveillance des routes d’accès aux ports, ...