26 juin 2016

Bicentenaire de la rétrocession de Saint-Pierre et Miquelon à la France 1816-2016

Bicentenaire de la rétrocession de Saint-Pierre et Miquelon à la France


Les liens entre Saint-Malo et Saint-Pierre sont anciens et très forts. La Morue a fait, en partie, la richesse de la ville et de la région. Le bureau temporaire de ce jour confirme ces liens.
Saint-Malo le rond-point de la gare
photo JM Bergougniou



les îles servaient de base aux pêcheurs normands, bretons et basques au xvie siècle et l'on date de 1604 les premières installations permanentes de ces derniers. Ils y pratiquaient la chasse baleinière , certainement la baleine franche (dite « baleine des Basques »), la baleine du Groenland et la baleine grise. Ces origines provinciales se retrouvent sur le drapeau de l'archipel.

Au 18e siècle, les îles furent toutefois abandonnées lors de la ratification du traité d'Utrecht de 1713 qui octroyait à la France un droit exclusif de pêche sur le littoral de l'île de Terre-Neuve désigné sous le terme de côte française de Terre-Neuve. 


Les îles de Saint-Pierre et de Miquelon furent ensuite récupérées officiellement par la France lors du traité de Paris de 1763. Après une défaite infligée par les troupes américaines et françaises, les forces britanniques présentes en Nouvelle-Écosse attaquèrent les îles en 1778 et déportèrent la population, y compris des réfugiés de la déportation des Acadiens de 1755. 
L'archipel est cependant à nouveau rendu à la France lors du traité de Versailles (1783).

Bloc émis par la Poste de SPM pour célébrer la rétrocession de 1816
La Revanche est une frégate de 24 de classe Romaine construite en 1795 portant 20 canons et 2 mortiers Ingénieur Pierre Forfait
La frégate de 24 est un type de navire de guerre portant des canons de 24 livres, de la fin du xviiie siècle au début du xixe siècle.
Les frégates de cette époque portent des canons dans leur unique pont-batterie, auxquels se rajoutent les pièces d'artillerie présentes sur le pont. Elles sont classées non seulement à partir du nombre de canons qu'elles portent (comme pour les vaisseaux), mais surtout à partir du calibre de leurs canons, exprimé par la masse en livres des boulets tirés.


Philapostel réalise une carte postale
représentant une carte de l'Atlantique ou est collé le bloc

le bloc représente le port de Saint Pierre et la frégate La Revanche
Lors de la Révolution française, la communauté acadienne quitta subitement l'île de Miquelon pour se réfugier aux îles de la Madeleine, alors que l'exercice républicain à Saint-Pierre connut un terme brutal lors de la nouvelle attaque britannique de 1793. Il fallut attendre la Restauration de Louis XVIII pour que la dernière rétrocession par le Royaume-Uni (dont la Nouvelle-Écosse était encore une colonie) des îles Saint-Pierre-et-Miquelon à la France soit définitive.




Au verso le Montimbramoi représentant le port de Saint-Malo
et le TAD célébrant le bicentenaire de la rétrocession

Saint-Malo la grande passerelle
photo JM Bergougniou

En 1536, Jacques Cartier, envoyé officiel du roi de France rebaptise ces îles " Saint Pierre et Miquelon"




Au 18e siècle, les Britanniques ont occupé l’archipel pendant cinquante ans suite au traité d’Utrecht de 1713. Redevenues françaises en 1763 par le traité de Paris, ces îles ont été explorées et cartographiées par Jacques Nicolas Bellin, James Cook, Jean-Dominique Cassini. 


Saint-Malo la grande passerelle
photo JM Bergougniou
La population fut alors déportée en 1778 avant le retour des îles par le Traité de Versailles de 1783. De nouveau attaquées en 1793, pendant la révolution française, les îles furent définitivement rétrocédées en 1816 grâce au Traité de Paris de 1814.






22 avril 1816
Départ de Saint-Malo de la frégate ‘La Revanche’ faisant partie avec les flûtes  ‘Caravane’ et ‘Salamandre’, la gabarre ‘La Lionne’, les goélettes ‘Aminthe’, ‘La Brestoise’ et la ‘Miquelonnaise’, de l’expédition destinée à la reprise de possession des îles Saint-Pierre et Miquelon. 

M. Bourrilhon, commissaire de la marine, chargé en chef du service est à bord avec sa fille Aminthe, ses deux fils Louis et Léonide Bourrilhon, ainsi que M. Ollivier, curé, MM. Fuec, Barbet, Fitzgerald, chirurgiens, Le Roy, capitaine de port et autres fonctionnaires.

La fille de Bourbillon porterait le même nom que la flute du convoi???
de même le nom du curé ne semble pas conforme (Ollivier ou Geiliani???


Saint-Malo la grande passerelle
photo JM Bergougniou





25 mai 1816

Arrivée à Saint-Pierre de la flûte ‘La Revanche’ avec 1er commandant Bourrilhon, chargé de reprendre possession des îles, sa fille Aminte, le curé Ollivier, les chirurgiens Feuc, Barbet et Fitzgérald, le capitaine de port Leroy, les commis de la marine (principal 1 re et 2me classe) Dehann, Feillet, Bourrilhon fils, le pilote de port Huot, le gendarme Yreux et 44 anciens déportés de Miquelon, échappés du naufrage du transport du Roi ‘La Balance’.

http://grandcolombier.com/2011/12/08/familles-rapatriees-a-miquelon-par-la-caravane-en-1816/

24/04/1816 Départ de Brest pour Saint-Pierre et Miquelon avec partie des déportés, de matériaux de construction et approvisionnements, de la flûte ‘La Caravane’, des goélettes ‘Aminthe’, ‘La Brestoise’ et ‘La Miquelonnaise’. ‘La Caravane’ a en outre à son bord, 49 ouvriers d’artillerie commandés par le lieutenant Bertot pour la construction des immeubles du gouvernement et qui formeront en outre la garnison.



27/05/1816 Arrivée à Saint-Pierre de la flûte la ‘Caravane’ avec une partie des anciens habitants déportés par les anglais en 1793.

FÉVRIER 17 février 1816 –

M. l’abbé Geiliani est désigné comme curé aux îles Saint-Pierre et Miquelon. Le ministre avise le commandant Bourrilhon que cet ecclésiastique s’embarquera avec le personnel administratif, à Saint-Servan, sur l’un des bâtiments composant l’expédition chargée de reprendre possession de la colonie.




20 février 1816 

Le ministre attire l’attention du commandant Bourrilhon, en instance de départ à Saint-Malo, sur le règlement du 3 Mars 1803, relatif à la police de la pêche à Saint-Pierre et Miquelon, notamment sur celle des warys qui, si elle est susceptible de quelque tolérance à cause de l’indigence des pêcheurs locaux, doit cependant être toujours subordonnée à l’intérêt des grands armements. 

Source : éphémérides de St-Pierre et Miquelon. Impr. du gouvernement, St-Pierre. SASCO, E. & J. LEHUENEN, 1970.

23 mars 1816 – Le dogre ‘La Balance’ transportant 80 anciens habitants de Saint-Pierre et Miquelon, fait naufrage entre Le Havre et Saint-Malo, 37 de ces malheureux périssent.


Source : éphémérides de St-Pierre et Miquelon. Impr. du gouvernement, St-Pierre. SASCO, E. & J. LEHUENEN, 1970.

le bureau temporaire à la grande passerelle Saint-Malo
Prenez un espace numérique, un cinéma, une médiathèque, et un “4e lieu”, ouvert aux animations et aux expositions… Placez-les dans un équipement exceptionnel, futuriste mais chaleureux et fonctionnel… Et vous obtenez un étonnant vaisseau de culture, un lieu d’apaisement, d’émulation et d’ouverture… La Grande Passerelle !
photo JM Bergougniou

22 juin 1816 – 

Rétrocession officielle des Iles Saint-Pierre et Miquelon. La corvette de S.M. Britannique ‘Hazard’ commandée par Sir Cookesley, venant d’Halifax, arrive dans la matinée à Saint-Pierre. Le capitaine Ollivier, de la frégate française ‘Revanche’ envoie un de ses officiers à bord, et deux heures après le commandant anglais vient à son tour à bord du bâtiment français. Après s’être communiqué mutuellement leurs pouvoirs M. Bourrilhon, chargé du service et le capitaine Cookesley décident que la remise de la colonie aurait lieu à bord de la corvette anglaise au moment de l’échange des actes de remise et de réception, la ‘Revanche’ et le ‘Hazard’ saluent ensemble de 21 coups de canons les pavillons français et anglais, arborés dans cette circonstance en vue de la rade et, après le salut, le pavillon anglais est amené. A terre les troupes de la garnison sont sous les armes. Tout fut terminé aux cris de « Vive le Roy ». Le chargé du service put écrire le 25 juin au ministre : ‘Monseigneur, je suis enfin assez heureux pour pouvoir annoncer à votre Excellence que le pavillon Blanc flotte sur les isles ‘Saint-Pierre et Miquelon’. 

Source : 


Sources :



éphémérides de St-Pierre et Miquelon. Impr. du gouvernement, St-Pierre. SASCO, E. & J. LEHUENEN, 1970.

25 juin 2016

LORIENT 350 ans Morbihan Cuirassé Jules Michelet torpilleur Mortier

LORIENT 350 ans Morbihan



Patrick Le Pestipon nous communique :

A l'occasion des 350 ème anniversaire de Lorient la mairie a fait sortir un collector de 10 timbres dont un represente le cuirassé Jules Michelet et le torpilleur Mortier dans le port de Lorient.



Le prix est de 9 euro 50 + le port
Pour ceux qui sont intéressés règlement à l'ordre de l' A P A 

et commande a mon adresse 

Patrick Le Pestipon

16 rue des mesanges 56 260 LARMOR PLAGE




L'histoire de Lorient et du Pays de Lorient est intimement liée à sa position stratégique face à l'océan Atlantique et à l'île de Groix, ancien port thonier. Son identité, Lorient l'a conquise sur la glèbe et les landes et assise sur la mer par le commerce.

En 1664, à la demande de Colbert, Louis XIV autorise la création de la Compagnie des Indes orientales afin de développer les échanges avec l'Asie, et notamment le fructueux commerce des épices.




En 1666, le siège de la Compagnie des Indes s'installe à l'abri de la citadelle espagnole de Port-Blavet, actuel Port-Louis, au confluent du Scorff et du Blavet qui forme la rade. Les vallées de ces deux fleuves marquent profondément les paysages et l'activité rurale de l'arrière pays. L'histoire de Lorient commence véritablement par la création des chantiers navals du Faouëdic : deux frégates et un navire de 1000 tonneaux, le Soleil d'Orient, sortent bientôt des nouveaux chantiers, lesquels attirent des paysans et des ouvriers des quatre coins du royaume. Le Soleil d'Orient, plus connu sous le nom de L'Orient , An Oriant en breton, deviendra l'éponyme de la ville naissante. Epices, thé, étoffes, soieries, laques et porcelaines des " Indes " transitent par Lorient et font la fortune de la Compagnie des Indes et des armateurs, qui s'adonnent par ailleurs au trafic du bois d'ébène et plus tard des contrebandiers.



Dès 1690, la Marine royale installe à Lorient une administration militaire alors que Port-Louis se voit dotée d'ateliers de construction et chargée de l'entretien des escadres.

La guerre de la ligue d'Augsbourg (1696-1697) puis celle de la Succession d'Espagne (1702-1714) perturbent le commerce maritime. La Compagnie des Indes fait faillite et Lorient est plongée dans le marasme.

En 1719, le financier Law fonde une nouvelle Compagnie des Indes qui, par le monopole qu'elle détient sur les échanges entre la métropole et les comptoirs d'Afrique, les colonies de Louisiane et des Antilles, de l'océan Indien et de la mer de Chine, assure à Lorient une ère de grande prospérité.

Entre 1709 et 1730, Lorient passe de 6 000 habitants à 20 000 habitants et connaît une extension urbaine que l'architecte de la Compagnie des Indes, Jacques Gabriel, aura la charge de maîtriser.

En 1738, Lorient, alors érigée en cité, accueille la plus grande foire commerciale d'Europe. Lorient devient le lieu de vente exclusif des produits coloniaux et le centre opérationnel de la construction navale. Ouvriers, soldats, marins, oeuvrent pour la Compagnie des Indes. " La Compagnie rassemble à Lorient sa marine, ses troupes et tout son commerce " écrit Mignot de Montigny en 1752. La perte des colonies (1763) entraîne une nouvelle fois la faillite de la Compagnie des Indes quelques années plus tard (1769). Mais la disparition de la Compagnie ne signifie pas l'arrêt du commerce avec les Indes, le port de Lorient reste le passage obligé des retours et des ventes.


Cuirassé Jules Michelet

En 1770, les chantiers navals sont rachetés par le Roi et transformés en port de guerre et arsenal royal. Les négociants se multiplient avec le développement des armements privés dans l'Océan Indien, la guerre d'indépendance américaine, les perspectives ouvertes par le port franc et la ligne transatlantique Lorient - New-York. Lorient est, dans les années 1770, l'un des quatre ports français capable de construire des vaisseaux de lignes.

Torpilleur ou contre-torpilleur MORTIER


En 1785, la Compagnie dite de Calonne est créée mais son monopole commercial en dehors du territoire français sera aboli cinq ans plus tard par la Révolution (assemblée constituante de 1790). En 1791, Lorient est institué port militaire.

24 juin 2016

Armateurs et capitaine de pêche : la Morue à Saint-Pierre et Miquelon en 1919 armateur Saint-Servan Paimpol

la Morue à Saint-Pierre et Miquelon Vente du Saint-Christophe



Saint-Pierre et Miquelon fêtant le bicentenaire de sa rétrocession à la France 
Il me semble donc opportun de parler pêche, armateurs et capitaine. 

Nous sommes en 1919 Marie Ange Glâtre est capitaine du Saint-Christophe armement Grandais à Saint-Servan.



Il va recevoir alors qu'il se trouve en pêche sur les bancs à Saint-Pierre et Miquelon, une lettre de l'armateur paimpolais Dauphin Bonne qui lui apprend qu'il a acheté le bateau et la pêche et que de fait, M-A Glâtre passe sous ses ordres.




C'est l'acheteur du bateau Saint-Christophe qui prévient son capitaine qu'il vient de changer d'armateur... Le vendeur, Grandais de Saint-Servan ne lui a encore rien dit...







Dauphin Bonne demande que lui soit communiquées les information sur la pêche. Il lui demande le nombre de quintaux qu'il envisage de laisser à Saint-Pierre tout en précisant qu'il ne doit débarquer que le nombre de quintaux qu'il sera certain de reprendre avant de quitter les bancs. Pas question de rentrer avec un chargement incomplet.


Pour le retour, il demande à M-A Glâtre de se tenir à ordre à Belle-Ile, ce qui permettra de diriger ensuite le bateau vers son port de débarquement




Il assure le capitaine que ses conditions de rémunération restent inchangées.


L'armateur prévoit la prochaine campagne et lui recommande d'acheter du sucre 













L'armateur Grandais de Saint-Servan va écrire à M-A Glâtre le 19 juin 1919 pour lui annoncer la vente du bateau. Il impute la vente du bateau aux difficultés de vente du poisson à Bordeaux et au prix d'achat par les conserveries



Armateurs et capitaine de pêche : la Morue à Saint-Pierre et Miquelon en 1919

la Morue à Saint-Pierre et Miquelon en 1919


Saint-Pierre et Miquelon fêtant le bicentenaire de sa rétrocession à la France 
Il me semble donc opportun de parler pêche, armateurs et capitaine. 

Nous sommes en 1919 Marie Ange Glâtre est capitaine du Saint-Christophe armement Grandais à Saint-Servan.



Il va recevoir alors qu'il se trouve en pêche sur les bancs à Saint-Pierre et Miquelon, une lettre de l'armateur paimpolais Dauphin Bonne qui lui apprend qu'il a acheté le bateau et la pêche et que de fait, M-A Glâtre passe sous ses ordres.







C'est l'acheteur du bateau Saint-Christophe qui prévient son capitaine qu'il vient de changer d'armateur... Le vendeur, Grandais de Saint-Servan ne lui a encore rien dit...







Dauphin Bonne demande que lui soit communiquées les information sur la pêche. Il lui demande le nombre de quintaux qu'il envisage de laisser à Saint-Pierre tout en précisant qu'il ne doit débarquer que le nombre de quintaux qu'il sera certain de reprendre avant de quitter les bancs. Pas question de rentrer avec un chargement incomplet.



Pour le retour, il demande à M-A Glâtre de se tenir à ordre à Belle-Ile, ce qui permettra de diriger ensuite le bateau vers son port de débarquement



Il assure le capitaine que ses conditions de rémunération restent inchangées.




L'armateur prévoit la prochaine campagne et lui recommande d'acheter du sucre 
















L'armateur Grandais de Saint-Servan va écrire à M-A Glâtre le 19 juin 1919 pour lui annoncer la vente du bateau. Il impute la vente du bateau aux difficultés de vente du poisson à Bordeaux et au prix d'achat par les conserveries






Humour dans le carré par Donec Triste fin SNSM Vice amiral Touchard

Triste fin : Notre Dame du Bon port



Bonjour à tous,

En 2011, longeant la corniche Michel Pacha sur la presqu’ile de Saint Mandrier, j’avisais quelques épaves abandonnées à une encablure du fort du Balaguier. Parmi ces bateaux forts mal en point l’un d’eux retient mon attention avec sa coupe de vedette de sauvetage et son bordage sophistiqué. J’en fais le tour, à la poupe cette inscription « Notre Dame du Bon port » « Nice ». Aurai-je a faire à l’ancien canot de sauvetage de la station de Nice ? A ces pieds, gravé dans un mauvais bloc de ciment en lettres malhabiles : canot de sauvetage tout temps – insubmersible – don de la S.N.S.M. – amiral Amman - commandant Calendini – arrivé le 16 11 81. Il y a deux ans, rédigeant un texte concernant la bénédiction du nouveau canot de Cannes Golfe Juan, je découvre que « Notre Dame du Bon port » est le nom donné aux embarcations de cette station.



Ce mois ci Sauvetage rendait compte des cérémonies concernant l’arrivée du nouveau canot sur l’ile de Sein. Je m’aperçois alors que l’épave du Balaguier a un passé particulièrement glorieux. Construite par les chantiers Normand, en 1931 elle est affectée à l’ile de Sein équipée de deux moteurs Abeille de 40 chevaux. Elle s’appelle « Vice Amiral Touchard » et va servir vingt ans. En 1951 la Pallice la reçoit sous le nom de « Léon-Marie Bourgeois II ». Elle est alors envoyée aux chantiers navals de Cornouaille pour une refonte : radio, deux diesel Unic de 38 cv etc…



En 1956 elle arrive à Cannes et devient « Notre Dame du Bon Port I». Elle passe en 1972 à Port la Nouvelle pour y être réformée en 1981. Cédée au musée municipal du Balaguié, reléguée dans les hautes-herbes, oubliée, cannibalisée, dégradée, pourrie.

La photographie que je joins date de 2011 c’était vraiment la fin

A la semaine prochaine

Donec

23 juin 2016


Rendez-vous ce weekend à Saint Malo !


PHILAPOSTEL Bretagne vous invite à Saint Malo ce weekend, pour célébrer le 200è anniversaire du rattachement de St Pierre et Miquelon à la France : le bloc Premier Jour commémoratif de cet évènement y sera disponible. Rattachement_SPM_bloc
Suite au traité de Paris en 1814, la France reprit possession des îles Saint Pierre et Miquelon. Le Commandant Bourrilhon, parti du port de Saint Malo sur la frégate La Revanche est chargé de  reprendre possession des iles alors détenues par les anglais.
Le 22 Juin 1816 est la date officielle de la rétrocession signée par Sir Cookesley, Capitaine de Corvette de sa majesté britannique, et le Capitaine Ollivier de la Frégate La Revanche.
La population actuelle  de Saint Pierre et Miquelon est composée de bretons, de normands et de basques qui se sont installés majoritairement  à partir de 1816.
Rattachement_SPM_CPPHILAPOSTEL Bretagne célèbrera le bicentenaire de ce rattachement ces samedi 25 (de 10h à 18h) et dimanche 26 ( de 14h à18h) juinprochains, par une manifestation à Saint Malo à la Grande Passerelle (proche de la gare).
Celle-ci sera composée d’une exposition philatélique accompagnée d’un bureau postal temporaire et d’une exposition d’aquarelles de Joel Souv 3LEMAINE, peintre originaire de Saint Pierre et Miquelon.
Des souvenirs (bloc feuillet premier jour de SPM, MonTimbreàMoi de Saint Malo, enveloppe et carte postale) seront disponibles sur place ou par correspondance. (voir Bon de Commande). Venez nombreux nous y rencontrer !
affiche expo 25 26 juin 3 St MALO
Publié le  par 


PHM Commandant Blaison TANGER MED25 Maroc EUNAVFORMED IRINI

TANGER MED25 PHM Cdt Blaison  Le 23 avril 2025, le patrouilleur de haute mer (PHM) Commandant Blaison a appareillé de Brest dans le cadre de...